Plus de 4000 rapports de fausses couches de femmes vaccinées au covid dans le VAERS
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pormezz/Adobe Stock
Tamara Ugolini, journaliste du Rebel News, rapporte la teneur d’un entretien qu’elle a eu avec le Dr Jessica Rose, mathématicienne appliquée, immunologiste, biologiste moléculaire et informatique et biochimiste où cette dernière parle de ses analyses des données du VAERS, notamment les quelque 4000 rapports volontaires de fausses couches chez les femmes vaccinées au covid, un nombre qui serait à multiplier par 31 à cause de la sous-déclaration. Selon le Rebel News :
Dans cet entretien, nous discutons de cette tendance avec le Dr Jessica Rose, mathématicienne appliquée, immunologiste, biologiste moléculaire et informatique et biochimiste. Mme Rose m’a déjà rejoint pour discuter des analyses qu’elle a réalisées et qu’elle continue d’effectuer sur les données du système VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) des Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis.
Mme Rose note que certains rapports d’événements indésirables dans la base de données VAERS sont devenus si nombreux qu’ils sont trop lourds à analyser sur le plan informatique.
Dans la base de données VAERS, selon le décompte de Mme Rose, il y a eu à ce jour 4 474 rapports d’avortements spontanés (c’est-à-dire de fausses couches) soumis après l’injection d’un vaccin covid. Mme Rose suppose qu’il existe un facteur de sous-déclaration de l’ordre de 31, de sorte que la multiplication de ces événements signalés par le facteur de 31 est susceptible de donner une représentation plus fidèle du profil des événements indésirables.
Ces résultats ne sont en fait pas étonnants si l’on considère, comme le souligne le Dr Rose, que les protéines de pointe (spike proteins) ne restent pas dans le lieu d’injection, mais circulent dans tout le corps, pour se concentrer dans les organes tels que le foie, la rate… ou les ovaires.
On peut certainement mettre en lien avec ces faits le nombre important de signalements de troubles menstruels de femmes vaccinées au covid auprès du Réseau français des centres de pharmacovigilance.
Les autopsies montrent que des personnes meurent à cause des vaccins covid
Par Joel S. Hirschhorn (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Yuttana Studio/Adobe Stock
Campagne Québec-Vie aborde le sujet des vaccins du covid-19, dont l’imposition est le sujet ici, car il a un impact sur nos sujets habituels comme l’avortement. En effet, les vaccins du covid-19 actuellement disponibles sont liés à l’avortement par les lignées cellulaires issues de bébés avortés, comme HEK 293, dans leur développement, leur production ou leur testage. Voici un texte plus détaillé sur la question de notre implication dans ce débat. — A.H.
25 février 2022 (TrialSiteNews) — Imaginez des parents trouvant leurs fils adolescent mort dans son lit le matin, sans aucune indication préalable qu’ils étaient sérieusement malades. Imaginez le chagrin des parents qui se sont laissés convaincre par la coercition et la propagande pour faire vacciner leurs enfants, malgré toutes les données du CDC montrant que le COVID présente peu de risques d’effets graves sur la santé des enfants. Aujourd’hui, leurs enfants sont morts dans leur sommeil peu après avoir été vaccinés.
Notez qu’un excellent article paru en juin 2021 était intitulé : « Si les vaccins Covid-19 peuvent provoquer une inflammation cardiaque, la prudence s’impose chez les personnes à risque ». Il disait ceci : « Bien que la plupart des cas rapportés à ce jour soient légers et se résolvent sans conséquence, la myocardite peut être une affection grave. Elle peut entraîner un déclin important de la fonction cardiaque, nécessiter une hospitalisation, une pompe cardiaque artificielle, voire une transplantation cardiaque, et peut même être fatale ». Les médecins auteurs ont noté : « Pourtant, en tant que prestataires de soins de santé, nous ne devons pas donner l’impression de minimiser les complications graves comme la myocardite chez les personnes potentiellement à risque ». Mais qui est à risque ? Il semble maintenant clair que les jeunes hommes sont à risque. Ce qui est moins clair, c’est de savoir quels adultes sont à risque, sauf que nous savons que ce sont les hommes qui sont le plus à risque.
Un article médical récent a présenté des données sur la fréquence de la myocardite ; voici ses conclusions : « Dans cette étude descriptive de 1626 cas de myocardite dans un système national de déclaration passive, les taux bruts de déclaration dans les 7 jours suivant la vaccination ont dépassé les taux attendus dans de multiples strates d’âge et de sexe. Les taux de myocardite étaient les plus élevés après la deuxième dose de vaccination chez les adolescents de sexe masculin âgés de 12 à 15 ans (70,7 par million de doses du vaccin [Pfizer]), chez les adolescents de sexe masculin âgés de 16 à 17 ans (105,9 par million de doses du vaccin [Pfizer]) et chez les jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans (52,4 et 56,3 par million de doses du vaccin [Pfizer] et du vaccin [Moderna], respectivement)… Ce risque doit être considéré dans le contexte des avantages de la vaccination par le COVID-19. » Mais les avantages sont minimes pour les jeunes gens en bonne santé.
Lire la suiteDéclaration de Bethléem : Remise en question de la licéité morale des injections expérimentales COVID-19 entachées d’avortement et appel à une opposition universelle aux « mandats de vaccination »
Déclaration de Bethléem — Traduite par Campagne Québec-Vie – Photo :
« Car, par son incarnation, le Fils de Dieu s’est en quelque sorte uni lui-même à tout homme » (GS 22).
Considérant que le Concile Vatican II a résumé à juste titre l’horreur de l’avortement en le qualifiant de « crime abominable » qui comporte également une « [insulte grave] à l’honneur du Créateur » (GS 51 § 3 ; 27) ;
Considérant que saint Jean-Paul II a enseigné que tous doivent s’opposer à ce « meurtre » délibéré des plus vulnérables avec « le maximum de détermination » (EV, 58 ; CL, 38) ;
Considérant que le caractère sacré des enfants à naître, créés à l’image et à la ressemblance de Dieu (Gn 1, 27), est gravement violé par leur exploitation utilitariste et leur marchandisation, ce qui accentue la descente de la race humaine vers « une civilisation des “choses” et non des “personnes”, une civilisation dans laquelle les personnes sont utilisées de la même manière que les choses » (St Jean-Paul II, GS, 13) ;
Considérant que tous les vaccins expérimentaux COVID-19 à base de gènes actuellement disponibles dans le monde occidental sont contaminés par l’avortement, ayant été testés ou développés par utilisation abusive de cellules fœtales volées dans le corps d’enfants à naître assassinés ;
Considérant qu’en décembre dernier (2020), la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (CDF) a publié une Note sur la moralité de l’utilisation de certains vaccins anti-Covid-19 (Note) dont le sujet se limitait à « l’aspect moral de l’utilisation de ceux des vaccins contre la Covid-19 qui ont été développés avec des lignées cellulaires dérivées de tissus obtenus à partir de deux fœtus avortés de manière non spontanée », tout en précisant que la congrégation n’avait « pas l’intention de juger de la sécurité et de l’efficacité de ces vaccins, bien que cela soit éthiquement pertinent et nécessaire » ;
Considérant que la Note affirme qu’il reste un « devoir moral d’éviter une telle coopération matérielle passive » au crime de l’avortement par l’utilisation desdites injections ; mais explique que ce devoir n’est « pas contraignant » en présence d’un « grave danger » qui peut être évité par le « vaccin », et lorsqu’une intervention sanitaire Covid-19 alternative « éthiquement irréprochable » n’est pas disponible ;
Considérant qu’en l’absence de la présence d’au moins ces critères, il demeure moralement illicite de recevoir lesdites injections ;
Lire la suite« Aucun mot ne peut décrire ma douleur » : une mère a perdu son bébé à naître cinq jours après la 2e dose de Pfizer
Stephanie Whitmore.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
13 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Une mère australienne a raconté ce mois-ci que cinq jours après qu’elle ait reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer, sa petite fille à terme est morte in utero d’une hémorragie cérébrale.
Stephanie Whitmore a déclaré qu’elle partage son histoire parce qu’elle « était tout à fait favorable » à l’injection COVID, mais elle pense que l’injection de Pfizer est la cause du décès de sa fille Isabella.
Stephanie Whitmore a raconté par écrit comment elle a suivi le conseil de ses médecins de se faire vacciner contre le COVID afin de « protéger sa famille et son bébé », et a reçu sa première dose du vaccin Pfizer le 13 septembre 2021. À ce moment-là, elle « n’a eu aucune réaction ».
Le 4 octobre 2021, elle a reçu sa deuxième injection Pfizer. « Mon bébé était en bonne santé et parfait tout au long de ma grossesse », a-t-elle écrit. « Elle devait naître n’importe quand maintenant, deux jours après ma deuxième dose de vaccin Pfizer ».
Whitmore a partagé une vidéo racontant ce qui s’est passé : « J’ai eu mon rendez-vous à 36 semaines, une semaine avant sa mort. Elle avait la “tête en bas, donc elle était prête à venir” ».
Peu de temps après, Whitmore a remarqué qu’Isabella avait cessé de bouger, et elle est allée à l’hôpital pour voir si quelque chose n’allait pas. Ils ont d’abord vérifié les battements de son cœur et ont constaté qu’il « battait bien », et Whitmore a « ressenti un sentiment de soulagement ».
Lire la suiteSelon les analystes, un petit pourcentage de lots de vaccins est responsable d’un grand nombre d’effets indésirables
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : show999/Adobe Stock
14 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Une analyse récente des données publiques gouvernementales révèle que des pourcentages très élevés d’effets indésirables signalés à la suite des injections du « vaccin » expérimental COVID-19, dont plus de 21 000 décès, se sont produits en fait avec une petite minorité de lots de produits mis en circulation par les fabricants pharmaceutiques.
De plus, selon les analystes, la large dispersion de ces lots hautement toxiques dans de nombreux États américains, ainsi que leur étiquetage séquentiel apparent en fonction des niveaux de toxicité, est la preuve d’une intention d’altération du contenu des injections et constitue donc probablement une violation grave des réglementations fédérales qui exigent que ces produits soient uniformes.
À la mi-novembre, le chercheur Craig Paardekooper, basé à Londres, a produit une courte vidéo à partir des données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des États-Unis, où il a découvert que « 1 lot sur 200 du [vaccin COVID-19] est hautement toxique », alors que la grande majorité d’entre eux ne le sont pas, du moins selon les résultats à court terme.
« En fait », poursuit-il, « 70 % des lots de vaccins ne produisent qu’un seul rapport d’effet indésirable au total » et « 80 % des lots de vaccins ne produisent qu’un ou deux rapports d’effet indésirable ».
Cependant, Paardekooper a commencé à trouver des anomalies [dans certains lots] qui, se démarquant de la grande majorité des lots, « produisaient des milliers de fois le nombre de réactions indésirables », y compris des exemples de 1 394, 1 012, et finalement jusqu’à 4 911 réactions indésirables.
En outre, ces lots ont produit ces lésions de manière constante dans les nombreux États où ils ont été distribués, ce qui confirme que la cause était la composition des vaccins de ces lots plutôt que les circonstances, les applications ou les données démographiques locales.
Par exemple, dans le cas de Pfizer, seuls 4 % de ses lots étaient à l’origine de tous les rapports de décès associés à ces injections et, dans le cas de Moderna, il en allait de même pour seulement 5 % de ses lots.
Lire la suiteLes documents secrets de Pfizer : le vaccin covid a provoqué quantité de fausses couches et de mortinaissances
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
23 décembre 2021 (LifeSiteNews) — La semaine dernière, Maya Vander, actrice vedette de Netflix, a raconté à ses admirateurs la douleur qui l’a dévastée d’avoir accouché d’un bébé mort-né à 38 semaines de grossesse le 9 décembre 2021.
« Hier a été le jour le plus difficile de ma vie », a posté Vander, 39 ans, sur Instagram, avec une photo de nouveaux vêtements de bébé dans une boîte à souvenirs qu’elle ramenait de l’hôpital à la place de son petit garçon. « J’en ai toujours entendu parler mais je n’ai jamais imaginé que je ferais partie des statistiques ».
Vander, un agent immobilier de Beverly Hills qui joue dans l’émission « Selling Sunset », avait posté en novembre une photo d’elle lors d’un tournage de grossesse et elle semblait l’image de la santé. Décrite comme « entièrement vaccinée » par le magazine US, Mme Vander a deux autres enfants : Aiden, deux ans, et sa fille Elle, un an.
Après sa perte, elle a écrit dans le magazine Insider qu’elle avait ressenti une diminution des mouvements du bébé quelques jours avant d’apprendre son décès et que son mari et ses deux enfants étaient positifs au COVID, alors qu’elle avait été testée négative. Elle a déclaré que le bébé, qui était « parfait » et pesait trois kilos et quatre onces, sera autopsié.
La perte de Vander a fait l’objet d’un grand nombre de reportages compatissants, mais aucun article n’a osé poser les questions brûlantes : les injections de vaccin COVID pendant sa grossesse ont-elles eu un rapport avec la mort de ce bébé ? Ou bien, le COVID avait-il quelque chose à voir avec la mort du bébé et le vaccin COVID aurait-il échoué ?
Les données que Pfizer ne voulait pas que vous voyiez
Lorsqu’un groupe appelé Public Health and Medical Professionals for Transparency a demandé à Pfizer de partager les données brutes des essais du vaccin COVID et de la surveillance post-commercialisation qui ont été utilisées pour homologuer l’injection, le géant pharmaceutique s’est associé à la Food and Drug Administration (FDA) pour refuser les demandes de Freedom of Information Act (FOIA). En fait, la FDA (censée servir et protéger la santé publique) a engagé des avocats du ministère de la Justice et est allée en justice pour éviter au géant pharmaceutique de devoir révéler ses données ─ pendant 55 ans. C’est exact. La FDA et Pfizer ne voulaient pas que quelqu’un voie les chiffres derrière leur vaccin COVID avant 2076.
Lire la suiteRapport du VAERS : le nouveau-né d’une mère « entièrement vaccinée » meurt, ayant saigné de la bouche et du nez
Par Celeste McGovern – Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sushytska/Adobe Stock
10 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Un bébé dont la mère a reçu deux injections de vaccin COVID au cours de son dernier trimestre de grossesse est né en saignant de la bouche et du nez, et est mort le lendemain de sa naissance, selon un rapport récent transmis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) du gouvernement américain par une « autorité de réglementation » étrangère.
Le petit garçon est né le matin du 6 octobre 2021, après que sa mère eût reçu deux injections expérimentales de Moderna à ARNm les 19 juillet et 13 août. Il était attendu le 15 octobre mais a été mis au monde à l’hôpital le 6, pesant 2 800 grammes (un peu plus de six livres, deux onces), après un travail marqué par des battements cardiaques fœtaux instables.
« Le médecin a dit qu’après la naissance du patient, il y a eu un cri. Lorsque le cordon ombilical a été coupé pour les soins au nouveau-né, le personnel infirmier a constaté que le patient présentait des symptômes de saignement buccal et nasal, et a immédiatement demandé au pédiatre de l’intuber et de lui donner de l’oxygène, et il a été admis à l’USIN [Unité de soins intensifs néonataux] », selon le rapport reçu le 18 novembre par le VAERS d’une agence de santé étrangère non identifiée. « À l’USIN, son résultat d’examen a montré une coagulation sanguine anormale, une hémorragie pulmonaire [saignement aigu des poumons] et un dysfonctionnement cardiaque ».
Selon le rapport du VAERS (n° 1879991), ce décès est survenu à la suite d’une « exposition transplacentaire » au vaccin ARNm ; on ne sait pas si une autopsie a été pratiquée et aucune cause du décès n’a été précisée, mais le père du nourrisson soupçonne qu’il est lié au vaccin.
Le décès du nourrisson est l’un des 52 décès signalés parmi les 30 550 événements indésirables enregistrés par le VAERS pour les enfants de moins de 17 ans au 3 décembre 2021.
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