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Les autopsies montrent que des personnes meurent à cause des vaccins covid

Par Joel S. Hirschhorn (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Yuttana Studio/Adobe Stock

Campagne Québec-Vie aborde le sujet des vaccins du covid-19, dont l’imposition est le sujet ici, car il a un impact sur nos sujets habituels comme l’avortement. En effet, les vaccins du covid-19 actuellement disponibles sont liés à l’avortement par les lignées cellulaires issues de bébés avortés, comme HEK 293, dans leur développement, leur production ou leur testage. Voici un texte plus détaillé sur la question de notre implication dans ce débat. — A.H.

25 février 2022 (TrialSiteNews) — Imaginez des parents trouvant leurs fils adolescent mort dans son lit le matin, sans aucune indication préalable qu’ils étaient sérieusement malades. Imaginez le chagrin des parents qui se sont laissés convaincre par la coercition et la propagande pour faire vacciner leurs enfants, malgré toutes les données du CDC montrant que le COVID présente peu de risques d’effets graves sur la santé des enfants. Aujourd’hui, leurs enfants sont morts dans leur sommeil peu après avoir été vaccinés.

Notez qu’un excellent article paru en juin 2021 était intitulé : « Si les vaccins Covid-19 peuvent provoquer une inflammation cardiaque, la prudence s’impose chez les personnes à risque ». Il disait ceci : « Bien que la plupart des cas rapportés à ce jour soient légers et se résolvent sans conséquence, la myocardite peut être une affection grave. Elle peut entraîner un déclin important de la fonction cardiaque, nécessiter une hospitalisation, une pompe cardiaque artificielle, voire une transplantation cardiaque, et peut même être fatale ». Les médecins auteurs ont noté : « Pourtant, en tant que prestataires de soins de santé, nous ne devons pas donner l’impression de minimiser les complications graves comme la myocardite chez les personnes potentiellement à risque ». Mais qui est à risque ? Il semble maintenant clair que les jeunes hommes sont à risque. Ce qui est moins clair, c’est de savoir quels adultes sont à risque, sauf que nous savons que ce sont les hommes qui sont le plus à risque.

Un article médical récent a présenté des données sur la fréquence de la myocardite ; voici ses conclusions : « Dans cette étude descriptive de 1626 cas de myocardite dans un système national de déclaration passive, les taux bruts de déclaration dans les 7 jours suivant la vaccination ont dépassé les taux attendus dans de multiples strates d’âge et de sexe. Les taux de myocardite étaient les plus élevés après la deuxième dose de vaccination chez les adolescents de sexe masculin âgés de 12 à 15 ans (70,7 par million de doses du vaccin [Pfizer]), chez les adolescents de sexe masculin âgés de 16 à 17 ans (105,9 par million de doses du vaccin [Pfizer]) et chez les jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans (52,4 et 56,3 par million de doses du vaccin [Pfizer] et du vaccin [Moderna], respectivement)… Ce risque doit être considéré dans le contexte des avantages de la vaccination par le COVID-19. » Mais les avantages sont minimes pour les jeunes gens en bonne santé.

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Une étude convaincante

Une récente étude médicale détaillée s’intitule « Autopsy Histopathologic Cardiac Findings in Two Adolescents Following The Second COVID-19 Vaccine Dose ». Le gouvernement et diverses entités de la profession médicale ont diffusé de nombreux « messages » selon lesquels la myocardite post-vaccin COVID n’était pas quelque chose de très inquiétant. Mais les données du CDC VAERS ont révélé de nombreux impacts sanitaires de ce type, en particulier chez les jeunes garçons ou les adolescents.

Cet article est très important car ses études détaillées permettent de conclure définitivement que ce sont les injections du vaccin COVID qui ont été la cause du décès de deux adolescents.

Cet article est écrit pour des professionnels de la santé et, par conséquent, sa lecture est très difficile pour les personnes qui ne sont pas des médecins. Voici un résumé des principaux points abordés dans l’article.

Deux adolescents dont l’âge n’a pas été révélé sont morts « de façon soudaine et inattendue dans leur sommeil » au cours de la première semaine après avoir reçu la deuxième dose du vaccin COVID de Pfizer. Ils ont été retrouvés morts dans leur lit 3 et 4 jours après la vaccination. Les deux garçons ont été déclarés morts à leur domicile. Tous deux n’avaient pas été infectés par le COVID. Ils n’avaient pas de problèmes médicaux sous-jacents graves, bien que l’un des garçons ait été obèse.

Ils n’avaient pas de symptômes cardiaques. Aucun des deux garçons ne s’est plaint de fièvre, de douleurs thoraciques, de palpitations ou de dyspnée (essoufflement).

Des autopsies détaillées ont été pratiquées par des médecins légistes. Les études détaillées ont indiqué qu’il y avait eu une réponse inflammatoire excessive qui avait entraîné une myocardite. La myocardite constatée a été jugée atypique.

Des tests ont été effectués sur les tissus, et aucune preuve du virus COVID n’a été trouvée.

Une autre étude médicale

Une autre étude récente fait état de « deux cas de myocardite confirmés histologiquement après la vaccination par l’ARNm Covid-19 ». Une personne, une femme, a survécu, mais l’autre non.

Le patient décédé était un homme de 42 ans qui a présenté une dyspnée et une douleur thoracique 2 semaines après avoir reçu le vaccin Moderna (deuxième dose). Il n’a pas signalé de symptômes viraux, et un test PCR s’est révélé négatif pour le COVID. Il présentait une tachycardie et une fièvre, et son électrocardiogramme a montré quelque chose d’anormal, de même qu’un échocardiogramme. Mais l’angiographie coronaire n’a révélé aucune maladie coronarienne. Un choc cardiogénique s’est développé chez le patient, et il est décédé 3 jours après s’être présenté. L’autopsie a révélé une myocardite biventriculaire.

Encore un autre décès dû à une myocardite

Dans ce reportage, le décès d’un jeune homme a été décrit. Un jeune homme de 24 ans de New York est décédé après que plusieurs visites aux urgences n’aient pas permis de résoudre ses symptômes. Il avait reçu le vaccin Pfizer quelques semaines auparavant. Il s’était fait vacciner pour pouvoir aller à l’université en personne. Avant sa mort, « il a commencé à cracher du sang et a ressenti des douleurs aux pieds, aux mains et aux dents. Il est également devenu extrêmement sensible à la lumière du soleil ». Il n’avait pas de problèmes médicaux sous-jacents. L’histoire a noté : Un rapport d’autopsie du bureau du coroner du comté de Bradford montre que George Jr. est mort d’une « myocardite liée au vaccin COVID-19 ». « La cause du décès est la myocardite liée au vaccin COVID-19 », a déclaré Timothy Cahill Jr, coroner en chef adjoint du comté de Bradford.

Cas en Corée du Sud

Ce cas a été rapporté en 2021 : « Nous présentons les résultats de l’autopsie d’un homme de 22 ans qui a développé une douleur thoracique 5 jours après la première dose du vaccin [Pfizer] et est décédé 7 heures plus tard. L’examen histologique du cœur a révélé une myocardite auriculaire isolée, avec une prédominance de neutrophiles et d’histiocytes. … Il n’y avait aucun signe de microthrombose ou d’infection dans le cœur et les autres organes. La cause principale du décès a été déterminée comme étant une myocardite, associée de manière causale au vaccin [Pfizer] … Il s’agit du premier cas en Corée du Sud où les Centres coréens de contrôle et de prévention des maladies ont reconnu le lien de causalité entre le vaccin COVID-19 et la myocardite. Ce cas unique fournit un exemple d’événement indésirable grave survenu après la vaccination par l’ARNm COVID-19. On ignore si ce cas est lié au type de vaccin ou à un composant particulier du vaccin. »

Réaction allergique et décès suite à l’injection du vaccin COVID

Outre la myocardite, un autre risque lié au vaccin est une réaction allergique, souvent très rapide après l’injection. Un cas dont l’autopsie a prouvé la causalité a été récemment rapporté. L’article était intitulé : « Une femme est morte d’une réaction allergique au vaccin COVID, l’autopsie le confirme ». Il est noté que « Jeanie Evans, 68 ans, est décédée le 24 mars, un jour après avoir reçu le vaccin Moderna ». « Environ 20 minutes plus tard, elle a commencé à se plaindre que ses voies respiratoires étaient obstruées ». Également noté : « La personne de 68 ans aurait eu des antécédents d’hypertension, de troubles allergiques, d’allergies environnementales et de maladie réactive des voies respiratoires. Elle avait déjà eu une réaction allergique à l’Albuterol, un médicament utilisé pour traiter la respiration sifflante et l’essoufflement, selon le rapport d’autopsie. »

L’article note également : « L’anaphylaxie, une réaction allergique grave et potentiellement mortelle, après une vaccination au COVID-19 est survenue chez environ 5 personnes sur 1 million de vaccinés aux États-Unis », selon le CDC. Mais les personnes qui administrent les vaccins sont-elles capables de prédire qui présente un risque important de réaction allergique mortelle ? En outre, le CDC affirme que « les prestataires de soins de santé peuvent traiter efficacement et immédiatement la réaction ». Mais cela peut-il toujours être garanti compte tenu de la diversité des lieux de vaccination ?

Il a également donné ce point de vue équilibré : « Les effets indésirables du vaccin COVID-19 ont occupé le devant de la scène dans l’argumentation contre les mandats de vaccination. Certains ont déclaré que ces effets ne recevaient pas suffisamment d’attention dans le cadre de la pression exercée pour augmenter les vaccinations. D’autres, cependant, soutiennent que le risque de mourir du COVID-19 dépasse de loin le risque d’avoir une complication grave due au vaccin ». De quel côté êtes-vous ? La plupart des gens peuvent-ils raisonnablement estimer le risque que leur font courir les injections du vaccin COVID ?

Un cas atroce

Dans l’Utah, une mère célibataire de 39 ans originaire d’Ogden, Kassidi Kurill, est décédée quatre jours après sa deuxième dose du vaccin Moderna COVID. Elle était en bonne santé et se faisait vacciner en raison de son travail dans un établissement médical. Le jour de sa mort, « elle est arrivée tôt et a dit que son cœur battait la chamade et qu’elle avait l’impression qu’elle devait aller aux urgences », a déclaré son père. Elle a demandé à son père de la conduire aux urgences locales, où ils sont arrivés à 7 heures du matin. Plus tard, elle a été transférée dans un hôpital de traumatologie de niveau supérieur parce que son foie ne fonctionnait pas. Finalement, quelques jours plus tard, elle est morte d’une défaillance de plusieurs organes.

Bien qu’une autopsie ait été pratiquée, le médecin légiste de l’État n’a jamais déterminé la cause du décès. Comme indiqué, « le Dr Erik Christensen, médecin légiste en chef de l’Utah, a déclaré que prouver qu’un vaccin est la cause d’un décès n’arrive presque jamais ». « Le vaccin a-t-il causé cela ? Je pense que ce serait très difficile à démontrer lors d’une autopsie », a-t-il déclaré. De plus, « à moins qu’il ne s’agisse [d’une réaction allergique], il serait difficile pour nous de dire définitivement que c’est le vaccin ». Tous ces commentaires sont absurdes et n’ont donné aucune satisfaction à la famille. Sur la base des nombreuses recherches médicales sur l’impact des vaccins sur l’organisme, une explication plausible de la mort pourrait être une micro coagulation sanguine intense affectant tous les principaux organes.

Conclusions

Le point principal est que des personnes meurent réellement à cause des injections du vaccin COVID. Dans certains cas, il n’y a aucun symptôme pour avertir d’une issue fatale.

Les pro-vaccins affirment souvent qu’aucune causalité n’a été prouvée entre les injections du vaccin COVID et les décès qui s’ensuivent. Cela n’est pas vrai. Les autopsies sont d’une importance capitale. La chronologie en elle-même ne prouve pas la causalité. La position des CDC est la suivante : « Les rapports d’événements indésirables au VAERS après une vaccination, y compris les décès, ne signifient pas nécessairement qu’un vaccin a causé un problème de santé ».

On ne peut qu’imaginer combien de milliers de décès post-vaccinaux auraient pu être démontrés comme étant causés par les injections de vaccins si des autopsies détaillées et de premier ordre avaient été réalisées et que les résultats avaient été rendus publics. On apprend que les hôpitaux persuadent les familles d’incinérer les corps de leurs proches décédés pour éviter les autopsies.

Notez qu’une nouvelle analyse conclut : « Au 6 février 2022, sur la base des données officielles britanniques et américaines accessibles au public, tous les groupes d’âge de moins de 50 ans courent un plus grand risque de décès après avoir reçu une inoculation de COVID-19 qu’une personne non vaccinée ne court le risque de mourir de COVID-19. Tous les groupes d’âge de moins de 80 ans n’ont pratiquement aucun avantage à recevoir une inoculation de COVID-19, et les plus jeunes courent un risque important. »

Cette revue montre qu’il est temps que la coercition et les mandats de vaccination cessent. La vérité est que les injections de vaccins ne sont pas toujours sûres.

Le Dr Joel S. Hirschhorn, auteur de Pandemic Blunder et de nombreux articles et podcasts sur la pandémie, a travaillé sur les questions de santé pendant des décennies, et sa lettre d’information Pandemic Blunder est sur Substack. En tant que professeur titulaire à l’université du Wisconsin, à Madison, il a dirigé un programme de recherche médicale entre les collèges d’ingénierie et de médecine. En tant que haut fonctionnaire de l’Office of Technology Assessment du Congrès et de la National Governors Association, il a dirigé des études majeures sur des sujets liés à la santé ; il a témoigné lors de plus de 50 audiences du Sénat et de la Chambre des représentants des États-Unis et a rédigé des centaines d’articles et de tribunes libres dans les principaux journaux. Il a été cadre bénévole dans un grand hôpital pendant plus de 10 ans. Il est membre de l’Association des médecins et chirurgiens américains et de America’s Frontline Doctors.



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