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Le district scolaire de San Francisco apprend aux enfants à cacher leur « identité » transgenre à leurs parents

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifiée) : Freepik

4 octobre 2022 (LifeSiteNews) — Christopher Rufo fait partie de la poignée de militants — avec Matt Walsh, Katy Faust, Laila Mickelwait, Libs of Tiktok et une poignée d’autres — qui prouve qu’il est possible de lancer avec succès un mouvement opposé à la révolution sexuelle. Ses reportages révèlent constamment à quel point la pourriture de l’idéologie du genre s’est répandue dans le système scolaire public, et son journalisme attire régulièrement l’attention des autorités.

Dans son dernier reportage viral, Rufo a révélé un guide édité par le San Francisco Unified School District « encourageant les enseignants à faciliter les transitions secrètes des enfants et à soutenir les élèves qui utilisent le pronom de genre “it” (pronom neutre anglais) à l’école — qui, selon le district, est la version, pour l’identité de genre, du mot tabou en “n” ».

Rufo, comme à son habitude, présente ses justificatifs dans une série de messages Twitter truffée de captures d’écran qui prouvent ses allégations. « Le district enseigne aux élèves qu’ils peuvent s’écarter de la “sexualité vanille” (ou classique) et faire partie du “parapluie bisexuel”, avec des options d’identité sexuelle incluant “fluide”, “pansexuel”, “omnisexuel”, “homo-curieux” et “hétéro-flexible” », a noté Rufo. « Le district a également publié un guide sur l’affirmation des élèves qui utilisent le pronom “it”, expliquant qu’il a été utilisé depuis longtemps comme une insulte pour déshumaniser les personnes trans et non conformes au genre, mais qu’il peut être récupéré, comme les Afro-Américains l’ont fait avec le mot en “n”. »

Comme toujours, cependant, la partie la plus troublante des directives scolaires est le fait qu’elles donnent des conseils explicites sur la façon de garder l’identité des enfants secrète pour les parents. « Le district a créé un système pour faciliter les transitions sexuelles des enfants pour ses élèves de la maternelle à la cinquième année, en disant aux enfants qu’ils peuvent choisir un nom et un ensemble de pronoms différents de ceux qu’ils utilisent à la maison, et que cette nouvelle identité sera cachée à leurs parents », a rapporté Rufo.

« La politique du district est de faciliter les transitions sexuelles des enfants sans en informer les parents. Les élèves ont le droit de révéler leur nouveau genre à l’école — avec de nouveaux pronoms, une nouvelle identité — et que cette information ne soit en aucun cas partagée avec les gens de leur famille ».

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De plus, les parents ne sont pas autorisés à protéger leurs enfants de ces leçons : « Selon la politique du district, les parents n’ont pas le droit de refuser les leçons sur “l’identité de genre” et “l’orientation sexuelle”, qui sont intégrées dans le programme d’anglais, d’études sociales, d’arts et d’autres matières. Au collège, San Francisco Unified commence à promouvoir un programme appelé “Q Groups”, qui est conçu pour “mettre les étudiants en contact avec des professionnels de la santé mentale et des cliniques qui offrent des services de santé qui tiennent compte de l’identité sexuelle”, tels que l’administration de bloqueurs de puberté, l’hormonothérapie et l’opération de genre. »

« En somme, » conclut Rufo, « San Francisco Unified a créé ce que Leor Sapir a appelé “un pipeline de l’école à la clinique”, qui commence à l’école primaire avec les transitions sexuelles secrètes des enfants et se termine au collège et au lycée par des orientations vers des traitements médicaux “d’affirmation de genre”. »

D’abord l’endoctrinement, ensuite la facilitation, puis l’exclusion des parents. Il s’agit de l’institutionnalisation à l’échelle industrielle du programme transgenre pour les enfants âgés de cinq ans et plus, les parents étant délibérément tenus dans l’ignorance de ce qui se passe.

Nous savons maintenant que de très nombreux parents — j’ai parlé à certains d’entre eux — découvrent que leurs enfants ont appris des « éducateurs » qu’ils peuvent choisir leur genre, qu’ils ont été conseillés sur les options qui s’offrent à eux, qu’on leur a donné la terminologie à utiliser et qu’on leur a finalement dit comment se « présenter » comme étant du sexe opposé ou comme étant fluides. Les changements de nom viennent ensuite, de nombreux enfants utilisant un nom à l’école et un autre à la maison, tandis que le personnel scolaire protège soigneusement l’enfant du foyer parental.

Lorsque les parents l’apprennent, leur enfant est souvent entré dans un autre monde et a parfois même commencé une hormonothérapie à leur insu.

Le reportage de Rufo jette une lumière essentielle sur ce « pipeline de l’école à [la clinique de] changement de sexe », et chaque parent devrait savoir ce qui se passe. Ne pensez pas que cela ne concerne pas votre famille ou votre enfant. Trop de gens ont déjà fait cette erreur.



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