À gauche, Katalin Novák, secrétaire d'État pour la Famille et la Jeunesse, à droite, Viktor Orbán, Premier ministre de la Hongrie.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Getty
La Hongrie a l’air de plutôt se tirer d’affaires, comparée à plusieurs pays européens qui se dépatouillent avec une dénatalité cuisante et des invasions d’étrangers. Extrait du Catholic Herald :
Alors que d'autres pays s'inquiètent de l'immigration, les Hongrois résolvent leur crise démographique d'une façon différente.
De nombreuses démocraties libérales sont aujourd'hui confrontées à une crise sociale parce que leur gouvernement a mené des politiques qui ont miné la famille.
Mais depuis 2010, un pays a vu ses taux de mariage augmenter de 43 % et le taux de divorce de 22,5 %. Il n'est pas surprenant de constater qu'avec l'augmentation du nombre de mariages, 33 % moins de femmes se font avorter aujourd'hui qu'il y a huit ans. De même, le taux de natalité national est actuellement à son plus haut niveau en 20 ans.
Ce pays est la Hongrie. Et plus tôt ce mois-ci, son parlement a adopté une deuxième série de politiques pro-familiales énergiques.
[…]
La nouvelle loi qui entrera en vigueur le 1er juillet prévoit une nouvelle série d'avantages pro-famille tels qu'une réduction d'hypothèque de 3.000 euros au deuxième enfant, et une réduction de 12.000 euros au troisième.
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