“Right is right even if no one is doing it; wrong is wrong even if everyone is doing it.”
Today, as I hear Stephen Woodworth's call to reassess section 223 of the Criminal Code of Canada, I draw strength from the popular saying “Right is right even if no one is doing it; wrong is wrong even if everyone is doing it.” According to section 223 of the Code, (1) A child becomes a human being within the meaning of this Act when it has completely proceeded, in a living state, from the body of its mother, whether or not (a) it has breathed; (b) it has an independent circulation; or (c) the navel string is severed.
Do not be ashamed if you were unaware of this absurd definition of human existence- it is likely a discovery for many of us, and thanks to Stephen Woodworth, some light will be shed on this important, urgent issue.
Now, for all the pro-choicers out there, your first reaction at Woodworth's proposal may be scorn and anger...how could he bring up abortion again? Doesn't he get it? The abortion debate is closed, and we won it!
Although it is my firm belief that abortion is a most heinous crime that steals lives everyday, that is not Woodworth's point. Irrespective of faith, politics, or culture, the question at stake here is one that everyone must grapple with: What constitutes a human being? To the pro-choice side, Woodworth may look like a pro-life stinker, but he is nonetheless right in contesting our current definition of when a "child" becomes human.
Let us refer back to section 223. If a child only becomes human when it has completely left its mother's body, then it would be legally permissible to choke a child to death upon the first breath it takes when exiting the womb as long as his lower body is still stuck in his mother's abdomen. Agreed? Of course not! This definition is absurd because it doesn't line up with our most basic intuitions.
But let's get to the root of the issue: are the unborn human or not? Imagine a world where babies were born minutes after being conceived...you know that this tiny organism will grow into a beautiful baby as long as you place it into a warm cave full of nutrients and protection. Would anyone dare to argue that this tiny being would fail to become a child and then an adult? The problem with the current legal definition of a human being is that it is deceitful; it evades responsibility from protecting human life. In short, this bad legislation just soothes the consciences of pro-choicers by masking the truth. If the unborn child were properly referred to as human, then abortionists would have to refer to themselves as murderers- and a country like Canada would have to admit to the legalization of the destruction of human life.
It is not the first time in history that we undermine the value of human life. During the era of American Slavery, African American people were not given their full rights; they were treated as property to be sold and bought. In those times, slavery was not viewed as the injustice it is. So why are we making the same mistake again? Why are we treating human beings (the unborn) like property to be marginalized and sold in the service of our own ends? The answer is simply that we have the ability to kill unborn children...but it is not because we have the capacity to do something that we are allowed to do it.
To say that the unborn child is not human till he leaves the mother's womb is a lie. It is a pervasive lie that has diseased the minds of many. I urge you to listen attentively to Woodworth's proposition; though he may seem to have his own political agenda, he is opening a debate that should concern us all.
Laissez un commentaireLe débat est relancé!!!
Avec l'initiative du député Stephen Woodworth, le débat est relancé, momentanément peut-être, mais il est nécessaire que la question de l'avortement reprenne la place qui lui revient dans nos différents sujets de discussions, c.-à-d. la première place.
Nous ne devons pas accepter la fermeture du débat, ni de nous taire, nous n'en avons pas le droit, tant que l'enfant à naître ne sera pas protégé et aimé.
NOUS SOMMES SA VOIX!
N'hésitons pas à parler, quelque soit nos difficultés à argumenter. Notre opposition personnelle est toujours un témoignage d'un refus de l'injustice et de l'inacceptable.
Ne baissons pas les bras, l'enfant à naître sera bientôt reconnu!
Laissez un commentaireVous pouvez écrire au député Woodworth pour le féliciter et l'encourager!
C'est avec beaucoup de joie que nous vous transmettons l'adresse courriel du député conservateur Stephen Woodworth. Les bonnes initiatives valent bien la peine d'être encouragées!
N'hésitez pas à lui faire connaître votre joie, votre soutien pour son désir de protéger l'enfant à naître!
Voici son adresse courriel: [email protected]
Son numéro de fax:613-996-7329
Son numéro de téléphone: 613-995-8913
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Le courageux député Stephen Woodworth veut actualiser la définition d'être humain
Pour mieux protéger l'être humain, le député conservateur veut redéfinir la notion d'être humain. Radio-Canada du 6 février 2012, nous donne cette information:
Le député conservateur Stephen Woodworth a présenté lundi au greffier du Parlement une motion demandant aux membres de la Chambre de se pencher sur la notion d'être humain telle qu'elle est définie dans la loi.
Selon Stephen Woodworth, l'article 223 du Code criminel canadien stipule actuellement que pour qu'un enfant soit considéré comme un être humain, il doit être vivant et entièrement sorti du sein de sa mère.
Une définition qui date de 1642 et qu'il est plus que temps de revoir, selon le député de Kitchener-Centre, en raison notamment des progrès accomplis par la médecine et la science.
Cette fausse représentation de la réalité dans la loi a engendré selon lui « des tonnes de décisions désastreuses au fil des ans ».
Lors d'un point de presse, lundi, Stephen Woodworth a exhorté à plusieurs reprises ses collègues parlementaires à « rejeter toute loi qui vous dit qu'un être humain n'est pas un être humain ». (...)
Dans un communiqué émis en décembre 2011, M. Woodworth écrivait que « la loi canadienne n'offre aux enfants aucune protection avant leur naissance complète ». « Au Canada, un enfant est considéré comme un sous-humain tant que son petit orteil est encore dans le canal utérin, même s'il ou elle respire ».
Le journal Le Devoir du 6 février nous apporte cette même nouvelle que vous pouvez commenter au bas de l'article.
Laissez un commentaireDenise Bombardier fait l'éloge du féminisme et de "l'amour libre"
Les évêques américains et Obama
Richard Hétu, journaliste à La Presse, traite de la question du combat entre les Évêques et Obama. Le candidat républicain Gingricht aurait apporté son soutien à l'Église catholique, ce qui n'est pas le cas du favori à la course Mitt Romney.
Laissez un commentaireLe président Obama n'a pas encore réagi publiquement à la controverse. Jusqu'ici, la Maison-Blanche s'est contentée de répondre aux critiques dans un blogue publié sur son site internet. Elle a notamment précisé que les Églises elles-mêmes n'auraient pas à se soumettre aux nouvelles règles.
Les adversaires républicains du président ont été beaucoup moins discrets. Sans parler de «guerre», Mitt Romney a accusé Barack Obama de forcer «les organisations religieuses à violer leur conscience». Le sénateur républicain de Floride, Marco Rubio, candidat potentiel à la vice-présidence, a pour sa part déposé un projet de loi destiné à abroger les nouvelles règles de la ministre de la Santé
Les évêques orthodoxes et les baptistes américains soutiennent les catholiques contre Obama
Un bel exemple d'oeucuménisme! Le journaliste Daniel Hamiche nous transmet cette union dans le combat face à l'injustice.
D'abord les orthodoxes:
L’Assembly of Canonical Orthodox Bishops, qui se compose des 65 évêques orthodoxes des États-Unis, du Canada et du Mexique, vient d’apporter son soutien unanime à la Conférence des évêques catholiques des États-Unis dans sa protestation et sa résistance aux attaques du gouvernement Obama, et appelle « tous les fidèles chrétiens orthodoxes à contacter ce jour même leurs élus pour exprimer leur préoccupation face de la menace contre le caractère sacré du [droit à la liberté] de conscience » que comporte le projet de mandat fédéral du ministère de la Santé U.S HHS).
Puis les baptistes:
Laissez un commentaireLa Southern Baptist Convention (convention baptiste du Sud) est la deuxième plus importante “dénomination” chrétienne, après l’Église catholique, aux États-Unis. Elle compte environ 35 millions d’adeptes. Un de ses principaux dirigeants, le pasteur Albert Mohler, également président du Southern Baptist Theological Seminary, a applaudi, le 31 janvier dernier, la position de résistance civique des évêques catholiques américains au scandaleux mandat fédéral du ministère de la Santé des États-Unis. S’adressant dans un enregistrement à ses coreligionnaires, Albert Mohler leur a déclaré : « Vous devez au moins admirer le courage des évêques catholiques quand ils déclarent qu’ils préfèrent aller en prison plutôt que d’obéir à cela. Combien de présidents évangéliques, de pasteurs et de dirigeants [protestants] sont disposés à faire de même ? Nous allons le voir dans les prochains mois. » Albert Mohler met en garde les baptistes : « Ce n’est pas qu’un problème catholique (…) Notre propre liberté religieuse est semblablement subvertie et attaquée (…) Tous ceux qui soutiennent le caractère sacré de la vie et le devoir de respecter la liberté religieuse doivent dénoncer ce scandale par tous les moyens disponibles, au Président des États-Unis ».
Pouvons-nous faire confiance à Développement et Paix?
Du 14 au 21 décembre 2011, le président de la Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC), Mgr Richard Smith, archevêque d’Edmonton, et le vice-président, Mgr Paul-André Durocher, archevêque de Gatineau, ont participé à une mission conjointe de solidarité en Haïti avec Développement et Paix. Dans leur rapport, ils ont notamment déclaré que « Développement et Paix s’est mérité une excellente réputation en Haïti pour son sens du partenariat, pour sa façon de respecter les ressources des collectivités locales et pour l’importance qu’il accorde à une approche durable et à long terme ».
Ce ne sont que quelques suggestions, à vous de trouver l'oeuvre que vous voulez soutenir!
Laissez un commentaireLa corde et le cocktail
Depuis la malheureuse déclaration du sénateur Pierre-Hugues Boisvenu, un incroyable tremblement de terre frappe le Québec.
Pendant que dans les autres provinces canadiennes cette secousse sismique indique deux à cinq points sur l'échelle Richter, ici dans notre société très distincte ça indique au moins neuf.
On crie haut et fort partout et avec raison que le suicide est quelque chose d'épouvantable et d'inacceptable, que l'on doit tout faire pour empêcher cela, que la VIE doit être protégée et qu'il faut aider toutes les personnes en détresse qui songeraient à se suicider.
D'un autre côté tous ces grands ténors qui condamnent M. Boisvenu devraient faire leur examen de conscience. Ce sont majoritairement ces mêmes personnes qui réclament ad nauseam depuis quelques années au Québec le droit au suicide assisté pour ceux et celles qui veulent en finir avec la vie. "Mon corps m'appartient", affirme-t-on un peu partout. On prend pour exemples la Belgique et la Suisse, deux pays où cette pratique est socialement acceptée. On réclame la liberté de mourir à sa convenance au jour et à l'heure qu'on aura soi-même décidé.
Les sondages populaires exigent actuellement la "peine capitale" contre le méchant sénateur, tout en réclamant une loi qui permettrait aux gens de se suicider avec l'assistance de spécialistes de la "belle mort".
Dans le journal La Presse du 3 février 2012, l'éditorialiste Mario Roy cite le responsable du mouvement "Mourir libre et digne" Yvon Bureau qui affirme : "Pour plusieurs personnes, le suicide est la seule option. Mais bientôt au Québec nous aurons l'autre option, celle d'avoir l'aide médicale active, balisée et contrôlée pour bien mourir", c'est-à-dire pour se suicider.
Alors, quelle différence y a-t-il entre la corde du sénateur Boisvenu qu'il veut donner aux prisonniers écoeurés de la vie et le cocktail de M. Bureau donnés aux personnes écoeurées de la vie ? Dans les deux cas, nous avons affaire à un suicide assisté et les deux sont tout à fait inacceptables.
L'incohérence de la majorité des Québécois est complètement biaisée et tordue dans ce débat.
Un citoyen vient même de déposer une plainte officielle à la Sûreté du Québec contre M. Boisvenu. Quand le cocktail de la mort sera disponible au Québec, qui aura le courage de poser le même geste contre ceux et celles qui aideront les gens à se suicider ?
Personnellement, je suis CONTRE la corde de M. Boisvenu et CONTRE le miraculeux cocktail de M. Bureau.
Laissez un commentaireObliger les autres à nous "suicider" ou le suicide propre et sans souffrance
Or, les statistiques indiquent que, dans le contexte d'une légère diminution du nombre de suicides, les hommes âgés de plus de 50 ans demeurent à risque de façon particulière. Chez les plus vieux, lorsqu'apparaît la maladie, la peur d'une mort indigne, douloureuse et dégradante constituerait un important incitatif au suicide. « Pour plusieurs, le suicide est la seule option. Une autre option s'en vient, heureusement. C'est l'aide médicale active à mourir, balisée et contrôlée », dit Yvon Bureau, un des piliers du collectif Mourir digne et libre.