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Explosion des MTS au Québec

Sur le site du Journal de Montréal du 20 novembre 2012:

(Dr Marc Steben)

 

Les infections transmissibles sexuellement continuent de se propager en flèche au sein de la population québécoise, alors que trois fois plus de gens sont infectés qu’il y a 15 ans.

De 2001 à 2011, on est passé de10 168 cas de Chlamydia à 19165, de 831 cas de Gonorrhée à 1883, de 16 cas de Syphillis à 636! Seul l'hépatite C diminue de 2914 cas à 1468 en 2010.

Quelle est la solution préconisée par le Dr Marc Steben, médecin-conseil à l'Institut national de santé publique du Québec? Vous avez deviné, encore les cours d'éducation sexuelle pour apprendre à mettre un condom sur une banane, comme s'il y avait un jeune au Québec qui avait pu passer à travers le bombardement de propagande sur le sexe "sans problème" sans en entendre parler au moins 10 fois... Il ne reste plus au docteur Steben qu'à s'inspirer des techniques de lavages de cerveau présentées au cinéma...

Ce discours déconnecté de la réalité, bien sûr, le Parti Québécois ne pouvait passer à côté.Un nouveau programme d'«éducation sexuelle» est en voie d'élaboration. Les jeunes pourront s'y faire répéter une fois de plus, les mêmes âneries qui ne les rejoindront pas. Ce dont un jeune veut entendre parler, c'est d'amour pour la vie, de fidélité, d'une possibilité de ne pas refaire les erreurs de ses parents divorcés. Le problème est que ceux qui réfléchissent sur cette question, des baby-boomers nostalgiques de l'époque des communes, n'ont toujours pas pris conscience de l'inutilité des contraceptifs pour combattre les MTS et la venue au monde d'un enfant. Plus de 30% des avortements au Québec sont faits sur des personnes utilisant une forme de contraception. C'est plus de 50 % en France... Le condom ne protège pas contre le virus du papillome humain et le vaccin n'enraie qu'une minorité des différentes souches de ce virus. Tiens, comment se fait-il que le journal de Montréal n'en parle pas?

Nous vous invitons à relire l'interview du spécialiste de l'Université d'Harvard sur ces questions, Edward Green, en cliquant ici.

Fort de l'expérience d'un continent, Green réaffirme l'encouragement de prises de risques qu'induit l'utilisation de la contraception, et l'échec de ces méthodes pour combattre le sida. Seul l'Ouganda, qui a mis de l'avant un programme préconisant l'abstinence et la fidélité, avant le discours sur la contraception, connaît des progrès notoire dans le combat contre le sida.

Il est temps que l'idéologie fasse place à la science...

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Les condoms mènent à une vie meilleure selon le fonds des Nations-Unies pour la population

Sur le site du journal Métro du 18 novembre 2012:

 

 

 

Le fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) veut permettre à 220 millions de femmes de plus dans
 le monde de profiter de la planification familiale.
 
«Elles auront une meilleure qualité de vie, leurs enfants seront plus en santé et, en étant optimistes, elles pourront également participer au développement économique de leur pays, dit Babatunde Osotimehin, un directeur exécutif nigérien du FNUAP. Si nous améliorons les capacités humaines, nous pouvons voir un redressement en Afrique.»
(...)

 

On parle ici de contraception, de stérilisation volontaire, forcée ou cachée, comme ce fut le cas en Inde et dans certains pays africains. On parle aussi, plutôt que de payer pour accoucher et venir en aide aux femmes et leur famille, de les avorter. Malgré ces beaux discours, le passé de la FNUAP montre bien qu'il ne s'agit pas d'espacement des naissances, mais bel et bien d'élimination du plus grand nombre, pour "qu'elles n'amènent plus de problèmes dans la communauté" disait un médecin. Entre un centre d'aide aux femmes enceintes en difficultés et une clinique d'avortement, la FNUAP a fait son choix... Et surtout, personne ne leur dira que le condom ne protège pas contre le virus du papillome humain (VPH), cause du cancer du col de l'utérus!

Et pour ce qui est du sida, il est bon de relire l'article paru sur le site de zenit.org du 28 août 2009:

 

(Edward Green)

 

Edward Green : Le pape a raison, on ne combat pas le Sida avec le préservatif

C'est ce qu'a affirmé Edward Green, anthropologue et directeur de l'Aids Prevention Research Project de la Harvard School of Pubblic Health and Center for Population and Developement Studies, qui est intervenu le 25 août au Meeting de Rimini sur le thème « Le Sida, un problème culturel ».

Avec une expérience de plus de trente ans dans les pays en voie de développement, Edward Green avait déjà présenté une étude, en janvier 2004, au Medical Institute for Sexual Health à Washington D.C. qui démontrait les résultats insuffisants produits par la distribution de préservatifs sur le continent africain, en particulier en Afrique sub-saharienne.

Dans son intervention, E. Green a mis l'accent sur les déclarations prononcées par le pape sur l'inefficacité du préservatif dans la lutte contre le Sida et sur la nécessité d'un « réveil spirituel et humain », durant le vol pour le Cameroun, à l'occasion de son premier voyage apostolique en Afrique, en mars 2008. Ces déclarations avaient suscité indignations et critiques.

« La proximité des commentaires du pape avec les découvertes scientifiques les plus récentes m'a touché », a commenté l'anthropologue.

En effet, a-t-il expliqué, « il n'y a aucune preuve que les préservatifs aient une quelconque efficacité dans la réduction à grande échelle du Hiv, en particulier en cas d'épidémies très étendues, comme en Afrique ».

« C'est un instrument qui peut peut-être fonctionner pour de simples individus mais pas nécessairement pour des populations et des pays », a-t-il précisé.

« Et pourquoi cela ne fonctionne-t-il pas en Afrique ? Avant tout parce qu'il n'est pas utilisé régulièrement, parce qu'il y a une faible demande, parce que cela réduit le plaisir, parce que cela indique un manque de confiance au sein du couple et surtout parce qu'il y a ce que l'on appelle la ‘compensation du risque' », a-t-il expliqué.

Ce dernier est le phénomène engendré par la fausse perception de protection liée au préservatif qui pousse les personnes à s'exposer à de plus grands risques et donc à augmenter les possibilités de contracter le virus.

« Tous ces principes sont immuables et généraux - a affirmé E. Green - et il ne suffit donc pas de dire ‘il faut que tout le monde utilise toujours le préservatif' parce que cela ne se passe pas comme cela ».

(...)

Quand ensuite les Etats-Unis ont commencé à lancer des programmes au niveau international, exportant le modèle centré sur le préservatif aux autres pays, indépendamment du mode de diffusion de l'épidémie, les personnes qui se sont montrées les plus intéressées ont été les activistes gays et les experts en planification familiale.

Le préservatif étant aussi une technologie à bas coût, a continué Green, « la prévention du Sida est devenue une sorte de business ».

En Ouganda, au contraire, qui est fortement touché depuis 1986 par cette maladie, qui cause chaque année plus de 900.000 morts, «  le Sida a été considéré comme un problème comportemental et pas seulement médical », a raconté Edward Green.

« On a cherché à éviter et non pas à réduire le risque », en utilisant aussi la campagne des affiches destinées à faire peur aux gens, mais sans stigmatiser les séropositifs, afin de renverser le paradigme alors dominant.

On a donc pointé sur l'approche « ABC » du Sida (Abstain, Be faithful, use Condoms, c'est-à-dire Abstinence, Fidélité, Préservatif) avec une campagne lancée en 1987 et destinée à sensibiliser les personnes sur l'importance de rester vierge jusqu'au mariage, d'éviter les relations sexuelles occasionnelles et de n'avoir qu'un seul partenaire.

Cette mobilisation dans un pays symbole - l'Afrique subsaharienne - a mené à une réduction des séropositifs passés de 21% à la fin des années 1980 à 6,4% en l'an 2000, et une réduction du Hiv de 75% chez les personnes ayant entre 15 et 19 ans, et de 60% chez les 20-24 ans.
 

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Le prix nobel de médecine ne veut pas utiliser les cellules souches prélevées d'embryons humains

Sur le site de genethique.org du 16 novembre 2012:

(Shinya Yamanaka, prix nobel de médecine 2012)

 

Interrogé sur ce qu'il rêve "de voir réaliser avec les cellules iPS avant la fin de sa carrière", Shinya Yamanaka, ancien médecin, répond: "nous voyons deux applications des cellules iPS: la médecine régénérative et la découverte des nouveaux médicaments. Je veux vraiment qu'elles deviennent réelles dans les 10 ou 20 ans". Il ajoute qu'il croit réellement que d'ici là, "ces cellules souches seront utilisées en routine à l'hôpital", et que "la dégénérescence maculaire sera la première maladie qui sera traitée avec les cellules iPS".
 
A la question de savoir si, dans la mesure où "les cellules iPS sont des cellules reprogrammées, [on peut les] considérer [comme] semblables à des cellules 'neuves'", le chercheur japonnais répond: "Je pense que ce sont presque des cellules neuves. Ma vision est que nous travaillons sur une machine à remonter le temps pour les cellules. Elle permet de ramener des cellules à un état embryonnaire". Interrogé ensuite sur la différence de potentialité entre les cellules iPS et les cellules souches embryonnaires, Shinya Yamanaka précise: "ces deux types de cellules sont très proches. Pour le moment, on ne peut pas dire qu’il est impossible de distinguer cellules souches et cellules iPS, mais elles se ressemblent beaucoup. J’espère que l’on pourra remplacer prochainement les cellules souches embryonnaires par des cellules iPS dans différentes applications", ajoutant que "tout ce que nous pourrons faire avec des cellules souches embryonnaires, je pense que nous pourrons le faire avec des cellules iPS".
(...)
Enfin, à la question de savoir s'il a "commencé à travailler sur les iPS faute de pouvoir conduire des recherches sur les cellules souches embryonnaires", Shinya Yamanaka répond: "je veux trouver un moyen d'éviter d'utiliser des embryons humains, c'est ma motivation".

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L'odyssée de la vie -- à couper le souffle

Avez-vous vu l'Odyssée de la vie ? Il y a de quoi être fiers d'être défenseurs de la vie. Absolument à voir et à revoir ! 'Partagez' pour faire connaître.

http://www.youtube.com/embed/qm8vrt2ebnk

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Une autre vidéo des plus choquantes sur l'avortement

Sur le site de Abort73.com  : Ce film présente des images graphiques très dures sur l'avortement, en indiquant le nombre de semaines écoulées, depuis la 7e semaine, jusqu'à la 24e semaine.

http://pro-lifetube.com/player.swf

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Des centaines de milliers de Français ont défilé dans les rues contre le "mariage" gai! Et désinformation des médias...

Sur le site du journal Le Figaro du 18 novembre 2012:

 

(Les enfants ne sont pas pris en considération dans les revendications pour le "mariage" gai.)

Entre 70.000 et 200.000 manifestants ont défilé à Paris pour protester contre l'ouverture du mariage et de l'adoption aux couples homosexuels.

 Dans la capitale, la «manif pour tous», premier grand défilé contre le projet de mariage gay, a gagné le pari de la mobilisation. Les organisateurs annoncent plus de 200.000 manifestants à Paris - 70.000 selon les calculs de la Préfecture de police - et en revendiquent plus de 500.000 dans toute la France où une petite dizaine de rassemblements étaient organisés dans d'autres grandes villes.

Plusieurs dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées samedi, en début d'après-midi, place Denfert-Rochereau, ballons bleus, blancs ou roses à la main, pour protester contre le projet de loi du gouvernement. Afin d'éviter toute dérive, la plupart des pancartes du défilé ont été réalisées par les principaux organisateurs de la manifestation. On pouvait y lire des slogans tels que «Tous nés d'un homme et d'une femme» ou «papa + maman, y a pas mieux pour un enfant».

De rose vêtue, la parodiste Frigide Barjot, autoproclamée «catho-déjantée» et coorganisatrice de l'événement, a fait passer un message pacifique avant le départ de la cohorte et un message d'amour aux homosexuels. Cette «manifestation pour tous», se veut apolitique, «transreligieuse», mais aussi «contre l'homophobie», a-t-elle martelé avant que son goût de la provocation ne reprenne le dessus. «Nous sommes nés d'un homme et d'une femme, un enfant, c'est le résultat d'un orgasme d'un homme et d'une femme», a interpellé la cofondatrice du groupe Jalons, déplorant une transformation du Code civil.

Aux avant-postes du cortège, une voiture décapotable transportait un couple fictif de jeunes mariés saluant la foule, elle en robe blanche, lui en costume. Un clin d'œil à la tradition défendue par les opposants au texte adopté il y a dix jours en Conseil des ministres.

Une autre manifestation avait lieu le lendemain, organisé par Civitas. Le Devoir ne fait que reprendre l'article de désinformation de l'Agence France Presse sur le sujet, donnant la parole à la militante Caroline Fourest (au centre sur la photo), sans mentionner qu'elle faisait partie des contre-manifestantes. Voici l'extrait paru dans le journal Le Devoir du 19 novembre 2012:

Au lendemain d’une première démonstration de force avec plus de 100 000 manifestants dans plusieurs villes de France, des milliers de personnes sont de nouveau descendues dans les rues de la capitale pour dénoncer le projet de loi du gouvernement socialiste d’ouvrir le mariage et l’adoption aux couples homosexuels.
 

Tranchant avec l’ambiance bon enfant des défilés de la veille, entre ballons roses et poussettes, le ton s’est durci dès le début du rassemblement convoqué par l’Institut Civitas devant le ministère de la Famille, où des militantes du mouvement féministe ukrainien Femen et des journalistes ont été agressés.
 
« Une dizaine de militantes des Femen avaient décidé de faire une protestation pacifique et drôle, d’arriver habillées en nonnes avec des slogans humoristiques et, quand elles se sont avancées vers les manifestants, des types les ont prises en chasse, déchaînés », a raconté à l’AFP la journaliste et essayiste Caroline Fourest. « Les filles ont pris des coups dans toutes les parties du corps », ainsi que des journalistes qui les avaient filmées, a-t-elle ajouté par téléphone depuis un fourgon de police.

Et maintenant, voici LES FAITS (article de Nouvelles de France du 19 novembre 2012, cliquez ici pour voir les photos et vidéo plus révélateurs que des mots, sur l'esprit "pacifique" des protestataires):

Dimanche, une dizaine de militantes du mouvement Femen ont perturbé le début de la manifestation contre le « mariage » gay organisée par l’Institut Civitas. Elles protestaient. On ne sait pas trop contre quoi, peut-être la liberté de critiquer publiquement un projet de loi. Vociférantes, un voile de religieuse sur la tête, les seins à l’air, des messages agressifs peints sur le corps (« In Gay We Trust », « Occupe-toi de ton cul », « Fuck Church »...) et ce qui ressemblait à des bombes lacrymos à la main (« Holy Sperm », « Jesus Sperm »). À part Je ne compte plus les confrères qui ont pris pour argent comptant (et repris) les propos de celle qu’ils qualifient simplement de « journaliste et essayiste » (surtout pas militante, vous avez remarqué, notamment sur la question homosexuelle) sans les vérifier ni se demander pourquoi celle qu’ils citaient les contactait par téléphone depuis un car de police où elle se trouvait avec les autres féministes…ça, il s’agissait d’une « protestation pacifique et drôle ». C’est ce qu’a déclaré Caroline Fourest, qui les accompagnait.

Effectivement, ni l'agence France-Presse, ni le journal Le Devoir, ne relève l'absurdité de leur présentation... Ce sont les "protestataires pacifiques et drôles"(sur la photo, nues avec un voile de religieuse, aspergeant les manifestants de "Holy Sperm") que les policiers ont choisi d'arrêter et d'amener au poste pour des comportements répréhensibles. Comment se fait-il que ces journaux et agences ne dénoncent pas le travail des policiers?

POUR EN SAVOIR PLUS, VOIR LES REPORTAGES DE KTO ET L'EXCELLENT COMPTE RENDU PARU SUR LE SITE DEPOUR UNE ÉCOLE LIBRE DU 18 NOVEMBRE 2012.

 

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Les Français manifesteront toute la fin de semaine contre le "mariage" gai et "l'homoparentalité"

Sur le site du Journal Le Figaro du 16 novembre 2012:

 

(Frigide Barjot, de son vrai nom Virginie Merle, l'une des organisatrices de la manifestation du 17 novembre)

 

 

Du «mariage pour tous» à «la manif pour tous», la contestation contre le projet de loi d'ouverture du mariage et de l'adoption aux homosexuels gagne la rue. Samedi, une cohorte de dizaines de milliers de manifestants va sillonner dix villes au mot de «Tous nés d'un homme et d'une femme».

Citoyens attachés au modèle père-mère, adversaires de la théorie des genres, maires réticents à l'idée d'unir deux hommes ou deux femmes, imams, évêques et prêtres, défenseurs des droits de l'enfant, croyants catholiques, juifs ou musulmans, politiques, psychanalystes ou philosophes craignant une révolution anthropologique: le cortège des «anti» ne manquera pas de contrastes. Une force pour montrer que la contestation n'est pas l'apanage de quelques traditionalistes bornés. Mais aussi une faiblesse. Le manque d'unité a vite fait de brider les élans.

Mais ces manifestants aux profils disparates partagent tous la même conviction: l'égalité pour tous va supprimer la sexuation et la filiation père-mère-enfants, protégée par le mariage civil entre un homme et une femme, constitue le fondement de notre société. «Fédérer sur un sujet aussi clivant, presque tabou tant les gens ont peur d'être taxés d'homophobie, c'est toute la difficulté», souligne Virginie Merle, alias Frigide Barjot, à l'origine de ce rassemblement avec son collectif Pour l'humanité durable. «Il ne s'agit pas d'empêcher les homosexuels de s'aimer ou les familles homoparentales d'élever leurs enfants mais de protester contre le changement de la structuration de la société», martèle la parodiste, cofondatrice du groupe Jalons.

Étiquetée anarchiste de droite et catho branchée, elle s'est lancée dès la rentrée dans la bataille médiatique contre le projet de loi en compagnie d'une militante socialiste, Laurence Tcheng, et de Xavier Bongibault, fondateur de Plus gay sans mariage, association d'homosexuels hostiles au mariage gay.

Alors que le projet de loi a passé l'étape du Conseil des ministres, ils ont été rejoints par des structures plus anciennes et plus charpentées comme la Confédération nationale des associations familiales catholiques (AFC), la Fédération des associations familiales protestantes ou encore Alliance Vita, déjà à l'origine de rassemblements courant octobre. Des ralliements précieux pour les opposants car ils offrent un réseau plus solide.

10.000 manifestants annoncés à Paris

«Nous partons de rien et nous avançons avec zéro euro. Notre mobilisation est populaire, apolitique, laïque et spontanée. Nous ne dépendons d'aucun dirigeant politique ou religieux», rappellent d'ailleurs volontiers les organisateurs. À leurs côtés, on retrouve également des associations comme Fils de France, défenseur d'un Islam français, David & Eugenia, un mouvement juif laïc, ou le Collectif pour l'enfant, qui fédère plusieurs associations de défense des droits de l'enfant.

À Paris, le cortège entamera sa marche sous le regard du lion de Belfort, place Denfert-Rochereau, pour arriver place Vauban dans le VIIe arrondissement. La déclaration de demande de manifestation publique a été déposée à la préfecture. Frigide Barjot avance le chiffre de 10.000 manifestants. Une estimation qui laisse penser que le collectif espère en réunir au moins le double.

En province, d'autres associations sont mobilisées, comme Cosette et Gavroche, très actif collectif de Lyon, où la manifestation devrait être particulièrement suivie. Leur slogan? «Nos droits avant vos désirs». Leur credo? La convention internationale des droits de l'enfant, selon laquelle «l'enfant a dès sa naissance le droit de connaître ses parents et d'être élevé par eux». Seront-ils nombreux à battre le pavé à Rennes, à Marseille ou à Toulouse pour défendre une filiation en phase avec la biologie? «Notre but est avant tout de faire passer le message dans l'opinion publique, de faire en sorte que les Français comprennent les vrais enjeux du projet de loi et qu'ils s'en saisissent», précisent les membres de la «manif pour tous».

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La liberté d'expression dans la ligne de tirs des "traqueurs" de l'homophobie?

Sur le blog de Jeanne Smits du 16 novembre 2012:

 

 

 

(...)Serions-nous « pour » l’homophobie ?
 
Non, mais nous dénonçons le sens donné à ce néologisme, qui en fait un instrument de persécution contre les tenants d’une morale traditionnelle et de la loi naturelle.
 
La mécanique est la même que pour le soi-disant antiracisme : elle consiste, au nom du respect dû à la personne (qui impose de ne pas faire du mal à un étranger parce qu’il est étranger ; de ne pas faire du mal à un homosexuel parce qu’il a cette tendance), à rendre obligatoire une préférence étrangère ou homosexuelle, et à interdire toute réaction négative à un comportement critiquable d’une personne ou d’un groupe ainsi protégés. Cette mécanique confond volontairement les personnes et les actes.
 
Elle aboutit, en matière d’antiracisme, à interdire d’apporter la preuve d’une allégation négative à propos d’une « minorité protégée », comme nous l’a appris la jurisprudence « Caroline Parmentier » dans une affaire de diffamation raciale engagée contre Présent. Elle aboutira au même muselage par rapport au comportement homosexuel.
 
C’est d’ailleurs déjà le cas : il suffit de parler de la mortalité précoce des homosexuels ou des effets négatifs constatés chez les enfants qui ont grandi auprès d’un parent homosexuel pour se voir aussitôt taxé d’intolérance, de haine et d’homophobie.
 
La menace que font peser les lois anti-homophobes en France sur l’expression libre de la vérité sont déjà réelles, comme le savent les responsables de journaux et de radios. Cette menace se traduit déjà, dans de nombreux pays, par des pertes de liberté et des persécutions effectives : voyez cette amende de 4.000 livres infligée en Angleterre à un couple chrétien qui avait refusé d’accueillir un couple gay dans son « Bed and Breakfast » familial.
 
Demain, si le « mariage » homosexuel et l’adoption par des couples homosexuels étaient par malheur adoptés, il ne faut pas se leurrer : tout enseignement mettant cela en cause, que ce soit à l’école ou dans le cadre religieux, finirait par tomber sous le coup de la loi.
 
C’est en cela aussi que l’affaire nous concerne tous.
 

Puisse la France demeurer le peuple de la liberté.

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Des sénateurs français veulent imposer la maternelle aux enfants de 3 ans...

Pauline Marois, qui suit de près les dérives socialistes européennes, proposait, pour l'instant la maternelle pour les enfants de 4 ans, de milieux défavorisés. Sur le site du Salon Beige du 16 novembre 2012, voici ce que proposent les sénateurs français:

(Salle de classe de la future maternelle 1 an)

 

 

"Permettre la scolarisation à partir de 2 ans de tous les enfants qui sont prêts et dont les familles en font la demande apparaît donc être un enjeu majeur. Il ne s'agit pas de rendre la scolarisation dès 2 ans obligatoire, mais bien de permettre à tous les parents qui le souhaitent d'y faire accéder leur enfant. [...]

Afin de reconnaitre à leur juste valeur les apports fondamentaux et l'importance de la place de cette institution au sein de notre système scolaire, il nous parait indispensable de rendre obligatoire dès 3 ans le droit à l'éducation. Parce qu'elle constitue un temps permettant la mise en place de mécanismes déterminants pour la réussite de la scolarité et la réduction de l'écart entre les inégalités sociales et les inégalités scolaires, il est parfaitement cohérent d'étendre l'obligation scolaire à la maternelle." 

Et dans quelques années, ils reprendront le même texte, en changeant seulement 2 chiffres: 1 an pour la maternelle librement offerte, et 2 ans pour la maternelle obligatoire. Pour les mêmes raisons. Il y a toujours des fonctionnaires, qui croient que l'état sait mieux comment élever des enfants en général que les parents...

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Collusion pour frapper un coup médiatique pour le "droit" à l'avortement en Irlande. Les pro-choix tenus informés préalablement?

La révélation par une fuite de courriel : les promoteurs de l’avortement connaissaient l’histoire du cas Savita avant les médias.
 

(Une manifestation orchestrée, fruit d'une collusion et d'une histoire déformée)
 

DUBLIN, 15 novembre 2012 (LifeSiteNews.com), par Hilary White (traduction libre CQV) — La mort d'une jeune femme à Galway serait dû à des complications d'un refus d’avortement, selon les promoteurs de l’avortement qui manifestent dans les rues de Dublin, exigeant une loi pour légaliser l'avortement. Cependant, les dirigeants pro-vie en Irlande et à l'étranger, ont critiqué les médias et les militants pour l'utilisation de l'avortement comme cause de la mort tragique de la jeune femme, malgré le manque de détails sur ce qui s'est réellement passé. Ils ont également souligné la preuve évidente que les groupes pro-avortement ont été renseignés, au sujet du cas de Savita, avant que cette affaire ne rejoigne les médias, et qu'ils avaient déjà l'intention d'utiliser le cas pour défendre leur cause.
 

En Irlande, un leader d’un groupe pro-vie de jeunes a publié une déclaration offrant à la famille de Savita Halappanaver leurs plus sincères condoléances, mais que la situation ne justifie pas les appels hystériques pour la légalisation de l'avortement. « C'est une perte tragique, et nous devons nous rappeler que les médecins irlandais sont toujours obligés d'intervenir pour sauver la vie d'une mère — même s’il y a des risques pour la vie de son bébé »
 

Halappanavar, une femme indienne de 31 ans, est décédé le 28 octobre d’une septicémie, une grave infection inflammatoire systémique, après avoir été admis à l'hôpital pour une fausse-couche en cours.
 

Son mari Praveen a dit aux médias irlandais que sa femme était morte parce que les médecins ont refusé l’avortement, et cette histoire s'est répandue dans le monde entier.
 

Halappanavar dit que les médecins ont déterminé que sa femme vivait une fausse couche quelques heures après son hospitalisation et qu'ils ont refusé d'envisager un avortement, en disant que l'Irlande est un « pays catholique. »
 

L'affaire a créé une frénésie médiatique internationale, alimentée par les manchettes partout dans le monde, insinuant que l'enseignement catholique est responsable de la mort de la femme. Couverture en première page dans le Guardian, le Daily Mail et le miroir, ainsi que les éditions américaines et britanniques de The Huffington Post, de la Société Radio-Canada et ailleurs.
 

Niamh Uí Bhriain de l'Institut pour la Vie a affirmé qu’il est « scandaleux » de suggérer que l'enseignement catholique empêcherait un traitement approprié pour une femme enceinte. « Ni l'éthique de l'Église catholique, ni les lois pro-vie de l'Irlande n’empêchent une femme de recevoir tous les soins dont elle a besoin pour préserver sa vie “ a-t-elle dit.
 

Uí Bhriain a ajouté : ‘L'avortement ne guérit pas la septicémie et n'est pas un traitement de fausse couche.”
 

Pendant ce temps, une fuite de courriel, en date du dimanche 11 novembre indique que le Irish Choice Network avait eu vent de l’affaire prioritairement, des jours avant qu'elle ne soient propagées par les médias, sans que l’on sache par qui l’information lui est parvenue. The Irish Times n'a pas fait connaître l'histoire publiquement avant le 14 novembre, avec comme titre de la manchette “Une femme qui s’est vu refuser un avortement meurt à l’hôpital”.
 

Le courriel, avise les adeptes du Irish Choice Network  qu'“une nouvelle extrêmement importante en matière d'accès à l’avortement va éclater dans les médias au début de la semaine à venir,” et affirme que cette nouvelle serait la base d'une protestation préparée auparavant et appelant au “droit” à l'avortement. Le courriel demande aux membres d'assister à une réunion du Irish Choice Network irlandais quand ils auraient “des renseignements plus précis autour duquel nous pouvons prendre des décisions collectives sur la meilleure façon de procéder.”
 

“Toutes mes excuses si tout cela est un peu mystérieux, mais la raison pour laquelle je ne voulais pas mettre des détails précis par courriel va probablement être claire demain », a-t-il continué.
 

Le courriel, affirme Uí Bhriain , a clairement montré que les défenseurs de l'avortement ont délibérément exploité le cas pour commencer une campagne pour légaliser l'avortement en Irlande. Il est maintenant nécessaire de poser de graves questions poursuit-elle. ‘Les médias et le HSE [Santé Services exécutifs] doivent maintenant se demander pourquoi cette information semble avoir été donnée à l'avance pour les défenseurs de l’avortement », a-t-elle ajouté.
 

‘L’information a-t-elle été donnée par l'Irish Times, ou par quelqu'un dans le HSE? Et si oui, pourquoi? ‘A-t-elle demandé. Elle a noté que l'histoire parue dans le Irish Times a été écrite par Kitty Hollande, fille de l'avocat en titre de la cause de l’avortement, Eamonn McCann.
 

‘Alors que nous attendons l'enquête pour ce qui est arrivé à Galway hôpital, nous avons besoin de savoir pourquoi cette information privée a été donnée aux militants pour l'avortement légalisé en Irlande’, a-t-elle dit.
 

Uí Bhriain dit que les lois de l'Irlande donnent déjà la priorité à la vie de la mère. Selon la loi actuelle, les médecins qui n’interviennent pas pour sauver la vie d'une femme sont passibles de mesures disciplinaires pour négligence. ‘Loin d'être des lois pro-vie qui exercent des pressions indues pour sauver la vie de l'enfant à naître, ils ont mis des mesures supplémentaires pour protéger la vie de la mère’, dit-elle.
À l'heure actuelle les détails médicaux sont rares, avec l'hôpital et le gouvernement qui refusent de divulguer les détails avant que l’enquête ne soit terminée, laissant les groupes pro-vie se débattre pour répondre aux arguments qui sont impossibles à vérifier de toute façon.
 

‘Nos coeurs sont avec [M. Halappanavar], mais un avortement n'aurait pas sauvé sa vie. Les lignes directrices du Conseil médical sont incroyablement claires, que les médecins doivent intervenir pour sauver la vie d'une femme, s’il ne veulent être déclarés coupables de mauvaise conduite », Uí Bhriain ajouté.
 

Paul Tully, secrétaire général de la Société pour la protection des enfants à naître a dit : ‘Ce que nous savons, c'est que la fausse couche et l'infection peuvent être contrôlée par un traitement médical approprié. L'avortement n'est pas une médecine — il ne traite ou ne guérit aucune pathologie ».
 

‘Ce qui est rarement signalé, ce sont les nombreux cas de femmes qui sont décédées d'une infection ou d'autres causes à cause des avortements sûrs et soi-disant légaux.’
 

Il a rappelé les cas de Manon Jones, Jessie-Maye Barlow et Emma Beck, qui sont tous morts de complications de l'avortement en Grande-Bretagne. Il a montré les constatations de l’Organisation mondiale de la santé que la République d'Irlande, avec quelques-unes des plus strictes lois pro-vie dans le monde, présente également le meilleur record du monde de santé maternelle. En revanche, la Grande-Bretagne et les États-Unis, avec leurs taux élevés d'avortement, sont relativement pauvres dans le dossier de la santé maternelle.
 

Plus tôt cette année, un groupe international de 140 obstétriciens et autres médecins réunis à Dublin ont publié une déclaration niant que l'avortement est toujours ‘médicalement nécessaire’ pour les femmes.
 

Le ministre irlandais de la Santé, James Reilly, qui n'est pas pro-vie, a appelé au calme, en disant qu'il ne croit pas les allégations selon lesquelles les médecins ont dit à M. Halappanavar que l'avortement n'était pas disponible parce que l'Irlande est un pays catholique. Il a ajouté qu'aucune décision ne peut être prise avant qu’une enquête médicale ne soit terminée.
 

Les lignes directrices du General Medical du pays prévoient déjà l'avortement dans de ‘rares’ cas où une grossesse menacerait la vie de la mère. (…)
 

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