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"On ferait mieux de le laisser mourir, non?"

Sur le site de Famille Chrétienne du 16 novembre 2012, cette réponse à une interrogation sur l'acharnement thérapeutique:

 

 

Ma chère Aimée,

Ton dernier message m’a bouleversé. Tu m’écris que cet oncle Jean, que tu aimes beaucoup, est atteint d’une maladie incurable qui le fait énormément souffrir. Il demande l’euthanasie et supplie que les médecins cessent de vouloir à tout prix le soigner. « Je suis scandalisée par cet acharnement thérapeutique, écris-tu. On ferait mieux de le laisser mourir, non ? »

Tu as raison, il n’y aucune raison de prolonger à tout prix la vie d’un malade. Mais pourquoi réduire la liberté du malade à ce choix impossible entre acharnement thérapeutique ou euthanasie ? Dans les deux cas, cela ne revient-il pas à lui « voler » sa propre mort, en lui refusant ce dont il a d’abord le plus besoin : une écoute de sa souffrance et une parole humaine ?

Dans bien des cas, la demande d’euthanasie – « Faites-moi mourir » – peut être traduite par : « Soulagez ma douleur et écoutez-moi. » Si l’on satisfait à ces deux besoins, la demande du malade n’est très souvent pas réitérée. Cette réponse au cri de souffrance est celle des soins palliatifs. Je te recommande notre reportage à la Maison Sainte-Élisabeth, à Marseille pour réaliser comment une unité de soins palliatifs pourrait être un véritable lieu de vie et d’humanité pour ton oncle.

La deuxième demande du malade souffrant est de ne pas rester seul. Il a besoin plus que jamais d’une présence discrète, aimante et réconfortante. « Une société qui légitimerait l’euthanasie chercherait sans doute à échapper à l’un de ses devoirs les plus élémentaires : celui de la fraternité humaine avec les plus pauvres de ses membres », observe l’encyclopédie Théo. Ce réconfort humain est d’autant plus essentiel qu’il symbolise la présence de Dieu et la rend visible aux yeux des incroyants.
 (...)

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Des députés européens débattent de l'euthanasie: le goût de vivre peut quitter et... revenir

Sur le site de genethique.org du 23 novembre 2012:

(Philippe Juvin, eurodéputé)

 

A l'initiative de l'eurodéputé Français Philippe Juvin, la député Belge Anne Delvaux et le député Luxembourgeois Frank Engel (eurodéputés PPE) ont tous trois tenu un débat sur la fin de vie, mercredi dernier, au Parlement de Strasbourg. En outre, lors de ce débat, Jean-Luc Romero, président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), était présent. Pour la député européenne Belge et le député européen Luxembourgois, ce débat a été l'occasion de dresser un bilan de la législation sur l'euthanasie dans leurs pays, autorisée respectivement depuis 2002 et 2009.
 
Tout d'abord, Anne Delvaux précise qu'en Belgique, le sujet de l'euthanasie n'est "pas du tout" clos. Détaillant l'état de la législation, elle explique que la loi belge "impose des critères très stricts". Mais à ce propos, la député regrette qu' "il ne [puisse] pas y avoir de réel contrôle" car "la commission [fédérale de contrôle belge] ne fait qu'enregistrer les déclarations que les médecins veulent bien lui envoyer". Pour Anne Delvaux, la loi "n'empêche pas des dérives". A titre d'exemple, elle "s'inquiète [...] des '3% d'euthanasies' qui ont été justifiées par la seule souffrance psychique, d'après le dernier rapport de la commission". Ainsi, l'eurodéputé Belge s'interroge: "Dans de telles conditions, la demande de mort est-elle vraiment éclairée?". En outre, elle relève "que des personnes âgées ont eu recours à l'euthanasie sans que l'on soit certain qu'elles souffraient de maladies incurables comme l'exige la loi". Enfin, elle note qu'actuellement, en Belgique, "les discussions [...] portent sur l'élargissement de la loi aux mineurs". "Sans pour autant revenir sur le principe de la dépénalisation", elle conclut en précisant que "tout cela est troublant".

Prenant ensuite la parole, Jean-Luc Romero a précisé que "la question des mineurs ne doit pas être balayée du revers de la main 'en cas de très grandes souffrances', tout en admettant que 'notre pays n'en est pas là".
(...)

A la suite de ces prises de paroles, Philippe Juvin, professeur de médecine et eurodéputé, "reste très sceptique quand au bien-fondé d'une telle approche en France". Tout comme l'eurodéputé Belge, "il s'inquiète de la conception extensive d'une loi prenant pour critère la souffrance psychique", d'autant que, en France, précise-t-il, "la dépression est particulièrement mal prise en charge". Souhaitant avant tout "protéger les plus vulnérables" et rappelant "l'ambivalence des demandes de mort", Philippe Juvin termine en mentionnant qu' "une étude britannique a montré que des jeunes victimes de paralysie après un accident de la route considéraient, juste après le drame, que leur vie ne valait pas la peine d'être vécue". Cependant poursuit-il, "au fil des mois, ils changeaient d'avis et quelques temps plus tard, la plupart considéraient que oui, leur vie méritait d'être vécue. Cela doit interpeller".

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En Suisse, une demande de référendum pour ne plus contribuer financièrement à payer les avortements

Sur le blog de Jeanne Smits du 22 novembre 2012:

 

(Grégory Logean, co-président des Jeunes UDC du Valais romand)

 

 

Comme nous l’a rappelé hier soir l’émission Temps Présent de la TSR, quelque 11’000 interruptions de grossesse ont lieu chaque année en Suisse. Cette situation est d’autant plus choquante que l’avortement est actuellement remboursé par l’assurance maladie de base. Cela doit cesser !
 
Non, l’avortement n’est pas une maladie. Il est le fruit d’une conception du monde purement matérialiste, d’une société qui se donne le droit de choisir entre tuer ou laisser vivre l’enfant. La solution des délais en Suisse est un crime contre la génération à venir.
C’est pourquoi, il est important de soutenir l’initiative populaire « Financer l’avortement est une affaire privée » qui a été déposée en juillet 2011 avec 111.000 signatures.
 
Par cette initiative populaire, il s’agit également d’informer les citoyennes et les citoyens de notre pays qu’ils participent notamment au financement des avortements avec leurs primes maladie. Beaucoup en sont étonnés et n’approuvent pas cette manière de faire. Le peuple doit donc avoir la possibilité de décider s’il veut ou non continuer à financer les avortements avec ses primes maladie.
 
Les caisses d’assurance maladie ont pour mission de préserver des vies, non de les anéantir !
Jeunes UDC du Valais romand
Grégory Logean, Co-président
Conseiller municipal d’Hérémence
 

Oskar Freysinger, conseiller national de l'UDC, est sur cette même ligne comme il l'avait confié l'an dernier à Nouvelles de France : « L’avortement est inclus dans les remboursements de la caisse maladie, donc des gens comme moi paient pour ce qu’ils considèrent comme un crime, je trouve ça totalement anormal. Nous estimons que si quelqu’un, dans son plan de vie, veut avorter, il doit faire payer cela par des caisses complémentaires. »

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Pourquoi un tel totalitarisme féministe à l'égard de madame Rona Ambrose ?

À l'heure où notre conscience sociale sollicite une plus grande liberté féminine sur l'ensemble de notre planète, pourquoi madame Rona Ambrose, ministre de la Condition féminine dans le gouvernement Harper, aurait-elle dû taire la voix de sa conscience en rejetant une motion présentée en septembre 2012 à la Chambre des communes, qui proposait de mettre en question le statut juridique du fœtus? Pourquoi aurait-elle dû s'associer au mouvement féministe radical pour qui l'avortement est un symbole de liberté féminine et se dissocier ainsi des autres humains pour qui l'avortement est une profonde blessure et un grave échec pour les femmes, les couples et la société, à un coût démographique ahurissant pour notre monde qui, selon les chiffres de l'ONU, compte entre 50 à 60 millions de femmes qui chaque année subissent un avortement ?

Au nom du droit à la liberté, je redis à madame Ambrose mon admiration et ma reconnaissance pour ne pas avoir cédé à un totalitarisme féministe voulant imposer la pensée unique du droit à l'avortement en croyant, à tort, promouvoir le bien-être de la femme. Il suffit d'évoquer les graves complications d'ordre physique, psychologique et spirituel encourues par toute femme ayant subi un avortement.

Nous savons tous et toutes que l'avortement n'est pas une solution d'avenir pour les pays du Sud et pas davantage pour notre société canadienne. Pour que vienne une terre plus humaine, il faudra, par respect de la dignité de l'être humain, avoir le courage de reconnaître la nature humaine du fœtus qu'un jour nous avons tous été dans le sein de notre mère.

Il est aberrant qu'aujourd'hui encore notre pays maintienne le vide juridique concernant l'existence du fœtus comme être humain à part entière !

Solange Lefebvre-Pageau
Fondatrice et directrice du CRÉVF à Montréal

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Un lettre dans la Presse sur la tentative d'entraver la liberté de conscience de la ministre Ambrose

Sur le site du journal La Presse du 22 novembre 2012:

 

(Certains groupes féministes aimeraient empêcher la liberté d'expression et de conscience de la ministre de la condition féminine Rona Ambrose)

 

 

Une femme n'a-t-elle plus le droit de se poser des questions sur l'avortement? N'a-t-elle plus le droit d'y être opposé? Jusqu'à preuve du contraire, nous vivons dans un pays où le droit d'avoir une opinion est sacro-saint. Alors pourquoi cette rage contre Mme Ambrose, qui n'a finalement qu'exprimé le désir qu'on se penche sur la question? (...)

Le projet soumis à la chambre n'était pas une motion pour interdire l'avortement, mais pour en réglementer la pratique.

C'est en faveur de cela que Mme Ambrose a voté. A-t-elle si tort?

Nous sommes un des seuls pays au monde à ne pas avoir de loi encadrant l'avortement. Est-ce normal?

Peut-on affirmer hors de tout doute qu'il n'y a pas d'abus?

Mais là n'est pas la question.

La question c'est que dans le cadre d'un exercice DÉ-MO-CRA-TI-QUE, Mme Ambrose a exprimé son opinion.
(...)

Être contre l'avortement, ce n'est pas être opposé aux droits de la femme, c'est croire que la vie commence à la conception. C'est une opinion et elle a autant de valeur que la mienne.

 

Lucie-Gabrielle Jolicoeur

Étudiante à la maîtrise en création littéraire

Le droit d'avoir son opinion est le même pour tous, mais non, toutes les opinions n'ont pas la même valeur. C'est leur concordance avec la réalité qui détermine si une opinion a de la valeur ou pas. Dans ce cas-ci, l'opinion selon laquelle un enfant à naître n'est qu'un tas de cellules informe, tel un cancer, n'a aucune valeur. Parce qu'elle ne correspond pas à la réalité scientifique, aux faits génétiques connus.

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La souffrance des personnes homosexuelles comme argument...

Un excellent article paru sur le site de Nystagmus du 20 novembre 2012, sur le débat sur le "mariage" gai en France:

 

 

 Grosse fatigue, ces jours-ci. Quand on entre dans le débat sur le « mariage pour tous », on est plein de bonne volonté. On argumente, on explique pourquoi l'on pense que ce projet est mauvais pour tous, pourquoi on n'est pas favorable à une telle conception de la société. En réponse, on se prend des tombereaux d'injures. Bon. On a le cuir solide, on se dit : la vache, ils doivent souffrir sacrément ces gens, pour être aussi agressifs. On essaye donc de discuter, d'argumenter mieux, de réfléchir avec l'autre. Parfois, ça marche : plusieurs commentateurs arrivés sur ce blog prêts à en découdre se sont radoucis au fil de la discussion. J'ai pris un pot avec certains. On n'est toujours pas d'accord, mais on se respecte – et du coup la discussion s'est arrêtée. C'est normal : certains, qui soutenaient ce projet avec une vraie intention louable de sécuriser juridiquement les couples de même sexe et les enfants élevés dans ce cadre, se sont simplement rendu compte que ce projet risquait de précariser tous les couples. D'autres assument le fait qu'ils ont une vision de l'humanité qui n'est pas la mienne, ni eux ni moi n'y renoncerons, donc soit nous restons en contact en évitant le débat, soit nous reprenons chacun notre chemin.

 
Là où je fatigue, c'est sur le concept de souffrance. L'idée que, parce que les personnes homos ont souffert, ou souffrent toujours, cela justifierait toute proposition de loi, toute réforme, même la plus absurde. Certes, il y a des personnes parmi les militants qui souffrent. C'est indéniable. Mais, mes petits cocos, je vais vous dire un grand secret : tout le monde souffre. Tout le monde. C'est même un truc qui s'appelle la condition humaine. Je défie n'importe lequel des lecteurs de mon blog, les pour, les contre et les ni l'un ni l'autre, tiens : on fait un concours. La souffrance n'est pas exclusive des personnes homos. Et surtout, elle n'excuse pas tout. Et certainement pas la violence, la méchanceté et le dénigrement.
 
Car depuis quelques temps, la pauvreté des arguments des pro-mariage pour tous est désormais visible. Le roi est nu. Les arguments juridiques, pour protéger de pauvres familles à la merci des accidents de la vie ? Faux, comme l'a brillamment démontré Koztoujours. Reste donc l'insulte.
 
Le grand argument, ces jours-ci, c'est de dire que les enfants martyrisés sont l'apanage des couples homme-femme. Beaucoup des arguments des militants pro-mariage gay tournent autour de la décrédibilisation de la famille homme-femme-enfants. Il y a plusieurs degrés dans cette assertion. Pour prouver que les parents de même sexe sont vachement mieux que les autres, on a d'abord eu recours à cet argument imparable : deux personnes de même sexe qui s'aiment valent mieux qu'un couple homme-femme qui se déteste / violent / alcoolique (rayez, ou pas, la mention inutile). Re-scoop : des bonnes carottes valent mieux que de mauvaises patates. Voilà qui éclaire le débat d'un jour nouveau. On sent l'argument de haut vol. Même que je suis d'accord avec, c'est dire.
 
(...)
 
Vous voulez "l'égalité", ou plutôt l'idée que vous vous en faites? Montrez que vous êtes des citoyens comme les autres. Faites, finalement, comme tout le monde : gardez vos souffrances pour vous, et argumentez.
 
Chiche.
 

 

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18 accouchements, 72 grossesses après des essais de procréation assistée sur 350 patientes... aux frais des contribuables

Sur le site de Radio-Canada du 22 novembre 2012:

(Hôpital de Trois-Rivières)

 

Nathan est donc le premier bébé de la nouvelle clinique de procréation médicalement assistée à l'hôpital de Trois-Rivières.

L'ouverture de la clinique a eu lieu en juillet 2011. Le nombre de patientes traitées a plus que doublé au cours des huit derniers mois. Elles sont maintenant 350.

De ce nombre, 72 portent actuellement un enfant. Dix-huit ont accouché. Quatre patientes enceintes ont été confiées au CHUM pour un traitement in vitro.

L'engouement pour le service s'explique notamment par la gratuité de la majorité des traitements et par l'accessibilité en région.

La "procréation assistée" est un terme très large regroupant différentes techniques, dont la fécondation in vitro avec éliminations d'enfants à naître "surnuméraires"...

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La journaliste Lysianne Gagnon sur le "mariage" gai : peut-on parler de malhonnêteté intellectuelle?

Dans un article paru dans le journal La Presse du 22 novembre 2012, l'éditorialiste Lysiane Gagnon tente de décrire le débat sur le mariage gai en France :
(Le cardinal Philippe Barbarin, titulaire de deux maîtrise, dont l'une en philosophie de l'Université Paris IV connue sous le nom de : La Sorbonne)
 
Dans la patrie de la raison et du cartésianisme, les arguments sont d'une irrationalité à faire pleurer.
L'archevêque de Lyon, un prélat par ailleurs très progressiste, soulève le spectre de l'inceste (?), et le sénateur Dassault s'exclame ingénument que « dans dix ans, il ne restera plus personne », autrement dit la race humaine s'éteindra... comme si, une fois le mariage gai légalisé, 99 % des gens allaient se découvrir homosexuels et cesser de faire des enfants!
L’irrationalité, c’est de prendre pour des arguments des illustrations de situations extrêmes possibles et taire l’argumentation sur la définition et l’essence du mariage de ces interlocuteurs. L’irrationalité, ou il faut bien se le demander, la malhonnêteté, c’est de rapporter d’une manière si réductrice et simpliste, l’ampleur d’un débat sur lequel s’affronte non seulement des autorités religieuses, mais également des médecins, psychologues, psychiatres, pédiatres, sociologues, historiens, maires et personnalités politiques.
Ce n’est certainement pas le plus grand article de Lysianne Gagnon. Et pour répondre à ce qu’elle présente comme une caricature, l’argument du sénateur Dassault, rappelons que notre ancien premier ministre Claude Ryan évoquait l’idée d’une île déserte où ne seraient placées que des personnes homosexuelles, en demandant combien d’habitants y vivraient 50 ans plus tard… C’est probablement l’idée, tout à fait logique, que défendait le sénateur. Et pour ce qui est de la possibilité de l’inceste qui pourrait suivre la législation d’un « mariage » gai et d’une homoparentalité, il serait bon que la chroniqueuse se renseigne sur les mœurs de certains écrivains français, tout comme ceux de certains Européens pratiquant la zoophilie, LÉGALEMENT… (Pour connaître plus précisément la pensée du cardinal Barbarin, on peut lire le très intéressant article du magazine L'Express du 10 octobre 2012 où le cardinal explique cette expression d'inceste qu'il a utilisée dans le débat.) 
L’article de Mme Gagnon est une insulte à l’intelligence du lecteur qui lui, est effectivement pourvu de cette logique et de cet esprit cartésien partagés par les Français qui débattent actuellement avec des arguments d’une profondeur incompréhensible pour certains journalistes. D’où certains articles.
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Une vidéo montre la tentative d'un lobby gai français pour empêcher la libre expression du débat en France sur le mariage gai

Sur le site d'Itinerarium du 21 novembre 2012, on peut constater la violence d'un groupe, Act Up, manifestant clairement son désir qu'il n'y ait pas de débats en France sur le "mariage" gai et que cette déformation du mariage entre dans la législation. Un bel exemple d'intolérance et d'une volonté d'intimider les personnes divergeant d'opinions. Pour lire l'article et voir la vidéo, cliquez ici. Sur les affiches dans la photo, on peut lire "Boutin, tais-toi!", message demandant à l'une des conférencières de mettre sa liberté d'expression de côté...

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40 Jours pour la Vie : 821 bébés sauvés

Sur le site de riposte catholique du 21 novembre 2012:

 

 

 

Comme je viens de l’écrire par courriel aux inscrits à notre précédente chaîne de prière “de l’arrière” pour la campagne d’automne des 40 Days for Life, le “compteur de la vie”, celui qui égrenait chaque jour le nombre d’enfants à naître sauvés de l’avortement grâce à cette campagne, s’était bloqué à 789… C’était déjà formidable  (...)

Et puis aujourd’hui, toujours mené par la curiosité qui est la felix culpa du journaliste, je m’aperçois que le “compteur de la vie” s’est remis à grimper. Aujourd’hui, le nombre total des enfants à naître sauvés de l’avortement pendant cette dernière campagne d’automne, s’élève à 821 !

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