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Le journal Le Soleil annonce la Marche Printanière.

Sur le site du journal Le Soleil du 15 mai 2013, ce qui sera, nous l'espérons, une forte sous-estimation:

(Manifestation en France contre l'euthanasie)

 

(Québec) Près de 1000 personnes sont attendues à Québec, samedi, à la manifestation contre l'euthanasie à la veille du dépôt par le gouvernement québécois d'un projet de loi sur l'aide médicale à mourir.

Les participants à l'événement qu'on a appelé la Marche printanière se sont donné rendez-vous, à midi, sur les plaines d'Abraham près du Musée national des beaux-arts. Le début de la marche en direction de l'Assemblée nationale sur Grande Allée est prévu à 13h45. Des médecins et d'autres opposants à l'euthanasie y prendront la parole.
 
Par ailleurs, le Rassemblement québécois contre l'euthanasie a affirmé mercredi que le montant de 15 millions $ en soins palliatifs annoncé de façon inattendue dimanche dernier par la première ministre Pauline Marois «est un pas dans la bonne direction mais demeure largement insuffisant».
 
L'organisme invite le gouvernement québécois à renoncer à l'aide médicale à mourir et à transférer les sommes prévues pour la mise en place de la nouvelle mesure afin de développer davantage les soins palliatifs.
(...)
Il existe des mesures d'évaluation des montants nécessaires pour l'ensemble du Québec:
 
PROJETS DE MAISONS DE SOINS PALLIATIFS –
ANALYSE DU GROUPE VIVERE GROUP AU 16 MAI 2013
 
- 1 lit pour 10 000 habitants
- Minimum de 6 lits
- Minimum de 60 000 de population
- Doit être approuvé par le CSSS et l’Agence
 
Référence : Alliance des maisons de soins palliatifs du Québec
 
FINANCEMENT
 
Un lit au privé coûte 120 000 $ par année, dont 60 000 $ du gouvernement et 60 000 $ du privé (p. ex. Programme de dons planifiés comme pour la Maison La Source Bleue à Boucherville).
.
Le 15 millions $ « récurrent » annoncé par la première ministre et la ministre déléguée aux Service sociaux et à la Protection de la jeunesse, Mme Véronique Hivon, le dimanche 5 mai 2013, se détaille comme suit (p. s. ce montant avait déjà été alloué par les Libéraux, ce n’est pas une « première au Québec » tel qu’allégué par Mme Marois):
 
11 millions $ soins palliatifs à domicile (soutien communautaire et formation pour CHSLD et bénévoles)
 
4 millions $ ajout de « lits dédiés » : mise sur pied de nouvelles maisons de soins palliatifs ;
 
augmenter le nombre de lits dans les maisons déjà existantes ;
 
ajouter des lits en CHSLD ou en CH
 
Si un lit coûte 120 000 $ et que le gouvernement contribue 60 000 $ par lit, avec 4 millions $, le gouvernement peut financer 67 lits supplémentaires par année pour l’ensemble de la province.
 
À l’heure actuelle, il existe 230 lits en maison de soins palliatifs au Québec. Le gouvernement investit donc déjà 13 800 000 $ dans les maisons de soins palliatifs au Québec. Avec 4 millions $ de plus, le gouvernement pourra financer 67 lits de plus pour l’ensemble de la province….Or, pour que l’ensemble de la population ait accès à un lit en maison de soins palliatifs (car le mourir à domicile est une utopie parce que la surveillance médicale 24-7 requise n’y est pas), il faudrait que le Québec dispose de 469 lits supplémentaires de plus, pour donner un total de 536 lits supplémentaires.
 
On peut déterminer le nombre de lits manquants comme suit :
 
Si les 230 lits actuels en maison de soins palliatifs satisfont à seulement 30 % de la demande, 230 représente 30 % de quel nombre de lits ? Donc 230 sur « x » égal 30 sur 100. Donc 230 multiplié par 100 divisé par 30 égal « x » = 767 lits. Si un lit peut servir pour une moyenne de 10 personnes par année, donc il y a actuellement 2 300 personnes qui bénéficient de bons soins palliatifs dans les maisons de soins palliatifs chaque année au Québec (230 lits multiplié par 10 personnes). Théoriquement, les 767 lits requis satisferaient à 100 % de la demande, donc aux besoins de 7670 Québécois chaque année.
 
Au-delà du 4 millions $ d’annoncé, s’il manquera encore 536 lits, il manquera donc encore 32 160 000 $ en financement de la part du ministère de la santé (60 000 $ x 536) pour que l’accès aux soins palliatifs soit universel au Québec. (Mais on peut soustraire de ce montant le x millions $ du 11 millions $ d’investi en soins palliatifs à domicile, qui aideront à _____ personnes chaque année...)
 
 

 

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Une victoire pour les droits de la campagne 40 Jours pour la Vie à Bathurst

Sur le site du réseau nbrighttolife.ca du 30 avril 2013:

 

(Manifestants devant l'hôpital de Bathurst)

 

BATHURST – Le tribunal de Bathurst rejette la requête d’injonction permanente du Réseau de santé Vitalité visant à interdire aux militants pro-vie de tenir des vigiles contre l’avortement sur la propriété de l’Hôpital régional Chaleur de Bathurst.

Le juge Réginald Léger, de la Cour du Banc de la Reine de Bathurst, a entendu la demande du Réseau de santé Vitalité le 11 février contre des membres de l’Association pro-vie de Bathurst. Dans sa décision en date du 25 avril, le juge Léger indique qu’en raison d’une «contestation importante des faits dans cette affaire», il ne peut accéder à la requête du réseau, ce qui réjouit les militants.
 
«Nous avons l’intention de continuer à l’automne, donc cette décision est bien pour nous. Nous n’empêchons pas l’hôpital de fonctionner, ni n’arrêtons les passants. Ce sont des rencontres pacifiques, de prières, que nous tenons pour protéger l’enfant à naître et prier pour les mamans afin qu’elles prennent la bonne décision», a déclaré Edwina Godin, de l’Association provie de Bathurst.
 
«Nous nous attendons à ce que les gens n’hésitent pas à venir prier sur les lieux avec nous, parce que c’est une place publique.Nous avons juste à respecter les règles, ce que nous faisons, parce que c’est pour une bonne cause.» Après avoir obtenu une injonction interlocutoire en octobre 2012, le Réseau de santé Vitalité en réclamait une permanente pour forcer les manifestants à tenir leurs vigiles contre l’avortement à l’extérieur des limites de l’hôpital de Bathurst.
 
Depuis plusieurs années, chaque automne,des sympathisants à la cause se rassemblent deux jours par semaine devant l’hôpital de Bathurst – puisqu’ils disent que des avortements y sont pratiqués -, dans le cadre de la campagne 40 jours pour la vie, qui se déroule à travers le monde.
 
Le Réseau de santé Vitalité affirmait que les militants s’étaient rendus l’an dernier sur la rampe d’entrée de l’hôpital à quelques reprises,que des véhicules ont été obligés de ralentir et de s’arrêter sur la route d’accès menant à l’établissement à cause d’eux, de même qu’une ambulance.
 
Il déclarait que leur présence cause un risque pour la sécurité et l’offre de services de soins de santé, tout en rappelant qu’une de ses politiques statue qu’il est strictement interdit de faire du lobbying sur ses propriétés.
 
Les membres de l’Association pro-vie de Bathurst visés par cette demande expliquaient quant à eux que leur rassemblement se déroule pacifiquement, qu’ils n’essaient pas d’interférer avec le travail du personnel, ni de causer du tort aux patients. Ils croient plutôt que le réseau de santé francophone veut brimer leur liberté d’expression. (...)
 
Les mêmes mensonges véhiculés un peu partout pour empêcher les manifestants pacifiques de prier pour que cesse l'avortement. Heureusement que parfois, la justice prévaut...
 

 

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La mission de Campagne Québec-Vie

« Soyez les pierres vivantes qui servent à construire le Temple spirituel … » (1 Pierre 2 : 5) Ces mots de l’apôtre Pierre résument la mission de Campagne Québec-Vie.

Nous voyons que le Québec (avec tout l’Occident) est spirituellement malade, confus, sans repère, en perte de volonté de se préserver, en proie au désespoir et à la dissolution. Face à cet effondrement du corps social, face aux multiplications des barbaries (avortement, euthanasie, fécondation in vitro, pseudo-mariage, familles dévastées, sexualité débridée, etc.) Campagne Québec-Vie débroussaille le terrain et œuvre à refonder la société sur les seules bases solides, sur l’Unique pierre angulaire : Jésus.

(La cathédrale Notre-Dame à Ottawa le matin de la Marche pour la vie était comme une boîte à bijoux contenant des pierres précieuses vivantes. C’est avec elles que la civilisation à venir sera construite.)

Le combat est premièrement spirituel et l’édifice que nous construisons l’est aussi. Par débroussaillage, nous voulons dire que nous combattons les erreurs : celles des fausses autorités, celles des loups déguisés en agneaux. Il y a ceux – même parmi les prêtres – qui disent que l’avortement ne devrait pas être « criminalisé. » Mais nous affirmons, avec le pape François parmi tant d'autres, que l’embryon devrait jouir d’une protection juridique, comme tout être humain faible et sans défense. Il y a aussi ceux qui nous disent que la mise à mort par injection léthale devrait être permise au Québec dans nos hôpitaux, pour certains cas « extrêmes ». Nous disons, avec le Collectif des médecins du refus médical de l’euthanasie, que « Tuer n’est pas un soin. »

Quand ces erreurs seront dissipées chez un nombre suffisant de personnes, nous aurons déjà commencé à bâtir une nouvelle civilisation. Chaque personne, chaque famille seront une pierre dans ce Temple, unies par ce mortier indestructible qu’est l’amour. En voilà une « œuvre de charité ! »

C’est notre mission : Débroussailler et bâtir – contrer les erreurs et rassembler les personnes de bonne volonté, pour édifier une civilisation d’amour, un Temple fait de chair et consolidé par l’amour, pour adorer Dieu en esprit et en vérité.

(Le sénateur Tobias Enverga accompagné de sa fille trisomique Roselle à la Marche pour la vie. Elle est de ces pierres rejetées par les faux bâtisseurs. Elle et ses semblables sont toujours des pierres d’achoppement pour les idéologues.)

Quels outils avons-nous pour construire ? Par quels moyens construisons-nous ? Le premier outil est la prière, qui nous permet d’entendre et d’écouter Dieu, l’architecte et l’entrepreneur principal de cette œuvre de restauration. Aussi, il y a la patience, car nous entreprenons un projet de longue haleine, un peu comme ces cathédrales d’antan dont les artisans ne pouvaient guère espérer voir leur œuvre complétée de leur vivant.

Ensuite, fortifiés par la prière et dotés d’une sagesse surnaturelle, nous nous rassemblons pour nous fortifier mutuellement et nous proclamons les vérités que nous avons reçues. Voilà pourquoi nous organisons les Marches pour la vie, 40 jours pour la vie, messes, colloques et congrès qui jalonnent l’année.

Et croyez-moi, ce Temple vivant que nous construisons s’élève petit à petit. Cette année, trois autobus nolisés sont partis du Québec (contre un seul l’année dernière) pour se rendre à la Marche pour la vie à Ottawa. À la Marche elle-même, nous étions plus de 20 000, dont plusieurs milliers d’étudiants.

Tranquillement, patiemment, humblement, mais avec force, constance et assurance, nous faisons notre devoir et nous contribuons à bâtir une société meilleure, en reconnaissance de Celui qui nous a tout donné et vers qui nous retournerons à la fin de notre séjour sur cette Terre en chantier.

Pour la vie !

Georges Buscemi , président

P. S. Pour encourager les gens à prendre les autobus que nous avons organisés (ceux pour la Marche pour la vie et celui pour la Marche contre l’euthanasie) nous n’avons pas demandé le plein prix. Merci de donner pour nous aider à davantage promouvoir toutes les initiatives pro-vie au Québec et ailleurs au Canada !

Bulletin de mai 2013 >>

Cher Georges, ce mois-ci je donne à Campagne Québec-Vie pour que continue le travail de débroussaillage et de réseautage pour qu'advienne la civilisation de l'amour que nous voulons tant !

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Les dérives de la procréation assistée au Québec

Sur le site de Radio-Canada du 15 mai 2013:

 

(Réjean Hébert, ministre de la Santé)

 

 

Le ministre de la Santé Réjean Hébert a demandé au Commissaire à la santé et au bien-être un portrait du programme québécois de procréation assistée, sans pour autant mettre en doute son bien fondé.

 
Le ministre Hébert souhaite que le commissaire révise les critères d'accès du programme de procréation assistée. Le gouvernement demande également une étude des enjeux éthiques de la fécondation in vitro, ainsi qu'une étude comparative avec les programmes similaires qui existent ailleurs dans le monde. La procréation assistée est gratuite depuis août 2010 au Québec, et le programme a coûté environ 63 millions de dollars en 2011-2012, et près de 60 millions l'année dernière. Au cours de l'année financière 2012-2013, près de 8000 cycles de fécondation in vitro ont été complétés.
 
Un programme populaire
 
Le programme vise à aider certains couples ou femmes qui ont des difficultés à concevoir un enfant à cause de l'infertilité ou d'une maladie génétique transmissible aux enfants. Le programme est aussi accessible pour les couples homosexuels et les femmes célibataires.
 
Le témoignage d'une femme célibataire
 
(...) 
« Si ce n'était pas gratuit, je ne serais pas allée jusque-là. La pression psychologique pour réussir à tomber enceinte après avoir dépensé cinq ou dix mille dollars aurait été insoutenable », affirme cette femme.
 
Questionnée sur la pertinence du programme, elle estime que le droit de procréer existe et doit être respecté, si la femme concernée est saine physiquement et mentalement.
 
« Si on a le droit, comme femme, de se faire avorter, alors on a aussi le droit de se faire inséminer. » — 
 
Entre espoir et découragement
 
Un couple rencontré à la sortie d'une clinique de fertilité de Québec a également témoigné de manière anonyme. (...)
 
« Ça crée beaucoup d'espoir, mais aussi beaucoup de déception. Le taux de réussite est de 30 pour cent, ce n'est pas beaucoup pour tous les efforts que ça nous demande depuis deux ans. » — 
 
Problèmes éthiques
 
Le ministre de la Santé ne remet pas en doute le programme. Il juge la démarche utile, notamment pour prévenir des grossesses multiples en cas de fécondation in vitro. Elles sont passées de 28 pour cent à 5 pour cent depuis l'implantation du programme. Mais il s'interroge sur le manque de critères d'accessibilité. Il a rappelé le cas d'un enfant issu de la procréation assistée, et qui a nécessité l'intervention du Directeur de la protection de la jeunesse dès la naissance du poupon.
 
« En ce moment, il y a peu de balises. Est-ce qu'il faudrait en mettre? C'est la question que je pose. » — Réjean Hébert(...)

 

à lire les commentaires des lecteurs.

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Les médias refusent de diffuser les images des cartes postales de Stephen Harper et d'enfants avortés. La censure de la réalité

Sur le site du journal La Presse du 15 mai 2013:

 Un groupe militant pro-vie albertain reconnu pour ses campagnes incendiaires a lancé une nouvelle offensive cette semaine contre des politiciens opposés à la réouverture du débat sur l'avortement. Leur première cible: le premier ministre canadien Stephen Harper.

Les membres du Canadian Centre for Bio-Ethical Reform (CCBR) [traduction: Centre canadien pour les réformes bioéthiques], un organisme financé par dons, distribuent des cartes postales dans la circonscription électorale de Stephen Harper, Calgary Sud-Ouest, réclamant de nouvelles balises qui restreignent le droit à l'avortement au pays.
 
La carte postale, imprimée en couleur, place le visage du premier ministre Harper à côté de ce qui apparaît être le corps d'un enfant mort après avortement, dont la tête et l'ensemble des membres de son corps sont visibles. Les images sont choquantes, aux dires mêmes de la directrice générale du CCBR, Stephanie Gray. La Presse a décidé de ne pas diffuser ces images.
 
«Stephen Harper a toujours refusé d'ouvrir à la Chambre des communes le débat sur l'avortement. Il l'a répété à de nombreuses reprises. En refusant de débattre, il permet l'avortement d'enfants jusqu'à quelques semaines avant leur naissance», martèle Mme Gray depuis Calgary, lors d'une entrevue téléphonique avec La Presse.
 
Le groupe annonce que quatre nouveaux politiciens seront visés d'ici la fin de l'été. Les membres du CCBR veulent distribuer 250 000 cartes postales en tout.
 
La directrice générale, Stephanie Gray, affirme avoir reçu plusieurs appels ou courriels de citoyens choqués par les images.
 
«Les gens qui nous écrivent ne sont pas contents. Mais nous poursuivons notre campagne, qui sera d'échelle nationale, explique-t-elle. Nous refusons de divulguer le nom des prochains politiciens visés. Notre idée est simple: si tu es pour l'avortement, tu dois subir le regard des enfants.»
 
Aucun politicien n'a pour l'instant réagi à la campagne du CCBR.
 
Des appuis au Québec
 
«Je trouve que c'est une bonne initiative. D'ailleurs, cela fait au moins trois ans que je tente d'ouvrir une branche de cet organisme au Québec. Nous voulons publier ici aussi des images bouleversantes comme celles qui sont distribuées à Calgary», explique Georges Buscemi, président de la Campagne Québec-Vie.
 
«Ces campagnes influencent les gens, même s'ils sont pro-choix. Tu ne peux pas voir des images comme ça sans être touché dans ton coeur. Un avortement, c'est la mise à mort d'un être humain», martèle-t-il.
 
(...) Des députés conservateurs sont pour l'ouverture du débat sur l'avortement et ne se gênent pas pour le dire tout haut sur la place publique.
 
«Lors d'un rallye récemment à Ottawa, j'ai rencontré plusieurs députés du parti conservateur qui appuient la réouverture du débat sur l'avortement. Il n'y avait aucun député des autres partis», affirme le président de la Campagne Québec-Vie, M. Buscemi.

Ces images ne sont que des photos d'une réalité que les médias ne veulent pas montrer au public. La censure se fait par les médias. Quand dira-t-on la vérité à la population québécoise et canadienne et quand pourra-t-elle voir cette réalité abominable diffusée dans les journaux et à la télévision? La Presse a du moins le  mérite d'en parler. Alors que les autres médias de langue française préfèrent un silence complice...

 

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Êtes-vous prêts pour la Marche Printanière?

COMMUNIQUÉ

Marche printanière dans 72 heures
Première grande mobilisation citoyenne contre l’euthanasie au Québec ce samedi

Québec, le 15 mai 2013 – Ce matin, le Rassemblement québécois contre l’euthanasie (RQCE) a partagé tous les détails de ce qui s’annonce comme la plus importante mobilisation contre l’euthanasie depuis que le Gouvernement du Québec a annoncé qu’il s’apprêtait  à présenter un projet de loi sur l' « aide médicale à mourir». Médecins, juristes, personnes handicapées, citoyens et citoyennes de partout au Québec, participeront, dans une atmosphère familiale, à La Marche printanière ce samedi 18 mai dans la Capitale nationale. 

Lors d’un point de presse ambulant autour de l’Assemblée nationale du Québec, le Dr Claude Morin, organisateur principal de la Marche et urgentologue, le Dr Marc Bergeron, hémato-oncologue, Louis-André Richard, professeur de philosophie, de même que Amy Hasbrook de Toujours vivant, ont présenté cette « initiative citoyenne ouverte à toute personne consciente du danger que représente l'euthanasie pour la société québécoise. » Sous le thème « L’euthanasie, chez nous, non merci! », le rassemblement débutera dès midi le samedi 18 mai  par des allocutions sur les plaines d'Abraham, devant le Musée national des beaux-arts du Québec. La marche se mettra en branle à 13 h 45 en direction du Parlement via la Grande-Allée. Des allocutions auront lieu tout au long de la journée qui se terminera vers 16 h 30 devant le Parlement. Les porte-parole du Rassemblement invitent la population afin « que tout soit mis en œuvre pour que la sécurité, la dignité et le confort des personnes souffrantes en fin de vie soient assurés par des soins palliatifs de qualité et universels ». « L'euthanasie élimine le souffrant, pas la souffrance. Nous n'en voulons pas! » Rappellent-ils.

De Montréal, le Dr Patrick Vinay, chef d’une unité de soins palliatifs, et président par intérim de l’organisme Vivre dans la dignité et la Dre Catherine Ferrier, membre du collectif du Refus médical de l’euthanasie, de même que le directeur exécutif de la coalition pour la prévention de l’euthanasie Alex Schadenbergh, ont tenu à partager aux organisateurs de La Marche printanière l’appui de leurs organismes respectifs, et seront présents à la marche le 18 mai prochain. Le Dr Vinay rappelle que

« Tuer n’est pas un soin médical, c’est l’arrêt instantané de tous les soins. Nous devons plutôt soigner, soulager, aider, et apaiser toute souffrance. » « Soyons nombreux le 18 mai prochain pour montrer clairement à nos élus qu’il n’existe pas de consensus québécois sur la question de “l’aide médicale à mourir” », a-t-il ajouté de concert avec la Dre Catherine Ferrier.

 

Pour obtenir toutes les informations sur La Marche printanière, consultez le site web www.euthanasienonmerci.org ou suivez le Rassemblement sur les réseaux sociaux (twitter, facebook et youtube).

Le Rassemblement québécois contre l'euthanasie est un organisme sans but lucratif qui a comme mission de contrer toute tentative d'introduire de quelque façon que ce soit l'euthanasie et le suicide assisté dans le système de santé québécois. Sensible aux enjeux de fin de vie, il prône également l'établissement d'un réseau québécois de soins palliatifs de qualité.

De nombreux porte-parole sont disponibles pour des entrevues. Le point de presse de ce matin est disponible en vidéo sur la page www.youtube.com/lamarcheprintaniere.

Source :                      Rassemblement québécois contre l’euthanasie

Communications :     Marie-Josée Lavoie

                                   (418) 953-4981

                                   [email protected]

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Plusieurs « Tweet » du pape François pour défendre la vie de l'enfant à naître...

Sur le site de zenit.org du 15 mai 2013:

 

 

(...)Dimanche 12 mai, le pape avait donné son soutien au mouvement européen pour la protection juridique de l'embryon humain.

"Je salue les membres de l'Association Civitas Christianade de Szczecin, organisateurs de la Marche pour la Vie locale, à laquelle des milliers de personnes participent depuis plusieurs années. Que cette initiative rappelle à tous la nécessité de promouvoir et de défendre la vie humaine de sa conception à son déclin naturel".
"Implorons l'Esprit-Saint afin que le coeur des hommes soient pénétrés de la vérité qui rend libres et par l'amour de Dieu qui nous dispose à être des témoins de l'Evangile", a ajouté le pape.
Ensuite, dans un "tweet", le pape a de nouveau invité au respect de la vie humaine: "C’est Dieu qui donne la vie. Respectons et aimons la vie humaine, particulièrement celle qui est sans défense dans le sein maternel."
C'est la troisième fois en quelques jours que le pape François défend publiquement la vie humaine. Dimanche dernier, 12 mai, lors du Regina Coeli, place Saint-Pierre, le pape a encouragé la Marche pour la Vie italienne, l'initiative citoyenne européenne "Un de nous", et il a annoncé un congrès au Vatican sur l'encyclique de Jean-Paul II "Evangelium Vitae" de 1995. (...)

 

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L'Uruguay débat de la loi sur l'avortement : un autre exemple de gonflement du nombre d'avortements clandestins

Sur le site de zenit.org du 15 mai 2013:

 

(Tabaré Vasquez, ancien président de l'Uruguay)

 

 

En décembre dernier, l’Uruguay fut le premier pays d’Amérique du sud à légaliser l’avortement mais il pourrait aussi être le premier des deux Amériques et des Caraïbes à faire marche arrière à cause d’un referendum populaire.
 
Plus des 52.000 signatures nécessaires pour un referendum sur l’abolition de la loi, ont en effet été présentées début mai, dont celle de l’ancien président uruguayen Tabaré Vazquez.Medico (2004-2010), oncologue, qui s’opposa à la loi et se démit du parti socialiste.
 
Le 23 juin, les uruguayens seront appelés à voter sur la question : si 654.000 électeurs (25% de l’électorat) devaient se prononcer pour l’abolition de la loi, le parlement devra en prendre acte et affronter le problème.
 
(...)
 
Le principal artisan de l’interruption volontaire de grossesse en Uruguay est l’actuel sous-secrétaire de la santé publique, Leonel Brozzo, gynécologue qui, devant le sénat,  avait fait état en 2003 de 150.000 avortements clandestins pratiqués chaque année, au grand dam de divers confrères qui ont qualifié ces chiffres d’impossibles et absurdes.
 
L’un d’eux est un des médecins du collège Bernard Nathanson, lui-même ancien partisan de l’avortement, qui a déclaré que la technique de fausser les statistiques est la même que celle utilisée dans les pays européens conne l’Espagne et l’Italie : gonfler le nombre des avortements clandestins et  celui des femmes décédées par hémorragie pour atteindre ses objectifs.
 
L'Uruguay est un pays d’environ 3 millions ½ d’habitants. D’après le Dr. Omar França-Tarragó, professeur en bioéthique, « l’Uruguay compte 707.000 femmes en âge fertile (données de 2007), dont 70.000 sont stériles, 53.000 ont donné naissance à un enfant l’année dernière ». On présume qu’environ 100.000 femmes n’ont pas de relations sexuelles, que 250.000 utilisent un préservatif, que 100.000 portent la spirale, et que près de 250.000 cycles de contraception sont consommés chaque mois.
 
Sur la base de ces chiffres, combien de femmes pourraient avoir eu recours à l’avortement ? Pas plus de 27.000 ! Comment peut-il donc y avoir 150.000 femmes qui avortent clandestinement chaque année ?  
 
Ces chiffres sont d’une telle exagération que les pro-avortements eux-mêmes les corrigèrent, parlant de 33.000 avortements pratiqués chaque année. Mais ces chiffres, bien que nettement inférieurs à ceux de Leonel Briozzo, restent exagérés : cela voudrait dire que 27.000 femmes ont plus d’une fois recours à l’interruption volontaire de grossesse chaque année.  
 
L’avortement en Uruguay a été légalisé en décembre 2012, et il s’avère que le nombre des demandes légales d’avortement n’a pas atteint le nombre présumé d’avortements dits clandestins. Selon les données fournies par Leonel Briozzo lui-même, il y a eu 200 avortements légaux pratiqués durant le premier mois qui a suivi l’adoption de la loi, et entre 300 et 400 durant les quatre mois d’après. Actuellement on estime à 5.000 le nombre des avortements légaux par an.
 
Tous ces chiffres sont la preuve de tous les mensonges qui ont été dits pour faire passer la loi autorisant l’avortement.(...)

 

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La Commission des parcs de Vancouver désire innover par des toilettes unisexes pour accommoder les personnes «transgenres»

Sur le site de Radio-Canada du 15 mai 2013:

(Une toilette pour les femmes, pour les hommes, pour les transgenres, mais personne n'a encore pensé aux autres qui selon leur imagination, ne se retrouvent pas dans ces catégories...)

 

La commission des parcs de la ville de Vancouver a adopté lundi une motion afin de créer un groupe de travail qui étudierait des moyens pour que Vancouver devienne un chef de file pour l'inclusion des transgenres, notamment dans les toilettes et les vestiaires des parcs.

Le comité sera composé de deux membres des communautés transgenre et LGBT (diversité sexuelle) et de six membres qui seront choisis par un processus de mise candidature public.

 

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Ils dérangent! Reportage sur l'initiative des cartes postales associant Stephen Harper et des photos de bébés avortés

Sur le site de CBC News (rien n'est paru en français), une très belle initiative qui dérange et aura certainement des effets, malgré la tentative du reportage. Les pro-vie vont de l'avant!

 

http://www.youtube.com/embed/33Cu103N088

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