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Nouveau directeur du mouvement « Vivre dans la Dignité »

Sur le site de vivredignite.com :

 

 

(M. Nicolas Steenhout, directeur général du réseau Vivre dans la Dignité)

 

 

 Chers amis de Vivre dans la Dignité,

 C'est avec grand plaisir que je vous annonce l'arrivée de Monsieur Nicolas Steenhout comme directeur général du réseau Vivre dans la Dignité (VDD).

M. Steenhout est originaire de Montréal. Il possède une vaste expérience dans le domaine des relations médiatiques et de la défense des droits des personnes handicapées au Canada, aux États-Unis et en Nouvelle-Zélande. Il a dirigé des Centres pour la vie autonome dans deux états américains. Il quitte l’Université Massey (Palmerston North, Nouvelle-Zélande), où il travaillait comme responsable de l’accessibilité aux examens pour les étudiants handicapés, pour se joindre à VDD.

Je suis particulièrement heureux que, grâce à son expérience internationale dans la lutte pour la reconnaissance des droits des personnes vulnérables, M. Steenhout puisse épauler Vivre dans la Dignité dans sa mission, qui est de promouvoir l'accès pour tous les citoyens à des soins vraiment humains tout au long de leur vie et jusqu’à leur mort naturelle, Il se joint à nous en ce moment critique de l’histoire du Québec pour combattre le Projet de loi 52 et l'implantation de l'euthanasie médicale dans notre système de santé. Ensemble, nous continuerons à défendre la dignité inhérente de chaque personne. Bienvenue Nicolas!

Je profite de cette occasion pour exprimer notre profonde reconnaissance à Madame Linda Couture, qui a été directrice de VDD de 2010 à 2013. Comme première directrice de VDD, elle a consacré son énergie et ses multiples talents à l'édification de notre réseau et à l'éducation des Québécois en matière d'euthanasie, de suicide assisté et de soins palliatifs. Merci Linda! Nous te souhaitons beaucoup de succès dans tes futurs projets!

Marc Beauchamp Président du Conseil d'administration Vivre dans la Dignité

 

 

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Malgré la loi, le Royaume-Uni ne poursuit pas ses médecins qui pratiquent l'avortement sélectif

Sur le site de genethique.org du 9 septembre 2013 :

 Le Ministre britannique de la Santé a demandé au parquet des "clarifications urgentes" sur sa décision de ne pas poursuivre deux médecins ayant accepté de pratiquer un avortement en raison du sexe féminin du foetus.
 
C'est le Daily Telegraph qui a révélé cette affaire à la suite d'une longue enquête prouvant que des avortements sélectifs sont pratiqués dans les communautés immigrées en Grande-Bretagne. Après avoir équipé quatre femmes enceintes d'origines éthniques différentes de caméras cachées, et les avoir envoyées auprès de neuf cliniques britanniques demander un avortement au motif que le sexe de leur foetus ne leur convenait pas, deux médecins ont accepté de pratiquer un avortement masquant "l'infanticide féminin" par "raisons sociales" ou encore "trop jeune pour être mère".
 
Malgré les preuves apportées par le quotidien anglais, le parquet a décidé de ne pas poursuivre ces médecins, d'une part "pour ne pas dissuader des médecins de pratiquer des avortements légitimes", d'autre part parce qu'aucun avortement sélectif n'a finalement eu lieu, enfin, parce que, de son point de vue, l'ordre des médecins serait plus à même de gérer "ces cas spécifiques". Une telle décision inquiète Jeremy Hunt, ministre de la santé, qui rappelle que les avortements fondés sur le choix du sexe sont "hors la loi" et "totalement inacceptables".
 
(...) Or une enquête de l'Université d'Oxford de juin 2007 avait déjà révélé un ratio garçon-fille nettement déséquilibré chez les mères d'origine indienne qui donnent naissance à leurs enfants en Grande Bretagne, qui s'expliquerait, comme en Chine ou en Inde, par l'augmentation de l'identification prénatale du sexe et des avortements des foetus de sexe féminin qui en découlent. (...)
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Des élections provinciales le 9 décembre selon l'analyste politique Jean Lapierre

Sur le site du Journal de Montréal du 5 septembre 2013 :

 

(L'ancien député Jean Lapierre)

 

 

 

Un an seulement après les dernières élections provinciales, il semble que le Québec se dirige déjà vers une nouvelle campagne. L'analyste politique Jean Lapierre a fait le tour des différents partis et croit que les Québécois pourraient devoir retourner aux urnes le 9 décembre prochain.
 
(...)
 
Pour Jean Lapierre, la première fenêtre possible pour des élections serait le 9 décembre prochain.
 
«Si on veut développer un scénario électoral, il faut attendre bien sûr le 3 novembre, mais quelques jours plus tard, on pourrait aller dans une élection provinciale», de dire l'analyste.
 
Selon lui, deux scénarios sont possibles.
 
«Ou bien Mme Marois décide qu'elle veut un gouvernement majoritaire, et d'ailleurs, c'est l'expression qu'elle utilise depuis deux jours dans toutes ses entrevues, "si j'étais majoritaire". Ou les libéraux, si l'économie va très mal, peuvent décider de présenter une motion de défiance et forcer la CAQ probablement à voter avec eux.»
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En France le combat pour la défense des enfants contre le « mariage » gai se poursuit toujours...

Sur le site du Salon Beige du 5 septembre 2013, un rassemblement pacifique des Veilleurs, agressé par leurs opposant, demeure calme malgré la violence des groupes LGBT :

 

 

 


Les veilleurs à Couëron face à la haine LGBT... par Le_Salon_Beige Laissez un commentaire

Une nouvelle politique sur l'homosexualité présentée aux écoles catholiques du Yukon pour censurer l'enseignement chrétien

Sur le site de Radio-Canada du 6 septembre 2013 :

 

 

 

 

La nouvelle version de la politique sur les élèves homosexuels des écoles catholiques du Yukon est maintenant rendue publique et soumise à la population.
 
La politique One Heart : Administering by Love (« Un seul coeur : l'administration par l'amour ») se distance de la politique controversée de l'école Vanier de Whitehorse, que le ministre de l'Éducation a abolie en mars et ordonné à la corporation épiscopale catholique de Whitehorse de réécrire.
 
Elle cesse d'abord de mentionner que l'homosexualité est «  mal  » ou un «  trouble intrinsèque  ».
 
Elle stipule ensuite qu'il faut résister au « fléau de l'intimidation dans l'éducation » dans les écoles catholiques et souligne que les élèves « d'attirance du même sexe » y sont plus à risque.
 
La nouvelle politique dit aussi que les écoles catholiques ne toléreront pas les remarques désobligeantes ou le harcèlement et n'auront aucune tolérance pour la discrimination, telle que déterminée par la Charte canadienne des droits et libertés.
 
Aux enseignants, la politique dicte de ne pas présumer que tous les élèves sont hétérosexuels, de ne pas étiqueter les élèves homosexuels et de ne pas suggérer en classe qu'un élève devrait dévoiler son homosexualité. « Une telle décision revient à l'élève, au moment qu'il jugera opportun », peut-on lire.
 
Le document mentionne également que les écoles comme Vanier à Whitehorse peuvent créer des groupes de soutien. Les noms de ces groupes doivent contenir le terme One Heart, mais peuvent aussi mentionner qu'ils sont des alliances gais-hétéros. Les signes et symboles doivent inclure une croix ainsi qu'un coeur. (...)
 
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Le pape François va baptiser l'enfant d'une femme qui a refusé d'avorter

Sur le site du Salon Beige du 5 septembre 2013 :

 

 

 

 

Agée de 35 ans, Anna Romano a écrit fin juin au pape pour lui confier deux choses: qu'elle est enceinte et que le père de son enfant était déjà marié. L'homme l'a abandonnée lui conseillant de se faire avorter. Elle y a pensé un instant, puis y a renoncé.
 
Mardi dernier, vers quatre heures de l'après-midi, son téléphone portable a sonné : c'était le pape. Il lui a promis de baptiser son enfant, qui naîtra début avril.
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Le pape François a combattu la « théologie » de la libération

Sur le site de chiesa.espresso du 5 septembre 2013 (via le Salon Beige):

 

(Le tortionnaire et criminel Che Guevarra, toujours considéré comme un modèle et pratiquement un saint par les «théologiens» de la libération.)

 

 

 Jorge Mario Bergoglio lui-même n’a jamais caché son désaccord avec des aspects essentiels de cette théologie.

Ses théologiens de référence n’ont jamais été ni Gutiérrez, ni Leonardo Boff, ni Jon Sobrino, mais l'Argentin Juan Carlos Scannone, qui avait élaboré une théologie non pas de la libération mais "du peuple", centrée sur la culture et la religiosité des gens ordinaires, en premier lieu les pauvres, avec leur spiritualité traditionnelle et leur sensibilité à la justice.
 
En 2005 – c’est-à-dire à un moment où l’ouvrage écrit par Müller et Gutiérrez avait déjà été publié en Allemagne – celui qui était alors l’archevêque de Buenos Aires écrivait :
 
"Après l’effondrement de l'empire totalitaire du 'socialisme réel' ces courants de pensée se sont enfoncés dans la confusion. Incapables aussi bien d’une reformulation radicale que d’une nouvelle créativité, ils ont survécu par inertie, même si, aujourd’hui encore, il ne manque pas de gens pour vouloir les proposer à nouveau, de manière anachronique".
 
D’après le frère de Leonardo Boff, Clodovis, l'événement qui a marqué la rupture de l’Église catholique latino-américaine avec ce qu’il restait de la théologie de la libération a été la conférence continentale d’Aparecida, en 2007, inaugurée par Benoît XVI en personne et dans laquelle le cardinal Bergoglio a joué un rôle de premier plan.
 
C’est précisément à cette époque-là que Clodovis Boff a effectué sa "conversion". Lui qui était un représentant de pointe de la théologie de la libération, il est devenu l’un de ceux qui la critiquent le plus sévèrement.
 
En 2008 la polémique entre les deux frères avait fait du bruit. D’après Clodovis, l'erreur "fatale" dans laquelle tombe la théologie de la libération est de considérer le pauvre comme le "premier principe opérationnel de la théologie", en le mettant à la place de Dieu et de Jésus-Christ.
 
Avec la conséquence suivante :
 
"La 'pastorale de la libération' devient une branche de la lutte politique parmi tant d’autres. L’Église se rend semblable à une ONG et, ce faisant, elle se vide aussi physiquement : elle perd des opérateurs, des militants et des fidèles. Les gens 'de l’extérieur' n’éprouvent guère d’intérêt pour une 'Église de la libération' parce que, pour ce qui est du militantisme, ils disposent déjà des ONG, tandis que, pour ce qui est de l’expérience religieuse, ils ont besoin de beaucoup plus que d’une simple libération sociale".
 
Contre ce danger que l’Église se réduise à n’être qu’une ONG, le pape François lance de manière répétée un signal d'alarme.
La théologie de la libération fut une caricature d'un réel souci pastoral pour les pauvres. Elle fera partie de l'histoire comme l'un des nombreux parasites idéologiques qui aura tenté de soudoyer les chrétiens pour les détourner d'une aide véritable aux plus vulnérables de nos sociétés, par souci de bien paraître auprès d'une gauche politique bien pensante. 
 
L'Église n'a jamais eu besoin de ce succédané constitué de bien pensance pour aider efficacement les pauvres et changer les sociétés pour une véritable libération.
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Pauline Marois affirme vouloir aller par étape pour poursuivre la déchristianisation du Québec...

Sur le site du journal Le Devoir du 6 septembre 2013 :

 

(Elle sait où elle va...)

 

 

 

Une forme d’étapisme présidera à la mise en oeuvre de la Charte des valeurs québécoises alors que son application s’étendra sur plusieurs années et prévoira des périodes d’adaptation. Dans une entrevue éditoriale accordée au Devoir jeudi, la première ministre Pauline Marois a fait l’analogie entre l’introduction de la Charte des valeurs québécoises et la déconfessionnalisation des écoles à la fin des années 90.
 
« Dans un premier temps, on a déconfessionnalisé les commissions scolaires. Ensuite, on a déconfessionnalisé progressivement les écoles, a-t-elle rappelé. Ça s’est fait sur une dizaine d’années, parce que ce sont des changements majeurs. Alors voilà où nous voulons aller et il y aura des périodes de transition. »

Pauline Marois aurait pu ajouter qu'elle a personnellement roulé dans la farine les évêques du Québec en leur promettant que la perte du caractère confessionnel des commissions scolaires n'entraînerait pas la perte du caractère confessionnel des écoles. Elle et le Parti Québécois avaient simplement changé d'avis, avec le temps. Étape par étape...

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La Packard Foundation offre un voyage gratuit au journaliste sub-saharien qui fera le mieux la promotion de la contraception

Sur le blog de Jeanne Smits du 6 septembre 2013 :

 

 

La composante africaine de la Fédération internationale du Planning familial (IPPF) vient de lancer un concours qui permettra à un journaliste du continent noir de remporter le Prix du reportage sur le Planning familial des journalistes africains. La cible de cette campagne ? Les journalistes « pionniers » de l'Afrique sub-saharienne. Son objectif est évident : promouvoir les moyens contraceptifs auprès des populations noires en multipliant les informations dans la presse à leur sujet.
 
(...)
 
Les finalistes se verront offrir un voyage pour rejoindre Addis Abeba, en Ethiopie, pour y assister à la soirée de gala de remise des prix qui se tiendra en marge de la conférence internationale sur le Planing familial qui doit s'y tenir en novembre de cette année.
 
L'IPPF estime à 26 % des femmes mariées en Afrique sub-saharienne la proportion d'entre elles qui n'ont pas accès à la méthode contraceptive dont elles auraient besoin (attention, on ne parle pas de ce qu'elles auraient demandé ou voulu) : Mme Lucien Kouakou voudrait que leur nombre soit divisé par deux d'ici à 2020 :
 
« Les médias seront d'une importance capitale si nous voulons réaliser cet objectif. Ils jouent un rôle majeur dans le renforcement et l'accroissement de la couverture des questions liées à la planification familiale. Ce prix met en valeur les journalistes qui sont des convaincus passionnés du planning familial et qui se sont voués à la promotion de cet aspect très important de la santé et des droits de la santé sexuelle et reproductive. »
 
Cette première édition du prix a été dotée par la Packard Foundation, la fondation liée aux fondateurs de Hewlett-Packard, géant de l'informatique qui à l'instar de nombreuses multinationales participe au financement de la promotion et de la distribution de la contraception.
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85 % des gynécologues italiens ne veulent pas pratiquer d'avortements...

Sur le site de youphil.com du 5 septembre 2013 :

 

 

 

 

 

 

Les objecteurs de conscience vont à l'encontre de la loi et poussent les femmes à avorter dans la clandestinité. 
 
En Italie, l'avortement redevient clandestin. En Lombardie, selon le journal Il Fatto Quotidiano, 67,8% des gynécologues sont objecteurs de conscience. En raison d'impératifs religieux, moraux ou éthiques, ils ne pratiquent plus l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Et il ne s’agit pas de la région la plus mal lotie: en Basilicate, 85,2% des gynécologues refusent d’avorter leurs patientes. L'augmentation est nette: en 2005 au niveau national, 59,7% des gynécologues étaient objecteurs de conscience. En 2010 ils étaient 70,3%. 
 
Pourtant, la législation est claire: la loi 194 du 22 mai 1978 autorise les médecins à pratiquer l’IVG. La Lombardie compte 63 hôpitaux dotés d’un service de gynécologie obstétrique. Dans onze services, 100% des gynécologues sont objecteurs et dans douze autres, entre 80 et 99%. En plus des gynécologues, les anesthésistes et le personnel paramédical se posent aussi comme objecteurs de conscience. 
 
(...)
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