M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Le nouveau gouvernement en Australie veut favoriser l'institution familiale

Sur le site de Pour une  école libre du 8 septembre 2013 :

 

(Le nouveau premier ministre d'Australie, Tony Abbott)

 

L'opposition conservatrice menée par Tony Abbott a remporté de manière décisive les élections qui se déroulaient samedi, en Australie.
 
M. Abbott, qui dirige le Parti libéral australien, succédera donc au travailliste Kevin Rudd à la tête du pays. 
 
(...)
 
Il est fortement opposé au mariage entre personnes du même sexe, alors que ce sujet semble être devenu la nouvelle marotte du Parti travailliste après le rejet par la population de sa politique d'imposition des émissions de carbone.
 
Son programme, qui se veut pro-entreprises, prévoit l'annulation de la taxe carbone imposée aux grands groupes polluants et mise en place sous les travaillistes. Les libéraux promettent également la mise en place d'une politique très restrictive pour les immigrants illégaux qui arrivent en bateau sur les plages australiennes et six mois de congés payés pour les jeunes mères.

 

Laissez un commentaire

La charte de l'immaturité...

(Daniel Baril, ancien président du Mouvement laïque québécois, est l'un des principaux militants en faveur du laïcisme dans la province et cofondateur des Intellectuels pour la « laïcité ».Il est également membre du conseil d'administration de l'Association humaniste du Québec et de la Fondation humaniste du Québec. Son laïcisme militant est source d'inspiration pour le Mouvement laïque québécois qui poursuit actuellement en justice le Maire Tremblay pour délit de prières au conseil municipal, et pour le Parti Québécois.)

Il y a un très grave vice de fonctionnement dans cette charte des « valeurs québécoises », titre qui ne peut qu’entraîner une profonde honte chez les Québécois. C’est, comme l'a justement dénoncé Mgr Simard, cette présomption de culpabilité du porteur de signe religieux. Présomption de prosélytisme, présomption de partialité, d’incompétence, présomption de toute personne ayant un préjugé négatif à l’égard des religions.

Et cette charte vient justifier ce comportement mesquin de méfiance envers l’autre,  autre différent de ce matérialisme pratique si cher au Mouvement Laïc Québécois.

Cette charte vient tout simplement renverser la présomption d’innocence et de bienveillance dont doit bénéficier tout citoyen dans un État de droit. Le signe religieux devient signe d’une tare ou de multiples dangers dont il est justifié d’avoir peur.

En cela même cette charte n’est pas neutre. Elle est l’expression d’un laïcisme anti-laïcité qui tient à encadrer son rejet viscéral de la transcendance par la transmission dans les lois de cet esprit étroit de méfiance envers les différents types de religion autre que le matérialisme déjà cité.

Cette charte consacrerait l’immaturité d’un peuple, elle serait une profonde régression encourageant l’absence d’esprit de rassemblement et d’ouverture à la différence. Parce que la liberté de religion, ou liberté de conscience, n’est pas qu’une simple caractéristique culturelle que l’on peut faire disparaître pour intégrer les nouveaux arrivants dans une culture d’accueil. Elle dépasse complètement les querelles de multiculturalisme et de culture commune. La liberté de religion est le fondement de la liberté.

Le Parti Québécois se sert de cas montés en épingle pour éliminer les signes religieux ostentatoires, principalement chrétiens puisque ces derniers sont fortement majoritaires au Québec. On gardera, pour l’instant, la croix au parlement, parce que la population a manifesté qu’elle y tenait, majoritairement aussi, même si les articles des journaux ne relayant qu’une certaine frange de la population voulant contrôler le peuple, propagent ce refus même de parler de patrimoine lorsqu’il s’agit d’un objet de culte rappelant la foi chrétienne toujours actuelle d’un peuple, placé au parlement alors que la majorité de la population québécoise n’était même pas née (1936).

Si le Parti Québécois veut faire une réelle charte de la laïcité, qu’il la base, selon le terme très juste de Mgr Simard, sur une présomption de bonté. Il n’est pas normal, parce que les dirigeants du Parti Québécois éprouvent de la méfiance envers les signes religieux, qu’ils puissent réglementer leur ignorance inquiète en présomption de culpabilité. Toute personne d’une religion autre que le matérialisme serait soupçonnée par la loi, des crimes imaginés par l’irrationalité superstitieuse du Parti Québécois. Elles seraient les seules à ne pouvoir bénéficier de la présomption d’innocence.

Que le Parti Québécois cesse de mélanger protection de la culture et abolition de la liberté de conscience. Avec des distinctions claires, les Québécois pourraient exprimer, et leur amour d’une culture commune à conserver, et leur amour de cette liberté religieuse, fondement de toutes les libertés.

Mais pour cela, il faut que les dirigeants du Parti Québécois deviennent des adultes capables de surmonter, plus que leurs peurs irrationnelles, leur haine même du christianisme et de la transcendance… Sont-ils capables de ce respect du croyant en Dieu?

À relire également, ce texte complémentaire sur l'importance pour tout peuple, et pour le peuple québécois, de conserver sa culture.

Laissez un commentaire

Mgr Simard dénonce la charte des « valeurs québécoises »

Sur le site de radiovm.com du 6 septembre 2013, cette entrevue de Philippe Vaillancourt dont voici un extrait:

(Mgr Noël Simard, évêque de Valleyfield)

 

 

« Je crois que la personne a le droit d’exprimer sa religion et de la vivre non seulement au plan privé, mais de l’exprimer aussi dans la sphère publique. À ce niveau-là, la charte pourrait porter atteinte à des droits acquis », estime Mgr Noël Simard.

(...) « Il faut avoir beaucoup plus d’ouverture qu’une laïcité... je dirais presque intransigeante. »

Sans surprise, l’évêque porte sur la foi un regard positif qui tient compte autant de la vie privée que de la vie sociale des individus.

« On est en train de morceler l’être humain et sa vie sociale. Si je suis chrétien, je vis ma vie chrétienne partout. »

Selon lui, le fait qu’un enseignant porte une croix autour de son cou ne pose aucun problème, tant qu’il ne profite pas de son poste pour faire du prosélytisme. À une présomption de prosélytisme, il propose plutôt une présomption de bonté.

« La religion permet aux personnes de prendre un chemin intérieur vers l’accomplissement de soi, et d’aller vers la source Tout Autre, que moi je nomme le Dieu de Jésus-Christ. Étymologiquement, la religion permet de se « relier » à une source Autre, qui est bienveillante. Elle signifie aussi « relire ». Relire la réalité, les événements, les relations entre nous. On peut alors voir l’expression de la beauté de Dieu », fait-il valoir.

Ne pas vider les symboles de leur sens

Mgr Simard se dit agacé par une conception du patrimoine limitée au passé. Mais pour qu’un patrimoine demeure vivant, « on doit lui donner la « possibilité de se manifester et de s’exprimer ».

 « Ma foi est plus qu’uniquement un signe religieux! La foi est la manifestation en actes et en paroles d’une conviction profonde. C’est un paradoxe de vouloir maintenir un crucifix [dans un lieu public] et de vouloir passer des lois qui vont à l’encontre de ce qu’il représente!(...)

Pensée unique

L’évêque de Valleyfield se demande par ailleurs s’il est bien réaliste de la part du gouvernement québécois de revendiquer sa position au nom de la « neutralité » étatique en matière de religion.

« La neutralité n’existe pas, soutient Mgr Simard. Actuellement, le gouvernement n’est pas neutre avec la promotion de cette laïcité radicale. On prône une seule voie! Il est en train de vouloir imposer, sous prétexte de laïcité et de neutralité, une façon de faire qui n’est pas impartiale. »

 

 

Laissez un commentaire

Nouveau directeur du mouvement « Vivre dans la Dignité »

Sur le site de vivredignite.com :

 

 

(M. Nicolas Steenhout, directeur général du réseau Vivre dans la Dignité)

 

 

 Chers amis de Vivre dans la Dignité,

 C'est avec grand plaisir que je vous annonce l'arrivée de Monsieur Nicolas Steenhout comme directeur général du réseau Vivre dans la Dignité (VDD).

M. Steenhout est originaire de Montréal. Il possède une vaste expérience dans le domaine des relations médiatiques et de la défense des droits des personnes handicapées au Canada, aux États-Unis et en Nouvelle-Zélande. Il a dirigé des Centres pour la vie autonome dans deux états américains. Il quitte l’Université Massey (Palmerston North, Nouvelle-Zélande), où il travaillait comme responsable de l’accessibilité aux examens pour les étudiants handicapés, pour se joindre à VDD.

Je suis particulièrement heureux que, grâce à son expérience internationale dans la lutte pour la reconnaissance des droits des personnes vulnérables, M. Steenhout puisse épauler Vivre dans la Dignité dans sa mission, qui est de promouvoir l'accès pour tous les citoyens à des soins vraiment humains tout au long de leur vie et jusqu’à leur mort naturelle, Il se joint à nous en ce moment critique de l’histoire du Québec pour combattre le Projet de loi 52 et l'implantation de l'euthanasie médicale dans notre système de santé. Ensemble, nous continuerons à défendre la dignité inhérente de chaque personne. Bienvenue Nicolas!

Je profite de cette occasion pour exprimer notre profonde reconnaissance à Madame Linda Couture, qui a été directrice de VDD de 2010 à 2013. Comme première directrice de VDD, elle a consacré son énergie et ses multiples talents à l'édification de notre réseau et à l'éducation des Québécois en matière d'euthanasie, de suicide assisté et de soins palliatifs. Merci Linda! Nous te souhaitons beaucoup de succès dans tes futurs projets!

Marc Beauchamp Président du Conseil d'administration Vivre dans la Dignité

 

 

Laissez un commentaire

Malgré la loi, le Royaume-Uni ne poursuit pas ses médecins qui pratiquent l'avortement sélectif

Sur le site de genethique.org du 9 septembre 2013 :

 Le Ministre britannique de la Santé a demandé au parquet des "clarifications urgentes" sur sa décision de ne pas poursuivre deux médecins ayant accepté de pratiquer un avortement en raison du sexe féminin du foetus.
 
C'est le Daily Telegraph qui a révélé cette affaire à la suite d'une longue enquête prouvant que des avortements sélectifs sont pratiqués dans les communautés immigrées en Grande-Bretagne. Après avoir équipé quatre femmes enceintes d'origines éthniques différentes de caméras cachées, et les avoir envoyées auprès de neuf cliniques britanniques demander un avortement au motif que le sexe de leur foetus ne leur convenait pas, deux médecins ont accepté de pratiquer un avortement masquant "l'infanticide féminin" par "raisons sociales" ou encore "trop jeune pour être mère".
 
Malgré les preuves apportées par le quotidien anglais, le parquet a décidé de ne pas poursuivre ces médecins, d'une part "pour ne pas dissuader des médecins de pratiquer des avortements légitimes", d'autre part parce qu'aucun avortement sélectif n'a finalement eu lieu, enfin, parce que, de son point de vue, l'ordre des médecins serait plus à même de gérer "ces cas spécifiques". Une telle décision inquiète Jeremy Hunt, ministre de la santé, qui rappelle que les avortements fondés sur le choix du sexe sont "hors la loi" et "totalement inacceptables".
 
(...) Or une enquête de l'Université d'Oxford de juin 2007 avait déjà révélé un ratio garçon-fille nettement déséquilibré chez les mères d'origine indienne qui donnent naissance à leurs enfants en Grande Bretagne, qui s'expliquerait, comme en Chine ou en Inde, par l'augmentation de l'identification prénatale du sexe et des avortements des foetus de sexe féminin qui en découlent. (...)
Laissez un commentaire

Des élections provinciales le 9 décembre selon l'analyste politique Jean Lapierre

Sur le site du Journal de Montréal du 5 septembre 2013 :

 

(L'ancien député Jean Lapierre)

 

 

 

Un an seulement après les dernières élections provinciales, il semble que le Québec se dirige déjà vers une nouvelle campagne. L'analyste politique Jean Lapierre a fait le tour des différents partis et croit que les Québécois pourraient devoir retourner aux urnes le 9 décembre prochain.
 
(...)
 
Pour Jean Lapierre, la première fenêtre possible pour des élections serait le 9 décembre prochain.
 
«Si on veut développer un scénario électoral, il faut attendre bien sûr le 3 novembre, mais quelques jours plus tard, on pourrait aller dans une élection provinciale», de dire l'analyste.
 
Selon lui, deux scénarios sont possibles.
 
«Ou bien Mme Marois décide qu'elle veut un gouvernement majoritaire, et d'ailleurs, c'est l'expression qu'elle utilise depuis deux jours dans toutes ses entrevues, "si j'étais majoritaire". Ou les libéraux, si l'économie va très mal, peuvent décider de présenter une motion de défiance et forcer la CAQ probablement à voter avec eux.»
Laissez un commentaire

En France le combat pour la défense des enfants contre le « mariage » gai se poursuit toujours...

Sur le site du Salon Beige du 5 septembre 2013, un rassemblement pacifique des Veilleurs, agressé par leurs opposant, demeure calme malgré la violence des groupes LGBT :

 

 

 


Les veilleurs à Couëron face à la haine LGBT... par Le_Salon_Beige Laissez un commentaire

Une nouvelle politique sur l'homosexualité présentée aux écoles catholiques du Yukon pour censurer l'enseignement chrétien

Sur le site de Radio-Canada du 6 septembre 2013 :

 

 

 

 

La nouvelle version de la politique sur les élèves homosexuels des écoles catholiques du Yukon est maintenant rendue publique et soumise à la population.
 
La politique One Heart : Administering by Love (« Un seul coeur : l'administration par l'amour ») se distance de la politique controversée de l'école Vanier de Whitehorse, que le ministre de l'Éducation a abolie en mars et ordonné à la corporation épiscopale catholique de Whitehorse de réécrire.
 
Elle cesse d'abord de mentionner que l'homosexualité est «  mal  » ou un «  trouble intrinsèque  ».
 
Elle stipule ensuite qu'il faut résister au « fléau de l'intimidation dans l'éducation » dans les écoles catholiques et souligne que les élèves « d'attirance du même sexe » y sont plus à risque.
 
La nouvelle politique dit aussi que les écoles catholiques ne toléreront pas les remarques désobligeantes ou le harcèlement et n'auront aucune tolérance pour la discrimination, telle que déterminée par la Charte canadienne des droits et libertés.
 
Aux enseignants, la politique dicte de ne pas présumer que tous les élèves sont hétérosexuels, de ne pas étiqueter les élèves homosexuels et de ne pas suggérer en classe qu'un élève devrait dévoiler son homosexualité. « Une telle décision revient à l'élève, au moment qu'il jugera opportun », peut-on lire.
 
Le document mentionne également que les écoles comme Vanier à Whitehorse peuvent créer des groupes de soutien. Les noms de ces groupes doivent contenir le terme One Heart, mais peuvent aussi mentionner qu'ils sont des alliances gais-hétéros. Les signes et symboles doivent inclure une croix ainsi qu'un coeur. (...)
 
Laissez un commentaire

Le pape François va baptiser l'enfant d'une femme qui a refusé d'avorter

Sur le site du Salon Beige du 5 septembre 2013 :

 

 

 

 

Agée de 35 ans, Anna Romano a écrit fin juin au pape pour lui confier deux choses: qu'elle est enceinte et que le père de son enfant était déjà marié. L'homme l'a abandonnée lui conseillant de se faire avorter. Elle y a pensé un instant, puis y a renoncé.
 
Mardi dernier, vers quatre heures de l'après-midi, son téléphone portable a sonné : c'était le pape. Il lui a promis de baptiser son enfant, qui naîtra début avril.
Laissez un commentaire

Le pape François a combattu la « théologie » de la libération

Sur le site de chiesa.espresso du 5 septembre 2013 (via le Salon Beige):

 

(Le tortionnaire et criminel Che Guevarra, toujours considéré comme un modèle et pratiquement un saint par les «théologiens» de la libération.)

 

 

 Jorge Mario Bergoglio lui-même n’a jamais caché son désaccord avec des aspects essentiels de cette théologie.

Ses théologiens de référence n’ont jamais été ni Gutiérrez, ni Leonardo Boff, ni Jon Sobrino, mais l'Argentin Juan Carlos Scannone, qui avait élaboré une théologie non pas de la libération mais "du peuple", centrée sur la culture et la religiosité des gens ordinaires, en premier lieu les pauvres, avec leur spiritualité traditionnelle et leur sensibilité à la justice.
 
En 2005 – c’est-à-dire à un moment où l’ouvrage écrit par Müller et Gutiérrez avait déjà été publié en Allemagne – celui qui était alors l’archevêque de Buenos Aires écrivait :
 
"Après l’effondrement de l'empire totalitaire du 'socialisme réel' ces courants de pensée se sont enfoncés dans la confusion. Incapables aussi bien d’une reformulation radicale que d’une nouvelle créativité, ils ont survécu par inertie, même si, aujourd’hui encore, il ne manque pas de gens pour vouloir les proposer à nouveau, de manière anachronique".
 
D’après le frère de Leonardo Boff, Clodovis, l'événement qui a marqué la rupture de l’Église catholique latino-américaine avec ce qu’il restait de la théologie de la libération a été la conférence continentale d’Aparecida, en 2007, inaugurée par Benoît XVI en personne et dans laquelle le cardinal Bergoglio a joué un rôle de premier plan.
 
C’est précisément à cette époque-là que Clodovis Boff a effectué sa "conversion". Lui qui était un représentant de pointe de la théologie de la libération, il est devenu l’un de ceux qui la critiquent le plus sévèrement.
 
En 2008 la polémique entre les deux frères avait fait du bruit. D’après Clodovis, l'erreur "fatale" dans laquelle tombe la théologie de la libération est de considérer le pauvre comme le "premier principe opérationnel de la théologie", en le mettant à la place de Dieu et de Jésus-Christ.
 
Avec la conséquence suivante :
 
"La 'pastorale de la libération' devient une branche de la lutte politique parmi tant d’autres. L’Église se rend semblable à une ONG et, ce faisant, elle se vide aussi physiquement : elle perd des opérateurs, des militants et des fidèles. Les gens 'de l’extérieur' n’éprouvent guère d’intérêt pour une 'Église de la libération' parce que, pour ce qui est du militantisme, ils disposent déjà des ONG, tandis que, pour ce qui est de l’expérience religieuse, ils ont besoin de beaucoup plus que d’une simple libération sociale".
 
Contre ce danger que l’Église se réduise à n’être qu’une ONG, le pape François lance de manière répétée un signal d'alarme.
La théologie de la libération fut une caricature d'un réel souci pastoral pour les pauvres. Elle fera partie de l'histoire comme l'un des nombreux parasites idéologiques qui aura tenté de soudoyer les chrétiens pour les détourner d'une aide véritable aux plus vulnérables de nos sociétés, par souci de bien paraître auprès d'une gauche politique bien pensante. 
 
L'Église n'a jamais eu besoin de ce succédané constitué de bien pensance pour aider efficacement les pauvres et changer les sociétés pour une véritable libération.
Laissez un commentaire