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Deux excellents textes de Lise Ravary sur l'euthanasie et la prostitution...

Sur le site du Journal de Montréal du 6 juin 2014, un texte sur l'euthanasie à lire en entier, « Ça s'appelle l'euthanasie », dont voici un extrait :

(Photo : AlerteRose sur flickr.com, licence creative commons

 

 

 

 

 Environ un patient en phase terminale sur trois a accès aux soins palliatifs. Dans un contexte de compressions budgétaires, comment s’attendre à un accès universel d’ici peu ?

Le législateur se protège quand il précise : «Les dispositions du présent article s’appliquent en tenant compte des dispositions législatives et réglementaires relatives à l’organisation et au fonctionnement des établissements, des orientations, des politiques et des approches des maisons de soins palliatifs ainsi que des ressources humaines, matérielles et financières dont ils disposent» (mes italiques).

(...)

Or, la science aujourd’hui sait comment contrôler la douleur en fin de vie. Mais cela coûte cher.

(...)

Mourir dans la dignité, voilà qui est commode et peu coûteux comparé à Vivre dans la dignité.

Le gouvernement a réussi à berner une bonne partie de la population en laissant croire qu'on ne pouvait soulager les douleurs en fin de vie et que les raisons de tuer les patients à leur demande avait quelque chose à voir avec la compassion. Tout est économie ici...

Lise Ravary signe également un excellent texte sur la prostitution, sur le site du Journal de Montréal du 5 juin 2014 :

 La très grande majorité des femmes qui se prostituent ont été abusées pendant l’enfance ou l’adolescence. Au bas mot, 60 pour cent. Au pire, 90 pour cent, selon les milieux.

Au Canada, selon une étude déposée à la Cour suprême, 89 pour cent des femmes prostituées souhaitent quitter ce milieu. Dans le East Side de Vancouver, c’est 92 pour cent. Or, quitter la prostitution peut être plus dangereux pour une femme que d’y rester. Et beaucoup plus difficile. (...)

Ce n’est pas vrai qu’on ne peut espérer abolir la prostitution ou tout au moins freiner son expansion. Il y a moins de 200 ans, il n’y avait que des illuminés pour réclamer l’abolition de l’esclavage. Ou le travail des enfants. Et pourtant, quel chemin a été parcouru.

Tout comme un jour on parlera au passé du combat pour abolir l'avortement des enfants à naître, quand tous auront pris conscience de son humanité...

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