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CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

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La Marche Chrétienne 2014! Soyons-y!

 
SE RASSEMBLER AU NOM DE JÉSUS
Prenez courage…  Jean16 :33

Samedi le 14 juin 2014
Endroit : Parc Angrignon à Montréal

De 10h00 à 14h00
  • Pour encourager les chrétiens du Québec à prendre plus au sérieux le rôle qui leur revient dans le débat des idées sur l’espace public.
  • Pour que les valeurs chrétiennes, fondatrices de l’identité québécoise, continuent d’inspirer les choix  sociaux.
  • Parce que nous tenons à notre héritage chrétien qui est en danger si on ne le défend pas.
Nos orateurs

Mgr Christian Lépine, Archevêque de Montréal
Pst Jeffrey Laurin, fondateur de l’Église La Bible Parle
M. Antoine Malek, président de l’Association de la Communauté Copte
Orthodoxe du Grand Montréal
M. Douglas Farrow, Titulaire de la Chaire Kennedy Smith en études catholiques de l’Université McGill

Pique-nique
Animation musicale

« AVEC  JÉSUS,  ÇA  MARCHE »

Info :
 
Jeannelle Cantin    (450)293-2682       
Réal Gaudreault, Porte-parole (514)609-8222
 
[email protected]            [email protected]

Détails sur MarcheChretienne.com
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Rien n'est plus contraire à la dignité que le projet de loi pour « mourir dans la dignité ». Explication du sens du mot dignité

Un texte des plus intéressant du philosophe Thomas de Koninck sur le site de l'encyclopédie de l'agora, sur le sens du mot dignité, dont voici un extrait :

(photo :  Adrián Afonso sur flickr.com, licence creative commons)

Le sophisme «le plus naturel et le plus répandu est celui qui tire parti des mots», constatait déjà Aristote au début de ses Réfutations sophistiques. De là découle, ajoutait-il, que «ceux qui n’ont aucune expérience de la puissance des mots sont victimes de paralogismes lorsqu’eux-mêmes prennent part à un échange dialectique ou encore lorsqu’ils en écoutent d’autres»[1]. Les fréquents débats de toute sorte où intervient, au centre, le mot «dignité», offrent de nos jours un bon exemple de semblables échanges. Il est aisé de constater que le mot «dignité» trahit alors trop souvent ce que Gabriel Marcel qualifiait à juste titre de «conception décorative de la dignité», celle qui consiste à «se marquer au dehors», selon le mot de Gide, et qui constitue bien plutôt une moquerie de la dignité humaine[2].

Mais il y a pire. Il y a ce que le poète québécois Paul Chamberland, sur un autre sujet parallèle, a su résumer en une phrase incisive: «L’altération totale du sens des mots permettra de fabriquer la version officielle de ce qui devra passer pour la réalité elle-même»[3]. On ne saurait mieux énoncer la loi en vertu de laquelle, faute de pouvoir transformer la réalité, l’idéologie altère le sens des mots désignant cette réalité. Désormais, pour le dire d’un mot avec George Orwell, «le noir est blanc», «la guerre est la paix» et ainsi de suite. Le principe est admirablement formulé, en effet, par Orwell dans 1984: il s’agit de «disloquer le sens de la réalité». Cela s’appelle «contrôle de la réalité», en langue ordinaire («Oldspeak»), et dans la nouvelle langue («Newspeak», «novlangue») destinée à rétrécir les esprits, cela s’appelle  «la double pensée», à savoir «le pouvoir de tenir deux opinions contradictoires simultanément à l’esprit et de les accepter toutes deux»[4].

C’est ce que vient d’illustrer au Québec la Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité, en transformant la belle expression Aide médicale à mourir en un oxymore, pour lui faire désigner, non plus une véritable aide médicale comme les soins palliatifs, mais au contraire une pratique euthanasique[5]. La confusion constante qui lui a permis cela est celle qu’elle n’a cessé d’entretenir autour du mot dignité, notamment dans l’expression «mourir dans la dignité», qui a même servi à dénommer la Commission elle-même et son Rapport.

Je cite cet exemple à présent dans le seul dessein d’illustrer jusqu’où peut mener le manque d’une vision précise et critique de la dignité humaine, ce point de repère qu’on m’a demandé de résumer en quelques minutes ce matin. Il est hors de mon propos de m’attarder davantage aujourd’hui au cas particulier que je viens de mentionner. D’autres le feront sans doute -- il faut le souhaiter -- dans la suite de ce congrès.

La dignité point de repère, justement, doit s’entendre en trois sens forts, dont la pertinence saute aux yeux : 1/ dignité ontologique, 2/ dignité-décence, 3/ dignité-liberté[6]. Mon exposé se découpera donc en trois parties consacrées à ces trois sens principaux, suivies d’une brève conclusion.

(...)

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Appel de l'archevêque de Montréal, Mgr Christian Lépine, à refuser le projet de loi 52 (euthanasie)

Sur le site du diocèse de Montréal du 28 mai 2014 :

(Photo : Peter Potrowl sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

 

 

 

Une question de vie ou de mort : Un appel à la conscience 

De façon imminente, à l'Assemblée Nationale, nos députés voteront sur le projet de loi 52 : Loi concernant les soins de fin de vie. S'il est adopté, l'euthanasie deviendra légale sous l'appellation d' « aide médicale à mourir ».

Or, devancer la mort ce n'est pas aider à mourir mais faire mourir. C'est donner à nos médecins le pouvoir de tuer des patients vulnérables dans certaines circonstances.

Nous aimons les personnes vulnérables, et un jour nous serons tous vulnérables. Il est important que nous sachions tous que notre famille et la société ne devanceront pas notre mort, mais seront là pour nous soutenir jusqu'à la fin.

Nous sommes appelés à faire le choix inconditionnel du respect de la vie jusqu'à la mort naturelle. L'être humain est constitué pour respecter et servir la vie en toute situation de fragilité. Il ne peut se mettre à causer la mort de personnes innocentes - si encadrée soit la décision - sans blesser en lui-même la conscience de sa propre dignité.

Donner la mort à une personne humaine innocente, c'est aussi se donner la mort à soi-même...


† Christian Lépine
Archevêque de Montréal

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Cinq euthanasies « déclarées » par jour en Belgique en 2013. Une augmentation de 26.8% en un an

Sur le site de dhnet.be du 28 mai 2014 :

(Photo :  K A J O sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

 

Les chiffres de l'euthanasie en Belgique ont à nouveau battu un record en 2013 avec 1.816 cas, contre 1.432 en 2012, soit une augmentation de 26,8%, selon les derniers chiffres révélés par les journaux du groupe Sudpresse. "On peut dire qu'actuellement, il y a 150 euthanasies par mois en Belgique ou, plus parlant encore, 5 euthanasies par jour", souligne le quotidien.

Le site mentionne qu'il ne s'agit que des euthanasies déclarées. Il est important de savoir que la majorité des euthanasies en Belgique se font sans consentement du patient et ne sont pas déclarées.

Et que maintenant, on euthanasiera également les enfants...

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Céline Dion et Andrea Bocelli témoignent avoir failli être avortés...

Sur le site de Média-Presse-Info du 28 mai 2014, à lire également le témoignage d'Andrea Bocelli :

(Photo : Céline Dion et Andrea Bocelli chantant de concert)

(Photo :  nicvder1 sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

(...)La chanteuse canadienne Céline Dion raconte comment elle aussi aurait pu être avortée. Quand sa mère apprit qu’elle était à nouveau enceinte, elle le considéra comme une catastrophe, car ce serait le quatorzième enfant de la famille. La maman demanda à un prêtre de la conseiller ; ce dernier lui rappela la position de l’Eglise sur la question. Il ajouta que c’était contraire à la nature d’avorter. Elle renonça à l’avortement. La chanteuse déclare : « D’une certaine façon, je dois ma vie à ce prêtre… Quand ma mère a dépassé son désappointement, elle n’a pas perdu son temps en s’apitoyant sur elle-même et m’aima passionnément comme on peut aimer son petit dernier. » (...)

Tout avortement est une perte immense pour l'humanité.

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Québec veut resserrer les critères du programme de procréation assistée

Sur le site du Journal de Québec du 28 mai 2014 :

(Congélation et destruction d'embryons sont les pratiques routinières de la fécondation in vitro)

(Photo : wikimédia sans copyright)

 

 

 

Le gouvernement Couillard s’apprête à resserrer les critères d’admissibilité à la fécondation in vitro, ce qui générera des économies importantes pour l’État québécois. (...)

L’an dernier, le budget de 63 millions de dollars alloué à la fécondation in vitro a été défoncé. Le gouvernement péquiste a dû injecter un peu plus de quatre millions supplémentaires dans le programme pour fournir à la demande. 8800 cycles de fécondation in vitro ont été réalisé en 2013-2014.

Avec un taux de réussite sous les 40 %, il s'agit de gaspillage des fonds publics pour des techniques qui ne respectent pas la dignité de l'être humain.

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Le plan de santé maternelle du gouvernement Harper sauve des vies... et n'en tue pas, malgré les pressions

Sur le site de Radio-Canada du 28 mai 2014 :

(Photo : Ibagli sur wikimédia sans copyright)

 

 

 

(...)En 2010, dans le cadre de sa présidence du G8, le Canada a lancé un effort mondial d'une valeur de 2,85 milliards de dollars - l'Initiative de Muskoka - pour mobiliser les efforts internationaux afin de réduire la mortalité maternelle et d'améliorer la santé des mères et des enfants dans les pays les plus pauvres du monde. (...)

Mais d'autres, comme le groupe McLeod, ne prêtent pas du tout les mêmes vertus à Stephen Harper.

Le regroupement d'universitaires, d'anciens diplomates et d'autres employés gouvernementaux reproche notamment à Ottawa son refus de financer les projets liés à l'avortement dans les pays en développement. (...)

Avorter les enfants coûterait moins cher que de devoir soutenir les mères dans leur travail d'éducation... Alors que les politiques d'aide aux mères et aux enfants sont efficaces et sauvent des vies, les universitaires du groupe McLeod déplorent que l'on ait financé aucun avortement. Parce que ces avortements au fond, feraient en sorte que l'on aurait pas à aider et à payer pour ces pauvres que l'on aurait aidé à maintenir en vie...

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Retour sur Justin Trudeau et l'avortement dans le Journal de Montréal et Le Devoir

Le Devoir du 28 mai 2014 apporte des précisions sur le député McKay dénonçant Justin Trudeau :

 

 

 

(...)M. McKay se serait excusé, le chef libéral estime que « le dossier est clos ». Et il ne regrette rien. « La réalité, c’est qu’en tant que chef, je me dois d’être clair avec les Canadiens que le Parti libéral est là pour défendre les droits individuels et le droit de la femme d’avoir un choix », a-t-il défendu.

Mais si M. McKay a d’abord cru à une sortie irréfléchie de son chef, est-ce dire que les députés n’ont pas été avisés de la ligne qu’il allait imposer ? « M. McKay sait très bien — et le sait depuis longtemps — que je suis pro-choix. Il sait que le Parti libéral est pro-choix », a rétorqué M. Trudeau, sans répondre à la question.
(...)

Sur le site du Journal de Montréal du 28 mai 2014, ce commentaire de Christian Dufour :

M. Trudeau donne l’impression de vouloir rejeter hors du PLC non seulement les croisés pro-vie, mais également ceux qui ont des problèmes avec la liberté sans limites d’avorter qui est actuellement la norme au Canada.

Ce n’est pas tout le monde qui est à l’aise avec la banalisation de l’avortement, assimilée parfois à une méthode de contraception, quand elle n’est pas utilisée pour favoriser la naissance de garçons dans certaines communautés.

Il est encore temps pour le Parti Libéral du Canada de se trouver un adulte réfléchi comme chef politique.

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Euthanasie : Une Requête en Jugement Déclaratoire est en voie d'être déposée à la Cour Supérieure du district de Montréal.

Sur le site de newswire.ca du 27 mai 2014 :

(Photo : Jean-Marie HUET sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Les requérants sont Mme Lisa D'Amico, citoyenne handicapée, et le Dr. Paul J. Saba, médecin de famille. Cette requête les oppose au Procureur Général du Québec et met en cause le Procureur Général du Canada, afin de faire déclarer que :

(1). L'euthanasie d'un être humain par son médecin, notion plus connue au Québec sous l'euphémisme «d'aide médicale à mourir», n'est pas un soin;

(2). Le Québec n'a donc pas compétence pour légiférer en la matière;

(3). L'euthanasie est contraire aux Chartes canadienne et québécoise des droits fondamentaux, au Code criminel canadien, au Code Civil du Québec, à la Loi sur les services de santé et les services sociaux du Québec, ainsi qu'au Code de déontologie des médecins du Québec et à la Loi Constitutionnelle de 1867;

(4). Il est impossible de constater au Québec un consentement libre et éclairé des patients concernés par l'euthanasie en raison de leur vulnérabilité accentuée découlant du manque de ressources en matière de soins appropriés, en raison de leur état de santé et du manquement à l'accès universel aux soins palliatifs à toutes les personnes qui en ont besoin, notamment pour apaiser les souffrances;

(5). Il est impossible et incompatible de confier la vérification des conditions de l'euthanasie et le geste létal aux seuls médecins, qui transgresseraient leur code  déontologie et la loi criminelle fédérale. (...)

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« Un député libéral rabroue Trudeau sur l’avortement », ce que devrait faire tout bon député libéral...

Sur le site du journal Métro du 27 mai 2014 :

(Justin trudeau veut interdire tout candidat pro-vie, reconnaît l'avortement sélectif et les avortements tardifs comme un « droit » des femmes, et fait confiance au bon jugement des médecins qui laissent mourir des centaines d'enfants à naître par année, abandonnés sur une plaque de métal, pas étonnant que les critiques fusent de partout...)

Le député libéral John McKay a été enregistré à son insu critiquant son chef, Justin Trudeau, (...)

Dans un enregistrement obtenu par le réseau CTV, M. McKay, lui-même opposé à l’avortement, dit croire que Justin Trudeau n’a pas réfléchi à ce qu’il disait («bozo eruption»)  (...)

Il se dit «effrayé» à l’idée que l’entourage de M. Trudeau ait pu évaluer cette prise de position sans réaliser à quel point il s’agit d’un enjeu «explosif». (...)

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