M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

La chaîne de la vie à Montréal le 5 octobre

La chaîne de la vie aura lieu simultanément à Montréal et à Québec le 5 octobre 2014. À Montréal,  elle aura lieu de 14h00 à 15h00, au coin Jean-Talon et Décarie, en face du restaurant Dunn's.

 

 

 

 

Laissez un commentaire

Des coupures idéologiques dans le réseau des écoles privées?

Sur le site de La Presse du 27 septembre 2014 :

(Photo : Jeangagnon sur wikimédia.org, licence creative commons)

(...)La ministre de l'Éducation de l'époque, Marie Malavoy, avait également l'intention de couper les subventions aux écoles privées qui sélectionnent leurs élèves. (...)

De son côté, le député caquiste Jean-François Roberge reproche aux libéraux de «lancer des idées à gauche et à droite», sans ligne directrice.

 «C'est un feu d'artifice de mesures possibles», a-t-il lancé. Il a rappelé que son parti milite pour l'abolition des commissions scolaires, qui seraient remplacées par des «centres de services plus légers».

Il a souligné que des écoles privées risquent de fermer leurs portes si Québec réduit leurs subventions.

«Si on pense économiser de l'argent en coupant dans le financement des écoles privées... On risque de se retrouver avec une dépense supplémentaire parce que ces élèves-là, il faut bien qu'ils aillent à l'école quelque part, puis on risque d'assumer 100% de la facture», a-t-il soutenu. (...)

Le gouvernement a lancé l'idée d'une baisse de 50 % du financement des écoles privées. Voici le commentaire que nous avons reçu :

Étranges coupures que celles en éducation

Les coupures du ministre Bolduc en éducation toucheront éventuellement 50% des 480 M$ allouées aux écoles privées non parce que le gouvernement y fait des économies, mais pour forcer subtilement les parents à ramener leurs enfants dans le réseau public. Le P.Q. souhaitait faire la même chose également. Faut-il se rappeler qu’au privé, les parents s’acquittent de plus de la moitié (53%) de la facture, montant que le gouvernement n’a pas à défrayer. Un gain très important pour l’État? Cette coupure se traduira forcément par une nette augmentation des coûts d’inscription que devront assumer les parents au privé. Et comme ces derniers sont actuellement coupés de tous les côtés, ils se résigneront à retourner leurs enfants dans le réseau public. Ainsi donc, le gouvernement assumera la totalité (100%) de la facture et l’économie qu’il pensait faire se traduira par une augmentation des coûts généraux en éducation. À moyen et long terme, l’éducation coutera immensément plus cher à l’État.

Mauvaise calcul du gouvernement diront certains? Effectivement car si le gouvernement voulait réellement faire des économies, il devrait investir davantage dans le réseau privé car se faisant, il diminue ses coûts de 53% par enfant. Mais il ne le fait pas. Alors, pourquoi prend-il cette décision? Il y a surement une carte cachée comme c’est souvent le cas chez les politiciens. De mon humble avis, le Ministère de l’Éducation suit à la lettre les directives de l’Unesco, organisation supranationale qui relève de l’ONU et qui oriente les contenus idéologiques des systèmes scolaires à l’échelle internationale pour tous les pays membres des Nations-Unies. Et l’Unesco déteste les écoles privées car ces dernières échappent à ses dérives idéologiques.

L’Unesco n’est rien de moins qu’une matrice au service de l’ONU dont le projet de gouvernance mondiale est déjà clairement énoncé. Selon Julian Huxley, premier secrétaire de l’Unesco en 1945, l’éducation est le levier le plus puissant pour unifier le monde par le biais d’une pensée unique édictée par des agences relevant des Nations-Unies, dont, l’Unesco et donc, l’école. Dès 1945, cette organisation s’est affairée à vouloir réglementer les contenus scolaires en vue d’assurer que ces derniers répondent à ce projet de création d’un Homme nouveau. Oui, un homme nouveau formé par l’éducation. Cet homme nouveau est formaté à travers des contenus scolaires dès son plus bas âge et ce, quel que soit le pays du monde où il se trouve.

La prochaine cible visera les parents éducateurs, ceux qui font l’école maison à leurs enfants. Mais oui, ces méchants citoyens permettent à leurs enfants d’échapper à ce lavage de cerveau version onusienne. Voilà pourquoi les lois de nos états seront de plus en plus coercitives à l’endroit de ces familles éducatrices. Et au-delà des lois de nos gouvernements, il y aura encore une carte cachée : les directives de l’Unesco auxquelles doivent obéir tous les pays membres, donc le Canada et le Québec, grand amant de l’Unesco.

Merci messieurs les docteurs de notre bon gouvernement libéral de procéder à cette délicate chirurgie et d’ainsi perpétuer l’œuvre si chère au cœur du Parti Québécois d’abandonner le Québec aux valeurs internationalistes de l’Unesco. Eh oui, le P.Q. ramait allègrement dans cette barque onusienne.

Réal Gaudreault

Laissez un commentaire

La chaîne de la Vie le 5 octobre 2014 à Québec

Venez prier une heure en silence pour faire cesser les avortements!

La Chaîne pour la vie à Québec cette année
===============================================

        Quand: Le dimanche 5 octobre 2014, de 14h à 15h.
        Où: Près de l'intersection de l'avenue
        Jean De Quen et du boulevard Laurier.
        (Exactement entre le centre d'achats Place Laurier
        et l'hôpital CHUL, tout comme les années précédentes.)
        Avec quoi: Vos prières! (Les affiches sont fournies)

Autres informations sur la Chaîne à Québec:
http://www.proviequebec.ca/fr/chaine_vie.htm

Autres Chaînes en Amérique du Nord: www.lifechain.net

Que Dieu vous bénisse!

Laissez un commentaire

Deux textes à lire sur la maison de soins palliatifs Michel Sarrazin, dans le journal Le Soleil

Sur le site du journal Le Soleil du 16 septembre 2014 :

Maison Michel-Sarrazin: la mort qui se vit

(Photo : Eric Fortin sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

(Québec) Ancrée dans le paysage de la capitale depuis 1985, la Maison Michel-Sarrazin est la pionnière dans la francophonie en matière de soins palliatifs et d'accompagnement des personnes atteintes d'un cancer en phase terminale. Notre journaliste Normand Provencher a passé deux jours avec les patients et le personnel de cet établissement unique, où, malgré la mort omniprésente, les leçons de vie abondent.

Une fois la porte de la Maison Michel-Sarrazin franchie, juste à gauche, une petite lampe accueille le visiteur. Le personnel et les habitués de l'établissement gardent toujours un oeil sur elle. Et pour cause. Allumée, cette lampe signifie le décès d'un patient dans les dernières heures. Ce n'est qu'au départ du corps qu'elle sera fermée.

Cette lumière symbolique, qui invite au respect et à la discrétion, s'ouvre entre 15 et 20 fois par mois à la Maison Michel-Sarrazin, un centre hospitalier privé de soins palliatifs pour personnes atteintes d'un cancer incurable, dont la réputation déborde les frontières. (...)

Maison Michel-Sarrazin: bien vivre sa mort

Le débat sur l'aide médicale à mourir, devenue législation en juin à l'Assemblée nationale, a vivement interpellé les dirigeants de la Maison Michel-Sarrazin. Mais la position du directeur général Michel L'Heureux n'a pas changé d'un iota : l'institution fournit essentiellement des soins palliatifs à des personnes atteintes de cancer en phase terminale. Pas demain la veille que l'euthanasie y sera pratiquée.

Avec toutes ses implications éthiques et philosophiques, le débat n'est pas simple, M. L'Heureux en convient. Mais à l'idée de mourir dans la dignité, il oppose celle de «vivre dans la dignité», la mission de son établissement consistant à «être dans la vie jusqu'à la fin et à la rendre la plus confortable possible».

Hors de question, précise-t-il toutefois, de laisser le malade aux prises avec des souffrances insoutenables. Pour une minorité, environ 5 % des cas, une sédation palliative sera appliquée, plongeant celui-ci dans un sommeil de quelques heures ou quelques jours.

Laissez un commentaire

Communiqué de Campagne Québec-Vie sur le Synode sur la famille et la question du divorce

Sur le site du Journal de Montréal du 26 septembre 2014, nous lisons que le Cardinal Marc Ouellet se prononce contre l'admission à la communion des « divorcés remariés » :

 

(Georges Buscemi, président de CQV)

 

 

 l’ancien archevêque de Québec a publié plus tôt cette semaine, dans la revue catholique Communio, une opinion selon laquelle il est impossible de concilier les divorcés remariés avec la communion, puisque la communion, avance-t-il en traçant un parallèle, symbolise le mariage mystique de Jésus avec l’Église, une union indissoluble.

«Une telle possibilité (la communion pour les divorcés remariés) contredirait directement l’engagement irréversible du mariage mystique du Christ (…)»

Dans la même optique, Campagne Québec-Vie présente aujourd'hui, par la bouche de son président, son point de vue sur le Synode sur la famille, ainsi que sur la question du divorce et de la communion aux soit-disant « divorcés remariés » :

Déclaration de Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie, sur le Synode des familles et sur la question des « divorcés-remariés ».

Au cours d'une prochaine rencontre à Rome nommée « le Synode sur la famille », des cardinaux et des évêques du monde entier discuteront de certaines approches pastorales vis-à-vis le mariage et la famille, un enjeu au centre des préoccupations de Campagne Québec-Vie.

Malheureusement, après avoir étudié le texte de préparation de ce synode et après avoir lu des commentaires de personnes de confiance, je ne peux me soustraire à ma responsabilité, comme président d’un organisme faisant la promotion de la Vie et de la Famille, d’exprimer mes inquiétudes profondes face à ce que je vois se profiler à l’horizon.

Je m’explique : bien que divers enjeux seront discutés par les évêques lors de cette réunion extraordinaire, la question qui semble dominer, peut-être parce qu’elle est artificiellement amplifiée par des médias de masse qui travaillent pour la plupart à nuire à l’Église, est celle de savoir si l’on permettra ou non aux  « divorcés-remariés »  de communier. Et il y aurait, paraît-il, des voix parmi les futurs participants au synode qui prônent l’accès à l’eucharistie aux « divorcés remariés ».

Bien que je ne sois qu’un simple laïc, étant donné la tâche de président de CQV qui m'est confiée, je me dois d’apporter ma petite contribution au synode en exprimant le plus respectueusement possible ma conviction que d’accorder aux divorcés-remariés le droit de communier serait trahir la parole de Dieu et s’attaquer à la famille et à la morale en général. Ce qui reste de cette lettre servira à justifier cette conviction qui m’habite.

La question du mariage et du divorce n’est pas neuve – en fait, elle date du début des temps quand Dieu « les fit Homme et Femme. » Jésus est très clair lorsqu’il affirme aux Pharisiens : « C’est en raison de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de renvoyer vos femmes (de divorcer). Mais au commencement, il n’en était pas ainsi. » (Matthieu 19,8) Depuis le début des temps, Dieu créa le mariage et affirma que le divorce était impossible – mais l’homme, par la dureté de son cœur, a toujours tenté de contourner cette vérité.

Or, lors de ce synode, on ne tentera probablement pas de changer la doctrine sur le divorce, car c’est une voie impraticable, la parole de Dieu étant trop nette à cet égard. Par contre, sans ouvertement nier la doctrine, il est fort possible que certains participants au synode tentent d’instaurer des pratiques « pastorales » qui, en réalité, rendraient caduque la doctrine et permettraient à des catholiques séparés et en lien avec de nouveaux partenaires de prendre part à la communion et ainsi de proclamer leur pleine communion avec Dieu en dépit de leur situation que Jésus, sans détour, caractérise « d’adultère » (dans Luc 16,18 il est écrit « Tout homme qui renvoie sa femme et en épouse une autre commet un adultère ; et celui qui épouse une femme renvoyée par son mari commet un adultère. »)

Concrètement, parmi les « solutions » envisagées pour le problème des personnes en union irrégulière, deux ont l’air de vouloir s’imposer : 1) permettre aux conférences épiscopales de chaque pays de modifier radicalement les procédures canoniques pour faciliter le constat de nullité de mariage (établissant, dans les faits, un « divorce » catholique) ou, 2) autoriser les curés de paroisse à accorder aux « divorcés-remariés » la communion, sans constat de nullité, mais seulement après une cérémonie quelconque où le couple démontrerait regretter sincèrement s’être retrouvé dans une telle situation.

Ici, il faut s’attarder un moment sur le drame vécu par plusieurs catholiques blessés par leurs époux. Imaginons, par exemple, une femme abandonnée, sans qu’elle en soit responsable, par un époux infidèle. Si son mariage est valide (c’est-à-dire dans le cas où cette femme n’obtient pas l’annulation du mariage), est-elle condamnée à une vie de solitude ? Et dans l’hypothèse où cette femme aurait des enfants de ce mari irresponsable, sera-t-elle en plus condamnée à une vie précaire, en proie à la pauvreté ? Voilà un exemple parmi tant d’autres qui en incite plusieurs à rechercher des solutions pastorales.

Or, charité et vérité vont de pair : bien qu’il faille toujours affirmer la miséricorde de Dieu, il ne faut jamais lâcher l’autre bout de la chaîne et nier la vérité de Sa Loi. Nous sommes tous pécheurs, à notre façon, et Jésus nous pardonne tous comme il l’a fait pour la femme adultère quand il lui dit : « Va, et désormais ne pèche plus. » (Jean 8, 11) Qu’importe le péché – avortement, euthanasie, adultère, etc.— et qu’importe la situation dans laquelle il fut commis (un avortement à la suite d’un viol, la participation active à une euthanasie d’une personne frappée par une grave maladie dégénérative, l’adultère à la suite de la trahison d’un époux, etc.), la route vers le pardon et la pleine communion avec l’Église est toujours un chemin de croix qui nécessite que l’on s’engage à ne plus commettre le péché qui nous a séparés de Dieu.

Ainsi, présentement, un couple en situation irrégulière dont le premier mariage est valide qui veut communier doit vivre « comme frère et sœur », c’est-à-dire sans relations sexuelles. Et cela a été et, selon moi, doit demeurer l’unique solution pastorale de l’Église. Car toute autre solution ouvrirait la voie à une tolérance laxiste du péché au nom de la miséricorde, car si une personne « adultère » pour des motifs « acceptables » peut s’approcher de la Communion, pourquoi pas un avorteur qui ne commet des avortements qu’en des cas exceptionnels (comme le viol ou la difformité du fœtus), pourquoi pas l’euthanasiste qui tue seulement les patients très malades qui réclament la mort, etc. ?

La conscience du péché dans le monde d’aujourd’hui est presque complètement dissoute. Ne faisons-nous pas fausse-route en l’obscurcissant davantage ? Si l’Église se met à tolérer, au nom de la miséricorde, le péché de l’adultère –ne serait-ce que pour des raisons « graves » – cela aura de très sérieuses conséquences partout dans le monde.

Je vous écris car vous avez peut-être une voix et des contacts. Si vous partagez mes préoccupations, merci de vous en servir pour implorer ceux qui peuvent faire quelque chose de le faire, et rapidement. Si vous n’avez que votre chapelet, implorez le Bon Dieu pour que Sa volonté soit faite. Pour la Vie !

Georges Buscemi, Président

Laissez un commentaire

Débat sur les mères porteuses, à voir

Bien sûr, on a invité deux personnes favorables à l'instrumentalisation des enfants contre une opposée, mais cette dernière s'est bien débrouillée dans les circonstances. À partir de la 11e minute :

//www.youtube.com/embed/HcRVQWgPB0U

Laissez un commentaire

Refus de la communion aux divorcés "remariés" ? Cela a été établi par Jésus-Christ et le pape ne peut pas le changer

Sur le blog de Jeanne Smits du 25 septembre 2014, cette réponse du pape aux questionnements sur la communion pour les divorcés « remariés » :

(« Ce que Dieu a uni, ...)

(Photo : Jeff Belmonte from Cuiabá, Brazil, licence creative commons)

 

C’est dans une interview au journal Diario de Cordoba que Mgr Demetrio Fernandez a raconté il y a quelques jours comment les évêques ont posé la question de la communion aux divorcés « remariés » lors de leur dernière visite ad limina, au printemps. (...)

« Nous avons posé la question au pape directement. Il nous a répondu qu'une personne mariée par l'église, divorcée et qui aurait contracté un nouveau mariage civil ne peut accéder aux sacrements. Le pape a poursuivi: “Cela a été établi par Jésus-Christ et le pape ne peut pas le changer.” »

Ce qu'il y a de tragique dans cette histoire, c'est la manifestation, par l'approbation du don de la communion aux divorcés « remariés », des lacunes théologiques graves chez quelques évêques et même deux cardinaux allemands, qui ne semblent pas comprendre l'enseignement du Christ sur le mariage...

 

Laissez un commentaire

Par manque de place en unité de soins palliatifs, il meurt dans un local de rangement...

Sur le site du Journal de Montréal du 25 septembre 2014, cette mort indigne à l'hôpital Sainte-Croix de Drummondville :

(Photo : olybrius sur wikimédia.org, sans copyright)

 

 

 

L'octogénaire a passé les 24 dernières heures de sa vie dans un local de rangement du 7e étage de l'hôpital. Un local où l'on range des couches, des pansements, des bouteilles stérilisées, des supports à sérum, etc.

La famille a été témoin d'un va-et-vient constant. M. Roy aurait été conscient de l'endroit où il se trouvait.

Marcel Roy est décédé avant d'être transféré dans une chambre en soins palliatifs. Le personnel savait que ses heures étaient comptées puisque la famille avait été appelée pour lui faire ses adieux.

Les soins palliatifs sont trop coûteux pour être une priorité pour le gouvernement. Par contre, l'euthanasie...

Laissez un commentaire

Tentative de détournement de synode sur la famille et le mariage par les médias...

mariage_beni.jpgUne nouvelle tentative des médias pour semer la confusion. Sur le site du Salon Beige du 25 septembre 2014 :

(Photo :  ルーク.チャン.チャン sur flickr.com, licence creative commons)

 

(...)Les médias ont présenté le Pape François comme approuvant la distribution de la Sainte Communion aux divorcés remariés et d’autres propositions du genre, ce qui n’est pas le cas. Le danger est que

« les médias ont généré une situation où les gens attendent des changements majeurs qui, en réalité, constitueraient un changement intrinsèque à l’enseignement de l’Eglise, ce qui est impossible. » « Voilà pourquoi il est très important pour ceux qui sont à la tête d’avoir les idées très claires. ».

Le synode, prévu du 5 au 19 octobre, est devenu le centre d’un débat selon lequel l’Eglise devrait permettre aux divorcés remariés d’être à nouveau admis à recevoir la sainte Communion même si l’annulation du mariage n’a pas été obtenue.

L’enseignement de l’Eglise à ce sujet, dit le cardinal, est miséricordieux,

«parce qu’il respecte la vérité à savoir que la personne est en vérité liée par une première union dans laquelle elle ne vit plus, pour une raison ou une autre. L’Eglise maintient la personne dans la vérité de ce mariage, tout en lui démontrant compassion, comprenant la situation de la personne, l’accueillant dans la communauté paroissiale de façon appropriée et tâchant de l’aider à mener une vie aussi sainte possible, sans trahir la vérité de son mariage. Ceci, dit-il, est miséricordieux. »

« Parler de miséricorde quand on ne respecte pas la vérité n’a simplement pas de sens. Comment cela pourrait bien être de la miséricorde ? »(...)

Laissez un commentaire Lire la suite

À Berlin, une église catholique vandalisée parce qu'elle a accueilli des pro-vie

berlin.jpgSur le site de l'observatoire de la christianophobie du 25 septembre 2014 :

(Photo : onnola sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

L’église catholique de la paroisse du Sacré-Cœur (Herz-Jesu) de Berlin a été vandalisée et saccagée dans la nuit du 19 dernier, par des gauchistes – qui ont d’ailleurs “renvendiqué” l’acte sur leur blogue –, au motif que la paroisse avait offert un local pour que s’y réunissent les chrétiens pro-vie organisateurs de la Marche pour la Vie (Marsch für das Leben) qui se déroulait le lendemain dans la capitale fédérale. (...)

 La Marche pour la Vie a elle-même été la cible de la haine violente des gauchistes : de nombreux chrétiens qui y participaient ont été insultés et molestés. (...)

Heureusement qu'ils se croient tolérants...

Laissez un commentaire Lire la suite