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Des coupures idéologiques dans le réseau des écoles privées?

Sur le site de La Presse du 27 septembre 2014 :

(Photo : Jeangagnon sur wikimédia.org, licence creative commons)

(...)La ministre de l'Éducation de l'époque, Marie Malavoy, avait également l'intention de couper les subventions aux écoles privées qui sélectionnent leurs élèves. (...)

De son côté, le député caquiste Jean-François Roberge reproche aux libéraux de «lancer des idées à gauche et à droite», sans ligne directrice.

 «C'est un feu d'artifice de mesures possibles», a-t-il lancé. Il a rappelé que son parti milite pour l'abolition des commissions scolaires, qui seraient remplacées par des «centres de services plus légers».

Il a souligné que des écoles privées risquent de fermer leurs portes si Québec réduit leurs subventions.

«Si on pense économiser de l'argent en coupant dans le financement des écoles privées... On risque de se retrouver avec une dépense supplémentaire parce que ces élèves-là, il faut bien qu'ils aillent à l'école quelque part, puis on risque d'assumer 100% de la facture», a-t-il soutenu. (...)

Le gouvernement a lancé l'idée d'une baisse de 50 % du financement des écoles privées. Voici le commentaire que nous avons reçu :

Étranges coupures que celles en éducation

Les coupures du ministre Bolduc en éducation toucheront éventuellement 50% des 480 M$ allouées aux écoles privées non parce que le gouvernement y fait des économies, mais pour forcer subtilement les parents à ramener leurs enfants dans le réseau public. Le P.Q. souhaitait faire la même chose également. Faut-il se rappeler qu’au privé, les parents s’acquittent de plus de la moitié (53%) de la facture, montant que le gouvernement n’a pas à défrayer. Un gain très important pour l’État? Cette coupure se traduira forcément par une nette augmentation des coûts d’inscription que devront assumer les parents au privé. Et comme ces derniers sont actuellement coupés de tous les côtés, ils se résigneront à retourner leurs enfants dans le réseau public. Ainsi donc, le gouvernement assumera la totalité (100%) de la facture et l’économie qu’il pensait faire se traduira par une augmentation des coûts généraux en éducation. À moyen et long terme, l’éducation coutera immensément plus cher à l’État.

Mauvaise calcul du gouvernement diront certains? Effectivement car si le gouvernement voulait réellement faire des économies, il devrait investir davantage dans le réseau privé car se faisant, il diminue ses coûts de 53% par enfant. Mais il ne le fait pas. Alors, pourquoi prend-il cette décision? Il y a surement une carte cachée comme c’est souvent le cas chez les politiciens. De mon humble avis, le Ministère de l’Éducation suit à la lettre les directives de l’Unesco, organisation supranationale qui relève de l’ONU et qui oriente les contenus idéologiques des systèmes scolaires à l’échelle internationale pour tous les pays membres des Nations-Unies. Et l’Unesco déteste les écoles privées car ces dernières échappent à ses dérives idéologiques.

L’Unesco n’est rien de moins qu’une matrice au service de l’ONU dont le projet de gouvernance mondiale est déjà clairement énoncé. Selon Julian Huxley, premier secrétaire de l’Unesco en 1945, l’éducation est le levier le plus puissant pour unifier le monde par le biais d’une pensée unique édictée par des agences relevant des Nations-Unies, dont, l’Unesco et donc, l’école. Dès 1945, cette organisation s’est affairée à vouloir réglementer les contenus scolaires en vue d’assurer que ces derniers répondent à ce projet de création d’un Homme nouveau. Oui, un homme nouveau formé par l’éducation. Cet homme nouveau est formaté à travers des contenus scolaires dès son plus bas âge et ce, quel que soit le pays du monde où il se trouve.

La prochaine cible visera les parents éducateurs, ceux qui font l’école maison à leurs enfants. Mais oui, ces méchants citoyens permettent à leurs enfants d’échapper à ce lavage de cerveau version onusienne. Voilà pourquoi les lois de nos états seront de plus en plus coercitives à l’endroit de ces familles éducatrices. Et au-delà des lois de nos gouvernements, il y aura encore une carte cachée : les directives de l’Unesco auxquelles doivent obéir tous les pays membres, donc le Canada et le Québec, grand amant de l’Unesco.

Merci messieurs les docteurs de notre bon gouvernement libéral de procéder à cette délicate chirurgie et d’ainsi perpétuer l’œuvre si chère au cœur du Parti Québécois d’abandonner le Québec aux valeurs internationalistes de l’Unesco. Eh oui, le P.Q. ramait allègrement dans cette barque onusienne.

Réal Gaudreault

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