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Les médecins conseillaient à une mère d’avorter son enfant qu’ils disaient être potentiellement atteint de trisomie 21

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Et elle ne l’a pas avorté, il est né, sain et sauf. Le plus bête dans toute l’affaire, c’est qu’il n’avait pas la trisomie 21. Extrait de Parole de mamans :

... En Angleterre, Jordan Squires, 22 ans, était enceinte de 12 semaines lorsque ses médecins lui ont appris que son bébé était potentiellement atteint de trisomie 21.

Selon eux, son bébé possède une grande quantité de liquide située derrière la nuque, ce qui laisse présager un syndrome de Down. Ils lui préconisent alors d’avorter.

« Lorsque nous avons assisté à mon scan de 12 semaines, j’ai tout de suite compris que quelque chose n’allait pas parce que la sage-femme semblait inquiète », raconte la jeune Britannique au journal The Mirror.

Les futurs parents ont pu discuter après l’échographie avec les médecins : « Tout de suite, on m’a conseillé de mettre fin à la grossesse sans nous donner d’autres options ou du soutien », se désole-t-elle.

Refuser l’avortement

Malgré les fortes suspicions du corps médical, Jordan et son conjoint, Jonathan, refusent d’opter pour l’avortement.

[...]

Enfin est venu le moment de l’accouchement pour Jordan. Après une césarienne en urgence, la jeune femme a mis au monde Jay, un bébé non trisomique...

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Le groupe de PDG catholiques Legatus suspend sa dîme au Vatican pour l’année 2019


Basilique Saint-Pierre de Rome.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Cas/Flickr

L’association de PDG catholiques Legatus, qui avait déjà confié leur dîme de 2018 d’une valeur de 820 000 $ entre tierces mains à cause de la crise actuelle de l’Église en attendant que le Vatican leur dise quelle est l’utilisation exacte de leur don, a annulé sa dîme de 2019. Extrait de CNA :

Thomas Monaghan, président de Legatus, a écrit aux membres le 16 novembre pour leur demander de continuer à prier « pour l’Église et pour tous nos dirigeants », car « il est évident qu’il faudra du temps pour que la crise actuelle de l’Église soit réglée au point où le conseil puisse croire que le rétablissement de notre dîme annuelle soit prudent ».

C’est pourquoi, a-t-il annoncé, le conseil d’administration a décidé « de renoncer à percevoir la dîme annuelle perçue dans votre cotisation 2019 ».

« Pour ceux qui ont déjà versé leur cotisation, le siège national remboursera en temps voulu le montant destiné au Saint-Siège », a-t-il précisé. « Pour ceux qui n’ont pas encore payé leur cotisation, une nouvelle facture leur sera envoyée. »

Monaghan a noté que la dîme du Saint-Siège « a été une partie importante du coût d’adhésion à Legatus » et le conseil d’administration a donc l’intention « de rétablir cette pratique dès que nous aurons une communication suffisante concernant la comptabilité spécifique relative à l’utilisation de ces fonds ».

« Le Conseil réexaminera ce sujet d’ici l’automne 2019 afin d’établir un plan relatif aux cotisations de 2020 », a-t-il déclaré.

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En partie grâce au « vieil homme du trottoir » Amy a choisi la vie pour son enfant

Par Kelli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Les conseillers de trottoirs sont les héros non reconnus au front du mouvement pro-vie. Du 22 au 23 juillet, les 40 Jours pour la Vie tienne leur Symposium d'été 2018 sur la sensibilisation dans les rues. C’est donc le temps parfait pour célébrer le travail courageux des conseillers, qui touchent la vie d’innombrables femmes en leur offrant de l’aide et de l’espoir dans une période de crise de leur vie. Grâce à eux, plusieurs femmes choisissent — et continuent de choisir — la vie pour leurs bébés.

Une femme, Amy Blackwell, a récemment partagé son histoire sur les médias sociaux, faisant l’éloge de son héros personnel, « le vieil homme du trottoir ». Elle a raconté sur Facebook la journée où elle est allée à une clinique d’avortement pour une consultation et pendant laquelle elle a eu une rencontre qu’elle n’oubliera jamais :

Je l’ai rencontré aujourd’hui ! Qui ? Le vieil homme du trottoir. Il y a sept ans, je suis allée à la clinique pour femmes Hope Medical Group. Cet homme était sur le trottoir (ils appellent ça le ministère des trottoirs. Ils prient et essaient de parler aux femmes se dirigeant vers les cliniques d’avortement.)

Il s’est retourné et m’a regardé. J’ai vu sa bouche bouger et dans ses mains se trouvait un chapelet. Il me regardait avec un regard triste et je voyais dans ses yeux un grand désir de me parler. J’étais assise dans ma voiture, pleine de honte, pour ce qui m’a semblé être une heure, mais c’était en fait environ dix minutes. Il s’est finalement retourné et je me suis précipitée en dehors de la voiture. L’Esprit Saint travaillait, j’étais une boule de nerfs pendant ma consultation…

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Des étudiants pro-avortement déversent de l'eau pour effacer des messages pro-vie, couvrant le campus de glace

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : 3dman_eu/Pixabay

Remarquez que les partisans de l'avortement ne réfléchissent pas toujours beaucoup quand ils veulent ennuyer les pro-vie. Extrait de LifeSiteNews :

Nous sommes le 7 novembre au Dakota du Sud. La nuit, la température est bien au-dessous de zéro. Les clubs Augustana University Republican et Life Runners se sont associés et ont passé la soirée à couvrir les trottoirs de messages défendant le droit à la vie.

Ces messages comprenaient des versets bibliques, des statistiques et de fortes proclamations dans l’espoir de susciter une discussion sur le campus de Evangelical Lutheran Church in America (ELCA). Ils ont eu une discussion, mais pas avant que les choses commencent à « glisser » vers la folie et la pagaille.

Les messages pro-vie étaient faits pour être vus, et ils l’ont été.

Malheureusement, les étudiants pro-avortement n’ont pas répondu par des affirmations raisonnées et des contre statistiques, mais par un flot d’eau. Ces partisans de l’avortement ont formé une brigade de seaux et ont rapidement éteint les flammes de la pensée qui risquait de changer les esprits.

Un observateur à la tête froide aurait pu les avertir que l’eau se transforme en glace en hiver, mais il était trop tard. Le campus était maintenant une patinoire et la sécurité du campus ne l’a pas trouvé drôle. Des agents ont donc été rapidement déployés pour répandre du sel, et pour rechercher les auteurs « pro-choix » de cette glace.

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J’ai vu une demoiselle…  ou l’importance de l’habillement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons

Jean de Saint-Jouin, contributeur occasionnel de la revue L’Homme Nouveau, nous donne par son dernier article une réflexion sur l’importance de l’habillement. À l’occasion d’une de ses nombreuses visites à l’urgence, que lui vaut sa nombreuse descendance, Mr. de Saint-Jouin remarqua la grande différence que faisaient, sur une jeune fille, une chemise d’hôpital (pourtant malgracieuse) qui ressemblait à une robe, et l’habillement dégénéré de nos jours. M. de Saint-Jouin rappelle avec justesse que par le vêtement (de bon aloi) nous nous respectons et que celui-ci attire le respect. En somme, en suivant le fil de la réflexion M. de Saint-Jouin, l’on peut conclure que si l’habit ne fait pas le moine, il l’aide à l’être. Extrait de l’Homme Nouveau :

Une jeune fille de 16 ou 17 ans sortait de la pièce où les patients doivent se revêtir de la peu reluisante chemise d’hôpital. Vu sa relative petite taille, la chemise lui faisait office de robe. Ainsi vêtue, elle s’assit, évidemment inconfortable. Je notai son très joli visage, encadré par de fort beaux cheveux bouclés […]

Quelques minutes plus tard, la jolie demoiselle fut appelée et se rendit à la salle de traitement. Elle marchait avec grâce, à pas léger, en tentant d’ajuster au mieux sa robe de fortune. Charmante, malgré les circonstances.

Je ne la revis que quelques minutes plus tard, sortant de la salle, avec ses vêtements réguliers. Quel choc ! En fait, j’ai failli ne jamais la reconnaître. Jeans moulants, t-shirt informe, elle bondit de la salle en marchant comme un légionnaire. De la jolie jeune fille, il ne restait quasi plus rien… Le port altier, le pas délicat, le geste lent… tout s’était éclipsé. Même son joli visage était devenu comme invisible. L’impression de beauté s’était évanouie au profit d’un corps, commun, sans intérêt.

[…]

Le vêtement n’est pas neutre et entretient une très complexe relation avec notre être. En effet, s’il constitue une sorte de médiation entre la personne et le monde qui l’entoure en projetant l’image d’une partie intégrante de qui nous sommes, il a aussi une autre fonction, qui semble avoir été complètement oubliée. En effet, le vêtement structure notre être en lui rappelant de manière sensible quelle attitude nous nous devons d’entretenir avec le monde qui nous entoure. Le vêtement est maître des âmes.

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La Conférence des évêques catholiques d’Angleterre et du Pays de Galles, et le « jour du Souvenir des transgenres »


Cathédrale de Westminster.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons

Il s’agit d’un tweet assez ahurissant, surtout du fait qu’il est émis par le compte Twitter de la Conférence des évêques catholiques d’Angleterre et du Pays de Galles, celui-ci dit :

Aujourd’hui est le jour du Souvenir des transgenres* et nous prions pour toutes les personnes qui sont mal à l’aise avec leur genre, qui cherchent à le changer, qui souffrent pour ce but et qui ont été persécutées et aussi tuées. Toutes les personnes sont aimées de Dieu et valorisées dans leur dignité inhérente donnée par Dieu.

Il faut certes prier pour la conversion à Dieu de ces gens qui se disent « transgenres », mais il faut aussi faire attention de ne pas tomber dans leur piège, en entrant dans leur jeu . Il n’y a aucune raison pour laquelle il devrait y avoir un jour du Souvenir des transgenres, car si ces personnes se sentent mal dans leur peau, il faut les aider à s’y trouver à l’aise et non à changer de « genre » ; si ces gens souffrent pour ce but qui est un mauvais but (inatteignable par ailleurs) c’est assurément pitoyable mais en bonne partie de leur faute puisqu’ils poursuivent un mauvais but ; ils sont persécutés, tués ? Peut-être dans les pays musulmans, mais qui n’est pas persécuté ou tué dans ces pays-là ? À bien considérer les choses, cette minorité invisible n’a pas eu le temps de se faire persécuter sérieusement, compte tenu de sa récente apparition.

S'il fallait profiter de ce fait, que les « transgenres » aient obtenu un jour du Souvenir des transgenres, pour inciter à prier pour eux, il aurait au moins fallu mettre quelque chose comme : « Le monde, dans son aveuglement s'est donné un "jour du Souvenir des transgenres", prions pour la conversion à Dieu des gens qui se nomment"transgenres". 

On peut bien sûr être désolé par les souffrances que les « transgenres » s’infligent ou subissent pour ce mauvais but, mais pour mieux prier pour leur conversion. Donc ne parlons pas tout simplement de leurs souffrances, car cela sonne comme si nous les approuvions. De même, il est tout à fait vrai que Dieu aime ces personnes-là et qu’Il désire qu’ils reviennent à Lui.

J’espère que les évêques de la Conférence des évêques d’Angleterre et du pays de Galles n’avaient tout simplement pas connaissance de ce tweet intempestif et qu’ils y mettront bon ordre.


*Il est à noter que puisque changer de sexe est impossible, les transgenres ne peuvent pas exister et le mot n'a aucun sens.

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Le gouvernement Trump rencontre des groupes pro-vie pour examiner le dossier des expériences faites avec les bébés avortés

Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere (photo rognée)

Washington, D.C., 14 novembre 2018 (LifeSiteNews) — Des représentants officiels de la Santé du gouvernement Trump ont prévu une rencontre avec les dirigeants de groupes pro-vie nationaux. Ils espèrent régler le problème que cause le financement continu du gouvernement pour la recherche médicale utilisant des tissus de bébés avortés.

En août, un avis de la Food and Drug Administration [Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux] (FDA) a révélé les détails d’un contrat contracté auprès de la firme Advanced Bioscience Resources, Inc. (ABR) pour se procurer des « tissus pour souris humanisées ». Les tissus étaient destinés à donner aux souris un système immunitaire « humanisé » dans le but de tester des médicaments.

Le 11 septembre, 48 dirigeants pro-vie, représentant LifeSiteNews, the Center for Medical Progress, Susan B. Anthony List, Priests for Life, Operation Rescue et d’autres groupes, ont envoyé une lettre à Alex Azar, secrétaire du département du Health and Human Services [Santé et des Services sociaux] (HHS), exigeant la résiliation du contrat. Une lettre a aussi été envoyée à Scott Gottlieb, commissaire de la FDA, par 85 représentants américains.

Le contrat a été résilié en septembre, et le gouvernement a promis de réexaminer les recherches impliquant des tissus fœtaux. Il reste cependant quelques inquiétudes quant aux 100 millions de dollars des contribuables qui sont toujours utilisés pour financer des recherches utilisant des tissus et des organes de bébés avortés.

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De courageuses femmes pro-vie reçoivent des menaces et des vidéos de viols

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

C'est vous dire qu'être pro-vie n'est pas de tout repos, il faut être prêt à être calomnié, perdre des droits et se faire menacer. Il est difficile d'imaginer à quel point ces menaces peuvent être violentes, vicieuses et illogiques ; après tout, les partisans enragés de l'avortement qui sont la source de ces menaces, ne peuvent prétendre être pour le respect de la femme en en menaçant, surtout de cette façon-là. Extrait de LifeSiteNews :

Il y a huit mois, l’organisation pro-vie Live Action a publié une vidéo de trois minutes sur une jeune femme donnant un témoignage extraordinairement puissant sur son viol et sa grossesse. Jennifer Christie a expliqué à l’Assemblée législative de l’Iowa qu’elle avait été brutalement violée lors d’un voyage d’affaires, son corps meurtri ayant été laissé dans une cage d’escalier après l’attaque.

Malgré les horreurs qu’elle avait endurées, elle ne parlait pas au nom des victimes d’actes criminels, disait-elle. Elle parlait plutôt au nom des 32 000 femmes devenues enceintes après un viol — et des 75 % de ces femmes « qui donnent la vie à nos enfants ».

Mme Christie représentait Save the One, une organisation qui représente des personnes qui ont été conçues dans le viol, ainsi que des mères — comme elle-même — qui ont des enfants conçus par agression sexuelle.

[...]

La vidéo est devenue virale, recevant 1,4 million de visionnements jusqu’à maintenant. Jennifer s’attendait à des réactions pour avoir pris position. Tous les militants pro-vie le font. Ce à quoi elle ne s’attendait pas, c’est la perversité et la haine que certains pro-avortement allaient déchaîner contre elle.

Après que la vidéo soit devenue virale, quelqu’un lui a envoyé une vidéo de viol d’une femme. Il a été envoyé sur son compte Facebook personnel, par l’intermédiaire du compte d’un ami qui avait été piraté. La police lui a dit que c’était « probablement de la pornographie de viol »...

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L’euthanasie vise les patients atteints d’Alzheimer


Photo : geralt/Pixabay

Lettre à l’éditeur du journal Le Droit, le 14 novembre 2018 par Jean Morse-Chevrier

Éliminons les souffrances et non les personnes

Suite à l’article dans Le Droit du 5 novembre sur Pierre Viens et son action d’aide médicale à mourir, je vous fais part de mes préoccupations suite à sa présentation hier soir, le 13 novembre à Hull. Sa présentation était une véritable promotion de l’aide médicale à mourir, qu’il a lui-même pratiquée 58 fois, et un plaidoyer en faveur d’étendre la loi pour couvrir des situations non présentement acceptées pour l’injection létale qui précipite la mort de la personne. En particulier, il a brandi le fait qu’un segment important de la population atteindrait l’âge vénérable de 80 [ans] et qu’environ le tiers d’entre eux seraient en route pour l’Alzheimer. Il revendique que toute personne sur la trajectoire vers l’Alzheimer soit éligible pour cette injection létale, et qu’un nombre appréciable de médecins en fassent leur champ d’expertise avec un meilleur appui légal.

Il prétextait ne tuer personne, disant que pour qualifier [quelqu’un de] tue[u]r l’action devait être violente. Cependant parmi les définitions du dictionnaire Larousse en ligne on trouve la définition suivante de tuer : « Être la cause de la mort de quelqu’un : une telle dose de calmant pouvait le tuer. »

Voulons-nous vraiment comme société passer le message à tous les vieux en début d’Alzheimer qu’ils seront un « fardeau social », une « charge » et que ceux atteints d’Alzheimer sont déjà « morts moralement et socialement », comme l’a dit publiquement Pierre Viens. Croyons-nous vraiment qu’ils seraient mieux d’être tués par l’injection létale que l’on nomme aide médicale à mourir ? Quelle trajectoire horrible pour une société ! On ne peut pas s’empêcher de penser aux nazis qui tuaient par le gaz handicapés et malades mentaux. Gardons notre sens moral et travaillons à éliminer les souffrances plutôt que les personnes !

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Le Kenya ordonne à Marie Stopes de «cesser immédiatement d’offrir toute forme d’avortement»

Par la Society for the Protection of Unborn Children (SPUC) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jay Galvin/Flickr

La dénonciation de l’agenda de l’avortement illicite.

Dans les derniers déroulements d’une affaire significative, Marie Stopes International s’est vu interdire d’offrir des avortements au Kenya, et a été réprimandé pour avoir enfreint les lois de la République.

Cette déclaration a été faite par le Kenya Medical Practitioners and Dentists Board [Conseil des médecins et dentistes du Kenya] (KMPDB), après qu’un tollé public se soit fait entendre sur le fait que la publicité de Marie Stopes Kenya encourageait l’avortement, qui est largement illégal dans le pays.

Promotion de l’avortement

La KMPDB a convoqué un Special Preliminary Inquiry Committee (Commission d’enquête préliminaire spéciale) après que l’attention eût été attirée sur le fait que Marie Stopes diffusait des annonces publicitaires par diverses stations de radio, malgré l’interdiction du Kenya Film Classification Board (Comité de classification des films du Kenya) de toute publicité sur l’avortement.

La plaignante dans cette affaire est Ann Kioko de CitizenGo Africa, qui avait lancé une pétition demandant au ministre de la Santé d’enquêter sur les annonces et d’interdire à Marie Stopes d’opérer au Kenya. Elle a dénoncé des publicités faisant la promotion de l’avortement à la radio, dans les journaux et sur les médias sociaux, et a déclaré qu’elle avait personnellement appelé le service téléphonique de Marie Stopes et qu’on lui avait dit qu’elle pouvait se faire avorter pour 5000 shillings kényans (38 £) [64 $].

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