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Je voudrais vous parler d’amour... et de sexe: un livre important mais comportant de sérieux défauts

Sœur Marie-Paul Ross est religieuse et sexologue. Forte de son expérience et de ses études, elle porte sa réflexion sur différents sujets liés à la sexualité, l’avortement, la contraception, les déviances dans l’église. Dans son nouveau livre intitulé « Je voudrais vous parler d’amour... et de sexe », il faut la remercier de mettre sur le devant de la scène de graves problèmes cachés dans nos sociétés… et dans l’église. 

Le chapitre 6 sur l’érotisme et la pornographie est des plus intéressants.  Il met en valeur la distinction nécessaire et trop inconnue dans la culture contemporaine entre un sain érotisme et une pornographie dévastatrice. 
 
Très intéressant également le chapitre sur la pédophilie qui explique les différents types de pédophilie, totalement indépendants de l'état de vie, célibataire ou marié.
 
Son appel à une meilleure formation à la chasteté des prêtres et religieux est déjà commencé dans certains séminaires où la théologie du corps développé par Jean-Paul II est enseignée.
 
Mais « 80 % des prêtres et des religieux ont eu des écarts de conduite par rapport à leur vœu de chasteté» dit-elle. C’est l’une des bombes lancées par la sexologue, dans les entrevues pour annoncer son nouveau livre.
 
Il y a deux problèmes avec cette affirmation. Le premier est qu’on ne définit pas ce que l’on entend par écarts de conduite, ce qui donne un large éventail de possibilités du regard inapproprié à la couchette…
 
Le deuxième est le côté très subjectif et très approximatif de l’évaluation de Mme Ross. On peut penser, même si elle s’en défend, que Mme Ross a fréquenté plus souvent des personnes blessées que des personnes épanouies… Et surtout, elle n’a pas fait le décompte dans toutes les communautés et instituts religieux du Québec. 
 
Il n’empêche que la problématique est bien réelle et que Mme Ross a certainement raison de la soulever. La formation est tout aussi importante pour les couples que pour les personnes célibataires pour bien vivre la chasteté.
Mais là où l’on ne peut la suivre dans ces raisonnements, c’est lorsque sœur Marie-Paul  Ross s’attaque aux questions de l’avortement et de la contraception.
 
Avec le curriculum impressionnant de sœur Ross, il peut paraître prétentieux de reprendre notre sexologue missionnaire sur le sujet, mais l’expérience autrement concluante des missionnaires de la Charité permet de constater que sœur Ross doit «poursuivre ses recherches» comme lui disait Jean-Paul II lors de sa rencontre avec le Pape en 1995.
 
Sœur Ross raconte les situations difficiles de nombreuses  jeunes filles enceintes à  13 ans. Elle relate ce cas :
 
« Par exemple, Nancy, treize ans, une adorable fillette pour laquelle je me prends d’affection. Je connais bien sa famille. À l’occasion d’une visite, on m’apprend qu’elle est enceinte. De toute évidence, cette petite ne mesure pas ce qui lui arrive. Sa dignité est touchante. Sa mère me raconte qu’elles attendent un avion des narcos qui doit les mener toutes les deux à Trinidad, la ville la plus proche, par ailleurs l’unique endroit, à une heure de vol, où il est possible de recevoir des soins médicaux en plus de se procurer préservatifs et contraceptifs.  Je suis soulagée : heureusement pour Nancy, son interruption de grossesse va au moins se dérouler à l’hôpital. Mais toutes les filles du village n’ont pas cette possibilité. » (p.34)
 
Ce paragraphe est un bel exemple de fausse compassion.  Il y a des «possibilités» qui n’en sont pas.  Toute personne doit être respectée, pas ces comportements. Tuer n’est jamais un choix respectable, ni une possibilité. 
 
Jamais les sœurs de mère Teresa n’ont eu recours à l’avortement, même si elles ont souvent été confrontées à des situations difficiles telles que celles décrites par Sœur Marie-Paul Ross. Oui, il est terrible que des enfants tombent enceintes, mais la solution préconisée par les missionnaires de la charité est d’accompagner tout enfant, pas seulement celui qui est visible. Bien que sœur Ross déplore et décrive avec toute son expérience les conséquences traumatisantes de l’avortement, elle ne prend pas conscience que l’opposition à l’avortement  tient d’abord compte du sort de l’enfant à naître. C’est sa vie qui est en jeu, pas son équilibre psychique et émotionnel. Je répète que jamais les missionnaires de la charité n’ont eu besoin d’avortement pour soutenir et sauver des fillettes des terribles situations vécues dans les bidonvilles et des cultures machistes toujours bien présentes sur notre planète.
 
Nous ne pouvons être « soulagés » (c’est une insulte à la mémoire de l’enfant avorté) comme le dit Sœur Marie-Paul Ross parce qu’un avortement s’est produit dans un hôpital. Nous le serions si nous avions accompagnée avec compassion cette enfant durant sa grossesse et la naissance de son enfant, comme cela se produit quelquefois dans ces régions difficiles, et ce, sans complications pour la santé de la jeune mère. Le terme utilisé par Sœur Ross, même si nous comprenons l’idée qu’il est préférable d’avorter dans un hôpital que sans soutien médical, est  proprement révoltant.
 
De même pour la contraception.  Sœur Ross raconte : 
«En leur parlant de l’usage du préservatif ou de la méthode Ogino, j’insiste sur le fait que la contraception de ne doit pas servir à « abuser » d’une femme. Au contraire, elle doit permettre que l’échange amoureux, entre adultes consentants, soit plus détendu, car non perturbé par la crainte permanente d’une grossesse non désirée. Je leur démontre aussi qu’une relation sexuelle n’est pas un simple jeu comme une partie de foot, mais qu’elle nécessite de la maturité. J’aborde sans tabou la question de l’avortement, qui n’est pas une bonne solution, parce qu’il marque profondément le psychisme des filles et qu’il peut les tuer dans leur affect. À mon grand regret, il m’est impossible de mettre en place une structure de planning familial dont Baurès aurait tant besoin, car la pharmacie du village ne propose toujours pas de moyens de contraception.
 
Fidèle aux préconisations du Vatican, notre brave curé refuse d’en passer commande en Europe! Il est vrai qu’entre lui et moi le courant ne passe plus du tout. Nous sommes en désaccord permanent. Il me reproche principalement de vouloir faire la promotion de la contraception. J’ai beau le lui expliquer, il refuse d’admettre qu’il s’agit là d’un grave problème de santé publique. Sur ce point, j’avoue n’avoir jamais suivi le discours strict de l’Église, trop attachée à des méthodes, oubliant l’idée d’une santé globale. D’après moi, chaque être humain doit être bien dans son corps et dans ses choix de vie pour se sentir libre, heureux, en bonne forme physique et spirituelle. C’est en tout cas le message que j’essaie de faire passer dans ma pratique de missionnaire et de soignante. » (p.40)
 
Sœur Ross parle de méthode Ogino, terme qui n’est plus utilisé dans le milieu d’éducation des méthodes naturelles de régulation des naissances. Veut-elle respecter l’ignorance des lecteurs sur les développements de ces méthodes? Probablement. Depuis des décennies, les progrès des  méthodes sympto-thermiques et méthodes billings leurs ont permis d’acquérir une fiabilité égalant et dépassant même celles des méthodes artificielles connues. Vécues dans un esprit différent de la mentalité contraceptive, elles n’ont pas le désavantage de séparer psychologiquement  la dimension unitive de la dimension procréatrice dans le couple, séparation si dommageable pour l’amour entre les époux. Oui, tous peuvent utiliser ces méthodes respectueuses du corps de la femme et de l’amour du couple. Là encore, je m’appuie sur l’expérience des missionnaires de la charité qui enseignent avec succès cette méthode dans les régions les plus pauvres, matériellement, de notre monde. 
 
Je m’appuie également sur le témoignage des couples ayant connus la transition de la contraception vers les méthodes naturelles. Elles ne désirent pas retourner en arrière et partagent que ces nouvelles méthodes ont, presque automatiquement parfois, équilibré leur vie de couple, leur passion amoureuse, le respect du à l’autre dans le couple, ce qui n’est pas le cas de la contraception artificielle.
 
Sœur Marie-Paul Ross choisit de recommander la contraception pour des raisons de santé globale. Dit-elle aux pauvres que le préservatif ne protège pas contre le virus du papillome humain? Que même si l’efficacité théorique du condom est très élevé, le taux de réussite de «l’efficacité pratique » est beaucoup moindre, dus aux erreurs humaines si facile à commettre dans ces moments d’échange amoureux?  Dit-elle que la croyance d’être protégé induit un facteur de risque plus grand parce que les utilisateurs de la contraception adoptent  des comportements plus risqués qu’ils n’auraient sans ces  « protections miracles »? Dit-elle que les comportements risqués répétés à de multiples reprises transforment les relations sexuelles « protégées » en un véritable jeu de « roulette russe »? Parle-t-elle des effets secondaires de la contraception chimique?
 
Sœur Marie-Paul  Ross a l’honnêteté de reconnaître que ses opinions divergent de celle de l’église catholique. Souhaitons lui l’humilité de reconnaître également que son jugement personnel n’est pas infaillible et qu’en approfondissant ses recherches, elle découvrira possiblement par l’entremise des sciences humaines,  toute la sagesse de l’enseignement de l’Église, fruits de multiples cerveaux et d’une protection spéciale de l’Esprit Saint, souvent des décennies en avances sur nos simples connaissances scientifiques personnelles. «Poursuivons nos recherches».
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L'affaire Donat Gionet, prêtre suspendu après avoir prêché contre l'homosexualité, l'avortement et le concubinage

«Seul ce qui est vrai peut finalement être pastoral»

(Lettre aux évêques de l’Église catholique sur la pastorale à l’égard des personnes homosexuelles (1986), n° 15).

Ce mot, il faudrait l’encadrer dans toutes les églises. Un prêtre, le père Donat Gionet répète l’enseignement de l’Église sur l’accessibilité à la communion.  On le fait taire et on l’exclut de la communauté. Ce Jean-Baptiste acadien parle trop. Il est triste que dans cette pièce archi-connue, un évêque semble jouer le rôle d’Hérode.

On ne parle pas ici d’un impair ou un prêtre accable une personne, sans  compassion.  Il s’agit plutôt d’un enseignement public, une homélie. Quoi de plus naturel que de rappeler parfois ce que chacun peut lire en toute lettre dans le Catéchisme de l’Église catholique? Et oui, ce prêtre âgé a pu manquer de tact et de précision s’il a bien dit, lors d'un entretien effectué par la suite, que les gays n’avaient qu’à ne plus être gays.  S’il voulait dire cesser d’avoir des comportements homosexuels, c’est  compréhensible, mais s’il voulait vraiment dire devenir hétérosexuel d’un coup de baguette magique, c’est ne pas connaître la difficulté et la souffrance de plusieurs de ces personnes désirant  développer leur hétérosexualité. 15 minutes d’informations suffiraient pour l’amener à apporter les nuances nécessaires.  Mais de son côté, il ne semble pas y avoir d’ouverture non plus.

Nous n’avons pas toutes les informations pour bien juger de cette histoire. Mais punir pour avoir dit, peut-être très maladroitement sur certains sujets, la vérité, c’est tout ce que l’on veut, sauf agir de façon « pastorale »…   Oui, ce prêtre maladroit est plus pastoral que plusieurs de ses confrères, parce que du moins, il dit la vérité,  alors que d’autres  présentent  leurs opinions personnelles divergentes comme étant le véritable enseignement du Christ promulgué par l’Église.  

Le journal acadien L’Acadie nouvelle publie une lettre du Père Gionet, à lire pour se faire une meilleure idée de ce qui s’est passé.  Ne manquez pas de poursuivre votre lecture avec les commentaires des lecteurs, certains sont remplis de sagesse et témoigne d’indulgence, de compréhension et  d’un grand respect de l’intelligence et de la liberté.

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Comment tuer les autres peuples...

Radio-Canada mentionne que le gouvernement conservateur subventionnera Planned Parenthood pour son action dans les pays où l'avortement n'est pas permis. Ainsi le gouvernement ne subventionnera pas les avortements, mais aidera par l'entremise d'une entreprise très lucrative à changer les mentalités pour qu'il y ait passage de la contraception à l'avortement. L'avortement rapporte gros à Planned Parenthood, elle ne se contentera pas de la prévention...

Voir l'article «Ottawa renouvelle finalement le financement de Planned Parenthood»

 

 

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Comment tuer son peuple...

Nous ne combattons pas l'avortement pour des raisons patriotiques, mais par amour des enfants à naître. Mais il y a des effets secondaires à cette tragédie. L'effacement des valeurs chrétiennes et des valeurs humaines entraîne l'effacement d'un peuple.

Mathieu Bock-Côté dans son article du journal 24h du 22 septembre 2011 réhabilite comme source de notre identité le catholicisme. Enfin, la raison revient!  Remarquez, M. Coté est athée, mais il a l’honnêteté de ne pas nier que le catholicisme est une part des plus importante de l’identité québécoise.

Cela, le parti Québécois l’a nié depuis 30 ans. Voulant couper cette racine chrétienne de notre histoire, il ne s’est pas aperçu qu’il attaquait l’âme même de notre identité. Le dernier député défendant ses position chrétiennes au Parti Québécois fut évincé au début des années 1980. En raison de ses positions pro-vie. On reproche actuellement au Parti Québécois d’être déconnecté de la réalité, mais cela dure en fait depuis ses débuts. Ce parti a voulu construire une nation québécoise indépendante de ses racines chrétiennes, attaquant ainsi de front le patriotisme canadien-français et québécois, i.e. l’héritage chrétien de nos pères. Combien de souverainistes ont décrochés de cette folle bulle péquiste? Certainement assez pour que deux référendums échouent.
 
Mais le plus grave, non seulement au Parti Québécois, mais dans tous les différents gouvernements successifs québécois, c’est cette lâcheté qui n’accepte pas de voir la réalité : avec un taux de natalité de 1,7 enfant par couple et 30 000 avortements par année, le Québec se suicide. Aucune loi ne peut permettre la survie d’un peuple prenant les moyens contraceptifs et familiaux nécessaires pour disparaître. Si nous continuons d’avoir pour fierté notre décadence, le refus des nouveaux immigrés de s’intégrer à cette société morbide produira le remplacement d’un peuple et d’une culture par des populations aux valeurs plus saines. L’histoire se répète. Nous ne serons ni le premier, ni le dernier peuple décadent s’effaçant volontairement  de la surface de la planète.
 
Et le musée catholique, comme ruine et souvenir d’une époque révolue n’y changera rien. Il faut retrouver le goût de la vie, le goût de vivre et cela passe par des mesures prouvant que nous aimons la vie, les enfants, de leurs conceptions à leur morts naturelles. Il faut cesser l’avortement, aider les femmes enceintes en difficultés, aider les familles à élever leurs enfants, faciliter l’adoption, soutenir les aidants naturels, offrir des soins palliatifs universels. Alors nous deviendrons une société humaine et accueillante de chacun. Nous deviendrons une famille de familles, c’est-à-dire quelque chose comme un bon peuple, un peuple où il fait bon vivre. 
 
Toute ces politiques demande l’espérance, mais l’espérance est une vertu de l’âme… Comme peuple, avons-nous encore une âme?  
 
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Aurélie: un vidéoclip sur une jeune fille mère

Un bon clip de musique du groupe Colonel Reyel sur une jeune fille mère! Les arts en peu de mots peuvent dire plus que de longs discours!

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Accompagner jusqu'au bout

Un témoignage sur l'accompagnement d'une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer. Jusqu'à la fin.

Dans tous les témoignages que nous retrouvons sur l'accompagnement des personnes âgées ou des personnes diminuées par un handicap, un élément revient souvent: la richesse de certains moments passés avec ces personnes, irremplaçables.

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Un témoignage sur une vie apparemment absurde

La fondation Jérôme Lejeune (du nom du célèbre médecin français, découvreur du gène de la trisomie 21, photo ci-contre) dans sa lettre mensuelle gènéthique.org, publie une revue de livre qui est un superbe témoignage sur l'une de ces vies en apparence complètement inutile. L'amour est la raison, le sens de toute vie.

À lire également le texte précédent sur la théorie du genre, un combat que nous ne pourrons éviter...

Enfin les deux textes de la lettre précédente méritent notre attention : l'un sur l'objection de conscience chez les pharmaciens; l'autre est une enquête sur le planning familial en France.

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De l'espoir pour les proches aidants du Bas-Saint-Laurent

Une heureuse intiative pour appuyer les proches aidants. A lire, cet article sur le site de Radio Ville-Marie.

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Un nouveau document des évêques canadiens sur l'homosexualité

Très bien écrit et respectueux de ceux qui vivent cette lourde épreuve, le document rappelle que  "seul ce qui est vrai peut finalement être pastoral". À lire et peut-être à compléter un jour par les noms d'organismes soutenant la démarche de transition chez certains de la tendance homosexuelle vers l'hétérosexualité. Cela n'est pas impossible.

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La trisomie tolérée

Dans le journal Métro du 21 septembre, un article relate la volonté de laisser le choix aux parents de faire avorter leur enfant trisomique s'il le désire. Ce "choix" existe déjà. 

Nouveau papa, j'ai eu l'occasion d'expérimenter la pression morale de notre médecin en faveur de l'avortement, s'il s'avérait que notre enfant soit trisomique. Nous avons refusé les tests de dépistages qui n'ont aucun but curatif. A plusieurs reprises, on nous a recommandé l'avortement en cas de pépin, le médecin affirmant même, dans le cas d'un cas d'une trisomie, que la réponse était automatiquement l'avortement.

L'eugénisme est déjà pratiqué. Le sous-titre de l'article dit subtilement que le regroupement pour la trisomie 21 aimerait que les parents connaissent aussi les joies que peuvent apporter les enfants trisomiques, pas seulement les appréhensions face aux difficultés réelles vécues. Le témoignage de M. Martin est très beau sur la couleur spéciale qu'apporte son enfant trisomique dans sa vie.

Les gynécologues et obstétricien préfèrent plutôt "le libre choix", c'est-à-dire, la pression sur les parents, telle que je l'ai vécu, pour avorter l'enfant ne correspondant pas aux critères eugéniques non dits mais déjà établis. La bioéthique enseignée dans nos universités québécoises est généralement déficiente, désolante, décevante pour les étudiants ne pouvant se payer des études à l'extérieur du Québec pour recevoir en ce domaine une formation de qualité. Les enfants "imparfaits" en paient le prix.

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