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Homophobie et "Hétérosexisme" : deux combats différents que l'on veut confondre

Nous devons lutter contre l’homophobie, mais nous ne pouvons recommander l’homosexualité comme mode de vie... 

Le respect de la personne aux prises avec une attirance pour des personnes de même sexe est primordial. Cette attirance est certainement une très grande souffrance. Lutter contre l’homophobie est important.

Mais l’homosexualité n’est pas une orientation sexuelle à développer, à présenter à nos enfants comme un choix possible ou comme un état de vie comparable à l’hétérosexualité. Les campagnes, plutôt le matraquage fait par nos médias est une vraie tentative de lavage de cerveau. 

La lutte contre l’homophobie est déjà incluse dans le respect dû à toute personne. Et les lois en place, heureusement, protègent les personnes aux prises avec un attrait pour les personnes de même sexe de toute discrimination. Non, la lutte contre l’homophobie est maintenant une lutte contre l'«hétérosexisme».  

Plutôt que travailler à mettre sur un pied d’égalité l’hétérosexualité, l’homosexualité, la bisexualité, le transgenre, il serait plus important de chercher à connaître les causes du développement de ses attraits différents chez près de 2 % de la population canadienne selon les dernières données de Statistiques Canada (et non pas 10 % de la population, comme aimerait le faire croire les lobbys gais. Il n’y a pas 700 000 homosexuels au Québec, ni 3 millions au Canada!)

Ces attraits différents si marginaux ne doivent surtout pas être enseignés dans les écoles, comme nos fonctionnaires le désirent tant. Sous prétexte de lutte à l’homophobie, des groupes aimeraient que le gouvernement lutte contre ce qu’ils appellent l’«hétérosexisme». Nous avons à prendre exemple sur les résistants de la Suisse où l’opposition est vigoureuse.

Il est important de se tenir informés. Le journal Famille Québec, entre autres, est un outil approprié pour ne pas dormir sur nos deux oreilles et connaître les actions à poser.

Il nous faut combattre, parce que nos enfants le méritent bien...

 

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Lettre de Mgr Wiesner, président de l'OCVF, dénonçant la subvention fédérale à Planned Parenthood

Mgr Wiesner, président de l'Oganisme Catholique pour la Vie et la Famille, dénonce le parti conservateur pour une décision illogique servant à masquer son manque de détermination.

Le parti conservateur a annoncé une subvention de 6 millions de dollar pour la multinationale fondée par l'eugéniste Margaret Sanger, Planned Parenthood.

Cette subvention ne sera disponible que pour les pays où l'avortement est interdit, mais rien n'empêche Planned Parenthood de dépenser ces 6 millions pour travailler à changer les lois contre l'avortement.

La naïveté volontaire est essentielle pour l'établissement de l'avortement légal.

Nous tenons à féliciter l'OCVF et sa directrice, Mme Michèle Boulva pour cette attitude courageuse, ainsi que Mgr Wiesner, oblat de Marie Immaculée, auteur de la lettre.

Lire la lettre

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Une guerre mondiale!

Lors d'une rencontre entre ces deux très grands écrivains contemporains, Eugenio Corti affirmait à Michael O'Brien que nous étions en guerre! Comme il avait raison... Une guerre contre la notion de famille et de ce qu'est un être humain se déroule actuellement! La théorie du genre est la dernière trouvaille pour miner la base de nos sociétés.

La théorie du genre est l'aboutissement d'une folle idéologie se développant peu à peu, basée sur les principes malthusiens de la « surpopulation » et des ressources terrestres limitées. La seule solution pour ces riches idéologues comme Margaret Sanger, eugéniste et fondatrice de l’idéologie de la planification familiale, diminuer la population.
 
A partir de ces principes, on encouragera la contraception et l’avortement dans les pays pauvres, mais aussi dans les pays riches pour donner l’exemple. On développa des modes de vie antifamiliaux pour diminuer la possibilité d’avoir une famille nombreuse. Et avec la théorie du genre, on déconstruit la nature humaine pour en faire une individualité autoconstructrice et autoréalisatrice de ses fantasmes sur son identité. Chacun peut déterminer s’il est homme, femme, ou autre, un « autre » qu’il pourra inventer à sa guise.
 
Plutôt que de développer les ressources pour subvenir aux besoins des populations, de développer de sains modes de vie respectueux du désir humain si profond d’une famille, d’encourager l’éducation à la maîtrise de soi par des méthodes de régulation naturelle des naissances, éducation à l’amour et à la responsabilité dans l’établissement d’une famille, de nombreuse ONG ont adopté les principes antihumains de Margaret Sanger et compagnie.
Il est extrêmement important de connaître le calendrier de ces groupes, l’historique du développement de ces principes destructeurs, jusqu'à cette dernière folie qu’est la théologie du genre. Encore une fois, beaucoup de chrétiens aimeraient adopter l’attitude de la naïveté volontaire. Ce serait nos enfants qui en paieraient le prix. Il y a une guerre et c’est une guerre de paroles, d’informations, de vérité sur la nature humaine. Il est important de se renseigner pour ne pas accepter concrètement que l’on enseigne des folies à nos enfants.
 
Je vous invite à lire ce texte extrêmement important de Anna-Marie Liébert, philosophe, théologienne et professeur à l’Université de Louvain, proche collaboratrice de Michel Schooyans, auteur du livre « Le terrorisme à visage humain ». Il permet de comprendre le carnet routier, la stratégie d’une idéologie antinaturelle, destructrice de la conception véritable de la nature humaine. 
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Un texte savoureux sur la théorie du genre!

Le père Daniel-Ange porte bien son nom prophétique. Il vient de nous donner ce texte enflammé qui nous fait prendre conscience de la folie de la théorie du genre, folie extrêmement difficile à imaginer tellement elle dépasse l'entendement. Je vous invite à prendre le temps de lire ce texte. Vous verrez qu'il se lit plus rapidement que vous ne le pensiez au départ! 

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La famille, base et coeur de la société

 « J'ai eu mon premier (et mon dernier) enfant à 38 ans. Et si le titre du livre que j'ai écrit à ce sujet s'intitulait "Maman last call", ce n'était pas par fierté mal placée. Au contraire. Je m'en voulais amèrement d'avoir attendu l'heure du last call avant de me brancher. Ma procrastination n'avait rien de mécanique. J'aurais pu avoir des enfants, mais j'étais tout simplement trop occupé ailleurs.

Et puis, il y a eu cet ultime sursaut à minuit moins une quand les lumières du grand bar de la vie se sont allumées, que les piles de mon horloge biologique ont faibli d'avoir trop sonné et que je me suis regardée dans le blanc des yeux en me demandant si la maternité valait oui ou non la peine d'être vécue. La réponse, évidemment, était oui. » (Nathalie Petrowski, journal La Presse du 26 octobre 2010)
 
Notre société occidentale place l’établissement d’une famille comme l’accomplissement d’une carrière bien remplie. Cela serait l’idéal si cet accomplissement, les études terminées, le métier trouvé et le couple constitué permettaient de vivre très jeunes la fondation d’une famille. C’est loin d’être le cas. En plus, notre rythme de vie fait que nous avons peu de temps calmes et sereins avec nos enfants.
 
Chacun a des choix à faire pour redonner la première place à sa famille, raison de son travail, de ses loisirs, notre prochain dont nous devons prendre soin comme la prunelle de nos yeux. Mais un État peut également favoriser ou décourager par ses politiques familiales, la vie de famille.
 
L’établissement d’un congé parental, par exemple, est une bonne initiative, mais, insuffisante. Comme société, nous avons à faire le choix de soutenir financièrement le conjoint au foyer s’occupant des enfants, c’est le travail, le rôle le plus important qui soit.
 
J’entends déjà les cris de groupements marxiste-féministes me reprochant de vouloir retourner les femmes au foyer. Je leur répondrai encore une fois qu’ELLES ont un regard méprisant sur ces femmes dévouées, pas moi. De plus, si dans un couple, de concert avec son époux, la femme choisit de demeurer auprès des enfants pour parfaire leur éducation, cela ne regarde en rien les marxiste-féministes.  Que ces groupements cessent d’avoir un discours méprisant pour une maternité comprenant l’éducation des enfants et qu’ils cessent de penser qu’ils parlent au nom des femmes. Combien ne se retrouvent pas dans leur discours idéologique prescripteur de règles antifamiliales! La liberté de la femme est plus importante que la construction imaginaire de ce que doit être une femme. 
 
Il est fort probable qu’une majeure partie des femmes CHOISISSENT de s’occuper des enfants à la maison si, comme société, nous reconnaissons et soutenons financièrement cette mission indispensable, la plus importante qui soit. La liberté de travailler à temps plein à l’extérieur, à temps partiel à la maison et à temps partiel à l’extérieur, ou de travailler à temps plein à la maison dans sa tâche d’éducatrice doit être établie. Un vieux professeur de philosophie disait que les femmes peuvent en général tout mieux faire que les hommes et que c’est la raison pour laquelle l’éducation des jeunes enfants leur était confiée dans la plupart des sociétés. La mère au foyer doit avoir une reconnaissance sociale et financière équivalant au rôle primordial qu’elle joue. C’est ce qui a manqué dans le passé.
 
De même, le rôle du proche aidant doit être également reconnu et soutenu financièrement. Là encore, un membre de la famille qui sera probablement le plus souvent une femme, en toute liberté, s’occupera d’une personne âgée, d’une personne handicapée. 
 
Et si ces rôles sont reconnus à leur juste valeur, alors nous aurons une société humaine aux priorités équitablement établies et équilibrées. Les enfants et les plus faibles seront mieux protégés et aimés par leurs proches soutenus par l’état, que par l’état lui-même par l’entremise de centre de soins et de garderies.
 
Pour parler en termes utilitaristes, bien que ce ne sont pas les critères de bases pour soutenir ce point, la famille est la société d’entraide la plus économique pour tout État. La plus efficace aussi. Soutenir financièrement les familles leur donnerait le choix de mettre ou pas leurs enfants en garderie, soulageant ainsi un réseau extrêmement coûteux pour nos finances publiques. De même, il serait aussi moins onéreux d’aider les proches aidants que les institutions pour prendre soin de personnes dans le besoin. 
 
Ces mesures n’enlèvent pas la nécessité de structure étatique comme l’école et les CLSC. Mais ces structures doivent être au service des familles, les soutenir, pas les remplacer en considérant les parents et les proches aidants comme des incompétents à former. Pensons à la bouillie tolérante et ramollissante du cerveau des cours d’« éthique et culture religieuse », ou encore aux campagnes de vaccinations et de « préservations » de l’activité  sexuelle précoce et encouragée,  si chères à nos fonctionnaires du ministère de l’Éducation.
 
Est-ce qu’il y aura un jour un « Parti familial québécois » élu à l’Assemblée nationale? Un parti qui reconnaîtrait la famille comme pierre angulaire d’un peuple? Ce serait un véritable renouveau.
 
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Les mères françaises plus âgées...

Contrairement à la nature humaine favorisant les naissances dans un plus jeune âge, nous remettons de plus en plus la conception d'enfants vers un âge tardif. Notre mode de vie, nos structures sociales ne soutiennent malheureusement pas l'établissement de jeunes familles. Le journal Libération nous relate ce fait pour les mères françaises.

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L'italie s'efface tranquillement...

L'Italie précède le Québec sur la voie de la dénatalité. Avec un taux de fécondité de 1,4 enfant par femmes, nous perdons progressivement la présence de cette voix si appréciée, de cette langue chantante si expressive, si vivante dans le concert des nations. 5 millions d'enfants ont été éliminés par avortement en Italie depuis 1978.

Un article paru dans le journal La Croix du 6 octobre 2011 fait écho à l'appel de l'Église italienne pour sauver le peuple Italien de ce "lent suicide démographique" . Que vive l'Italie...

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Conçu 20 ans plus tard, Steve Jobs ne serait pas né...

 

Le Salon Beige reprend cette information sur l'histoire de Steve Jobs, enfant confié par sa mère à l'adoption. Ce n'est pas parce qu'un homme est un génie qu'il avait plus le droit de naître. Mais cela fera peut-être comprendre à certains que l'élimination d'un enfant par avortement est toujours une perte irréparable pour l'humanité. Nous ne comprenons qu'une partie des conséquences de ce génocide sur une société. Avec le temps nous verrons mieux ce qu’implique la perte des ces enfants.
 
On peut  penser à la Chine où l’avortement sélectif du sexe féminin entraîne le célibat forcé de millions de jeunes chinois. On peut aussi penser à ces sociétés où la peur de mourir seul ou maltraité entraîne la demande de l’euthanasie, d’autant plus qu’il n’y a plus assez de jeunes pour payer les soins de santé des populations vieillissantes. 
 
L’avortement est un choix de désespoir, toujours le mauvais choix. Et l’on doit vivre avec ces multiples conséquences négatives.  Il n’y a pas que les proches qui sont touchés. Une société entière paie pour ces meurtres médicaux.
 
Combien de temps s'écoulera-t-il avant que tous s'ouvrent les yeux et voient 
toute l'horreur de ce qui se produit actuellement?

 

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Riposte aux tentatives d'établir un droit mondial à l'avortement à l'ONU

Aujourd'hui paraissait à l'ONU les «Articles de San José» pour la défense de l'enfant à naître dans les lois internationales. C'est un document historique qui pourra servir de base pour établir les droits de l'enfant à naître dans les documents onusiens. Il n'est paru que dans sa version originale anglaise. Dès qu'il y aura une traduction, nous vous la ferons connaître sur le site de Campagne Québec-Vie.

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200 théologiens américains s'opposent à la peine de mort

L'agence de presse Zenit.org du 6 octobre nous apprend cette nouvelle.

La peine de mort, bien qu'elle ne soit pas intrinsèquement mauvaise, n'est probablement plus nécéssaire aujourd'hui pour garder l'ordre.

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