Par Austin Ruse, président de C-Fam — traduit par Campagne Québec-Vie
Ceci est la traduction d’un courriel envoyé par C-Fam, c’est pourquoi il s’adresse au lecteur à la 2e personne du pluriel. — CQV
Cher ami,
Je me suis à un entretenu avec une jeune fille de 14 ans il y a quelques mois, et elle m’a mis au courant de ses batailles contre la gauche sexuelle de son collège.
Elle m’a raconté l’histoire d’un garçon qui exigeait un baiser d’un autre garçon. Quand elle a défendu le garçon menacé, on l’a traité d’intolérante.
Elle m’a parlé de deux de ses amies s’embrassant sans vergogne devant elle.
Elle m’a décrit l’intimidation dont elle avait été la cible à l’école pour avoir porté un chandail pro-vie.
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Ce qu’elle m’a montré, c’est à quel point les révolutionnaires de la sexualité sont profondément enracinés dans nos écoles publiques, jusqu’aux premières années d’études.
Il s’agit de l’ordre du jour officiel des administrateurs scolaires. Cette petite fille est allée voir son directeur et s’est plainte, et le directeur lui a dit : « Nous devons faire en sorte que tout le monde se sente inclus ». Elle lui répondit : « Mais je ne me sens pas inclus. »
Mais cela n’a pas d’importance. La question est qu’elle se sente exclue, que quiconque se sente exclu s’il n’est pas d’accord avec les garçons qui menacent d’embrasser d’autres garçons. La fin est le recrutement et le conditionnement.
Sous l’Empire ottoman, le sultan avait comme pratique d’enlever des garçons chrétiens et de les élever pour en faire des janissaires, une troupe de soldats [délites] personnelle. C’étaient des enfants chrétiens entraînés à faire la guerre aux chrétiens.
C’est précisément ce que font les révolutionnaires de la sexualité dans nos écoles. Ils subvertissent la morale de nos enfants et les retournent contre la foi et la famille.
Chez C-Fam, nous voyons cela de près. Nous voyons les généraux de la révolution tracer les plans d’une stratégie pour nous voler nos enfants. Nous le voyons dans les négociations à l’ONU, où il essaye d’inclure des termes comme « éducation sexuelle globale » et « orientation sexuelle et identité de genre » dans les documents de l’ONU pour les imposer à toutes les familles du monde.
Au cours des prochaines semaines, la bataille reprend. L’Assemblée générale de l’ONU commence dans quatre semaines. Nous avons quelques douzaines de délégations de notre côté, qui travaillent pour mettre fin au vol de nos enfants
Joignez-vous à nous dans la prière pour que nous puissions les arrêter une fois de plus. Joignez-vous à notre combat avec vos dollars.
Je sais bien que vous ne pouvez pas venir à l’ONU. Mais vous pouvez y être en esprit par vos prières et par votre soutien financier.
Si ce n’est pas nous, qui? Si ce n’est pas maintenant, quand?
Sincèrement vôtre,
Austin Ruse
Président de C-Fam
Éditeur du Friday Fax