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L’obligation vaccinale du Vatican viole le code de bioéthique et doit cesser maintenant, selon un expert du covid-19


Le Dr Peter McCullough.

Traduit par Campagne Québec-Vie

15 février 2022, Rome (LifeSiteNews) — Dans une nouvelle entrevue avec le journaliste Edward Pentin, une autorité de premier plan sur le COVID-19 a appelé le Vatican à abandonner immédiatement son plaidoyer et ses mandats en faveur des vaccins, avertissant que sa position sur les vaccins le rend complice des décès dus aux vaccins et viole l'essentiel du code de bioéthique.

Le Dr Peter McCullough, interniste, cardiologue et épidémiologiste basé à Dallas, qui compte 54 publications évaluées par des pairs sur le COVID-19 et a témoigné devant le Sénat américain sur la réponse à la pandémie, a également appelé le Vatican à « lancer immédiatement une campagne d’intérêt public sur les blessures et les décès dus aux vaccins ».

McCullough s’est entretenu avec Pentin par téléphone, le 11 février, et a déclaré que le Vatican devra déjà « rendre compte des centaines de milliers de vies potentiellement perdues à cause du vaccin dans le monde entier » parce qu’il a violé le Code de Nuremberg — un ensemble de principes éthiques qui excluent toute pression, coercition ou menace de représailles pour tout traitement médical, surtout s’il est nouveau et expérimental.

Malgré l’enseignement du Vatican selon lequel la vaccination « n’est pas, en règle générale, une obligation morale et que, par conséquent, elle doit être volontaire », il impose désormais à tous les employés et visiteurs — à l’exception de ceux qui assistent aux liturgies et aux audiences papales -- d’être entièrement vaccinés ou d’avoir récemment récupéré du virus pour pouvoir entrer sur le territoire du Vatican.

Vous trouverez ci-dessous un extrait de l’entretien. L’intégralité de l’entretien peut être consulté ici :

Dr McCullough, en tant qu’expert interniste, cardiologue, épidémiologiste, vous avez examiné de près les complications cardiovasculaires à la fois de l’infection virale et des lésions se développant après le vaccin COVID-19. Vous avez également produit 54 publications évaluées par des pairs sur le COVID-19. En tant que personne éminemment qualifiée dans ce domaine, pourriez-vous résumer brièvement vos préoccupations concernant les vaccins, et les vaccins à ARNm en particulier ?

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On sait maintenant que ces vaccins ont un mécanisme d’action dangereux. Cela signifie que l’on s’attend, contrairement aux autres vaccins qui sont sûrs et efficaces, à ce que ces vaccins, sur la base de leurs propriétés biochimiques et physiochimiques, soient dangereux. J’entends par là qu’il s’agit de formes de matériel génétique — soit de l’ARN messager, soit de l’ADN adénoviral — qui est porté sur des nanoparticules lipidiques.

Les nanoparticules lipidiques, de par leur conception, se dirigent vers des endroits du corps, vers des systèmes d’organes du corps, où il serait délétère que du matériel génétique soit livré. C’est donc connu, et c’était connu avant l’avènement de ces vaccins.

Des chercheurs chinois ont étudié les nanoparticules lipidiques et on savait qu’elles se dirigeraient vers les glandes surrénales, les ovaires humains, le cerveau, le cœur, la moelle osseuse et d’autres organes vitaux... L’introduction de matériel génétique dans ces organes est extrêmement préoccupante, notamment parce que ce matériel génétique est ensuite absorbé par ces cellules. Ces cellules ne sont pas censées avoir ce matériel génétique....

Il a été prouvé que plusieurs mois plus tard, le matériel génétique est retrouvé dans les ganglions lymphatiques, donc il est toujours présent…

Quel est donc l’ordre de grandeur du risque, selon vous, de contracter, disons, une myocardite, un accident vasculaire cérébral ou une crise cardiaque à cause de ces vaccins ? Ces risques sont-ils vraiment sérieux et pourraient-ils devenir monnaie courante à cause du vaccin ?

Prenons la mort comme la préoccupation la plus sérieuse. Nous utiliserons les États-Unis, qui comptent 330 millions d’habitants, comme exemple. Si nous considérons tous les vaccins combinés par an aux États-Unis, à travers toutes les injections multiples — et j’ai personnellement pris tous les vaccins — cela représente environ 278 millions d’injections par an. C’est beaucoup. Ce n’est pas le cas de tout le monde dans le pays, mais c’est 278 millions de piqûres administrées à au moins un large groupe de personnes.

Le nombre de décès considérés comme rares et avec lesquels nous devons vivre, qui peuvent survenir dans des circonstances très inhabituelles, comme une réaction allergique, est d’environ 150 par an. Notre système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) enregistre donc chaque année environ 150 décès jusqu’en 2021.

Ce qui s’est passé en 2021, c’est qu’au 22 janvier [après seulement un mois], nous avions déjà atteint 182 décès... Si nous avions eu un comité de surveillance de la sécurité des données et des comités d’éthique humaine appropriés pour examiner cette question, nous aurions arrêté le programme américain en février et dit : « Écoutez, il y a trop de décès ».

… Tandis que nous sommes assis ici, aujourd’hui, nous en sommes à 21 000 décès dans notre système de rapports sur la sécurité des vaccins du CDC. Donc je vous le dis, la mort ne peut en aucun cas être considérée comme rare. La façon correcte de décrire cela est qu’il s’agit du produit biologique le plus dangereux et le plus meurtrier jamais utilisé dans l’histoire de l’humanité — point final.

L’entrevue complète entre le Dr Peter McCullough et Edward Pentin est disponible ici.



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