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Kamala Harris : propriété des industries pharmaceutiques, de transition de genre et d’avortement


Kamala Harris.

Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran vidéo/X

8 août 2024 (LifeSiteNews) — Tout au long de sa mystifiante et fulgurante carrière politique, Kamala Harris a démontré à maintes reprises sa fidélité aux industries pharmaceutiques, de l’avortement et du transgenrisme, utilisant sa position d’autorité pour nourrir leur soif inextinguible de profit en promouvant leurs requêtes pour des vaccins expérimentaux dangereux, pour leurs monstrueux traitements médicaux et chirurgicaux dits « de changement de sexe » pour les jeunes et les enfants, et pour la dévalorisation et la destruction de la vie humaine par le biais de l’avortement.

Mme Harris et son nouveau colistier à la vice-présidence, Tim Walz, sont de dangereux extrémistes radicaux, plus enclins à remplir les poches des industries démoniaques de la « santé » qu’à protéger la dignité et l’épanouissement de la vie des Américains.

Harris : combattre pour l'industrie pharmaceutique, pas pour la santé publique

Mme Harris a fait la promotion du vaccin COVID-19 (C19) dès le début et continue de le faire, comme en témoigne son exigence d’une vaccination « à jour » pour tous ceux qui cherchent un emploi au siège de sa campagne.

Harris exige en effet que les personnes qu’elle emploie mettent continuellement à jour leur statut vaccinal C19, bien que les Centres de contrôle des maladies (CDC) admettent depuis août 2021 que le vaccin C19 n’empêche en rien la transmission du COVID.

« Harris a toujours soutenu les obligations fédérales de Biden en matière de vaccins et de masques, ainsi que les fermetures d’entreprises, d’écoles et de lieux de culte dans toute l’Amérique pendant la période du COVID », a déclaré Nikos Biggs-Chiropolos, du Honest Media Project. « Il est clair que la priorité absolue de la députée, qui a passé toute sa carrière à essayer de plaire aux élites et aux donateurs du parti démocrate plutôt qu’aux gens ordinaires, est de soutenir ces puissantes entreprises plutôt que de lutter pour une meilleure santé publique ».

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Dans une vidéo remarquable et accablante datant de juillet 2021, Harris débite un mensonge après l’autre au sujet de l’efficacité du vaccin C19.

« Se faire vacciner est la meilleure défense contre le COVID-19 et ses variants », a déclaré Mme Harris, qui ne s’est jamais corrigée et n’a jamais pris la peine de changer ses messages trompeurs.

« Premièrement, nous savons tous que le vaccin n’arrête pas la transmission », a déclaré le Dr James Lyons-Weiler, un expert qui a documenté l’innocuité et l’efficacité des vaccins.

« Deuxièmement, où est l’étude qui compare la vaccination au protocole Brownstein ? Ou à l’ivermectine ? Ou encore à l’hydroxychloroquine associée aux corticostéroïdes et au zinc ? », poursuit Lyons-Weiler. « Aucun essai clinique randomisé n’a permis de faire ces comparaisons ».

« Elle invente littéralement tout cela au fur et à mesure », a-t-il souligné.

« Est-il moral pour la vice-présidente des États-Unis de dire qu’un vaccin est “hautement efficace” alors qu’il est incapable d’arrêter la transmission du virus qu’il est censé combattre ? », a demandé Biggs-Chiropolos.

Ce n’est pas moral, mais ses mensonges ont certainement aidé les entreprises pharmaceutiques à récolter des bénéfices inattendus grâce à l’hystérie du C19 que Harris a contribué à fomenter.

« Son bilan montre clairement qu’elle est une marionnette de Big Pharma plutôt qu’une championne du peuple », a déclaré Biggs-Chiropolos.

Mais le fait que Mme Harris continue à promouvoir le vaccin COVID-19 n’est qu’une partie du tableau d’une dirigeante qui n’est en réalité rien d’autre qu’un outil pour les industries de « soins de santé » néfastes.

Il y a pire. Bien pire.

Une radicale de l’industrie trans

En choisissant Tim Walz — qui, en tant que gouverneur, a déclaré que le Minnesota était un État sanctuaire pour les transgenres et a placé des distributeurs de tampons dans les toilettes des garçons des écoles publiques —, Mme Harris a manifesté son soutien au complexe industriel trans-technologie-médecine, en plein essor et pesant plusieurs milliards de dollars.

Les professionnels de la « santé », qui s’apprêtent à tirer d’énormes revenus de ceux qui sont piégés dans le cauchemar des corps et des âmes médicalement mutilés, ont menti à maintes reprises à propos de l’impact et de la motivation de leurs pratiques médicales macabres.

Cela ne préoccupe manifestement ni Walz ni Harris. Mais pourquoi ? Quelle est la source de leur remarquable allégeance ?

Dans une vidéo d'entrevue publiée l’année dernière, la journaliste d’investigation Jennifer Bilek a démystifié la montée en puissance du culte transgenre. Il s’agit d’engranger d’énormes profits en mutilant de façon permanente le corps de jeunes gens vulnérables.

Jennifer Bilek explique :

Il s’agit totalement d’un arrangement de pouvoir du haut vers le bas... Vous êtes motivés par l’appât du gain. Absolument. Médicaments. Chirurgies. Matériel chirurgical. Pas seulement les hormones et les bloqueurs de puberté, mais aussi les antibiotiques, les médicaments anti-rejet. En fait, il y a une myriade de chirurgies que les gens veulent subir après avoir subi cette attaque contre leur sexe, oui, une attaque médicale contre leur sexe. Ils veulent ensuite se faire refaire le cou, la pomme d’Adam et se faire raser la mâchoire. C’est comme une compulsion, et c’est la technologie qui en est le moteur.

C’est une orgie consumériste, et c’est nous qui sommes consommés. Les gens — notre sexe — sont en train d’être déconstruits. Il ne s’agit pas seulement d’une idée, d’une idéologie ; c’est en train de se produire. Dans les grands hôpitaux, on procède à l’ablation des organes reproducteurs des jeunes femmes. Le sexe est donc en train d’être déconstruit médicalement, idéologiquement, légalement et linguistiquement dans la culture.

Mais il y a un motif encore plus sinistre derrière l’essor de l’industrie transgenre : le remplacement et le transfert de la reproduction sexuelle humaine aux Big Tech.

« L’État-entreprise s’empare de la reproduction sexuelle humaine et la transfère au secteur technologique », explique Bilek, une féministe autoproclamée qui a averti à maintes reprises que « les femmes sont effacées dans le langage et le droit. C’est comme si nous n’existions pas ».

« Quand on suit l’argent comme je le fais, on trouve les réponses », a déclaré Mme Bilek. « Tout va au secteur technologique. Ils veulent s’approprier la reproduction humaine grâce à la technologie ».

En retirant aux jeunes les moyens de reproduction humaine et en les confiant à Big Tech, les grandes entreprises s’apprêtent à récolter des milliards de dollars par an. Le fait est qu’elles considèrent comme une bonne chose la stérilisation des enfants, des adolescents et des jeunes adultes par le biais d’une transition médicale, hormonale et sociale qui modifie le corps et l’âme. Il s’agit avant tout de profits futurs et de contrôle de la population.

Bilek a déclaré que le fait d’enseigner aux enfants qu’ils peuvent choisir leur sexe « est une folie, une folie absolue, parce que cela va à l’encontre de la réalité ».

« Pourquoi les autorités mènent-elles une idéologie de dissociation physique de la réalité sexuée ? Pourquoi cela se produit-il ? »

« Tout cela fait partie du secteur des technologies médicales dont ils vont tirer profit », a-t-elle répété.

« Porter des enfants est une occupation de la femme, et supprimer la capacité de se reproduire est donc “le summum de la chosification” », a déclaré Jennifer Bilek.

Tout cela est déjà bien avancé, a fait remarquer Bilek. Le transfert de la reproduction humaine vers le secteur technologique est déjà en cours par le biais de « tous les grands traitements de fertilité qui existent actuellement : la congélation des ovules, la congélation du sperme et la gestation pour autrui ».

« Ils font des recherches sur les implants d’utérus... C’est de l’appât du gain et du contrôle social dans le sens où ils veulent littéralement briser le sexe », a-t-elle poursuivi. Il est impératif de considérer le transgenrisme comme normal si l’on veut que la démarche du complexe médico-industriel visant à usurper la reproduction dans les relations conjugales maritales normales soit couronnée de succès.

Les pressions exercées par des gens comme Harris et Walz en faveur du transgenrisme n’ont rien à voir, ou presque, avec l’amélioration des conditions de vie. Il s’agit uniquement de créer une nouvelle source de revenus, très rentable et durable, pour des industries dont les professionnels s’engageaient autrefois à « ne pas nuire ».

Une extrémiste pure et dure de l’industrie de l’avortement

Mme Harris a prouvé à maintes reprises, tout au long de sa carrière de procureur général de Californie, de sénatrice des États-Unis et de vice-présidente, qu’elle était entièrement dévouée à la protection et à la promotion de l’industrie de l’avortement, qui gagne des milliards de dollars chaque année en massacrant les enfants à naître dans le ventre de leur mère.

« Le Parti démocrate sous Harris est aussi radicalement pro-avortement qu’il peut l’être. À moins de se prononcer pour le meurtre des enfants en bas âge, il n’y a tout simplement pas moyen d’être plus extrême que Kamala Harris et son parti ne le sont aujourd’hui », a écrit le président du Ethics and Public Policy Center, Ryan T. Anderson, dans un essai brûlant publié sur First Things. « Elle est une idéologue pure et dure, une extrémiste de l’avortement, et ce depuis ses premiers jours en tant qu’élue. En tant que présidente, elle ne sera pas différente ».

Lorsqu’elle siégeait au Sénat, Mme Harris a reçu un score de 100 % de la part de NARAL Pro-Choice America et de Planned Parenthood.

« En ciblant les journalistes pro-vie et en forçant les centres de grossesse à faire de la publicité pour l’avortement à l’époque où elle était membre du gouvernement, en votant pour passer outre les lois pro-vie des États à l’époque où elle était sénatrice, elle n’a cessé de montrer sa fidélité à la clique de l’avortement », a rappelé M. Anderson. « Depuis qu’elle est devenue la candidate démocrate présumée à la présidence, Mme Harris a semé la confusion quant à sa vision politique en revenant sur nombre de positions qu’elle a elle-même exprimées publiquement. Mais une chose reste constante : l’avortement est sa priorité absolue ».

« Au cours de sa campagne présidentielle ratée de 2019, Mme Harris a expliqué à un auditoire de la chaîne MSNBC le processus par lequel elle écarterait les lois pro-vie des États : sous une administration Harris, toute loi pro-vie d’un État “devrait être soumise à mon ministère de la Justice pour examen et approbation” avant de pouvoir entrer en vigueur. Vous pouvez imaginer le nombre de lois de ce type qui auraient été “approuvées” ? », a déclaré Anderson.

Les groupes pro-avortement sont ravis que Mme Harris soit la candidate démocrate à la présidence.

« La vice-présidente Harris est notre avocate et notre messagère la plus puissante sur cette question », s’est réjouie Jessica Mackler, présidente du groupe de pression Emily’s List, qui a soutenu Mme Harris à chaque étape de son ascension politique.

« Avec Kamala comme prochaine candidate démocrate à la présidence, nous ne pouvons nous attendre à rien de moins qu’à un extrémisme de l’avortement pendant les neuf mois de la grossesse et après la naissance, quelle qu’en soit la raison », a averti Kristan Hawkins, présidente de Students for Life Action, sur le site X en juillet.

« Kamala Harris est déterminée à imposer aux 50 États l’avortement à tous les trimestres sans aucune limite, même les douloureux avortements tardifs des 7e, 8e et 9e mois de grossesse », a déclaré Marjorie Dannenfelser, présidente de SBA Pro-Life America, en lançant un signal d’alarme au sujet d’une présidence Harris.

« Harris est tellement attachée à l’avortement qu’elle ne voit rien d’autre — elle est insensible aux stades de développement des enfants avant la naissance ou aux besoins réels des femmes », a déclaré Dannenfelser.

« Une présidence Harris serait désastreuse pour les droits de l’homme », a prédit Lila Rose, présidente de Live Action.



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