Le CDC ne recommande plus les vaccins covid pour les femmes enceintes et les enfants en bonne santé
Robert Kennedy Junior.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/X
27 mai 2025 (LifeSiteNews) — Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies ne recommandent plus les vaccins expérimentaux à ARNm COVID-19 pour les femmes enceintes et les enfants en bonne santé.
« Aujourd’hui, le vaccin COVID pour les enfants et les femmes enceintes en bonne santé a été retiré du calendrier de vaccination recommandé par le CDC », a annoncé le secrétaire à la santé et aux services sociaux, Robert F. Kennedy, sur X mardi.
« En résumé, c’est une question de bon sens et de science. Nous avons fait un pas de plus vers la réalisation de la promesse du président des États-Unis de rendre l’Amérique à nouveau en bonne santé », a ajouté M. Kennedy.
Lire la suiteUn nouveau documentaire met en lumière le sort d'un Canadien gravement blessé après une injection covid
Par Angeline Tan — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
20 mai 2025 (LifeSiteNews) — Le cinéaste canadien Dean Rainey braque les projecteurs sur les vaccins expérimentaux COVID-19 avec un nouveau documentaire de 80 minutes détaillant le cas d'un homme canadien qui a souffert de séquelles invalidantes après avoir reçu les vaccins.
Intitulé « Why Can't We Talk About This » (Pourquoi ne pouvons-nous pas en parler ?), le documentaire explore l'histoire de Michael Oesch, un homme autrefois actif et en bonne santé dont la santé a dégénéré après avoir reçu sa quatrième injection du vaccin COVID à ARN messager en octobre 2022. Environ 36 heures après avoir été vacciné, Michael Oesch a éprouvé des difficultés à marcher et, peu de temps après, a commencé à souffrir de paralysie.
Après avoir passé une IRM, Oesch a appris qu'il souffrait de graves lésions de la colonne vertébrale, comme l'a rapporté le journal local Norfolk Today. Bien que tout cela se soit produit peu de temps après sa quatrième dose de vaccin COVID, les médecins n'ont pas donné à M. Oesch un diagnostic clair et ont qualifié son état d'« idiopathique », c'est-à-dire de cause inconnue.
Convaincu qu'il souffrait d'une lésion vaccinale liée à la protéine « spike », Oesch a dû faire face à un nouvel obstacle lorsque sa demande auprès du programme fédéral canadien de soutien aux victimes de vaccins a été retardée. Le documentaire de Rainey explique comment Oesch s'est battu pour obtenir un traitement, un soutien et une reconnaissance officielle de ses blessures dans un monde hostile à tout ce qui est négatif à propos des vaccins.
Lire la suiteFécondité : les vaccins à ARNm contre le covid-19 augmentent l’infertilité
Par Clémentine (reinformation.tv) — Photo : Freepik
C’est une question qui est restée en suspens depuis les injections tous azimuts des vaccins à ARNm, dès les premiers mois de « la crise sanitaire » : ce geste médical, ou du moins déclaré comme tel, a-t-il un effet sur la fertilité des femmes ? Parce que, oui, une baisse des taux de natalité a été signalée dans de nombreux pays à la suite de la « pandémie » de Covid-19 et beaucoup l’ont liée à l’instabilité économique et aux confinements répétés. Mais aucune étude n’a jamais émis l’hypothèse d’un lien avec le vaccin… jusqu’à celle qui vient d’être publiée !
Basée sur les données de la République tchèque, elle a pu mettre en lumière que parmi environ 1,3 million de femmes âgées de 18 à 39 ans, celles vaccinées contre le covid-19 ont eu environ 33 % de grossesses réussies de moins que les femmes non vaccinées.
Un pavé dans la mare du discours rassurant et sécuritaire du complexe médico-industriel dont on nous rebat les oreilles depuis cinq ans. S’il y a des limites et des précautions d’analyse dans les conclusions de l’équipe dirigée par le médecin danois Vibeke Manniche, elle montre clairement le haut d’un iceberg dont on n’imagine pas encore la taille.
Lire la suiteUne inspectrice ontarienne suspendue pour avoir enquêté sur le lien entre décès de nourrissons et vaccins covid
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : milanmarcovik/Adobe Stock
27 mars 2025 (LifeSiteNews) — Un officier de police d’Ottawa a été déclaré coupable de « conduite répréhensible » pour avoir enquêté sur une vague de morts subites de nourrissons suite à l’introduction du vaccin COVID-19.
Dans une décision rendue le 25 mars, le surintendant à la retraite Christopher Renwick a statué que la détective Helen Grus du Service de police d’Ottawa a jeté « le discrédit sur la réputation du Service de police d’Ottawa » lorsqu’elle a enquêté sur un lien potentiel entre la mort subite de nourrissons et le vaccin COVID.
Le SPO a allégué que Mme Grus « a entrepris un projet non autorisé, dans le cadre duquel elle a accédé à neuf cas de décès d’enfants ou de nourrissons dans lesquels elle n’avait aucun rôle ni responsabilité en matière d’enquête, et qu’elle n’a pas consigné son implication ou ses conclusions dans les dossiers ».
À partir de décembre 2021, Mme Grus a commencé à se demander si la vaccination COVID jouait un rôle dans le nombre croissant de décès de nourrissons dont elle avait pris connaissance. Elle a donc tenté de déterminer si les bébés ou leurs parents avaient reçu le vaccin expérimental récemment mis sur le marché.
Lire la suiteMark Carney refuse de clarifier ses propos de 2022, lorsqu’il accusait le Convoi de la Liberté de « sédition »
Mark Carney.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : World Economic Forum/Wikimedia Commons
1er avril 2025 (LifeSiteNews) — Le premier ministre canadien Mark Carney a refusé de clarifier les commentaires qu’il a faits en 2022, alors qu’il qualifiait la manifestation du Convoi de la Liberté (contre les mandats COVID) d’acte de « sédition » et préconisait que le gouvernement mette fin au mouvement.
« Eh bien, voyez-vous, je n’étais pas encore un politicien », a-t-il répondu à un journaliste de Windsor (Ontario) où un blocus frontalier lié au Convoi de la Liberté a eu lieu en 2022, et qui lui demandait : « Que dites-vous aux Canadiens qui ont perdu confiance dans le gouvernement libéral à l’époque et qui n’ont plus confiance en vous aujourd’hui ? »
« Je suis devenu un homme politique il y a un peu plus de deux mois, deux mois et demi », a-t-il déclaré. « Je suis entré en politique parce que je pensais que ce pays avait besoin d’un grand changement. Nous avions besoin d’un grand changement dans l’économie ».
L’absence de réponse de Carney semble contraster fortement avec l’opinion ferme qu’il a exprimée dans un article publié le 7 février 2022 dans le Globe & Mail (à l’époque du convoi) et intitulé « It's Time To End The Sedition In Ottawa » [« Il est temps de mettre fin à la sédition à Ottawa »].
Lire la suiteUn jeune homme de 17 ans est décédé après avoir reçu un vaccin covid, mais un juge de l’Ontario rejette la poursuite intentée par sa famille
Dan Hartman.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Dan Hartman/Twitter
26 mars 2025, Toronto (LifeSiteNews) — Un juge de l’Ontario a rejeté une plainte en responsabilité de la famille d’un élève du secondaire décédé quelques semaines après avoir reçu le vaccin COVID.
Selon un article publié le 26 mars par Blacklock’s Reporter, la juge Sandra Antoniani de la Cour supérieure de l’Ontario a statué que le ministère de la Santé n’avait pas de « devoir de diligence » envers un adolescent canadien qui est décédé après avoir reçu le vaccin COVID.
« La tragédie du plaignant est réelle, mais il n’y a pas d’obligation de diligence en droit privé », a déclaré Mme Antoniani.
« Il n’existe pas d’obligation de diligence en droit privé à l’égard des membres individuels du public lésés par les décisions politiques fondamentales du gouvernement dans la gestion des urgences sanitaires qui touchent l’ensemble de la population », a-t-elle poursuivi.
Lire la suiteMark Carney a été l’un des premiers à soutenir la répression du gouvernement contre le Convoi de la Liberté
Le Convoi de la Liberté en 2022.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Rebel News
19 mars 2025 (LifeSiteNews) — Le Convoi de la Liberté est arrivé à Ottawa le 29 janvier 2022. Deux semaines plus tard, le 14 février, Justin Trudeau a déclaré la Loi sur les mesures d’urgence (qui a remplacé la Loi sur les mesures de guerre en 1988) ; son ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, a insisté sur le fait que les forces de l’ordre avaient demandé cette mesure. Des policiers de tout le pays ont commencé à arriver à Ottawa et, le 18 février, ils ont été envoyés dans les rues pour les « dégager » — y compris avec un contingent à cheval. J’étais à Ottawa pendant la répression, et certaines scènes étaient surréalistes.
Le 23 janvier 2024, le juge Richard Mosley de la Cour fédérale a statué que la décision de M. Trudeau d’invoquer la loi sur les situations d’urgence était à la fois « déraisonnable » et constituait une violation des droits des Canadiens tels qu’ils sont garantis par la Charte canadienne des droits et libertés. Il a estimé que l’invocation de la loi manquait de « justification, de transparence et d’intelligibilité », qu’elle portait atteinte à la liberté d’expression et qu’en raison du gel des comptes bancaires et de la répression des manifestations, elle violait la protection contre les « perquisitions et saisies abusives ».
Le gouvernement Trudeau a fait appel de ce jugement, insistant — contre toute évidence — que la loi sur les mesures d’urgence était essentielle au rétablissement de la paix, bien qu’il n’y ait pas eu un seul incident de violence documenté pendant le Convoi de la Liberté. En outre, Brenda Lucki, commissaire de la Gendarmerie royale du Canada, a directement contredit les affirmations de Mendicino, en déclarant que les forces de l’ordre n’avaient pas demandé l’application de la loi sur l’état d’urgence, un élément clé de la justification de l’invocation par le gouvernement. « Il n’a jamais été question de demander l’application de la loi sur les mesures d’urgence », a carrément déclaré Brenda Lucki à la Commission de l’ordre public et des situations d’urgence.
Il est intéressant de noter que l’un des premiers partisans d’une répression du Convoi pour la Liberté était... l’actuel premier ministre Mark Carney. Le 7 février, une semaine à peine après le début des manifestations, Carney a rédigé un éditorial furieux dans le Globe and Mail, intitulé « C’est de la sédition et il est temps d’y mettre un terme à Ottawa ». Il affirme que les gens sont « terrorisés », que les femmes « fuient les abus » ; il déclare carrément : « C’est de la sédition. C’est un mot que je n’aurais jamais pensé utiliser un jour au Canada. Il signifie “incitation à la résistance ou à l’insurrection contre l’autorité légitime” ».
Lire la suiteUne étude évaluée par des pairs confirme que les vaccins COVID à ARNm traversent le placenta et atteignent l’enfant à naître
Par Nicolas Hulscher, MPH (republié sur LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
25 février 2025 (Focal Points) — L’étude intitulée « mRNA-1273 is placenta-permeable and immunogenic in the fetus » vient d’être acceptée pour publication dans la revue Molecular Therapy Nucleic Acids après avoir été examinée avec succès par les pairs :
Résumé
... Dans cette étude, l’ARNm-1273 administré par voie intramusculaire à des souris gravides circule rapidement dans le sang maternel et traverse le placenta en une heure pour se répandre dans la circulation fœtale. Bien que l’ARNm de spicule disparaisse de la circulation fœtale dans les 4 à 6 heures, il peut s’accumuler dans les tissus fœtaux, principalement dans le foie, et être traduit en protéine de spicule. L’ARNm-1273 transplacentaire s’est révélé immunogène chez les fœtus, dotés après la naissance d’IgM anti-spicule, d’IgG2a parentales allotypiques anti-spicule et d’une immunité cellulaire anti-spicule accrue. Administré par voie gestationnelle, l’ARNm-1273 a eu un effet dose-dépendant sur son transfert transplacentaire et son immunogénicité chez les fœtus, des doses plus élevées d’ARNm-1273 entraînant un passage transplacentaire accru de l’ARNm-1273 et des titres sériques plus élevés d’IgM/IgG anti-spicule endogènes générés par les fœtus. Ainsi, la vaccination maternelle gestationnelle à l’ARNm-1273 pourrait conférer aux nouveau-nés une immunité anti-spicule non seulement passive mais aussi active.
Voici les principales conclusions :
- Transfert placentaire rapide : L’étude a démontré que l’ARNm-1273 traverse le placenta dans l’heure qui suit la vaccination maternelle dans un modèle de souris.
- Accumulation dans les organes fœtaux : L’ARNm et ses nanoparticules lipidiques (LNP) ont été détectés dans le sang et les tissus fœtaux (principalement le foie), où ils ont persisté au-delà de la clairance initiale de la circulation maternelle.
- Traduction de l’ARNm en protéine de spicule chez le fœtus : Les tissus fœtaux ont activement traduit l’ARNm du vaccin en protéine de spicule, ce qui soulève des inquiétudes quant aux réponses immunitaires involontaires ou aux effets biologiques à long terme.
- Persistance dans le foie et la rate du fœtus : l’ARNm est resté dans le foie et la rate du fœtus pendant au moins trois semaines après la naissance.
Cette étude confirme pour la première fois in vivo que les injections d’ARNm traversent le placenta et atteignent directement le fœtus. Elle contribue également à expliquer pourquoi ces injections de matériel génétique présentent des risques aussi graves pour les femmes enceintes et leurs enfants à naître.
Les lignes directrices actuelles du CDC, qui affirment que « la vaccination par le COVID-19 pendant la grossesse est sûre et efficace », devraient être IMMÉDIATEMENT révoquées. Nos agences de réglementation ont rendu un très mauvais service aux générations futures. L’absorption généralisée d’ARNm par le fœtus à la suite d’une injection maternelle entraîne des conséquences inconnues et potentiellement catastrophiques pour le développement humain et la fonction immunitaire. Les risques à long terme de l’exposition in utero n’ont pas encore été étudiés, mais ces injections expérimentales ont été imprudemment pratiquées sur des femmes enceintes sans données de sécurité adéquates.
Trump va réintégrer les militaires expulsés pour avoir refusé les vaccins COVID
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
27 janvier 2025, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump aurait l'intention de réintégrer cette semaine les membres de l'armée qui ont été expulsés pour avoir refusé le vaccin COVID-19, une piqûre expérimentale entachée d'avortement.
La directive fait suite à la promesse faite par Trump lors de son discours d'investiture de « réintégrer tous les militaires qui ont été injustement expulsés de notre armée pour s'être opposés au vaccin COVID », en leur promettant des « arriérés de salaire ».
« Le décret ordonne au secrétaire à la Défense de réintégrer tous les membres de l'armée (actifs et de réserve) qui ont été renvoyés pour avoir refusé le vaccin COVID et qui demandent à être réintégrés », indique la directive, selon Fox News, qui a reçu une « fiche d'information » sur la décision.
« De 2021 à 2023, l'administration Biden et l'ancien secrétaire à la défense Lloyd Austin ont réformé plus de 8 000 soldats uniquement en raison de leur statut vaccinal COVID-19 », a déclaré la Maison Blanche. « Après l'abrogation de l'obligation de vaccination en 2023, seuls 43 des plus de 8 000 soldats licenciés ont choisi de reprendre le service sous l'administration Biden et le secrétaire Austin.
Lire la suiteUn Canadien a été euthanasié en raison d’un « syndrome post-vaccination covid-19 »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Maksim Shmeljov/Adobe Stock
25 octobre 2024, Ontario (LifeSiteNews) — Un homme de l’Ontario a été euthanasié pour « syndrome post-vaccination COVID-19 ».
Selon un article publié en octobre par le National Post, un homme anonyme de l’Ontario, âgé d’une quarantaine d’années, est mort par euthanasie après que les médecins aient déterminé que ses blessures, dues à la vaccination COVID, le qualifiaient pour un suicide assisté ou une « Aide médicale à mourir » (AMM) dans le cadre du régime d’euthanasie du Canada.
Les rapports publiés par un comité de 16 membres chargé d’examiner les décès dans le cadre de l’Aide médicale à mourir ont révélé qu’« aucun diagnostic unificateur n’a été confirmé par les nombreux spécialistes qui l’ont suivi. »
Néanmoins, les médecins « ont estimé que le diagnostic le plus raisonnable pour la présentation clinique de M. A. (déclin fonctionnel sévère) était un syndrome post-vaccinal, en accord avec le syndrome de fatigue chronique ».
L’homme a connu « une souffrance et un déclin fonctionnel » à la suite de trois doses d’injections expérimentales de COVID.
Il a également souffert d’une série de maladies mentales, notamment la dépression, le stress post-traumatique, l’anxiété et des troubles de la personnalité. Il a été admis à l’hôpital à deux reprises « alors qu’il luttait contre ses symptômes physiques » et qu’il avait des idées suicidaires.
Il a finalement été diagnostiqué comme souffrant du « syndrome post-vaccination COVID-19 », qui n’est pas inclus dans le système actuel de déclaration des vaccins au Canada. Notamment, le programme canadien visant à indemniser les personnes blessées par les soi-disant vaccins COVID « sûrs et efficaces » a maintenant dépensé 14 millions de dollars, mais la grande majorité des demandes d’indemnisation n’ont toujours pas été réglées.
Lire la suite