Donald Trump gagne les élections aux États-Unis
Donald Trump.
Par Calvin Freiburger et Peter Martin — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/X
6 novembre 2024 (LifeSiteNews) — L’ancien président républicain Donald Trump a remporté l’élection de cette année pour devenir le 47e président des États-Unis, battant la vice-présidente démocrate Kamala Harris.
Fox News a annoncé Trump gagnant de la course présidentielle de 2024 vers 1 h 50 EST mercredi après l’avoir déclaré vainqueur des états-clé de la Pennsylvanie et du Wisconsin. Associated Press a, depuis, annoncé l’élection de M. Trump.
Les républicains devraient également prendre le contrôle du Sénat avec au moins 51 sièges, alors que le contrôle de la Chambre des représentants n’est pas encore connu.
Trump, le célèbre homme d’affaires populiste qui a réalisé l’un des bouleversements politiques les plus stupéfiants en 2016, mais qui a été évincé lors de l’élection très disputée de 2020, a facilement obtenu l’investiture du parti pour la présidentielle de 2024, en grande partie grâce à la sympathie suscitée par les poursuites judiciaires engagées contre lui par les démocrates dans de nombreuses juridictions.
Lire la suiteKamala Harris se moque de deux étudiants proclamant « Christ est roi » : « Vous n’êtes pas au bon rassemblement »
Kamala Harris.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X
21 octobre 2024 (LifeSiteNews) — La candidate démocrate à la présidence Kamala Harris a interrompu un discours de campagne à l’Université de Wisconsin-La Crosse pour ridiculiser deux étudiants qui ont crié « Jésus est Seigneur ! » et « Christ est Roi ! » alors que la candidate promettait à une foule enthousiaste que si elle était élue, elle établirait le droit à l’avortement sans limites.
« Oh, vous vous êtes trompés de rassemblement », a plaisanté Harris alors que la foule se moquait bruyamment des étudiants chrétiens.
« Je pense que vous vouliez aller au plus petit, plus bas dans la rue », a ajouté Harris, à la grande joie de la foule pro-avortement, tout en faisant un signe de la main dédaigneux aux étudiants.
Cette vidéo publiée par Jennifer McKinney, qui a été la première à rapporter l’incident, est devenue « virale », ayant été regardée plus de 42 millions de fois.
Lire la suiteLe soutien des évangéliques à la campagne Harris-Walz n’a pas de sens
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Quinn Dombrowski/Wikimedia Commons
1er octobre 2024 (LifeSiteNews) — Je comprends ceux qui choisissent de ne pas voter pour Donald Trump lors des prochaines élections de 2024. Je connais des pro-vie qui ne votent pas du tout ou qui inscrivent un candidat [sur leur bulletin], et je connais des pro-vie qui votent pour le Parti de la solidarité américaine (American Solidarity Party). À mon avis, il s’agit là de positions électorales éthiquement défendables, tout comme le fait de voter pour le ticket Trump-Vance.
Mais il y a une position que je trouve très difficile à comprendre : le nombre croissant d’évangéliques très en vue qui annoncent publiquement leur soutien à la vice-présidente Kamala Harris et au gouverneur du Minnesota Tim Walz.
Comme je l’ai indiqué dans un article précédent, l’écrivain évangélique David French a soutenu Kamala Harris, puis a publié un article dans le New York Times intitulé « David French on the Pro-Life Case for Kamala Harris » (David French sur les arguments pro-vie en faveur de Kamala Harris). French affirme essentiellement que le conservatisme doit être sauvé de Trump... et que le moyen d’y parvenir est de voter pour une extrémiste de l’avortement qui a voté contre la protection des bébés qui survivent à un avortement. Le chroniqueur du NYT Ross Douthat, qui n’est pas un partisan de Trump, a complètement démoli les arguments de French dans un échange très révélateur.
Lire la suiteUne femme est-elle morte à cause de l’interdiction de l’avortement aux États-Unis ? Non…
Amber Thurman et son fils en 2020.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Facebook
Les grands médias se sont jetés goulûment sur un triste fait divers survenu aux Etats-Unis : une femme est morte après avoir contracté une septicémie consécutive à la prise de pilules abortives, et c’est la faute — bien entendu — à la révocation de Roe v. Wade qui a permis à certains Etats de repénaliser l’avortement. Amber Thurman, 28 ans, aurait pu être sauvée si l’hôpital qui l’accueillit n’avait pas eu peur de pratiquer une procédure de dilatation et curetage (D&C) pour vider son utérus alors que l’avortement chimique avait été incomplet. Les faits étaient survenus en août 2022, alors que l’Etat de la victime, la Géorgie, venait d’interdire les avortements à plus de six semaines de grossesse : les médecins auraient tant attendu pour lui prodiguer les soins nécessaires, qu’elle en serait morte.
Une récente publication sur le média ProPublica s’est fondée sur la consultation de « documents confidentiels » pour déclarer qu’il s’agissait du premier décès officiellement déclaré « évitable » lié à un avortement non procuré. L’article, très court, complètement à charge et écrit depuis un point de vue ouvertement « pro-IVG », donne peu de détails permettant de justifier son point de vue.
Lire la suiteLes avortements tardifs existent et les démocrates les défendent
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : olinchuk/Adobe Stock
12 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Depuis que la vice-présidente et candidate démocrate à la présidence Kamala Harris a insisté sur le fait que « nulle part en Amérique une femme ne mène une grossesse à terme et demande un avortement », lors du débat présidentiel de mardi, les médias grand public se sont ralliés pour présenter l’avortement tardif et l’infanticide comme des mythes de droite, en dépit d’un dossier factuel liant les démocrates à ces deux problèmes très réels.
L’ancien président et candidat républicain Donald Trump a accusé les démocrates de soutenir « l’avortement au neuvième mois » et « l’exécution après la naissance », ce qui a déclenché une vague de « vérifications des faits » de la part de la presse :
- CNN : « Les origines de la fausse affirmation de Trump selon laquelle les démocrates veulent autoriser l’“exécution” des bébés après la naissance ».
- CBS News : « Trump prétend à tort que les démocrates soutiennent les avortements “après la naissance”. Voici une vérification des faits ».
- NBC News : « Trump a fait de fausses déclarations sur l’“avortement tardif” pendant le débat, selon des experts ».
- NPR : « Trump répète la fausse affirmation selon laquelle les démocrates soutiennent l’avortement “après la naissance” lors du débat ».
- USA Today : « Aucun État n’autorise les gens à “exécuter le bébé” après la naissance, comme le prétend Trump lors du débat ».
Bien que Trump n’ait pas expliqué la situation au-delà de l’invocation des commentaires tristement célèbres de l’ancien gouverneur démocrate de Virginie, Ralph Northam, en 2019, défendant l’option de laisser mourir un enfant mis au monde vivant à la suite d’un avortement raté, le dossier montre que des avortements tardifs se produisent, que les lois existantes ne suffisent pas à les empêcher et que la plupart des démocrates nationaux, y compris Mme Harris, s’opposent à ce que l’on fasse quoi que ce soit pour y remédier.
Lire la suiteKamala et sa grand-mère
Kamala Harris.
Par Campagne Québec-Vie — Image : capture d’écran vidéo/X
Kamala Harris a évoqué avec fierté l’engagement de sa grand-mère en Inde, où cette dernière se rendait dans des villages ruraux pour prêcher au moyen d’un mégaphone sur l’importance des « soins de santé reproductive ». Ce terme, dans le discours politique contemporain, est généralement compris comme incluant la contraception et l’avortement.
Chez Campagne Québec-Vie (CQV), nous sommes profondément préoccupés par ce genre de témoignages. Ce qui est présenté comme un « soin » cache souvent des pratiques qui, au lieu de protéger la vie humaine, la détruisent. La promotion de l’avortement et de la contraception dans des communautés vulnérables est une tragédie morale qui va à l’encontre du respect de la dignité humaine.
La description de Kamala Harris souligne la propagation de ces idéologies à travers le monde sous couvert de « santé reproductive », y compris dans des villages ruraux d’Inde où les femmes et les familles sont souvent dans des situations socio-économiques précaires. Loin de fournir des solutions respectueuses de la vie et du bien-être des familles, ces programmes tendent à imposer des normes occidentales qui favorisent l’avortement comme une solution à la pauvreté.
Nous croyons fermement que les véritables solutions résident dans le soutien aux familles, la promotion de la culture de la vie, et la défense des droits des plus vulnérables, y compris les enfants à naître. Loin d’imposer des solutions destructrices, les initiatives devraient viser à éduquer et à soutenir les familles dans la dignité et le respect de la vie humaine à toutes ses étapes. Kamala Harris et d’autres chefs doivent reconnaître que les politiques qui favorisent l’élimination de la vie innocente sous couvert de la « santé reproductive » ne répondent pas aux besoins fondamentaux des communautés.
Kamala Harris : propriété des industries pharmaceutiques, de transition de genre et d’avortement
Kamala Harris.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran vidéo/X
8 août 2024 (LifeSiteNews) — Tout au long de sa mystifiante et fulgurante carrière politique, Kamala Harris a démontré à maintes reprises sa fidélité aux industries pharmaceutiques, de l’avortement et du transgenrisme, utilisant sa position d’autorité pour nourrir leur soif inextinguible de profit en promouvant leurs requêtes pour des vaccins expérimentaux dangereux, pour leurs monstrueux traitements médicaux et chirurgicaux dits « de changement de sexe » pour les jeunes et les enfants, et pour la dévalorisation et la destruction de la vie humaine par le biais de l’avortement.
Mme Harris et son nouveau colistier à la vice-présidence, Tim Walz, sont de dangereux extrémistes radicaux, plus enclins à remplir les poches des industries démoniaques de la « santé » qu’à protéger la dignité et l’épanouissement de la vie des Américains.
Harris : combattre pour l'industrie pharmaceutique, pas pour la santé publique
Mme Harris a fait la promotion du vaccin COVID-19 (C19) dès le début et continue de le faire, comme en témoigne son exigence d’une vaccination « à jour » pour tous ceux qui cherchent un emploi au siège de sa campagne.
Harris exige en effet que les personnes qu’elle emploie mettent continuellement à jour leur statut vaccinal C19, bien que les Centres de contrôle des maladies (CDC) admettent depuis août 2021 que le vaccin C19 n’empêche en rien la transmission du COVID.
« Harris a toujours soutenu les obligations fédérales de Biden en matière de vaccins et de masques, ainsi que les fermetures d’entreprises, d’écoles et de lieux de culte dans toute l’Amérique pendant la période du COVID », a déclaré Nikos Biggs-Chiropolos, du Honest Media Project. « Il est clair que la priorité absolue de la députée, qui a passé toute sa carrière à essayer de plaire aux élites et aux donateurs du parti démocrate plutôt qu’aux gens ordinaires, est de soutenir ces puissantes entreprises plutôt que de lutter pour une meilleure santé publique ».
Lire la suiteKamala Harris voudrait « éliminer la liberté de religion » et a un programme anticatholique « extrême », dénoncent des personnalités catholiques
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
26 juillet 2024 (LifeSiteNews) — L'éventuelle présidence de Kamala Harris représenterait une menace pour les libertés religieuses des catholiques et la vie des bébés à naître, avertissent des personnalités catholiques.
La vice-présidente Kamala Harris est actuellement le choix du Parti démocrate pour l'élection présidentielle de 2024. Sauf changement de dernière minute, les démocrates la désigneront officiellement au cours de la première semaine d'août.
Ses antécédents d'opposition aux catholiques et aux valeurs catholiques suscitent des inquiétudes.
Sous l'administration Biden-Harris, le ministère de la Justice a appliqué de manière agressive et sélective la Loi sur la liberté d'accès aux entrées des cliniques (FACE Act), en s'en prenant notamment à des pères pro-vie pacifiques comme Mark Houck.
Ce même ministère de la Justice a également publié, par l'intermédiaire du Bureau fédéral d'enquête (FBI), un document accusant sans fondement d'« extrémisme » les catholiques qui assistent à la messe traditionnelle en latin. Le FBI a même espionné des églises pratiquant la messe en latin sous l'administration Biden-Harris.
De même, le procureur général de Biden, Merrick Garland, et le ministère de la Justice ont publié un document suggérant que les parents et les activistes inquiets qui s'opposaient à la politique d'identité raciale et à l'idéologie sexuelle dans les salles de classe étaient assimilés à des terroristes nationaux.
Lire la suiteLa campagne de Kamala Harris pourrait constituer une menace unique pour l'avenir du mouvement pro-vie
Kamala Harris visitant un avortoir de Planned Parenthood au Minnesota.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran
23 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Le président Joe Biden a été traîné hors la course à la présidence, ruant et criant. Dans un mouvement fluide et orchestré, la vice-présidente Kamala Harris a mis les dominos en mouvement, avec des démocrates clés s'alignant derrière sa candidature en succession rapide. Soudain, le ticket Trump-Vance est confronté à une série d'inconnues. Harris est historiquement impopulaire — mais va-t-elle ramener les électeurs désillusionnés par le déclin évident de Biden ? Qui sera son colistier ?
La course a été remise à zéro. Et dans le sillage de l'ascension soudaine de Harris, la presse est certaine d'une chose : plus encore qu'auparavant, il s'agira désormais d’une élection [sur le thème] de l'avortement.
Comme l'a déjà noté Lila Rose de Live Action, en tant que procureur général de Californie, Harris a ciblé les journalistes pro-vie sous couverture, David Daleiden et Sandra Merritt, après que leurs reportages révolutionnaires sur la vente de parties de corps de bébés par l'industrie de l'avortement aient secoué le pays en 2015. Elle a ordonné une descente dans l'appartement de Daleiden, a fait voler son ordinateur portable et a tout fait pour que les images d'infiltration de Planned Parenthood — l'un des plus grands donateurs de sa campagne — ne voient jamais le jour.
En tant que vice-présidente, l'avortement est l'un des rares sujets pour lesquels Mme Harris s'est montrée passionnée. Elle est la première vice-présidente à visiter une clinique d'avortement, en se rendant sur le site de Planned Parenthood dans le Minnesota. (Je me demande si des bébés ont été tués pendant que Harris se promenait dans les couloirs.) Sa principale contribution à la campagne de réélection de Biden, aujourd'hui avortée, a consisté à parcourir le pays dans le cadre d'une tournée sur la « santé reproductive », en vantant les mérites de l'avortement et en condamnant les lois pro-vie comme étant cruelles et inhumaines. La principale plate-forme de Mme Harris a été une pile de bébés morts — et cela ne fera que s'intensifier dans les jours à venir.
Lire la suiteBiden réitère son soutien au « droit » à l’avortement
Joe Biden.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gage Skidmore/Flickr
La réaction de Twitter aux 150 000 manifestants présents à la Marche pour la Vie était un silence sélectif. Quant à Biden, sa réaction était un déni sélectif. Devant une protestation de 150 000 personnes, devant cette réclamation de liberté pour les enfants à naître, le président des États-Unis n’a que réaffirmé sa position pro-mort.
« Le président américain Joe Biden et sa vice-présidente, Kamala Harris, ont promis samedi [22 janvier] d’utiliser tous les moyens à leur disposition pour défendre le droit à l’avortement... “Le droit constitutionnel établi dans Roe v. Wade” en 1973 “est attaqué comme jamais auparavant”, ont-ils dit dans un communiqué à l’occasion du 49e anniversaire de cet arrêt historique » », rapporte Radio-Canada.
De plus, le deuxième président catholique aux États-Unis a écrit qu’il continuerait à travailler avec le Congrès sur la Women’s Health Protection Act, la loi sur la protection de la santé des femmes qui renforce l’accès à l’avortement.
Au nom de la santé, Biden favorise l’avortement, qui est selon Claude Tresmontant, « le plus abominable des crimes, car il porte contre des êtres que l’on prive ainsi de leur vie entière, de leur temps de développement »
Au nom de la santé, l’acte le plus contraire à la santé est permis et dans ce pays « libre », la liberté est refusée au plus vulnérable.
L’ancienne directrice des communications stratégiques de l’administration Trump, Mercedes Schlapp a déclaré dans une entrevue, « En tant que catholiques, nous devons faire entendre notre voix, nous devons rester forts et nous devons dire au président que ce n’est pas bien. Nous devons défendre l’enfant à naître. »