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Prostitution legalized in Ontario…is Quebec next?

Last week, a government-sponsored commission recommended that assisted-suicide be legalized in Quebec for certain groups of people. As if that were not enough bad news, yesterday, an article in the National Post informed us that prostitution has been legalized in Ontario. The article states: “the Court of Appeal for Ontario swept aside some of the country’s anti-prostitution laws saying they place unconstitutional restrictions on prostitutes’ ability to protect themselves.”

Specifically, this decision implies that within a year, the Canadian Criminal Code will be amended to allow the existence and operation of brothel houses for prostitutes.

“The landmark decision means sex workers will be able to hire drivers, bodyguards and support staff and work indoors in organized brothels.” Nonetheless, exploitation by pimps and soliciting customers on the streets remains illegal.

This decision truly shocks me. There is no logic in claiming that we can protect prostitutes by legalizing brothel houses. This will only increase the number of prostitutes, underage sex workers, pornographic pimps and sadomasochistic activities in our society. It is terrifying to see the twisted mentality that pervades our country today. Prostitution is illegal and dangerous for everyone involved - it is not a personal choice - it is the result of an aura of oppression, misogyny, mental disorder, and abuse of the body. Though I can understand how the legalisation of brothel houses deceitfully resembles a solution on the surface, it really opens the doors to so many further problems.

First off, what kind of an image do we give off to other nations if we legalize prostitution houses? We are saying “This is fine. We support prostitution. We even defend it in our laws.” Second, how can our children be protected from the risk of prostitution if their own nation makes it legal to work in a prostitution home? Clearly, legalizing prostitution means that more future children will be dragged into a lifestyle choice that is degrading and sinful. Third, the allowing of brothel houses will encourage prostitution simply because it will be deemed socially acceptable and it will be more readily available to any member of the public. Finally, it saddens me to say this but it is true: prostitutes, pimps, and customers need serious mental help to receive healing for their unhealthy, harmful lifestyles. Not only does the rate of sexually transmitted disease increase with the number of partners, but countless cases of physical abuse and mental agony result from the crime of prostitution too.

Let us not forget that even if prostitution becomes legalized in Quebec, it will remain forever a crime against God. Prostitution harms yourself and your neighbor. It does not respect the dignity of the human body with which we are created. It turns the body into a slave of sexual pleasure. We are in great need of renewal- please pray for the conversion of hearts.

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Article publié en 1988 : "Le vieillissement du Québec n'aura pas lieu"

Voici un article publié dans le défunt journal "l'Analyste" en 1988 qui avait bien prévu la légalisation de l'euthanasie, se basant simplement sur la logique "pro-choix", déjà bien enchassée dans les moeurs. Personne de vraiment éveillé ne peut donc être très surpris par les résultats de la commission-bidon "Mourir dans la dignité"...

Le vieillissement du Québec n'aura pas lieu

par Georges Allaire

Depuis bientôt vingt ans, les Québécois ont choisi de disparaître. Depuis 1970, ils ne font plus assez d'enfants pour se renouveler. Dans un premier temps, une population nombreuse dans la force de l'âge, avec peu de vieillards et n'investissant pas dans ses enfants, a pu vivre dans une certaine abondance. Elle a mangé les grains de semence.

Mais avant de quitter la scène du monde, la génération qui a profité de ce choix va vieillir, perdre ses forces en plus de ses cheveux et de ses dents. Repousser l'âge de la retraite retardera à peine l'apparition de l'inefficacité croissante et de la dépendance accrue envers la médecine de vieillesse. Or, un vieillard coûte deux fois plus cher à entretenir qu'un enfant. Et les nouveaux producteurs des biens et services seront nettement moins nombreux que leurs vieillards.

Conclusion apparente: tout le monde va devenir terriblement pauvre. Mais cette conclusion est improbable. Si un certain appauvrissement peut momentanément se produire, la génération montante, une fois installée, aura le moyen de rétablir pendant un certain temps la qualité de vie qui aura servi à la clairsemer. Elle devrait mettre fin au vieillissement en mettant fin aux vieillards. Déjà on remarque comment les hôpitaux traitent les maladies plutôt que les malades. A ce moment-là, les vieillards eux-mêmes seront la maladie.

Le discours avorteur contient la justification nécessaire à la généralisation de l'euthanasie. A l'origine, il y a la certitude qu'une personne entièrement dépendante envers autrui n'a pas le droit de porter atteinte à l'épanouissement et à la qualité de vie de la personne envers qui elle est dépendante. Ce qui vaut pour l'enfant que l'on aspire du ventre de sa mère ou que l'on découpe pour l'en extraire, vaut tout autant pour le vieillard devenu improductif et un consommateur exagéré des ressources personnelles et sociales.

Le droit de vivre (ou de survivre) dépend de la volonté d'accueil du géniteur ou du gardien. Si des parents peuvent choisir de laisser l'enfant vivre à leurs dépends, des enfants pourront aussi accepter de dépenser pour laisser leurs parents vivre. Le droit à la vie sera privé au terme comme au début. Le droit de mettre un terme à une grossesse ou une garde indésirée sera public.

Certes, le tout doit se faire sans douleur pour le gardien et sans manifestation de douleur pour l'élément indésiré, avec l'efficacité que permet une médecine sophistiquée. Aussi, dans un premier temps, les personnes âgées indésirées auront-elles droit aux calmants qui rendent plus supportables les maladies terminales dont on finira par hâter l'aboutissement. Puis celles d'entre elles qui demanderont l'aide médicale pour quitter en douceur les affres de la solitude et de la décomposition auront droit à une collaboration efficace et empressée de la part du corps de gérontologues à leur disposition. Plus tard seulement, si la nature et le suicide des vieux ne suffisent pas à écarter une détérioration croissante de la qualité de vie des bien portants, on aura recours à la mise à mort en douce, sans que les gêneurs soient avertis au préalable. Question de ne pas exercer de violence. Cet exercice de restructuration sociale affectera d'abord les vieux dans la solitude, ces nombreux célibataires que la carrière, l'homosexualité et le divorce auront permis d'éviter ou de lâcher le fardeau des enfants. Il touchera ensuite les parents qui ont casé leurs enfants en garderie ou ailleurs pour l'essentiel de leur jeunesse, car ces derniers auront appris qu'on ne sacrifie pas les fruits d'une carrière au service d'une relation de sang. Enfin, les parents d'un ou de deux enfants risquent de perdre la protection de leur enfant s'il décède prématurément, s'il s'éloigne trop ou s'il n'a pas les moyens de payer les coûts de la survie privatisée de ses géniteurs.

Cette évolution sociale est présentement éloignée de quelques années, comme l'est le vieillissement. Elle est inimaginable à la façon que l'était, voici vingt ans, une sexualité définie comme un besoin et exercée premièrement dans la contraception, ensuite dans l'avortement de l'indésirable et enfin dans le soin du survivant. Mais elle est l'application cohérente de l'esprit qui a entraîné ce comportement sexuel et qui produit l'actuel voyage d'un peuple vers nulle part.

Il ne faudrait pas compter sur l'affection naturelle des enfants envers leurs parents, pas plus que l'affection naturelle d'une mère pour son enfant ne protège présentement celui-ci lors d'une grossesse non-désirée. D'ailleurs, des enfants qui ont découvert n'être que des survivants utiles pour leurs géniteurs n'ont qu'une affection utilitaire pour ceux-ci.

Mais le balancier? Il jouera son rôle. Si la génération aînée faisait un accueil sélectif des enfants, maintenant ce sera la génération cadette qui fera une conservation sélective de ses parents. — Alors l'évolution? On a enseigné à la génération cadette que seuls survivent les plus aptes, et les vieillards ne sont pas aptes à survivre. — Et la charité chrétienne? Ses parents lui ont dit que la religion est un cauchemar des temps passés, une empêcheuse de vivre, une répression de l'épanouissement personnel. La leçon aura porté. "Charité bien ordonnée commence par soi-même."

Bref, le vieillissement du Québec n'aura pas lieu.

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Les maisons de prostitutions sont autorisées en Ontario!

Le Journal de Québec du 27 mars 2012 donne la parole à Mme Rose Dufour, présidente de la maison de Marthe qui vient en aide aux personnes prostituées:

 

 

QUÉBEC - La décriminalisation des maisons de débauche, décrétée lundi par la Cour d’appel de l’Ontario, est un appui au crime organisé, croit Rose Dufour.

La directrice générale de la Maison de Marthe, qui vient en aide aux prostituées, qualifie d’étonnante la décision du tribunal ontarien. « Ce jugement donne raison aux proxénètes d’agir comme ils le font envers les femmes. Il fait des proxénètes des hommes d’affaires, déplore Mme Dufour. Derrière les portes closes d’une maison de débauche, il n’y a aucune protection possible pour les femmes. Lorsque de la violence est échangée, le proxénète défend toujours le client, pas la fille. »

Des maisons de débauche, ça existe à Québec, dit Mme Dufour. Mais ce n’est pas le seul mode de prostitution qui existe. « D’après l’étude que j’en fais, il y a une compétition très forte entre les salons de massage et les agences d’escortes, affirme Rose Dufour. Beaucoup de femmes travaillent librement via Internet. Et il y a celles de la rue. »

L’interdiction, seule solution

La fondatrice de la Maison de Marthe est catégorique. Pour éliminer la prostitution, « il est essentiel que le gouvernement intervienne en l’interdisant, clame-t-elle. Les lois ne sont pas appliquées. Si elles l’étaient, il n’y en aurait pas de prostitution. »

Mme Dufour donne l’exemple de la Suède, où la prostitution est interdite depuis 1999. « C’est là que le taux de prostitution est le plus bas », insiste-t-elle.

Celle qui étudie le phénomène de la prostitution depuis plus d’une décennie considère que « l’outrage sexuel est la pire chose qui soit. Ne croyez pas que c’est un choix. Les femmes ne choisissent pas; elles basculent dans la prostitution, observe-t-elle. La grande majorité de celles qui se prostituent ont été victimes de pédophilie. Et 40 % des filles commencent alors qu’elles sont mineures. La prostitution, c’est la révélation d’une grande pauvreté sociale. »

On ne peut se fermer les yeux sur ces drames et légaliser l'esclavage féminin. C'est un grand sujet d'étonnement de constater le manque de jugement de ces juges qui permettent ce système d'exploitation des femmes.

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Des avocats et notaires dénoncent le mémoire de leur corporation professionnelle sur l'euthanasie

Le journal Le Soleil du 27 mars 2012 publie cette lettre de l'avocate Silvia Ugolini, parlant au nom de dix avocats et notaires :

 

 

 

Des membres du Barreau et de la Chambre des Notaires déplorent le fait de n'avoir pas été consultés pour donner leur avis avant la présentation des mémoires de leurs corporations professionnelles devant la Commission sur le droit de mourir dans la dignité.

Certes le Barreau comme la Chambre des Notaires peuvent donner leur avis sur un projet de Loi présenté par le gouvernement, mais ils ne peuvent sous aucune considération donner leur avis sur un projet de société qui implique tous les citoyens, sans consulter leurs membres d'autant plus que ces corporations n'ont reçu aucun mandat à cet effet. La jurisprudence a d'ailleurs établi clairement que les comités restreints qui préparent et rédigent de tels documents publics doivent au préalable avoir obtenu l'assentiment de la majorité de leurs membres. Le fait de prélever une cotisation obligatoire de ses membres ne peut être utilisé par une corporation professionnelle dans le but de financer des prises de position à caractère politique ou idéologique.

Par conséquent, les intervenants des corporations se dissocient de ces mémoires et ils s'entendent pour dire unanimement que :

- Le débat sur l'euthanasie est un débat sociétal et vital. Ce n'est pas un débat légal à savoir qui va présenter les meilleurs arguments pour convaincre la Commission sur la question de mourir dans la dignité.

- Le vocabulaire utilisé: «aide médicale à mourir dans certaines circonstances» au lieu de la vraie appellation: euthanasie et suicide assisté, biaise la terminologie, met en péril la sécurité des personnes rendues vulnérables par la maladie, un handicap ou la vieillesse et ouvre la porte à des abus. Il est donc important que chaque individu sache bien de quoi il s'agit, car une grande confusion existe entre l'euthanasie, l'acharnement thérapeutique et la sédation palliative, et plusieurs citoyens n'en connaissent pas la différence.

- Les médecins traitants et psychiatres sont déjà débordés de travail. Ils deviendront des bureaucrates puisqu'ils se verront dans l'obligation de remplir une foule de papiers, de monter des dossiers et d'aller témoigner à la Cour, alors qu'ils ont besoin de tout leur temps pour s'occuper des malades, les guérir et les soulager.

Les intervenants sont unanimes pour dire que l'euthanasie n'est pas une valeur à la hauteur de notre société Québécoise.

Selon l'intervention des médecins contre l'euthanasie, tant au niveau des médias qu'au niveau des divers mémoires présentés devant la Commission sur le droit de mourir dans la dignité, ils affirment que la souffrance au dernier stade de la vie peut être soulagée d'une façon humaine, certaine et non par un moyen irréversible par l'administration d'une solution létale quelconque ou un empoisonnement. Le rôle principal des médecins est celui de guérir et soulager la souffrance et non de hâter la mort des malades.

Les intervenants sont d'accord pour proposer les solutions suivantes :

1. Prendre le temps de comprendre ce qui se cache derrière le: «Je veux mourir».

2. Soigner notre système de santé, les soins à domicile, les soins palliatifs et offrir aux Québécois des soins de qualité au lieu de l'Euthanasie.

3. Mieux adapter le milieu hospitalier aux personnes âgées, handicapées et fragiles.

Me Silvia Ugolini

Au nom de 10 avocats et notaires

La corporation professionnelle de Me Ugolini n'est certainement pas la seule à avoir usé de procédures peu démocratiques pour faire entendre un point de vue favorable à l'euthanasie. Certaines corporations médicales ont osé également parler au nom d'un sondage fait auprès de... 23% de leurs membres!

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Meurtre par "compassion"

Une euthanasie non médicale? L'esprit du rapport de la commission "Mourir dans la dignité" l'a-t-elle inspiré? Voici la nouvelle du journal 24h du 27 mars 2012:

 

GATINEAU – La femme de 77 ans tuée par balle lundi soir à Gatineau pourrait avoir été tuée par compassion par son conjoint.

Au lendemain du drame conjugal, ce serait l'une des thèses considérées par les enquêteurs du service de police de la Ville de Gatineau (SPVG). Selon des informations obtenues par le chroniqueur judiciaire Claude Poirier, la dame était très malade.

Le drame s'est joué lundi soir dans le secteur Hull où le conjoint de la victime, un homme de 82 ans, aurait ouvert le feu sur la septuagénaire.

À 19h41, celui-ci a appelé le 911 et a avisé qu'un homicide venait d'être commis à sa résidence du 52 chemin Rivermead. Il a été arrêté lundi soir, sur les lieux.

La dame de 77 ans, atteinte de plusieurs coups de feu, a été transportée à l'hôpital où son décès a été constaté. Mardi matin, le suspect de 82 ans, qui souffrait de problèmes de santé à la suite du drame, était toujours en observation à l'hôpital. Il n'avait toujours pas rencontré les enquêteurs du SPVG.

Principal suspect dans cette affaire, l'octogénaire était toutefois sous surveillance policière et pourrait être accusé en journée.

Par ailleurs, des spécialistes en scène de crime s'affairaient mardi matin dans la résidence du couple afin d'y recueillir des preuves pour étoffer le dossier.

La famille du couple a été avisée et rencontrée par les enquêteurs du SPVG.

L'homme et la femme ne sont pas connus du Service de police de la Ville de Gatineau.

Si c'est un "meurtre par compassion", que dira la famille du couple lorsqu'ils apprendront l'exécution de cette dame?

Espérons que les médecins qui troqueront l'arme de poing pour la seringue bénéficieront également de l'escorte policière que leur geste "de compassion" méritera... Espérons que le bon sens canadien sur cette question, prévaudra sur le délire québécois et que la loi canadienne sera appliquée et protégera nos compatriotes...

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Obamacare un jugement de la cour suprême américaine est attendu

Le site Riposte Catholique du 26 mars 2012 nous apporte cette nouvelle:

 

 

Je ne reviendrai pas ici sur le combat que mène actuellement la Conférence épiscopale des États-Unis (United States Conference of Catholic Bishops, USCCB) contre le fameux décret du ministère fédéral de la Santé (le HHS Mandate) pris en application de l’ObamaCare, violant de manière patente les garanties à la liberté de religion au cœur du Premier Amendement de la Constitution des États-Unis. Dès l’époque où cet ObamaCare (Patient Protection and Affordable Care Act) était discuté par le Congrès, les évêques américains n’avaient pas manqué de mettre en garde contre des dispositions perverses latentes dans le projet de loi débattu, notamment la possibilité de voir l’avortement remboursé. La gauche Démocrate et des catholiques de la même farine avaient moqué l’interprétation des évêques catholiques. Nous y sommes !

Indépendamment de ce combat qui se poursuit, et qui a connu vendredi dernier un nouvel épisode avec les quelque 150 rassemblements organisés par Stand Up for Religious Freedom dans tous les États-Unis, la bataille contre l’ObamaCare aborde aujourd’hui une nouvelle phase qui sera déterminante pour l’avenir même de cette loi. En effet, dès ce lundi et pendant trois jours la Cour Suprême des États-Unis (Supreme Court of the United States, SCOTUS) va devoir juger du procès qui oppose vingt-six États de l’Union – un procès auquel s’est joint la National Federation of Independent Business (qui représente 350 000 petites et moyennes entreprises) – au gouvernement fédéral ; les premiers jugeant inconstitutionnel l’essentiel des dispositions de la loi fédérale.

La SCOTUS devrait entendre aujourd’hui les plaidoiries de rejet (anti-injunction) de l’affaire par les avocats du gouvernement fédéral, au motif qu’un impôt ne peut pas être contesté avant d’être payé… Je ne crois pas que cette astuce juridique sera retenue par la SCOTUS. Demain sera le grand jour avec l’échange de plaidoiries sur la constitutionnalité d’une loi qui oblige les citoyens à acquérir une assurance couvrant le remboursement des frais médicaux. Mercredi matin, la SCOTUS aura à estimer quelles portions de l’ObamaCare peuvent être maintenues si l’obligation de souscrire une assurance-santé est jugée anticonstitutionnelle, puis, dans l’après-midi, la SCOTUS devra s’interroger si le gouvernement fédéral peut obliger les États à étendre le champ d’application de Medicaid

C’est une très grosse affaire car l’ObamaCare est chez les Démocrates le “cheval de bataille” de la campagne électorale de cette année. Un rejet en tout ou partie de la loi par la SCOTUS – dont les décisions sont sans appel – serait une catastrophe politique et électorale pour Obama.

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La population slovène refuse l'adoption pour les partenaires de même sexe

Sur le site Le Salon Beige du 26 mars 2012, on retrouve cette information sur la volonté d'un peuple de préserver la famille et le mariage:

 

Les Slovènes ont rejeté un nouveau code de la famille offrant davantage de droits aux couples homosexuels, en particulier en matière d'adoption, lors d'un référendum hier. Le oui était donné gagnant par nos médias. 56,45% des électeurs ont voté contre la loi, 43,55% pou.

Cette loi avait été adoptée par le parlement en juin 2011, mais n'a jamais pu être appliquée, grâce à la mobilisation des militants pro-famille, soutenus par l'Eglise catholique. Ils avaient réuni les 40 000 signatures nécessaires à l'organisation d'une consultation populaire devant décider de son application.

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Témoignage d'une femme sortie du coma et que l'on déclarait pratiquement morte...

Sur le site du journal Le Parisien du 24 mars 2012, on trouve ce témoignage qui fait réfléchir en ce temps de débat sur l'euthanasie, via le Salon Beige:

 

 

 

Quand elle a repris conscience, elle a d’abord cru qu’elle était ensevelie sous des décombres. Que les urgences s’étaient écroulées après un séisme. Et puis il y a eu des pas, des voix, des bips… Et Angèle Lieby a réalisé l’impensable : l’hôpital où elle avait été admise pour une violente migraine était intact.

Mais elle… y était considérée comme morte. Un corps inerte, intubé, relié à des machines, dans lequel son esprit conscient et tétanisé a vécu enfermé pendant deux interminables semaines, trompant médecins et encéphalogrammes. Tout entendre et ne pas pouvoir hurler, c’est l’enfer que cette Strasbourgeoise de 59 ans a voulu raconter, trois ans après ce terrible 13 juillet 2009, dans « Une larme m’a sauvée »*. Et la larme n’est pas loin dans les yeux clairs de cette grande femme pimpante, ancienne ouvrière dans une usine fabriquant des chariots de supermarché, quand elle explique le pourquoi du livre sorti jeudi.

« C’est un peu une thérapie… Mais c’est surtout un cri du cœur : tant qu’on n’est pas mort, on est vivant! »

Considérer quelqu’un comme vivant, même lorsqu’il semble plongé dans un coma irréversible, c’est ne pas lui enfoncer sans ménagement des instruments métalliques dans la gorge. Ne pas le retourner comme un paquet de viande. Ne pas lâcher, au pied de son lit, « elle va bientôt clamser ». Angèle n’a rien oublié. Surtout pas ce moment où, pour montrer aux externes « comment on voit qu’une personne est vivante ou morte », un médecin lui a tordu le téton en concluant « vous voyez, pas de réaction » alors qu’elle ressentait une douleur insupportable.

Raymond, son mari, policier à la retraite, reste dévasté à son chevet. Elle reconnaît son souffle, qu’il a court depuis que le médecin lui a dit : « Il va falloir la débrancher. Plus rien ne fonctionne à part le cœur. » Lui essaye de mettre de la musique, pour la maintenir en vie. « Au début, je fredonnais à l’intérieur, et puis c’est devenu un cauchemar ça aussi, admet Angèle. Les mêmes chansons en boucle, tout le temps… » Raymond finira par aller choisir le cercueil, en chêne clair capitonné de satin blanc. Les obsèques sont fixées au 20 juillet. Puis il se ravise face au chagrin de leur fille Cathy et de leurs deux petites-filles… « J’étais perdu, avoue-t-il. Je la voyais morte, mais je ne pouvais pas accepter qu’on la tue. »

Angèle, mortifiée, se dit qu’elle a bien fait de demander à être incinérée. Au moins, elle ne serait pas enterrée vivante. « Et puis j’ai réalisé que j’avais autorisé le don d’organes, et là, ça a été la panique. J’étais terrifiée à l’idée qu’ils m’arrachent le cœur sans anesthésie. Je sanglotais, et ils ne voyaient rien. » Et puis le 25 juillet, douze jours après le trou noir, c’est son anniversaire de mariage. Raymond et Cathy sont là, à la supplier de ne pas les quitter. A sa propre stupéfaction, une larme jaillit sur la joue d’Angèle. « J’ai entendu ma fille crier, appeler les infirmières. On lui a répondu mais non, c’est du collyre… Mais je pleurais vraiment, et la tristesse s’est transformée en euphorie! » Le soir même, Angèle bougeait un doigt. Le lendemain, un orteil. Et s’il lui a fallu encore quatre mois pour respirer sans tubes, tout l’hôpital a assisté, perplexe, à une résurrection digne de ce nom. « Je ne sais pas d’où je reviens », sourit aujourd’hui Angèle en regardant son Raymond, auprès duquel elle savoure aujourd’hui, quasi rétablie, ce rab de vie.

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Why aren’t vegetarians pro-life?

I would like to bring to your attention two common inconsistencies in the pro-choice position. First, the typical pro-choicer refuses to recognize that unborn children deserve protection, yet is adamant in defending animal rights. Isn’t it a bit strange that a person feels so strongly about safeguarding animal life, and has no problem destroying human life in its initial stages of development?

According to the Merriam-Webster dictionary, an animal is “any of a kingdom (Animalia) of living things including many-celled organisms and often many of the single-celled ones (as protozoans) that typically differ from plants in having cells without cellulose walls, in lacking chlorophyll and the capacity for photosynthesis, in requiring more complex food materials (as proteins), in being organized to a greater degree of complexity, and in having the capacity for spontaneous movement and rapid motor responses to stimulation.” A human embryo is “an organism in the early stages of growth and differentiation, from fertilization to the beginning of the third month of pregnancy (in humans).” This means that an embryo is, at the very least, a member of the animal kingdom. The fetus is defined as “An unborn offspring, from the embryo stage (the end of the eighth week after conception, when the major structures have formed) until birth,” so at the fetal stage, it is clear that this ‘animal’ is clearly part of the human species.

Upon considering this argument, it is evident that a person cannot be both vegetarian and pro-choice, at least not if they are vegetarian for moral reasons (dietary reasons aside). If you believe it is wrong to kill animals, you must also believe it is wrong to kill unborn children for they fall into the category of animal at minimum. Many people also refuse to eat animals or animal products for religious reasons…but do these people know that many big companies (example: Pepsi) perform research on aborted fetuses to create new flavors or products?

In Québec there has been a recent controversy over Islamic halal meat production. Halal meat requires that the throat of an animal be cut, letting it bleed to death.” The Parti Québecois (PQ) claims that both consumer rights and animal rights are at stake here, and that halal meat production facilities must be thoroughly examined. The PQ stated that "This type of slaughter slams directly against Québécois values." Isn’t it ironic that many Quebecers are concerned about animal suffering and the slaughter of animals, but do not take into consideration the potential suffering inflicted upon human life in every abortion?

A second point I would like to emphasize is the inconsistency in the trend of eating only organic, natural foods while simultaneously consuming contraceptive pills. Many people are rightfully concerned about the levels of synthetic pesticides and chemicals added to nutrition. However, these same people also tend to advocate the use of contraceptives such as the birth control pill, the morning-after pill, IUDs, and condoms. Again, we see a certain level of hypocrisy here. On the one hand, a person may argue that you have to be very careful with the food you put in your body, that it must be healthy and free of rubbish. On the other hand, this same person claims contraceptive pills should be available to all women, even though these synthetic hormones have been shown to produce some negative health problems. Sound familiar?

So next time you meet ‘Ms. Organic-animal-rights-lover’, please don’t forget to ask her what she (or he) thinks about contraceptive pills and abortion. Try to elucidate some of these inconsistencies. It seems that many people are fooled into defending animal rights but not human rights, and emphasize organic eating while willingly polluting their bodies with contraceptives. 

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Échec d'une tentative américaine d'imposer leur politique contraceptive et abortive aux pays en développement

Le site C-Fam du 23 mars 2012 nous apporte cette information:

 

 

NEW YORK, 23 Mars (C-FAM) Les négociations du document final de la commission de l’ONU sur la Condition de la femme auraient dû être terminées il y a une semaine. Cependant, elles traînent depuis quelques jours ; et cela aura conduit à l’échec cuisant de l’administration d’Obama et à la fureur des pays en voie de développement.

 Les Etats-Unis ont essayé d’imposé leur agenda sur les droits sexuels et procréatifs, mais par une dramatique épreuve de force, les autres délégations ont préféré saborder le document final que d’accepter la proposition américaine.

Les délégations étaient indignées de ce que les Etats-Unis aient mis l’accent sur les droits sexuels et procréatifs, et étaient particulièrement offensés d’avoir été assujettis aux bras armés des Américains pendant la durée des négociations sur la résolution à propos de la mortalité maternelle. Cependant, les Etats-Unis ont pu faire passer leur résolution sans avoir besoin de retirer leurs références aux droits sexuels et procréatifs.

Dans sa résolution sur la mortalité maternelle, la délégation américaine insiste sur le nouveau langage que d’autres délégations percevaient comme part d’une stratégie visant à faire avancer le droit international à l’avortement. Les diplomates craignaient aussi les références « l’éducation sexuelle adaptée à l’âge », qui ne faisaient aucune mention des parents, et les références douteuses au « genre ».

Les négociations du document final, intitulé « conclusions bénéficiant d’un accord », ont donc été prolongées d’une semaine parce qu’aucun consensus n’avait été obtenu. Les délégations ont continué les négociations jusqu’aux aurores de jeudi dernier, lorsque la commission a conclu sa session, mais les Etats-Unis ne voulaient pas reculer, ce qui a fait échouer complètement les négociations.

Michelle Bachelette, présidente d’ONU Femmes, a fait une déclaration à l’intention des délégués lors de la clôture de la conférence. Elle s’est dite déçue que la commission « n’ait pas pu aboutir à un consensus ». Certaines délégations ont exprimé leur frustration face à la rigidité idéologique des Etats-Unis et d’autres délégations du camp favorable aux droits procréatifs.

La représentante du Zimbabwe, parlant au nom du groupe africain, s’est plainte des positions de « seulement une délégation » qui a mené les négociations à l’échec. Elle a aussi clarifié la conception que le groupe africain a du terme « genre », en faisant référence au féminin et au masculin, conformément à ce qui est mentionné dans les documents de l’ONU précédents, et a souligné qu’il appartenait aux nations africaines souveraines de s’y tenir.

La délégation iranienne a délivré une déclaration regrettant que les « tendres passerelles (consensus) se soient écroulées la nuit dernière à une heure du matin… seulement à cause de l’intransigeance, le forcing et le manque de flexibilité de la part d’un côté de la salle, sur des questions non pertinentes » pour traiter le sujet. L’Iran a reproché aux parties d’être venues négocier à la table « dans le but d’obtenir tout ce qu’elles voulaient, sans aucune flexibilité ».

De l’autre côté de la table des négociations, l’ambassadrice de la Norvège critiquaient certains Etats sans ménagement pour ne pas avoir abandonné leurs « valeurs morales » ou accepté les versions radicales de l’égalité sexuelle : « (Nous) avons vu maintenant comment les valeurs morales ont été évoquées pour priver les femmes de leurs droits humains, de leurs opportunités – et enfin, pour certaines – de leur vie ! C’est le vrai danger moral de notre époque ! ». Elle ajoutait plus tard « Beaucoup devront laisser de côté leurs convictions traditionnelles, même lorsqu’elles sont basées sur les croyances religieuses ou la culture… c’est ce qu’on appelle le développement ».

C-Fam explique également dans cet article comment les États-Unis ont tenté d'imposer leurs vues au reste du monde sur la reproduction.

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