Un bébé princier... La duchesse Kate enceinte...
Sur le site du journal 24h Montréal du 3 décembre 2012:
(Le mariage de Kate et William)
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«Leurs altesses royales le duc et la duchesse de Cambridge sont très heureux d'annoncer que la duchesse de Cambridge attend un bébé», indique un communiqué de Clarence House.
«La reine, le duc d'Edimbourg, le prince de Galles, la duchesse de Cornouailles, le prince Harry et les membres des deux familles sont enchantés de cette nouvelle», dit encore le communiqué.
«La duchesse a été admise cet après-midi à l'hôpital King Edward VII dans le centre de Londres, en raison d'hyperemesis gravidarum (forme sévère de nausées et vomissements, NDLR). Comme la grossesse en est à ses débuts, Son Altesse royale doit rester à l'hôpital pendant plusieurs jours et aura besoin d'une période de repos après», ajoute le communiqué de Clarence House.
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Offrir l'euthanasie avant les soins palliatifs...
Sur le site du journal Le Devoir du 1er décembre 2012:
(Les docteurs Balfour Mount et Bernard Lapointe)
On dit que 77 % des Canadiens n’ont tout simplement pas accès à des soins palliatifs, c’est-à-dire à des soins conçus pour apaiser la souffrance lorsqu’un malade est parvenu à la phase terminale de sa vie, que ce soit à domicile, à l’hôpital ou en maison de soins. Et plusieurs organismes, comme la maison Victor-Gadbois et la Société de soins palliatifs à domicile du Grand Montréal, se spécialisent plus ou moins exclusivement dans les soins offerts aux cancéreux.
C’est précisément cette grande carence dans les soins de santé québécois qui fait craindre à plusieurs médecins spécialisés en soins palliatifs l’adoption d’une loi encadrant l’euthanasie et le suicide assisté. Depuis le mois d’octobre, un manifeste, signé de sommités des soins palliatifs dont le Dr Balfour Mount et le Dr Bernard Lapointe, circule pour témoigner de leur opposition à une telle initiative. Selon la Dre Christiane Martel, le système de santé québécois n’est pas assez performant pour assurer que chacun aura droit à des soins palliatifs de qualité avant que l’on accepte de procéder à l’euthanasie.
« Récemment, dit-elle, j’ai vu une patiente passer 14 jours à l’urgence, en grandes douleurs, sans qu’on fasse le nécessaire pour la soulager. […] Je crains que des patients ne demandent à mourir que parce qu’ils ne reçoivent pas les soins adéquats. » Et parallèlement, plusieurs oncologues s’acharnent sur leurs patients jusqu’au dernier jour, malgré les pires pronostics. Les espérances de survie d’Hélène Richard étaient déjà minimes lorsqu’elle a abandonné une chimiothérapie éprouvante. « Lorsque j’ai annoncé à mon oncologue que j’arrêtais le traitement, elle m’a répondu qu’elle regrettait que j’arrête de me battre, a-t-elle raconté. Pourtant, elle m’avait dit que j’étais finie ! »
Pas des soins tout-puissants
La Dre Martel croit que 90 % des malades qui demandent à mourir remercient les soignants de ne pas avoir accédé à leur demande après qu’ils ont été soulagés de leur douleur par une équipe de soins palliatifs.
Mais il faut bien dire que les soins palliatifs ne sont pas absolument tout-puissants dans le traitement de la douleur. Selon Elsie Monereau, directrice des soins palliatifs à la Société de soins palliatifs à domicile du Grand Montréal, les patients seraient réfractaires aux traitements contre la douleur dans 8 % des cas. À la toute fin de la vie, les médecins ont alors souvent recours à la sédation palliative, qui revient à endormir le patient jusqu’au moment de son décès, soit de façon sporadique, soit de façon permanente.
« On ne peut plus faire semblant de ne pas entendre cette partie-là de la souffrance. De plus en plus, le malade non soulagé va avoir la possibilité d’avoir cette sédation palliative. Les malades qui ne sont pas soulagés disent toujours la même phrase : “ Je veux mourir. ” Mais cela ne veut pas nécessairement dire “ je veux que vous m’euthanasiiez ”, cela veut dire “ je veux être soulagé ”. »
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La sédation palliative est un soin palliatif qui permet de soulager toutes les souffrances. Il est donc d'une certaine façon faux de dire que les soins palliatifs ne soulagent pas toutes les souffrances.
Le Parti Québécois a mentionné qu'il voulait aller de l'avant avec l'euthanasie, alors que les soins palliatifs actuels ne permettent pas de répondre à toute les demandes. C'est le moindre des soucis du gouvernement. Il doit déjà calculer dans son budget les "économies" que les demandes (et absences de demandes résultant en euthanasie comme cela se fait dans les pays qui l'ont légalisée) croissantes d'euthanasie lui feront faire...
Laissez un commentaireUn article dans le Devoir sur ce que les médecins ne disent pas sur la trisomie 21...
Sur le site du journal Le Devoir du 3 décembre 2012 ce témoignage d'Anouk Lanouette Turgeon:
Laissez un commentaireAujourd’hui, toutes les femmes enceintes se font proposer - ou imposer - un test de dépistage de la trisomie, maintenant couvert par la RAMQ. En cas de trisomie 21 confirmée, les parents choisissent l’avortement, dans la majorité des cas. En Europe, où cette pratique est répandue depuis plus longtemps qu’ici, environ 90 % des femmes dont les foetus sont dépistés trisomiques avortent. On ne dispose pas encore de statistiques officielles pour le Québec, mais il y a tout lieu de croire que la proportion est comparable.
Mon conjoint et moi n’avons pas fait ce choix. Nous avons décidé de garder cet enfant « différent ». Et aujourd’hui, nous avons le bonheur de connaître Éli, qui aura bientôt deux ans. Aux futurs parents, qui auront à se poser la question de garder ou non l’enfant à naître, je veux dire ce que les médecins ne diront pas.
Les médecins parlent de « retard moteur », « retard de développement ». Ils ne vous disent pas que vous aurez la même joie qu’un autre parent quand votre enfant vous regardera dans les yeux et vous décochera un sourire lumineux, quand il va tendre ses bras vers vous, quand il va dire ses premiers mots, faire ses premiers pas.
Les médecins disent aussi « déficience intellectuelle », sans spécifier que la déficience intellectuelle ne touche pas du tout la capacité d’aimer et d’être aimé, de nouer des amitiés et des relations durables et saines, d’apprécier les beautés de la vie et d’alimenter une passion.
(...)Les professionnels de la santé n’insistent pas sur le fait que si l’on continue dans cette direction avec le dépistage génétique, on va très bientôt se débarrasser des bébés qui risquent de loucher, de bégayer ou d’avoir les cheveux roux, comme de ceux prédisposés à développer un cancer de la prostate ou du pancréas à 50 ans. Ce sera pire que l’Allemagne nazie et on n’aura rien vu venir. Et on appellera ça le progrès...
On vous parlera aussi, fatalement, de l’autonomie que votre enfant n’atteindra jamais complètement. On oublie que, comme les autres, votre enfant aura de multiples possibilités. Que sa personnalité n’est pas prédéterminée par la trisomie (ou un autre handicap). Qu’il a droit à ses rêves, à ses ambitions, à ses projets, à ses passions et à ses passe-temps. On en profitera aussi pour oublier que certaines personnes trisomiques deviennent des sportifs de haut niveau, des artistes surprenants, des entrepreneurs reconnus localement ou des acteurs primés internationalement. Beaucoup quittent la maison de leurs parents, vivent en logement supervisé et travaillent dans la communauté. Bien d’autres n’arrivent pas à ce degré d’autonomie et sont néanmoins épanouis.
Les médecins (et même les sages-femmes) prononcent aussi, parfois, des mots comme « vulnérabilité » et « risques accrus de discrimination ». Franchement, s’il fallait se débarrasser de tous les enfants qui risquent de se faire intimider dans la cour d’école plus tard, il ne naîtrait plus grand monde ! Ce qu’on ne vous dit pas, c’est que l’enfant que vous attendez va probablement faire de vous un combattant pour la diversité sous toutes ses formes.
Autre chose : on ne vous prévient pas que vous, au quotidien, vous ne verrez pas votre enfant comme un « handicapé », mais simplement comme votre enfant. Unique. Avec un prénom qui lui ressemble, des yeux de telle couleur, des mains fines ou potelées, un petit doigt recourbé vers l’intérieur, trop mignon, des gestes d’une langueur émouvante, des cheveux en bataille, une bouche en forme de coeur, des fossettes irrésistibles, un air canaille quand il ne veut pas faire ce que vous demandez, des dents un peu croches (et puis après ?), un air bouddha quand il dort, un sourire craquant le matin, un regard d’une douceur sans précédent dans votre vie. Par exemple.
Trouvez votre déficience !
On a tous des lacunes. Nos médecins pourraient profiter de l’annonce du diagnostic pour nous le rappeler, au lieu de nous déverser une barge d’informations strictement médicales. Enfin, selon toute probabilité, votre médecin ne vous mentionnera pas que, si l’on demandait à cet enfant s’il veut vivre à vos côtés et s’il est prêt à VOUS accepter tel que vous êtes, avec vos incertitudes, vos défauts et vos limites, il dirait très certainement OUI.
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Il faudra parler : un exemple de courage à imiter
Sur le site facebook de Mathieu Bock-Côté, on retrouve une très intéressante conversation autour de la question de la fragilisation d'un peuple et de la popularité de la langue française au Québec. Avec pour une fois, des commentaires qui traitent des plus importantes causes du problème: l'avortement et la dénatalité.
Bravo à Hélène Bourgeois, Sophie Camiré et Louise Desrochers. Un bel exemple de courage que nous avons à imiter. Certainement que vos arguments seront lus par des gens que vous ne connaissez pas, et qu'ils seront interpellés par la force de votre argumentation!
Tous les pro-vie doivent apprendre à discuter et à faire connaître leurs convictions, pour les enfants à naître. Nous sommes tous leur voix.
Nous serons censurés, insultés, on ne nous laissera pas le dernier mot, peu importe. Nous devons parler. Et par cette réalité que nous dévoilerons, des témoins silencieux et invisibles de nos conversations prendront conscience de la valeur de nos arguments, de l'enfant à naître, de ces droits à défendre. Et c'est ainsi que de plus en plus de Québécois verront ces enfants cachés. C'est un travail ingrat, mais peu importe les résultats visibles ou invisibles, encore une fois, c'est pour eux que nous le faisons et aussi pour... Lui : "Ce que vous avez fait au plus petit d'entre les miens, c'est à moi que vous l'avez fait."
Laissez un commentaireDétails sur les 491 bébés nés vivants, morts des blessures subies lors d'avortements ratés...
Nous ne nous tairons pas !
Un jeune garçon transformé en fille sous l'influence de personnes lesbiennes.
Sur le site de 24heuresactu.com du 12 novembre 2012:
(Thomas Lobel)
Un enfant de 11 ans va subir une opération chirurgicale pour se faire enlever son pénis après avoir pris des hormones depuis l’age de 8 ans. L’enfant, élevé par un couple de lesbiennes, se sentirait une fille depuis toujours, selon ses mamans, qui lui font subir tout cela pour sa santé… Quand le progressisme sociétal couplé à un consumérisme maladif utilisent la science pour mettre en place Le meilleur des mondes…
Dans un avenir proche, nous serons enfin libérés de l’oppression homophobe de Dame nature et nous pourrons avoir fabriquer des enfants qui ressemblent à ce qu’on veut. Car enfin, vu ce que coutent les gamins, n’est-il pas normal qu’il correspondent exactement aux attentes de leurs parents consommateurs ?
Heureusement, les Californiens « sont en avance » sur nous, ils sont plus « tolérants » et comprennent que chacun doit pouvoir vivre sa vie comme il l’entend. Ainsi, non content d’avoir autorisé le mariage et l’adoption aux homosexuels, l’état permet aussi à des enfants de subir des opérations de changement de sexe.
Un couple de lesbiennes traite donc son fils contre sa terrible condition de mâle. Depuis ses 8 ans, Thomas Lobel, un petit garçon adopté-acheté par un couple de lesbiennes, et désormais rebaptisé Tammy, subit donc un traitement hormonal pour enfin devenir une fille. Pour ses 11 ans, ses deux super mamans vont même lui offrir un vagin et lui faire découper son pénis. Happy Birthday ! Mais ne soyons pas médisants : les deux mamans font cela pour la santé de leur enfant qui se sent fille depuis toujours et qui risquerait fortement de se suicider à l’adolescence s’il ne dispose pas d’un organe féminin.
On imagine évidement qu’à 8 ans, vivant entre deux mamans lesbiennes, l’enfant aura eu tout le recul et le libre arbitre pour décider de subir des modifications hormonales et chirurgicales, dont aucun enfant au monde de cet age n’a connaissance…
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David Cameron veut imposer le "mariage" gai en Angleterre, malgré l'opposition à l'intérieur même de son propre parti
Sur le blog de Jeanne Smits du 29 novembre 2012:
(Simon Reevell, élu à la chambre des communes à Dewsberry)
Laissez un commentaireAu Royaume-Uni, ce n'est pas la gauche mais la « droite » qui entend mettre en place le « mariage » des homosexuels. Ou plus exactement David Cameron, Premier ministre conservateur, qui dans cette affaire-là risque sa place de leader des Tories, affirme Hilary White de LifeSiteNews. Alors que la légalisation des unions des paires homosexuelles ne figurait dans aucun document de campagne, Cameron a lancé le processus en septembre 2011.
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Un groupe de 118 élus du parti viennent d'écrire aux électeurs de leurs circonscriptions pour annoncer qu'ils s'opposeront à tout texte visant à modifier la définition légale du mariage. Le Daily Mail a qualifié cette démarche de « plus importante rébellion Tory des temps modernes ».Alors que les conservateurs favorables au « mariage » homosexuel assurent que cette loi ne serait en aucun cas imposée aux personnes qui s'y opposent pour des motifs religieux, Simon Reevell, élu à la chambre des communes à Dewsbury, a fait savoir qu'à son avis une telle protection de l'objection de conscience ne tiendrait pas face à l'activisme procédurier du lobby qui auraient tôt fait de dire que si le « mariage » gay doit être légal pour éviter la discrimination envers les personns homosexuelles, le refus des objecteurs de conscience apparaîtrait nécessairement comme une discrimination condamnable par les tribunaux.
L’émission de Sophie Durocher sur « Faut-il rouvrir le débat sur l’avortement? » n’était pas un débat…
Un bain par semaine pour les aînés, est-ce suffisant?
Sur le site de Radio-Canada du 28 novembre 2012:
(Le député libéral Kent Hehr dénonce la politique du bain hebdomadaire en Alberta)
L'Association canadienne des paraplégiques affirme que dans la majorité des centres de soins de longue durée de l'Alberta, le bain hebdomadaire est la norme parce qu'il n'y a pas assez d'argent pour payer le personnel. Le nombre de bains est aussi basé sur les besoins en santé du résident.
Le ministre des Aînés, George Vanderburgh, indique qu'un bain par semaine est suffisant. Il promet tout de même de se pencher sur la question.
Le ministre George Vanderburgh ne prend qu'un bain-douche par semaine?
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