Les conseils scolaires albertains rejettent une proposition demandant de protéger les étudiants et professeurs homosexuels
Sur le site de Radio-Canada du 21 novembre 2012:
L'Association des conseils scolaires de l'Alberta a rejeté mardi une proposition demandant de protéger les étudiants et le personnel homosexuels contre la discrimination. La proposition venait du Conseil des écoles publiques d'Edmonton qui a adopté une politique de ce genre l'an dernier.
(...)L'Association des conseils scolaires de l'Alberta regroupe tous les conseils scolaires de la province, qu'ils soient publics, catholiques, protestants ou francophones.
Protéger contre la discrimination... Les chrétiens savent maintenant ce que veulent dire ces mots : censure et abolition de la liberté d'expression.
Laissez un commentaireFrançois Hollande se fait rabrouer par les lobbys gais: pas de liberté de conscience pour les maires refusant le mariage gai
Sur le site de La Presse du 21 novembre 2012:
(François Hollande)
L'exécutif français a dû monter au créneau mercredi pour confirmer que le mariage homosexuel pourrait bien être célébré dans chaque commune après des déclarations de François Hollande sur la «liberté de conscience» des maires qui ont provoqué la colère de son camp.
(...)le président français avait déclaré que les maires «auront, si la loi est votée, à la faire appliquer, mais des possiblités de délégation (d'un maire à ses adjoints) existent, elles peuvent être élargies». «La loi s'applique pour tous dans le respect néanmoins de la liberté de conscience», avait-il ajouté.(...)
L'association Inter-LGBT (lesbienne, gai, bi et trans), interlocuteur du gouvernement sur l'homosexualité, a exigé «d'être reçue rapidement par le Président de la République afin d'obtenir de sa part des explications sur ce qui est au mieux une maladresse, au pire une trahison».
Dans l'attente, elle «suspend toutes ses relations avec le gouvernement», ont ajouté ses responsables.
Les associations jugeaient déjà le texte du projet de loi «minimaliste» car il ne prévoit pas l'ouverture de la procréation médicalement assistée aux couples de femmes et renvoie les questions de filiation à une future loi sur la famille.
Les écologistes, alliés des socialistes au pouvoir, ont jugé «inadmissible» la possibilité d'une liberté de conscience pour les maires et espéré que les propos de François Hollande relevaient de la «maladresse».
À l'inverse, les opposants au mariage se sont emparés des déclarations présidentielles. Le nouveau, mais contesté, président de l'UMP, principal parti d'opposition, Jean-François Copé, y a vu un «vrai début de recul» de François Hollande. (...)
Être contre la liberté de conscience, c'est simplement être contre la liberté, contre l'égalité de tous les citoyens, contre la démocratie... Et même la délégation d'un maire à son adjoint ne respectait pas sa liberté puisqu'il était obligé de collaborer à un "mariage" gai.
L'ouverture de François Hollande à un début de liberté de conscience était naturelle. Elle est un droit fondamental. Mais il y a des lobbys qui ne respectent rien...
Le journal Le Figaro du 21 novembre 2012 rapporte cette volte-face du président français:
Laissez un commentaireLe président de la République retire l'expression "liberté de conscience" pour les élus appelés à célébrer les mariages homosexuels, a-t-on appris mercredi dans l'entourage de François Hollande. L'utilisation de cette expression, mardi au congrès des maires de France, a relancé une polémique sur le mariage pour tous, qui fait débat dans le pays.
"Il n'y aura pas de liberté de conscience dans le projet de loi sur le mariage pour tous qui sera présenté", a assuré Nicolas Gougain, président de l'Inter-LGBT à l'issue d'un entretien avec le président.
Conférence sur l'euthanasie par une médecin belge, spécialiste des soins palliatifs
FACULTÉ DE PHILOSOPHIE UNIVERSITÉ LAVAL
LA CHAIRE «LA PHILOSOPHIE DANS LE MONDE ACTUEL» ET L’INSTITUT JEAN-PAUL DESBIENS
auront l’honneur d’accueillir
LE DRE CATHERINE DOPCHIE, CANCÉROLOGUE ET RESPONSABLE D’UNE UNITÉ HOSPITALIÈRE DE SOINS PALLIATIFS EN BELGIQUE
pour une conférence intitulée : «La fin de vie humainement assistée : Un contrepoids argumentaire dans le débat sur l’euthanasie et le suicide assisté»
Le jeudi 29 novembre à 19h30 À l’amphithéâtre du Pavillon Charles--‐De Koninck, salle 1--‐A
Le propos de cette conférence peut se résumer comme suit:
Dans nos États modernes, par le biais de légalisations consenties ou de projets de législation permettant la pratique de l’euthanasie comme du suicide assisté, on entretient les débats sur les questions délicates qui entourent la fin de vie médicalement assistée. Ce problème est trop important pour être mal posé. Quand il n’y a plus rien à faire, on réclame le droit à l’euthanasie au nom de l’autonomie et de l’exercice de la liberté. Des sondages concluent, à tort ou à raison, qu’une majorité de citoyens semblent entériner cette opinion. Force est cependant de constater que l’opinion contraire est soutenue par de nombreux intervenants en soins palliatifs : bénévoles, infirmières et médecins. Pourquoi cette divergence? The proof is in the pudding disent les Anglais. Il semble que l’accompagnement concret de mourants génère une expérience bien réelle de résilience.
La conférencière pratique au chevet de malades en toute fin de vie dans un pays où la législation permet l’euthanasie. Dans le débat québécois autour de cette question difficile, des médecins ont déjà été entendus témoignant de leur position en faveur d’une législation ouverte.
On aura ainsi l’occasion d’entendre une argumentation en contrepoids destinée à favoriser le meilleur discernement critique possible.
Étudiants, professeurs et grand public sont tous cordialement invités. L’entrée est libre.
Pour information, s’adresser au Secrétariat de la Faculté de philosophie : 418-656-2244. Pour toutes informations supplémentaires vous pouvez aussi joindre Louis-André Richard au 418-570-4235.
La Dre Catherine Dopchie donnera également une conférence à Montréal. Vous pouvez voir les informations sur cette conférence en cliquant ici.
Laissez un commentaireKarl Lagerfeld sur le "mariage" gai : «Des enfants sans mères, j'en veux pas!»
Sur le site de Minute-hebdo.fr du 20 novembre 2012, cette déclaration choc de Karl Lagerfeld:
(Karl Lagerfeld)
Laissez un commentaire(...) Karl Lagerfeld n’a pas l’intention de soutenir le projet de mariage homosexuel : « Qu’ils aient une assurance dans la vie, pourquoi pas ? Par contre, je suis violemment contre les mères porteuses, les ventres loués pour que ces messieurs jouent à la poupée. Ça, je déteste. Des enfants sans mère, j’en veux pas ! »(...)
Les groupes pro-avortements contestent le choix des médecins choisis pour enquêter sur la mort de la jeune indienne
Sur leblog de Jeanne Smits du 20 novembre 2012, un excellent résumé de la situation dont voici un extrait:
(Praveen Halappanavar, mari de Savita)
(...)Aujourd'hui, Praveen a protesté avec vigueur contre la présence au sein de la commission d'enquête mise en place par le HSE (Health Service Executive, instance exécutive du service de la Santé) de trois médecins travaillant à l'hôpital universitaire de Galway où Savita est morte, fin octobre, des suites d'une septicémie massive alors qu'elle était en train de faire une fausse couche. Il a menacé de boycotter l'enquête, déclarant qu'il n'autoriserait pas la commission d'enquête à avoir accès au dossier médical de sa femme si les trois médecins en faisaient partie. L'Irish Council for Civil Liberties a abondé en son sens, réclamant une « enquête indépendante ». L'ICCL a été fondé par Mary Robinson en 1976, et se glorifie d'avoir fait légaliser le divorce, dépénalisé l'homosexualité, et promu l'« égalité » (et notamment les droits des transgenres) ; il milite par ailleurs pour une forme de légalisation de l'avortement.
Les autorités se sont aplaties, acceptant de gommer les noms des trois médecins contestés.
Elles avaient pourtant déjà tout fait pour donner une certaine coloration à la commission d'enquête. Hilary White, de LifeSiteNews, souligne aujourd'hui que la personne désignée pour diriger l'enquête, le professeur Sir Sabaratnam Arulkumaran qui dirige le service de gynécologie-obstétrique à l'hôpital Saint-George de Londres, est personnellement partisan de l'avortement légal et pour un meilleur accès à l'avortement là où il est légal. Il est le président-élu de la Fédération internationale de gynécologie qui elle-même prône la légalisation de l'avortement.Lors d'un colloque international dont on trouve la teneur ici, Sir Sabaratnam recommandait que pour la prévention des morts maternelles, on ait recours à diverses stratégies dont celle-ci : « Traitement des fausses couches incomplètes ou septiques promptement et efficacement, sans stigmatisation, par l'utilisation de l'aspiration par vacuum ou par des méthodes médicales. » Autrement dit, cet expert indépendant a un avis préconçu sur la procédure qu'auraient dû utiliser les médecins qui se sont occupés de Savita et lui ont refusé l'avortement (selon les dires de son mari) parce que l'Irlande « est un pays catholique ».Bref, tout converge pour que les conclusions de l'enquête aillent dans le sens désiré par le mari de Savita… tandis que les gros médias du monde entier, sans que personne ne connaisse le dossier et se fondant uniquement sur ce que dit Praveen, dénoncent le caractère arriéré de la législation irlandaise et accusent le respect de la morale catholique de la mort de Savita.Les évêques d'Irlande ont publié un communiqué rappelant que la morale catholique ne place pas la vie de l'enfant au-dessus de celle de la mère, ni celle de la mère au-dessus de celle de son enfant, mais qu'en cas de danger pour la vie de la mère il est « permis d'entreprendre tout traitement nécessaire à condition que tout ait été mis en œuvre pour sauver la mère et son enfant », sans que l'on puisse attenter directement à la vie de l'enfant, même le traitement risque de causer indirectement et non intentionnellement la mort de l'enfant. (...)Je vous propose encore le commentaire d'un gynécologue-obstétricien qui a réagi aux premiers messages sur l'affaire Savita en ces termes :
Nous sommes en présence d'une menace de fausse couche tardive qui va en quelques jours devenir inéluctable. L'ouverture de l'oeuf en est un temps essentiel car l'infection devient alors très fréquente et potentiellement très grave.
On connaît (j'ai connu) de tels cas où le refus de l'avortement proposé a pu (rarement) arriver à la naissance d'un enfant sans trop de handicap et je vois régulièrement une femme qui a vécu cette situation et ne manque pas de me sortir à chaque fois la photo de son fils ; je l'avais laissée choisir en lui disant que je refusais cet avortement médical mais que d'autres confrères consultés l'acceptaient : à notre époque procédurière anti-médecins la loi nous impose cette attitude.
Il faut savoir aussi que des cas de ce type exposent à des complications gravissimes (déformation extrème des membres, absence de dévelopement pulmonaire, destruction de cerveau etc). Quant à la mère, sa vie peut être menacée : infections, hémorragie, embolie amniotique, le risque augmentant avec la durée d'ouverture de l'oeuf.
Les antibiotiques doivent être systématiques sitôt l'oeuf ouvert, mais pas forcément avant : tant qu'il n'y a pas d'infection, l'antibiothérapie très précoce est discutable : question de résistances.
Ce cas manque beaucoup de détails scientifiques précis et il est évident que les partisans de la culture de mort ont sauté sur l'occasion. Avant de condamner éventuellement un retard à l'antibiothérapie il faudrait avoir accès à l'ensemble du dossier et ne pas se contenter du peu que l'on sait à cette heure. Il s'agit certainement d'un des cas les plus difficiles de l'obstétrique.
La mort de Savita se révélera peut-être avoir été inévitable. Ou alors évitable par des soins qui n'ont pas été correctement donnés. Ou alors, seulement en vidant le contenu de son utérus dès que l'infection eut été constatée et bien que le fœtus fût encore en vie, chose qui aurait consisté en une manœuvre ayant pour effet direct la mort de l'enfant qui n'était pas viable puisqu'elle n'était enceinte que de 17 semaines. Mais même ainsi, ce n'est pas alors la mise à mort de l'enfant qui aurait éventuellement sauvé Savita : l'avortement n'est pas un médicament ou une thérapeutique. L'évacuation de l'utérus (l'avortement) aurait simplement facilité (on ne sait dans quelle mesure) le traitement de l'infection.
Le monde entier hurle qu'il fallait tuer l'enfant pour sauver la mère. Dit en ces termes, c'est pourtant difficile à accepter, non ?
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La prostitution : un réseau d'esclavage "bien" organisé....
Sur le site de Yahoo du 21 novembre 2012:
(Des pays pauvres, vers les pays occidentaux)
Laissez un commentaireLa prostitution, qui s'est largement mondialisée sous l'emprise du crime organisé, est devenue un marché économique "très porteur", basé "sur un modèle capitaliste exemplaire", dénonce la Fondation Scelles dans son rapport annuel rendu public mercredi.
Selon le rapport de 480 pages intitulé "Exploitation sexuelle: prostitution et crime organisé", qui fait un bilan de la prostitution dans 54 pays, les proxénètes ont organisé la traite "sur un modèle capitaliste exemplaire".
(...)
Les victimes de la traite "sont +produites+ à peu de frais dans des pays pauvres et/ou en proie aux conflits armés ou aux guerres civiles, et importées sur les marchés les plus porteurs en terme de marge réalisée", note le document."Achetées parfois seulement quelques euros", elles rapportent "une moyenne de 150.000 euros net par an dans les pays occidentaux", insiste la Fondation. "Si on multiplie ce chiffre par 2,5 millions, qui est l'estimation de l'ONU sur le nombre des victimes de la traite des êtres humains (dont 85% victimes d'exploitations sexuelles), ça commence à faire de l'argent, en ne parlant que de la prostitution en réseau", note M. Charpenel.
Les organisateurs de la manifestation contre le "mariage" gai sont dynamisés par son succès.
Sur le site de Famille Chrétienne du 20 novembre 2012, cet interview de Tugdual Derville, délégué général d'Alliance Vita, par le chroniqueur Cyril Lepeigneux:
(La manifestation fait la couverture du magazine Famille Chrétienne)
(...)
Quel est votre bilan des manifestations qui se sont déroulées dans plusieurs villes de France contre le projet gouvernemental de « mariage pour tous » ?
Pour nous, c’est une réussite stupéfiante ! Déjà, nous avions été heureusement surpris le 23 octobre dernier du nombre de personnes qui s’étaient rendues dans l’un des soixante-quinze rassemblements organisés en province par Alliance VITA. Depuis l’élection de François Hollande, nous avons eu énormément d’appels de personnes très inquiètes de la mesure 31. Ce n’était pas qu’un bouillonnement. La manifestation du 17 novembre le prouve : c’est quand même la plus grande manifestation qui a eu lieu à Paris cette année !
Quelle suite donner alors que le gouvernement ne semble pas vouloir changer de ligne ?
Le gouvernement laisse entendre qu’il ne bougera pas jusqu’au moment où… il bougera, et c’est de bonne guerre. Des lignes déjà ont un peu bougé. Pour la première fois, un ministre [Marisol Touraine] a dit respecter l’inquiétude des manifestants ! La réponse évolue donc vers autre chose que du déni, du mépris, voire des caricatures avec cette accusation d’homophobie. Certains ministres ne cachent pas, en privé, leur malaise relativement à ce projet que certains voudraient faire passer de force, ou disent leur regret que l’on n’ait pas laissé place à un vrai débat.
(...)Comment ne pas laisser retomber le soufflé d’ici la grande manifestation nationale du dimanche 13 janvier ?
Il n’est pas près de retomber, le soufflé ! C’est un grand souffle qui a été donné ce samedi ! Chaque association et mouvement a prévu des actions. À force de mail ou de courriels argumentés, il faut continuer – ou commencer – à interpeller les élus, comme les maires qui sont déjà très nombreux à s’être positionnés du côté de la défense de l’enfant. Les parlementaires ont besoin de sentir que leur base, dans leur circonscription, attend d’eux un autre vote que celui que veut leur imposer le Parti socialiste – ce qui est contraire à la liberté de conscience… Cette manifestation du 13 janvier se fera juste la veille des premiers travaux en commission à l’Assemblée nationale, au moment où s’établissent les équilibres politiques autour d’un texte.
(...)
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Prendre soin de son tas de cellules! Conseils pour les femmes enceintes…
Le gouvernement canadien reçoit sans cesse des pétitions pour le droit des enfants à naître
Sur le site du journal Métro du 20 novembre 2012:
(Le député libéral Lawrence MacAulay)
OTTAWA – La Chambre des communes a rejeté une motion liée à l’avortement il y a deux mois, mais les députés conservateurs continuent d’amener le sujet sur la table.
Des pétitions sur l’avortement ont été déposées à au moins 20 reprises par des députés conservateurs — et une fois par un parlementaire libéral, Lawrence MacAulay — depuis que la Chambre a rejeté une motion d’arrière-ban appelant à la révision de la définition d’un être humain dans le Code criminel.
À la suite de la période des questions, les parlementaires ont l’option de déposer des pétitions soumises par leurs commettants sur presque n’importe quel enjeu.
Et bientôt, un nouveau projet de loi contre l'avortement sélectif devra être débattu!
Laissez un commentaireExplosion des MTS au Québec
Sur le site du Journal de Montréal du 20 novembre 2012:
(Dr Marc Steben)
Les infections transmissibles sexuellement continuent de se propager en flèche au sein de la population québécoise, alors que trois fois plus de gens sont infectés qu’il y a 15 ans.
De 2001 à 2011, on est passé de10 168 cas de Chlamydia à 19165, de 831 cas de Gonorrhée à 1883, de 16 cas de Syphillis à 636! Seul l'hépatite C diminue de 2914 cas à 1468 en 2010.
Quelle est la solution préconisée par le Dr Marc Steben, médecin-conseil à l'Institut national de santé publique du Québec? Vous avez deviné, encore les cours d'éducation sexuelle pour apprendre à mettre un condom sur une banane, comme s'il y avait un jeune au Québec qui avait pu passer à travers le bombardement de propagande sur le sexe "sans problème" sans en entendre parler au moins 10 fois... Il ne reste plus au docteur Steben qu'à s'inspirer des techniques de lavages de cerveau présentées au cinéma...
Ce discours déconnecté de la réalité, bien sûr, le Parti Québécois ne pouvait passer à côté.Un nouveau programme d'«éducation sexuelle» est en voie d'élaboration. Les jeunes pourront s'y faire répéter une fois de plus, les mêmes âneries qui ne les rejoindront pas. Ce dont un jeune veut entendre parler, c'est d'amour pour la vie, de fidélité, d'une possibilité de ne pas refaire les erreurs de ses parents divorcés. Le problème est que ceux qui réfléchissent sur cette question, des baby-boomers nostalgiques de l'époque des communes, n'ont toujours pas pris conscience de l'inutilité des contraceptifs pour combattre les MTS et la venue au monde d'un enfant. Plus de 30% des avortements au Québec sont faits sur des personnes utilisant une forme de contraception. C'est plus de 50 % en France... Le condom ne protège pas contre le virus du papillome humain et le vaccin n'enraie qu'une minorité des différentes souches de ce virus. Tiens, comment se fait-il que le journal de Montréal n'en parle pas?
Nous vous invitons à relire l'interview du spécialiste de l'Université d'Harvard sur ces questions, Edward Green, en cliquant ici.
Fort de l'expérience d'un continent, Green réaffirme l'encouragement de prises de risques qu'induit l'utilisation de la contraception, et l'échec de ces méthodes pour combattre le sida. Seul l'Ouganda, qui a mis de l'avant un programme préconisant l'abstinence et la fidélité, avant le discours sur la contraception, connaît des progrès notoire dans le combat contre le sida.
Il est temps que l'idéologie fasse place à la science...
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