M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Marche Chrétienne à Montréal : Annulée pour cause de pluie...

ANNULÉE EN RAISON DE LA PLUIE ANNONCÉE POUR DEMAIN

Rassemblement de tous les chrétiens du Québec à Montréal

MONTRÉAL, le 13 juin 2014 /CNW Telbec/ - Le Comité de La Marche chrétienne annonce que samedi, le 14 juin 2014 se tiendra au Parc Angrignon à Montréal un événement qui rassemblera des milliers de chrétiens issus des diverses confessions chrétiennes québécoises. Ils seront catholiques, protestants, évangéliques, coptes égyptiens, orthodoxes et plusieurs autres à témoigner publiquement de leur attachement à Jésus-Christ.

Pour plus de détails, consultez le site newswire.ca du 13 juin 2014.

Laissez un commentaire

Top modèle, elle quitte sa carrière pour devenir religieuse

Sur le site de aleteia du 8 mai 2014 :

 

(Une conversion suite à un pèlerinage à Fatima.)

 

Si jamais vous allez faire un tour sur le blog de ​​l'Espagnole Olalla Oliveros, vous ne pouvez qu’être frappé par la beauté de ce mannequin, et par son impressionnant parcours d'actrice : cinéma, théâtre,feuilletons télévisés. Si elle n’y a pas toujours le premier rôle, elle n'est pas non plus une simple figurante. Mais quand on y regarde de plus près, on finit par remarquer la date du dernier post : 2 mars 2010. Depuis ce jour-là, c'est comme si Olalla Oliveros était « morte » pour le monde du spectacle, pour renaître à celui de l’Esprit. « Dieu a fait un casting et m’a choisie. Je n’ai pas pu dire non », a raconté la religieuse. (...)

Laissez un commentaire

Brian Boyle des Rangers de New York : 7e enfant d'une famille de 13 enfants

Sur le site du Journal de Montréal du 12 juin 2014 :

(Photo :  sarah_connors sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Sur ses parents, le joueur témoigne : 

«Je ne peux pas calculer le nombre de sacrifices qu’ils ont faits pour leurs enfants, a-t-il enchaîné. Ils devaient réaliser de petits miracles sur une base quotidienne, sur le plan financier, mais surtout pour le temps et l’amour qu’ils consacraient à leurs enfants.» 

L'entraîneur Alain Vigneault témoigne sur son joueur : 

« Brian est l’exemple parfait d’un bon coéquipier, il était habitué de partager quand tu viens d’une famille de 13 enfants », a affirmé l’entraîneur en chef, Alain ­Vigneault. «Il fait la même chose avec notre formation. »

Brian Boyle parle également de son père guéri miraculeusement d'un cancer suite à un pèlerinage.

Laissez un commentaire

L'abbé Raymond Gravel a été hospitalisé le 8 juin dernier

Sur le site de laction.com du 11 juin 2014 :

(Photo : Louperivois sur wikipédia.org, licence creative commons)

 

 

 

Le cancer est revenu, «et plus fort qu'avant», dit-il. Il doit passer des examens à Trois-Rivières avant d'en connaître davantage sur son état de santé.

«Je ne sais pas c'est quoi l'avenir, mais ce n'est pas très prometteur», lance-t-il.

(...)

Il approuve le projet de loi sur l'aide médicale à mourir proposé par la députée de Joliette, lequel a finalement été adopté à la majorité par l'Assemblée nationale.

«Quand vient le temps de partir, il faut savoir accepter le départ. Ça ne veut pas dire qu'il faut provoquer la mort nécessairement, mais ça peut être ça dans certains cas», croit-il.

Plus que jamais, l'abbé Raymond Gravel a droit à nos prières.

Laissez un commentaire

La fondation Bill Gates cesse de financer l'avortement à travers le monde

Sur le site de C-Fam du 6 juin 2014 :

(Photo :  DFID - UK Department for International Development sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

(...)Lorsque la philanthrope Melinda Gates a annoncé son but, celui de faire du planning familial un de ses chevaux de bataille, elle a explicitement exprimé qu’elle n’entendait pas financer l’avortement. Même si nombre de critiques lui ont reproché son alliance avec des organisations qui soutiennent et pratiquent l’IVG, madame Gates n’a pas changé d’avis.

Dans la même interview du Globe and Mail, Melinda Gates s’est exprimée favorable au projet de Harper, concentré sur la grossesse et les naissances. « La santé maternelle et infantile fait partie de l’agenda politique mondial, partiellement grâce à ce qu’a fait le Canada ». 

Elle a plus tard déclaré, pensive, « tous les journalistes se sont concentrés sur la politique canadienne dans le domaine de l’avortement ». Elle a ajouté qu’en alliant le problème de l’IVG et les autres questions de santé, on bloque le progrès et porte en fait entrave à la coopération. « J’ai décidé de ne pas me prononcer sur cette question publiquement. Et la Fondation Gates a décidé de ne pas financer l’avortement. »

Comme la Fondation Gates, le plan de santé maternelle du Canada interdit le financement direct de l’avortement, mais la situation est bien autre sur le terrain, car les pays qui reçoivent les financements peuvent dépendre des agences que le pays donateur choisit comme partenaire. LifeSiteNews a rapporté que l’argent canadien irait à la Fédération du Planning Familial, organisation la plus importante dans le domaine de la pratique de l’avortement, mais seulement dans les pays dans lesquels l’Ivg est illégal ou très limité. Parmi ces pays  on compte le Bengladesh, qui ne permet l’avortement que sous le nom de « régulation des règles » pendant le premier trimestre de la grossesse. Il n’est pas sûr qu’un tel financement serait exclu pour une telle procédure. (...)

Laissez un commentaire

Une journaliste du Soleil échappe involontairement une vérité que le gouvernement aimerait cacher ...

Sur le site du journal Le Soleil du 11 juin 2014, la journaliste Mylène Moisan révèle une vérité sur les principes du gouvernement en matière de santé :

(Photo : Reytan sur wikipédia.org, licence creative commons)

 

 

Ce que l'État paye dans le système de santé, ça s'appelle le panier de soins. Le panier grossit sans cesse, comme la grenouille de La Fontaine. Chaque fois qu'il y a un nouveau médicament, un traitement novateur, un comité doit trancher. Dans le panier ou pas? Chaque fois, un dilemme entre la capacité de payer et celle de sauver.

(...)

Doit-on soigner les jeunes avant les vieux?

(...)

Les médecins se posent des questions comme ça tous les jours.

(...)

On ne sauve pas n'importe qui. C'est écrit noir sur blanc dans un rapport produit par le gouvernement du Québec en 2012. «Des ressources rares sont affectées aux personnes les plus susceptibles d'en tirer profit.»

Cette mentalité n'est pas valable seulement pour les dons d'organes dont parle la journaliste. En tenant compte des ressources limitées et de la situation financière du Québec, pourquoi payer pour des soins palliatifs soulageant la douleur, lorsqu'on peut laisser les patients réclamer l'euthanasie parce qu'on ne veut pas payer pour bien les soulager sur une période de temps plus longue? Le calcul économique est clair et il y a vraiment pour le gouvernement, toutes les apparences d'un conflit d'intérêt. D'autant plus que les députés ne se cachent pas de réclamer l'euthanasie même si les patients n'ont pas accès aux soins palliatifs...

Laissez un commentaire

La glorification de la prostitution est un mensonge : lettre d'une ex-prostituée

Sur le site du journal La Presse du 11 juin 2014 , une lettre d'une ex-prostituée répliquant à un prostitué voulant montrer les « bons » côtés de la prostitution.

(Photo : milagroswaid sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

Vous parlez de grands restaurants, de chambres d'hôtel somptueuses, de voyage à Rome, de ballade en voilier, etc. Mais vous ne dites pas un mot sur le nombre de cunnilingus, de relations anales, de baisers dégoutants, de toutes ces mains inconnues qui vous tripotent; du sentiment de se sentir sale après une journée «à faire des mottés», de ne plus être capable d'être en relation intime avec quelqu'un. La thérapie que ceux et celles souhaitant sortir de cet enfer doivent faire pour retrouver leur identité, ça aussi, vous omettez d'en parler. (...)

Savez-vous seulement le prix d'une thérapie, en clinique spécialisée, pour faire la paix avec soi-même après des mois, des années, à définir son identité par la prostitution? 

Pour défendre la prostitution comme étant un « métier », il faut beaucoup mentir aux autres et à soi-même. La prostitution relève de l'esclavage.

Laissez un commentaire

Le Ministre Barrette prêt à gaspiller l'argent des Québécois jusqu'en Cour suprême pour sa loi meurtrière...

Sur le site du journal Le Devoir du 11 juin 2014 :

(photo : Wladyslaw sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

 

C’est ce qu’a indiqué mardi le ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette. « Oui. Spontanément, je vous dirais que oui », a-t-il déclaré à un journaliste qui lui demandait si Québec défendrait jusqu’en Cour suprême la loi adoptée la semaine dernière.

Le ministre a indiqué que de toute façon, la loi s’appliquera même si elle est contestée devant les tribunaux. « S’il y a des gens, comme ça semble être le cas, qui veulent la contester, incluant le fédéral, ils le feront », a-t-il dit.

Sur le site du Journal de Montréal, du 10 juin 2014, ce courrier d'un lecteur :

En temps d’austérité, le Québec vient de s’embarquer dans une saga judiciaire qui engouffrera des millions de dollars. «Ottawa a défendu avec succès la loi qui interdit l’euthanasie et le suicide assisté en 2013, et étudie ses options en regard de la loi 52» (bureau du ministre fédéral de la Justice, Peter Mackay). La décision Carter de la Cour suprême du Canada, annoncée en mai pour le 14 octobre, déterminera si la loi fédérale interdisant l’euthanasie et le suicide assisté est constitutionnelle. Si on avait su attendre cette décision, on aurait peut-être épargné encore d’autres millions de dollars en dépenses inutiles. Car, à ce jour, il n’a toujours pas été prouvé qu’il existe un droit au suicide ou à l’euthanasie, ni que le droit à la sécurité publique des personnes vulnérables ne serait pas compromis par la levée de l’interdiction de l’euthanasie et du suicide assisté, alors que ces personnes font déjà l’objet de maltraitance institutionnelle et familiale et de pressions sociales pleinement documentées et reconnues (voir, par exemple, les articles 26, 47, 54 et 55 de la loi 52 concernant la possibilité de demandes d’euthanasie remplies par un tiers en cas d’incapacité physique d’écrire).

Ward O’Connor

Crime ou pas, le gouvernement du Québec tient à tuer ses patients...

Laissez un commentaire

J'étais une féministe hédoniste et païenne, haïssant les hommes. Mais maintenant je suis catholique. Voici mon histoire

Comment j'ai trouvé le bonheur là où je m'y attendais le moins.

Par Catherine Quinn (Traduction de Campagne Québec-Vie)

(Photo : Jazmin Million sur wikimédia.org, licence creative commons)

Dans mon enfance, je n'ai pas fait l’expérience de Dieu ni de l'Église catholique. Je savais que mes grands-parents étaient catholiques, mais personne n’en parlait et je ne savais même pas ce que « catholique » signifiait.

À cause de mauvais traitements terribles, j'ai été retirée de chez moi à l’âge de neuf ans. J'ai passé une fin de semaine dans un asile, huit mois dans un orphelinat puis, lorsqu’une place est devenue disponible, j’ai été confiée à une famille d'accueil jusqu'à l’âge de douze ans.

Les tribunaux ont ordonné à ma mère de me prendre, et ce fut la façon dont nous nous sommes rencontrées. Après avoir déménagé chez elle, je suis tombée un jour sur un groupe de chrétiens dans le parc. Ils n'ont rien dit, mais ils m’ont simplement invitée à l'église. Curieuse, j’y suis allée. J'ai rencontré la femme du pasteur et elle m'a parlé de Jésus. À cette époque, je ne savais même pas ce qu'était un protestant. Je ne savais pas non plus ce qu'était un athée, mais quand je suis rentrée et que j'ai parlé de Jésus à ma mère, j'ai découvert tout de suite qu'elle n'appréciait pas Dieu – pas du tout.

Malgré des moqueries continuelles, je continuais d’aller à l’église. J'étais fascinée, et si heureuse en Dieu et j’avais l’espoir de réussir à surmonter mes mauvaises expériences à la maison. Je voulais en savoir plus, coûte que coûte.

À l'âge de quatorze ans, sans aucun avertissement, on m'a dit que j'étais renvoyée à la maison de mon père. Je n’ai même pas eu la chance de dire au revoir à des amis de l'école ou de l'église que j'aimais. Ma mère ne voulait pas être une mère, et j'ai donc été renvoyée.

Chez mon père, je n'avais aucune église, je ne pouvais pas inviter d’amis, et les mauvais traitements continuaient, se transformant en sévices sexuels. 

Cela m'a changée. Je suis devenue fâchée contre Dieu de ce qu’il ne répondait pas à mes prières, de ce qu’il ne m'aidait pas. Je suis devenue en colère contre mon père. J'étais de nouveau malheureuse. À dix-sept ans, je ne pouvais plus en supporter davantage. Alors je me suis enfuie.

J'ai rencontré un groupe de gens qui croyaient en des divinités païennes, ce qui était aussi nouveau pour moi. J’ai ainsi découvert l'idéologie féministe.

Parmi eux, je n'ai jamais ressenti la joie que j'avais ressentie avec Jésus, mais j’étais intensément informée qu'il n'existait pas. Ils m’ont dit que le christianisme était une religion fausse construite sur la foi païenne, et que les femmes y étaient détestées et privées de leur autonomie. Les catholiques, selon eux, étaient les pires des délinquants. On m'a renvoyée à des écrivains comme Simone de Beauvoir, Gloria Steinem, Camille Paglia, etc.

Pour une fille perdue à dix-sept ans, ce fut le début d'une spirale longue et destructrice. Aucune véritable loi morale n’existait. « Ne nuis pas aux autres, mais fais tout ce que tu voudras » était la seule ligne directrice. Mais en fait, même cela n'était pas respecté. Tout était permis. Sans limite. L'homosexualité était correcte, l'immoralité sexuelle était correcte, la contraception était correcte, l'avortement aussi, tout ce qui vous rend heureux. En outre, les modes de vie traditionnels étaient désapprouvés.

Les femmes ne se soutenaient pas les unes les autres, mais systématiquement et régulièrement détruisaient les autres, tout en souscrivant à un régime matriarcal. Les hommes devenaient de moins en moins nombreux. Le divorce, les relations ouvertes et beaucoup d'autres choix étaient la norme. Les conséquences n'étaient pas le moindrement prises en compte, les règles ne s'appliquaient pas, et rien ne vous était demandé. C'était un paradis hédoniste.

Par la seule grâce de Dieu, je n'ai pas participé à beaucoup de ces choses, mais je les ai vues sur une base continue. Et j'ai lentement commencé à croire le mensonge, avec des conséquences désastreuses pour mon âme, ainsi que ma santé mentale et émotionnelle.

À 34 ans, après environ 20 ans dans cette voie, je suis tombée sur les écrits de Margaret Sanger. Ils m'ont fait me sentir malade. Je n'avais jamais été d'accord avec la contraception ou l'avortement. L'eugénisme qu’elle prônait et son regard sur les femmes qui ont choisi de rester avec leurs enfants s’opposaient à ma façon de penser. C'est alors que j'ai enfin commencé à me détacher lentement.

J'ai regardé ma vie et je n'étais pas heureuse. Je ne grandissais pas, je me sentais seule.

Quand je regardais autour de moi, personne ne semblait aimer réellement l'autre. Ce n’étaient que luttes intestines d'egos, chaque femme agissant pour elle-même. J'ai commencé à remettre en question l'idéal féministe. Je me suis rappelée de mon temps avec Jésus lorsque j’étais enfant et je me suis souvenue avec tristesse à quel point j'avais été heureuse, malgré les circonstances autour de moi. J'étais « émancipée » maintenant, mais je me sentais seule et malheureuse.

J'avais développé une haine des hommes, du patriarcat et de ce que je pensais que les catholiques représentaient. Je croyais qu'ils étaient des voleurs et des oppresseurs de femmes. Ils étaient la pire espèce et j’avais juré que jamais je ne m’approcherais d’eux.

Étant passionnée d’histoire, je me posais des questions à propos d’Henry VIII. Je ne pouvais pas croire que quelqu'un d’aussi terrible réputation ait vraiment pu être si mauvais. Il devait avoir un peu d'humanité quelque part, non? J'ai décidé de creuser et de trouver. J’étais convaincue qu’il avait été calomnié.

Au cours de ces recherches, j’ai finalement pris conscience de ce qu’était le protestantisme; du moins, c’est ce que j’ai pensé. Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi Catherine d'Aragon ou toute femme qui se respecte pouvait tolérer son comportement. Puis j'ai découvert qu'elle était catholique et j’ai eu un mouvement de recul. Cependant, pourquoi était-elle aussi inébranlablement fidèle à une église oppressive qui haïssait les femmes?

J'ai continué à creuser et j’ai été extrêmement surprise de constater que les enseignements de l'Église catholique concernant les questions de justice sociale, la contraception et l'avortement correspondaient à mes convictions. J'ai également été très surprise de découvrir leur point de vue sur Marie, les femmes et l'importance de la cellule familiale traditionnelle. J'ai commencé à ressentir quelque chose que je ne pouvais pas décrire, mais j’ai résisté. Et puis, il y avait Jésus au centre de tout. J'étais si heureuse de savoir que Jésus s’y trouvait. Une année s’est écoulée sans même que je le remarque et j'avais laissé derrière mes anciens amis pour cette nouvelle information.

Finalement, j'ai décidé que je voulais savoir ce que la messe signifiait vraiment. Pendant tout ce temps, une église catholique se dressait au bout de ma rue. Je l'avais regardée sérieusement pendant un an, mais je n'en avais jamais franchi le seuil. Finalement, un jour, je suis entrée, juste au moment où l’on s'apprêtait à célébrer une messe. C'était le jour de Pâques 2011. Je regardais, fascinée. Je contenais mes émotions, je retenais mes larmes. Et je recommençais à sentir cette attraction.

Je suis rentrée chez moi. Je continuais de me poser des questions. Enfin, un jour, j’ai fait irruption dans un bâtiment à l'arrière de l’église, j’ai couru droit à une femme qui m’a demandé ce que j'étais venue chercher. Je lui ai dit que j'avais besoin d’instruction religieuse. Elle s’est mise à rire, m'a informée qu'elle était la directrice de l'éducation religieuse et m’a inscrite au cours d’initiation chrétienne pour adultes (RICA).

Le curé est venu me parler et il m’a dit : « Je n'ai jamais entendu parler auparavant de quelqu'un qui soit venu à l'Église grâce à Henry VIII », et il m'a remis un livre à emporter à la maison.

Dès le début, j’ai aimé énormément les cours. J'ai fait connaissance avec le curé de ma paroisse et avec un couple qui m’a parrainée.

Au lavement des pieds, j'ai pleuré en silence. J'ai rencontré notre évêque et j'ai pleuré de nouveau.

L'Église était l'inverse de tout ce que j'avais pensé d’elle.

Quand j'ai annoncé que j’allais entrer dans l'Église, mes amis étaient atterrés et ma mère a dit : « Pourquoi veux-tu faire une chose pareille? », mais mon mari m'a apporté mes premières statues de Marie et de saint Jude.

À mon baptême, le 7 avril 2012, j'ai été si heureuse que j'ai pleuré. J'ai ensuite passé du temps seule avec le corps de Jésus et j’ai pleuré de gratitude. Après toutes mes années de recherche de la vérité, je l'avais trouvée.

Au temps où je n'étais pas baptisée, on m’avait enseigné de faire tout ce que je voulais. J'ai passé des années en colère, obstinément rebelle dans mon droit de choisir en tant que féministe et païenne. Maintenant, j'ai choisi d'être baptisée dans l'Église de Dieu. J'y ai gagné une famille dans le monde entier.

Étonnamment, mon mari vient de s’inscrire aux cours de RICA. Ma mère dit enfin qu’un Dieu existe et lit la Bible. Mon fils a été béni et le prêtre qui m'a baptisée a célébré pour lui des funérailles catholiques.

J'ai finalement retrouvé mon ami Jésus, dans sa plénitude et son origine absolues.

J'ai appris la valeur et la vraie beauté d'être une femme. Dans le sens le plus pur, j'ai découvert mon vrai droit de choisir. J'aime mon Église. J'aime ma famille. J'aime ma paroisse. J'aime mon curé. Et je suis très, très reconnaissante d'être à la maison.

Catherine Quinn est phlébotomiste et technicienne de laboratoire. Mariée depuis près de quatre ans, elle est mère d'un enfant au ciel et conseillère de trottoir.

 

Laissez un commentaire

Magnifique vidéo sur l'adoption

À voir. « Cette vidéo a été inspirée d’une histoire vraie qui s’est déroulée dans un orphelinat en Iraq pendant la guerre. »

//www.youtube.com/embed/dsf_z4urc4s

« Certains d’entre nous, à l’opposé des plus privilégiés, ne désirent simplement qu’une seule chose : l’amour d’une mère. Aimez, et soyez aimé inconditionnellement. Adoptez un enfant. » (texte à la fin du vidéo)

Laissez un commentaire