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La revue gay Fugues fait pression sur les pharmacies Jean Coutu

(Photo : Greg Hickman sur wikimédia.org, licence creative commons)

Le groupe Jean Coutu désirait retirer des présentoirs à l'entrée de ses magasins, la revue Fugues qui regroupe des articles et de l'érotisme gay. Ce faisant, la chaîne de pharmacies respectait les nombreuses familles clientes de la chaîne et ne voulant pas que leurs enfants soient agressés à l'entrée de la pharmacie. Mais les menaces de la revue Fugues selon lesquellesu la pharmacie perdrait la clientèle gay l'ont fait revenir sur sa décision. Sur le site de Fugues du  21 août 2014, à lire, l'article en entier, dont voici le début :

Moins d’une semaine après la tenue à Montréal, des célébrations de la Fierté LGBT, l’un de nos distributeurs nous a fait savoir que le Groupe Jean Coutu désirait interdire dorénavant la distribution du magazine Fugues dans les présentoirs du distributeur, placés dans dix-huit pharmacies de la chaîne. Le prétexte évoqué par Patrice Caron, directeur principal des Opérations détail du Groupe Jean Coutu, est que Fugues serait un magazine sexuel… voire érotique. En discutant avec ce dernier, j'ai constaté, malgré la politesse de nos échanges, que l'entreprise avait une vision très (très) conservatrice — voire passéiste — de la réalité d’aujourd’hui ainsi que de sa clientèle. M. Caron et son employeur semblent oublier qu’environ dix pour cent de leurs clients sont des gais, des lesbiennes, des bisexuels ou des trans (LGBT) et que près de 2000 d'entre eux se procuraient Fugues à chaque mois, via Jean Coutu depuis plus de douze ans.

(...)

Il faut rappeler à la revue que le 10 % (statistique donnée par Kinsey il y a plus de 50 ans) mentionné de la population qui serait homosexuelle est faux selon les dernières données de Statistiques Canada. On parle plutôt de moins de 2 % de la population. Voici la réponse du groupe Jean Coutu :

Le Groupe Jean Coutu souhaite assurer à la communauté que le magazine Fugues continuera d’être distribué dans les succursales de son réseau. Le retrait envisagé n’émanait pas d’une décision corporative. Nous nous excusons sincèrement auprès de la communauté  lesbienne, gaie, bisexuelle, transsexuelle et transgenre (LGBT) ainsi qu’à tous ceux et celles qui ont pu être offensés par cette situation.

Si vous êtes « offensé de la situation » ne vous gênez pas pour le faire savoir au groupe Jean Coutu :

Le Groupe Jean Coutu (PJC) inc
530, rue Bériault
Longueuil (Québec) J4G 1S8
Téléphone : 450 646-9760
Fax : 450 646-0550

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Cancer du sein : il reste peu de temps pour s'inscrire au recours collectif contre Pfizer

Sur le site de Radio-Canada du 22 août 2014 :

(Photo : Office of gouvernor Patrick sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Les Canadiennes qui ont développé un cancer du sein après avoir pris les hormones Premarin et Premplus, destinées à réduire les symptômes de la ménopause, ont jusqu'à lundi pour s'inscrire au recours collectif qui sera entendu cet automne.

Le recours collectif vise l'ancienne pharmaceutique Wyeth, maintenant propriété de Pfizer.

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Ne jamais regretter le passé ? Vraiment ?

Une vidéo qui, même si elle affirme qu'il ne faut pas regretter le passé, nous montre une réalité tout à fait regrettable : 

//www.youtube.com/embed/G-sRSOfIg3E

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Les grandes familles pro-vie déplacent le débat

Un article du bostonglobe.com du 10 août 2014 :

(Photo  : Joe Shlabotnik sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Bien que les opinions pro-choix sont devenues plus fréquentes à partir des années 1960 jusqu’aux années 1980, la tendance semble avoir atteint un plateau et peut-être même être inversée dans les deux dernières décennies, en particulier parmi la jeune génération, en dépit de la libéralisation des attitudes à l'égard d'autres questions sociales. Les sociologues de l'Université Northwestern affirment que c'est au moins en partie le résultat d'individus pro-choix ayant moins d'enfants, ce qui, étant donné que la progéniture a tendance à adopter les attitudes de leurs parents, laisse moins d'individus pro-choix dans la prochaine génération. (…)

Kévern, A. & Freese, J., « différentiel de fertilité comme facteur déterminant de tendances de l'opinion publique à propos de l'avortement aux États-Unis, » la Northwestern University (juillet 2014).

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Pour Richard Dawkins, il faut avorter tous les enfants trisomiques.

Sur le blog de Jeanne Smits du 20 août 2014 :

(Photo : Shane Pope sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

 

Grand athée devant l'Eternel, spécialiste de l'évolution et de l'éthologie, professeur émérite de l'université d'Oxford, Richard Dawkins vient de déclencher une tempête sur twitter en écrivant qu'il serait « immoral » de ne pas avorter un enfant atteint de trisomie 21, rapporte LifeSiteNews. (...)

Une femme lui écrit : « Je ne sais pas honnêtement ce que je ferais si j'étais enceinte d'un enfant atteint de trisomie 21. Un vrai dilemme éthique ». Réponse de Dawkins : « Avortez et essayez de nouveau. Il serait immoral de le mettre au monde si vous avez le choix. » (...)

Selon la logique utilitariste de Dawkins, une autre question pourrait se poser : Est-il plus « immoral » de laisser vivre un enfant handicapé, ou un futur « scientifique » sans coeur et sans raison?

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La mère blogue ? Aucun bon sens...

Sur le site  du journal La Presse du 21 août 2014, un article de Louise Leduc :

(Valérie Gatto, Miss Pensylvannie 2014, née d'un viol, donne son témoignage...)

 

 

Âgée de 24 ans, une femme sans papiers tombe enceinte à la suite d’un viol. Elle demande un avortement, évoquant avoir des idées suicidaires. (...)

L’hôpital pratiquera une césarienne, à 25 semaines de grossesse. «L’enfant, un petit garçon, reçoit des soins pour prématurés et est placé», est-il écrit dans l’article. (...)

Voila la façon la plus humaine d'agir dans ces circonstances et l'hôpital irlandais a bien pris soin de la mère et de l'enfant. Mais notre journaliste québécoise est déçue. On a pas avorté l'enfant! Peut-être aura-t-il des séquelles? Comme il aurait mieux valu pour son bien le démembrer et le jeter à la poubelle... Mais à quoi ont pensé ces médecins qui l'ont laissé vivre ?

Pour faire réfléchir Mme Leduc, voici quelques témoignages d'enfants nés du viol :

Dites-moi en face que je n'aurais jamais dû vivre!

-D'un viol horrible, un « diamant brut » inestimable : l'histoire de Monica

Miss Pennsylvanie 2014 : née d'un viol, elle donne son témoignage...

Et des témoignages de femmes violées :

Un témoignage sur un viol et... une grossesse

-Et ce témoignage :

L’incitation à l’avortement est énorme. Aujourd’hui, on attend d’une femme violée tombant enceinte qu’elle avorte. Tout autre alternative semble inconcevable, voire même insensée. Lorsque je suis tombée enceinte après avoir été violée, les pressions de la société ont été si fortes que je n’ai pu leur résister. Toute personne incitant à l’avortement ne pense pas à l’avenir d’une femme violée. Avec le recul, je constate que l’avortement n’a pas été un bon choix: en plus du viol, je me suis chargée de la responsabilité de  l’avortement de mon propre enfant. Une femme violée devrait pouvoir bénéficier d’un soutien psychologique et matériel pour mieux accepter l’enfant innocent qu’elle porte contre son gré. A long terme, il est certainement plus facile d’accepter un enfant issu d’une telle tragédie que de vivre avec un avortement sur sa conscience. Inciter une femme violée à avorter est une alternative qui ne fera qu’amplifier sa souffrance.

Conseiller l'avortement après un viol? De la bêtise pure...

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Élections scolaires le 2 novembre, impliquez-vous!

(On trouve de tout dans les bibliothèques scolaires...)

(Photo :  Réseau des médiathèques de Clamart sur flickr.com, licence creative commons)

Il est important de s'impliquer dans les différentes commissions scolaires pour faire valoir votre point de vue et protéger les enfants de la théorie du genre, du relativisme du cours ECR, du désir de ramener les cours de fornication à l'école.

Il faut promouvoir une éducation à l'amour et à la responsabilité, un sens de la vie qui ne soit pas matérialiste, etc...

Pour connaître comment vous présenter comme candidat :

http://www.electionsscolaires2014.com/accueil/

Et la page facebook de protégeons nos enfants, pour vous motiver!

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Les adolescentes qui subissent l'avortement sont plus à risque d'être stériles...

Sur le site allo-médecins.fr :

(Photo :  Nathan Csonka Photography sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

Les jeunes filles qui ont avorté rencontrent davantage de risques de complications immédiates et de risques de stérilité à long terme par rapport aux adolescentes ayant mené leur grossesse à terme.

Ainsi il y a un risque plus élevé de maladie inflammatoire pelvienne (MIP) et un risque d'endométrite 2,5 fois plus élevé. Ces complications augmentent les risques :

-de stérilité ;
-d'hystérectomie ;
-de grossesses extra utérines ;
-d'autres complications sérieuses.

Ce que les cliniques d'avortement ne disent jamais à une adolescente, avant son avortement...

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Transsexualisme : les interventions médicales pour « rectifier » le sexe sont-elles justifiables?

(Photo : Austin Samaritans sur wikipédia.org, licence creative commons)

La nouvelle mode que l’on tente d’imposer au Québec est celle du transsexualisme. Il faut maintenant inculquer aux enfants qu’ils peuvent se construire une sexualité sur mesure et que la gent thérapeutique doit répondre à leurs attentes en leur donnant le sexe qu’ils croient avoir, si ce dernier ne correspondait pas aux indications biologiques et génétiques de leur corps.

Des hommes veulent être des femmes et vice-versa.

Et il serait bénéfique de répondre à cette demande.

Dans les pays libres, beaucoup de scientifiques ne partagent pas cet avis. Le professeur de bioéthique Elio Sgreccia explique leur position dans son Manuel de Bioéthique, aspects médico-sociaux, paru il y a un peu plus d’une année (ces extraits parlent ici de transsexualisme et non d’intersexualité que l’auteur traite à part). Voici quelques brefs extraits de ces explications en réponse aux arguments en faveur de l’opération chirurgicale :

1-Le caractère légitime de la thérapie chirurgicale n’est pas soutenable en raison simplement de l’irréversibilité du malaise psychique. (…)

Prenons comme hypothèse qu’il s’agit d’irréversibilité prouvée. Le principe moral de la « thérapeucité » exige des conditions précises pour pouvoir être légitimement appliqué. Ces conditions sont : que l’intervention ait un pourcentage de succès conséquent, que l’intervention soit vraiment thérapeutique dans le sens qu’elle soit dirigée vers le bien physique en éliminant une partie malade, que l’intervention remédie à une situation actuelle non curable autrement. Or ces conditions dans notre cas ne se vérifient ni simultanément – comme il serait moralement requis – ni singulièrement.

Il faut rappeler que du point de vue technique, destructif-reconstructif, ce traitement de « rectification du sexe » chez le transsexuel est pratiqué selon différentes phases successives; avant tout, on procède à une thérapie hormonale qui influence certains caractères externes de la sexualité (configuration externe des mamelles);  ensuite, on pratique une psychothérapie prédisposant à la féminisation – cas le plus fréquent – en l’accompagnant par le travestissement des habits du nouveau sexe, enfin, on pratique l’intervention de destruction-reconstruction des organes génitaux externes. L’intervention réussit apparemment dans le cas plus fréquent de la féminisation du transsexuel homme. Cette dernière phase comporte la mutilation des organes génitaux masculins, la castration, la stérilisation et la privation d’une véritable fonction d’accouplement et de procréation.

Or on comprend que, comme il a déjà été dit précédemment, pour la finalité du « changement », l’intervention sur le physique n’adapte pas le sexe à celui que l’on veut, au contraire, elle introduit une nouvelle dystonie dans le physique entre les éléments chromosomiques gonadiques et les organes extérieurs; ceux-ci ne manquent pas d’une totale innervation « proprioceptive » et restent des prothèses artificielles et non pas des organes de sens et d’expression émotionnelle et fonctionnelle.

L’aspect psychologique non plus n’est pas satisfait car les troubles augmentent et les sujets, qui précédemment étaient proches d’une solution au conflit, quand celui-ci ne se réalise pas, soit parce que l’adaptation physique n’est pas « ressentie » comme satisfaisante, soit à cause de la répulsion de l’éventuel partenaire, en arrivent souvent au suicide.

(…)

On peut affirmer que, dans ce cas, on intervient sur la partie physiquement non malade, mais saine, car l’organisme sexuel du transsexuel est physiquement intègre, pour rechercher un résultat sur le plan psychologique personnel, que, du reste, on n’obtient pas; manque donc la possibilité d'appliquer au cas le principe de « l’intervention thérapeutique » ayant pour but l’obtention d’un bien supérieur, qui devrait en outre, se noter aussi sur le plan physique. L’irréversibilité du mal et le fait de « ne pas être autrement remédiable » ne peuvent être invoqués, parce que, en plus de la persistance du trouble malgré le traitement psychothérapeutique – qui, selon la plupart des recherches, n’obtiendrait aucun résultat —, le trouble n’est pas éliminé, mais aggravé. (p. 174-176)

(…)

Il apparaît scientifiquement prouvé que l’exécution de l’opération chirurgicale ne permet pas de dépasser la conflictualité précédente et de créer une harmonie avec le nouveau sexe, elle semble même aggraver le sentiment de frustration. « En passant à l’évaluation des conséquences des interventions, il faut considérer avant tout de manière réaliste que même l’opération la plus parfaite ne réalise jamais une véritable mutation du sexe. La persistance de la prostate et des vésicules séminales chez le transsexuel homme et l’impossibilité d’un accouplement physiologique avec un pénis postiche chez la transsexuelle femme ne peuvent remplacer les organes génitaux féminins et masculins.

Le pseudo-vagin est seulement un simulacre d’organe féminin, même s’il est adapté à l’accouplement, tout comme l’est encore plus le pénis postiche : si bien que, malgré toutes les argumentations que l’on peut ajouter, on ne peut soutenir que, du point de vue anatomique, le sexe soit changé.

Au contraire, comme on l’a souligné, on obtiendra des sujets plus anormaux qu’avant. En effet, tandis qu’antérieurement à l’opération, le contraste se limitait à la dissociation entre soma et psyché, après l’opération, il se complique car on a dans le même soma un contraste entre éléments d’un sexe (organes génitaux externes adaptés) et éléments de l’autre sexe (chromosomique et même hormonal). (p. 173)

 Nous ne traiterons pas dans cet article de la théorie du genre selon laquelle « la base de la sexualité, sa composante prioritaire et sa détermination spécifique, sont à trouver dans la psyché; (…) », argument pouvant être utilisé pour défendre l’intervention chirurgicale.

Screggia traite de cette question (p. 177 à 180), nous nous contenterons de rappeler que :

 « le corps humain dans son objective conformation et signification de masculinité et féminité exprime « objectivement » l’attitude de toute la personne et pas seulement son aspect physique extérieur ou provisoire. (…) Le corps révèle l’homme, exprime la personne. » (p.178)

On ne peut donc réduire à de simples dynamismes psychiques ni à des « stéréotypes » de type culturel, les concepts de féminité et masculinité : ces dimensions sont objectives et corporellement significatives.

Il est vrai que la sexualité, masculine et féminine, est sujette à une dynamique de croissance et de développement, qui est fruit de maturation organique et psychologique et est aussi accompagnée d’influx culturels; on a aussi constaté que, durant ce développement, peuvent se vérifier des difficultés et, parfois, comme dans notre cas, des anomalies. La sexualité reste donc une tâche et une vocation, et la croissance peut révéler des cas de pathologie, comme pour tous les autres aspects de l’organisme humain. Dans ces cas, le remède se trouve dans la correction – quand c’est possible – de ce qui est déviant et non pas dans la suppression de ce qui est de difficile harmonisation, mais représente la constitution indicative de l’être personnel. (p. 179)

(SGRECCIA, Elio. Manuel de Bioéthique T.2 Aspects médico-sociaux, éd. Mame/Desclée, Paris, 2012, 832 p.) 

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Qu’est-ce que la déviance sexuelle?

(Photo : Pixabay, Public Domain CCO)

C’est un terme devenu interdit au Québec, sous la dictature de la pensée unique. Pourtant, dans la majorité des pays libres, le terme est toujours utilisé.

Par exemple, un tout récent manuel de bioéthique paru en 2012, ne craint pas de le reprendre :

« On définit comme déviations ces situations dans lesquelles le sujet choisit un « objet » d’amour qui dévie de la normale » (SGRECCIA, Elio. Manuel de Bioéthique T.2 Aspects médico-sociaux, éd. Mame/Desclée, Paris, 2012, p.155)

Et d’identifier ces déviations, que l’auteur distingue des perversions sexuelles :

-Le transexualisme                                    

-Le Travestisme

-La Bisexualité

-L’Homosexualité

Les scientifiques peuvent se permettre d’utiliser « scientifiquement » le langage en utilisant la définition même du mot et non pas ce qu’il représente à l’esprit des gens.

 

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