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Des partenaires de même sexe demandent la rééducation des employés d'un bar de Québec...

William Kelly et son partenaire de même sexe sont outrés de s'être fait montré la porte par le portier du bar Le Boudoir, de Québec. Le propriétaire du bar donne sa version des faits, sur le site du journal Le Soleil du 12 août 2014 :

(Photo : Clock sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

Yan Bouchard, dit avoir eu une tout autre version de l'incident en discutant avec ses employés présents ce soir-là.

«Premièrement, il y a eu énormément de démonstrations pendant qu'ils dansaient», explique M. Bouchard. «Mon portier leur a dit de se garder un peu de gêne et l'homme qui les accompagnait a poussé mon portier», continue-t-il, «les policiers sont venus et le conjoint de M. Kelly a été très désobligeant envers eux»

M. Kelly, peu satisfait de la réponse du propriétaire qui ne confirme pas clairement « l'homophobie » du portier, affirme :

«Si c'était arrivé à Ottawa, le bar aurait pris l'affaire beaucoup plus au sérieux. Il y a clairement un besoin de formation de personnel.»

M. Olivier Poulin, directeur général de l'Alliance Arc-en-ciel de Québec, déclare également de son côté :

«Comment gérer la clientèle homosexuelle pourrait faire partie de la formation des portiers.»

Voulant faire cesser toute publicité négative envers son bar, le propriétaire a décidé de congédier son portier (sur le site du journal Le Soleil du 12 août 2014) :

 «C'était la chose à faire», poursuit-il, visiblement déçu des proportions qu'a prises l'incident. «C'est un peu le résultat de tout ça. Je n'avais pas d'autres choix.»

Nouveau commentaire d'Olivier Poulin, concernant ce congédiement :

«L'important, c'est que l'établissement reconnaisse la gravité de la situation et qu'on s'assure que ça n'arrive plus»

La chasse aux sorcières poursuit son cours...

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Le Ministre de l'éducation Yves Bolduc favorable à la propagande LGBT dans les écoles

Sur le site du journal Le Devoir du 13 août 2014 :

(Nous avons des regards d'enfants à protéger...)

(Photo : Saveoursmile (Hery Zo Rakotondramanana) sur wikipédia.org, licence creative commons)

 

Le ministre de l’Éducation, Yves Bolduc, ne voit pas d’objection à ce que la littérature jeunesse traitant de diversité sexuelle soit enseignée dans les classes. (...)

« Les gens ont peur qu’on fasse la promotion de ce modèle. On ne le fait pas, on dit juste que ce sont des modèles tout à fait normaux. » (...)

Dire que c'est « normal », c'est prendre position et faire oeuvre de propagande. Le respect dû aux personnes n'implique pas que l'on approuve tous les comportements.

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Robin Williams : le Carpe Diem (cueillir le jour) n'a pas suffi...

(Robin Williams ou le désespoir d’une vie sans but ?)

 

(Photo : Eva Rinaldi sur wikipédia.org, licence creative commons)

 

Était-ce vraiment sa pensée ou bien seulement des scénarios de film? Plusieurs des films de Williams laissent transparaître sous le rire (Good Morning Vietnam) et la poésie (Le cercle des poètes disparus), une absence de sens de la vie qui la transforme irrémédiablement, quel que soit le discours plus ou moins jovialiste, en un drame profond. C’est peut-être le film moins connu de Williams, Le secret du bonheur, qui révèle le mieux ce désespoir d’une humanité recherchant le bonheur mais incapable d’y parvenir.

Dans ce film, Robin Williams joue le rôle d’une même personne vivant à différentes époques de l’humanité. Voici le synopsis :

L'existence humaine relatée à travers le personnage d'Hector, transposée dans divers lieux et à différentes époques :
— Aux temps préhistoriques, Hector se fait ravir sa femme et ses deux filles.
— À l'époque de l'Antiquité, il est l'esclave d'un marchand romain.
— Au moyen âge, il est un fugitif qui se retrouve en terre inconnue, en temps de guerre.
— Quatre siècles plus tard, il est un des survivants d'un équipage portugais.
— Dans les temps modernes, il est un homme divorcé, père de deux enfants, à New York.

Robin Williams y incarnait l’impossibilité du cœur humain de trouver à la fois le sens de la vie et un bonheur qui le comblerait.

Sous le rire, il y avait toute la tristesse de cette absence de sens.

Comment vivre alors? Le Carpe Diem (Cueillir le jour, l'instant...) du professeur de poésie du film Dead Poet Society, n'était qu’une autre illusion à se raconter, comme si l’on pouvait trouver la moindre satisfaction en une vie en tout point absurde et se terminant avec la mort.

Si la mort a le dernier mot, il faut effectivement tenter de jouir de la vie en oubliant la réalité de cette mort, jusqu’au jour, jusqu’à l’âge où il ne nous sera plus possible de l’oublier. On dira alors que notre qualité de vie n’est plus suffisante pour vivre, que notre état de dépendance ne nous permet pas de partir dans la dignité qui consiste à ne pas faire souffrir les autres, à ne pas être un poids pour eux.

Est-ce que la philosophie des films de Williams a eu un rôle à jouer dans sa souffrance existentielle?

Le talent de Williams a servi cette philosophie, et la culture est le moyen de faire pénétrer dans la population les idées qu’elle ne prendrait pas la peine de lire dans des sommes encyclopédiques.

L’existentialisme athée, le matérialisme, est un préalable à toute forme d’euthanasie.
Robin Williams, accablé par la souffrance, la drogue et semble-t-il par la maladie mentale, a choisi la forme du suicide.

Espérons que la fin malheureuse du « Captain » fera remettre en question tous ceux qui avaient pris les conseils de Williams dans ses films, comme des paroles d’une sagesse précieuse.

Et de se souvenir de ces autres paroles, d’un véritable sage :

« … Ceux qui ne vous parlent que de spontanéité, de facilité, vous trompent (…) » (Karol Wojtyla)

Carpe Diem? Cueillir le jour? Cela ne suffit pas pour vivre…

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En France, une nouvelle manif pour tous est en préparation


Un ralentissement économique mondial causé par le vieillissement de la population selon Moody's

Sur le blog de Jeanne Smits du 12 août 2014 :

(Photo : Candida Performa sur wikipédia.org, licence creative commons)

 

 

Le groupe de recherche sur le crédit global de l’agence de notation Moody’s a publié en juillet un rapport spécial sur le vieillissement planétaire « sans précédent » qui aboutira selon lui à un ralentissement global de la croissance au cours des deux décennies à venir.

(...)

Sur les 112 pays dont Moody’s a analysé la démographie, bien plus de la moitié – 68 – seront dès l’an prochain au nombre des « vieillissants », 34 « vieux » ; les « super-vieux », où plus de 20 % de la population ont 65 ans et plus, seront cinq. Sur ces cinq, l’Allemagne, l’Italie et le Japon le sont déjà ; ils seront rejoints par la Finlande et la Grèce. (...)

Et d'ici 10 ans, le Canada fera partie du lot. On retrouve sur le blog de Jeanne Smits un tableau à consulter sur les perspectives de vieillissement des différents pays.

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Voulez-vous partir, vous aussi? Suivre le Christ... ou l'abbé G. ?

(Photo : Len Matthews sur flickr.com, licence creative commons)

La question du Christ vient juste après un enseignement que la majorité de la population ne veut pas entendre…

Elle est toujours vraie.

Le Christ, modèle de compassion, n’a jamais dilué son message ou caché la vérité pour devenir populaire.

Les prêtres que nous connaissons au Québec sont dévoués et près des gens. Les religieux et religieuses prient pour les besoins de leurs contemporains ou ont fondé des œuvres de charité où ils s’impliquent toujours.

Les médias veulent opposer ces chrétiens, près des gens et à leur service, avec leur modèle de pasteur chrétien, celui qui s’oppose à l’enseignement du Christ transmis par son Église et promeut son évangile personnel qui ne remettra pas en question les choix de vie et chacun.

« Voulez-vous partir, vous aussi? » Quand on dit exactement ce que les gens veulent entendre, on ne pose jamais cette question…

Tant de prêtres, religieux et religieuses près des gens. Un seul présenté comme l’étant parce qu’il a dit ce que les gens ayant quitté le Christ, en désaccord avec ses demandes, voulaient entendre.

Le Christ n’a jamais séparé la vérité de la charité. Sa vie s’est terminée sur une croix. Pas au milieu des louanges publiques de tous ceux qui refusent la place de Dieu dans leur vie et dans la société.

Que cherchons-nous, Québécois? Faire la volonté de Dieu? Ou qu’il conforme sa volonté à la nôtre?

On ne peut juger du coeur de l'abbé Gravel. Ce jugement revient à Dieu.  Mais du phénomène de récupération des médias de l'abbé Gravel, cela oui, on peut questionner cette admiration proclamée envers une personne, pour ne pas dire un discours...

Que l'abbé Gravel repose en paix. Maintenant, le mythe de l'abbé Gravel prend naissance chez nos médias, celui dont chacun témoigne dans le monde qu'il voudrait faire partie de son église...

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Une autre lettre d'indignation envers la façon de traiter la question de l'avortement à Radio-Canada...

(Photo : Molson et Radio-Canada, ou quand un certain traitement déplorable de l'information vous donne le goût de boire...)

(Photo : Charles Hoffman sur flickr.com, licence creative commons)

Nous avons reçu une copie de cette lettre :

Au responsable du service des nouvelles de R D I

Bonjour,

     Hier, le 8 août 2014, je regardais une partie de votre émission qui inclut une période de questions.  Il était environ 1 heure de l’après-midi.  Le sujet débattu était l’avortement.

     Vos deux invités en studio étaient deux mordus de l’avortement – une dame responsable d’un certain mouvement féministe et un médecin (disons-le vite) avorteur.  Évidemment, ces deux invités se complaisaient à justifier la destruction de l’enfant à naître par l’avortement.

     J’ai trouvé cette émission particulièrement BIAISÉE.  Comment voulez-vous discuter d’un sujet quand vos invités ont la même idée – quand l’opinion opposée à l’avortement n’est pas représentée ?   Nous avons assisté tout simplement à une publicité en faveur de l’avortement.  J’ajoute aussi que les arguments (lavage de cerveau ?) utilisés par ces deux invités pro-avortement en réponse aux commentaires de l’auditoire étaient parfois évasifs. 

    Je tiens à savoir pourquoi vous avez invité deux personnes en faveur de l’avortement à votre émission et personne pour défendre le point de vue du respect de la vie des enfants à naître.  Votre émission n’est donc qu’une propagande en faveur de l’avortement – et à mon avis une moquerie faite à ceux qui croient à la vie de l’enfant à naître.  Donc, j’attends une réponse à ma question – c’est évidemment important.  Merci.

        

 

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L’abbé Raymond Gravel : entre le discours et la réalité sur la fin de vie, les soins palliatifs et l’euthanasie…

(Simon Durivage a animé une émission où les hommages à l'abbé Gravel furent élogieux)

(Photo : Asclepias sur wikipédia.org, licence creative commons)

Radio-Canada est heureuse de récupérer le discours de l’abbé Gravel pour pouvoir miner le discours de l’Église catholique « de l’intérieur ». Lors d’une entrevue avec Anne-Marie Dussault où l’abbé Gravel déplorait les revendications financières contre l’Église, l’animatrice, vivement contrariée, exprimait sa déception que l’abbé Gravel n’attaque pas encore l’Église. Elle devait se demander si elle allait le réinviter, ou si la chaîne télé devrait se trouver un autre saboteur interne du message du Christ transmis par son Église, à promouvoir et à transformer en vedette.

Les médias nous repassent constamment le message de l’abbé Gravel approuvant l’euthanasie par peur de son cancer des os. L’abbé Gravel affirmait avoir peur de souffrir et que si c’était le cas, il laissait la porte ouverte à l’euthanasie.

Ce que Radio-Canada ne montre surtout pas, c’est que l’abbé Gravel affirmait dans les dernières semaines ne pas souffrir, grâce à l’excellence des traitements reçus.

Et il n’a alors jamais réclamé l’euthanasie.

Comme toutes les personnes ne connaissant pas les ressources de la médecine, il a répété et applaudi aux propos erronnés de la ministre Hivon, affirmant que 5 % de la population ne pouvait être soulagée, même par les meilleurs soins, alors que ce 5 % correspond en fait aux personnes qui ne peuvent être soulagées par la médication habituelle, mais sont alors plongées dans un sommeil profond qui les soulage de toute souffrance. Pour un résultat de 0 % des personnes en fin de vie qui souffrent dans les maisons de soins palliatifs.

Cela, jamais Radio-Canada et l’ex-ministre péquiste ne le diront. L’abbé Gravel a témoigné par sa vie, lui qui avait un cancer des os en phase terminale, lui qui était ouvert à l’euthanasie, qu’elle n’était pas nécessaire pour soulager sa souffrance.
Comme pour tous les patients, l’euthanasie est totalement inutile et la quasi-totalité des soignants en soins palliatifs confirment qu’ils n’en ont absolument pas besoin pour soulager les patients.

Après des paroles désastreuses, la fin de vie de l’abbé Gravel témoigne contre ses propres paroles et contre l’euthanasie. Ne comptez pas sur Radio-Canada pour relever cette évidence…

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Lettre à Radio-Canada

Nous avons reçu une copie de cette lettre envoyée à Radio-Canada :

(Photo : Chicoutimi sur wikipédia.org, licence creative commons)

 

 

Bonjour!

J’ai écouté votre émission ce midi.  Dommage que je ne puisse pas l’écouter en reprise. Il y aurait tant à commenter sur ce qui a été dit par vos invités.

L’animatrice a posé de bonnes questions mais quelle déception de constater
que vos deux invités étaient pro-choix. On ne peut parler d’un débat d’idées quand les invités ont la même opinion.

Quand vous ferez des reportages sur l’avortement, cessez de nous montrer Chantal Daigle ou Morgentaler prêchant pour le libre-choix.  Montrez-nous l’autre côté de la médaille, des photos d’enfants avortés à différents stades, en particulier les victimes d’avortements tardifs. C’est très injuste la manière dont vous traitez le sujet. Vous ne faites jamais de reportages sur les méthodes d’avortements, les instruments utilisés (bistouris, pinces etc.) et le résultat de ces méthodes.  Aussi que fait-on avec les bébés avortés?  Sont-ils vendus par pièce ou incinérés?  Voilà des questions que je me pose.

J’ai été bouleversée d’entendre le Dr Paquin dire sur un ton rempli de désinvolture qu’il avait envoyé une avocate enceinte de 31 semaines se faire avorter aux États-Unis chez le Dr Tiller. Ensuite, il a répété qu’il fallait faire confiance aux femmes.  Cet enfant était viable. Cette femme a commis un infanticide. Ce type d’avortement est seulement accepté au Canada et dans quelques états américains.  Dans tous les autres pays occidentaux, elle et son médecin seraient en prison. Sommes-nous plus intelligents ou décadents ? Voilà un acte très immoral et qui nous montre à quel point ce médecin a le cœur endurci.

Le Dr Paquin a dit qu’il pratique des avortements depuis 32 ans.  Dans son discours il n’a manifesté aucune compassion pour tous ces petits humains qu’il a démembrés vivants, empoisonnés ou tués d’une autre manière. Moi, je me demande comment on peut faire un tel métier pendant tant d’années. Tuer de ses propres mains tant de petits bébés et ne jamais éprouver le moindre remord, est-ce le signe d’une bonne santé du cœur ? ...

Madame Miville–Dechesne devrait enfin réaliser que si toutes les femmes avortaient comme les Canadiennes dans les pays en voie de développement, il n’y aurait plus d’immigrants pour compenser la perte des enfants canadiens tués par avortement.   Notre taux de natalité ne permet pas le renouvellement de notre population, qu’arriverait-il à l’humanité si tous les peuples avaient accès à l’avortement libre et gratuit ?

Le Dr Paquin a eu le culot de dire que le degré d’avancement d’un pays est en lien avec l’accès à l’avortement libre et gratuit. Quel insensé ! Pour bien des pays, c’est plutôt un génocide ou un suicide collectif.

L’avenir d’un peuple ce sont ses enfants. Il faut tout faire pour aider les femmes à donner la vie en sécurité et avec fierté. Valorisons la maternité et prenons soin de nos enfants.

Merci d’avoir pris le temps de me lire.

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Décès de l’abbé Raymond Gravel : un homme sincère à la formation déficiente

(Photo : Louperivois sur wikipédia.org, licence creative commons)

L’abbé Gravel n’est plus. Radio-Canada avait déjà préparé l’assemblage des propos « progressistes » de l’abbé Gravel, que ce soit sur l’avortement, l’euthanasie, l’homosexualité, les divorcés remariés, etc.

Mais parmi les louanges que recueille précieusement la chaîne de télévision, personne ne peut nier que la qualité première de l’abbé Gravel était sa sincérité et son refus de la langue de bois. L’abbé Gravel disait ce qu’il pensait, ce qui fit sa popularité, non recherchée, puisque sa pensée rejoignait exactement ce que pensait la majorité des Québécois qui ont rejeté l’Église catholique pour se forger une image de Dieu et du Christ qui les rassurerait.

Un Dieu bon toujours prêt à pardonner, sans jamais inciter à la conversion ni au changement de vie, acceptant tous les comportements sexuels, l’élément problématique de la doctrine de l’Église catholique qui a entraîné la défection des fidèles au Québec.

C’est cette sincérité qui amenait l’abbé Gravel à recueillir une réelle audience et à susciter l’enthousiasme ou la colère, selon ses propos.

L’abbé Gravel ne laissait pas les gens indifférents. On ne pourra l’accuser d’avoir été un tiède.

Très souvent, il aura été radicalement dans l’erreur. Sa formation théologique et biblique s’est déroulée à une époque où dans les universités québécoises, l’imagination personnelle du professeur et cette capacité de croire que seuls ils avaient compris le sens évangélique des écritures leur permettait un manque de rigueur et de logique ouvrant la porte à toutes les interprétations des textes bibliques, tout comme de l’enseignement du Christ.

Que l’abbé Gravel repose en paix. Celui qui n’a pu comprendre la profondeur de l’enseignement du Christ transmis dans son Église n’est certainement pas la personne la plus coupable. Tous ceux qui ont laissé la formation des prêtres aller à vau-l’eau dans les décennies passées auront une bien plus grande responsabilité…

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