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Projet de loi 144 : des craintes pour les parents qui font l’école à la maison

Assemblee_nationale_du_Quebec-1.JPGAssemblée nationale du Québec

(pouruneécolelibre) — Radio-Canada communique :

« Les parents qui font l’école à la maison ont suivi attentivement cette semaine la commission parlementaire sur le projet de loi 144. Ce projet de loi, qui vise à garantir à tous les enfants de 6 à 16 ans l’accès à l’éducation, encadrera mieux les familles qui ont fait ce choix. »

Admirez l’euphémisme : on pourrait presque croire que l’État va aider les parents. Il s’agit en réalité de contrôler de plus près les parents et de les empêcher, si le gouvernement le décide, de faire les choix éducatifs qu’ils préfèrent. Bref, de serrer encore la vis.

« Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, souhaite mettre de l’ordre dans les règles encadrant ce choix éducatif. »

Qui peut être contre l’ordre ? Mais y avait-il désordre ? De quelle manière ? À nouveau, il s’agit d’une présentation méliorative et non objective. Rappelons qu’il n’y a aucune preuve que plus de contrôles tatillons améliorent les résultats des enfants instruits à domicile.

« Plus tôt cette semaine, il a laissé entendre qu’il voulait respecter les droits des parents tout en évitant les abus et les laisser-aller. »

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Comment les médias font la promotion de [certains] suicides

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Par Wesley J. Smith — traduit par (Dieuetmoilenulsanslui)

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Wesley J. Smith est membre principal du Center in Human Exceptionalism du Discovery Institute et conseiller du Conseil des Droits des Patients.

(First Things) — J'ai commencé mon travail contre le suicide assisté en 1993. Le zeitgeist émotionnel à l'époque s'était concentré intensément et exclusivement sur la prévention de tous les suicides. Depuis lors, j'ai assisté à une transition très inquiétante. La société d'aujourd'hui nous demande de soutenir le suicide dans des circonstances impliquant une maladie grave, un handicap et même un âge avancé. Pendant ce temps, malgré une augmentation du taux des suicides, l'intensité des campagnes de prévention sur le suicide a diminué. Comme je l'ai écrit il y a quelques années, ces campagnes sont presque invisibles.

Pourtant, il y a des efforts pour renverser cette marée noire. Le psychiatre de l’Université de Californie Irvine, Aaron Kheriaty, dans le numéro d'août / septembre du journal et site First Things, a diagnostiqué notre problème de suicide (avec d'autres dysfonctionnements sociaux) comme une perte d'attachement mutuel. De son article « Mourir de désespoir » :

« La hausse du taux des suicides, d'abus de drogue et de dépression peut être attribuée à une fragmentation sociale accrue. Depuis les années 1980, la solitude déclarée par les adultes aux États-Unis est passée de 20% à 40%. Le Chirurgien Général récemment retraité a annoncé l'année dernière que l'isolement social est une crise majeure de santé publique, à égalité avec les maladies cardiaques ou le cancer ».

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Une mère enceinte de son sixième enfant refuse le traitement du cancer jusqu’à ce que son enfant naisse

Carrie_DeKlyen.jpgCarrie DeKlyen est rejointe par quelques-uns de ses cinq enfants.

Par Lisa Bourne (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Ann Arbor, Michigan, 11 août 2017 — Une mère en phase terminale du cancer continue à se cramponner à la vie, espérant donner naissance à son sixième enfant. Carrie DeKlyen et son mari Nick, de l’état du Michigan aux Etats-Unis, se sont fait offrir l’option d’avorter leur enfant, pour permettre à Carrie de rester dans une étude clinique qui pourrait lui sauver la vie. Le couple a dit non.

« Carrie et Nick ont décidé de continuer la grossesse pour donner au bébé une chance de survie », a dit Sonya Nelson, la belle-sœur de Carrie.

DeKlyen, âgée de 37 ans, de Wyoming, Michigan, est atteinte d’un glioblastome multiforme diagnostiqué au mois d’avril, rapporte MLive.com. Les chirurgiens ont essayé à deux reprises d’enlever la tumeur au cerveau. Ensuite elle a été admise à une expérimentation clinique. Mais deux semaines plus tard, la famille apprend que Carrie était enceinte d’une petite fille. Des médecins de l’Université du Michigan à Ann Arbor lui ont dit qu’elle pouvait continuer l’essai clinique si elle mettait fin à sa grossesse.

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Défense du mariage : Voici à quoi ressemblera la correction formelle du Pape François, selon le Cardinal Burke

Burke-march.jpgLe Cardinal Burke à la Marche pour la vie de Rome de 2017.

Par Pete Baklinski (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

16 août 2017 – Étant donné que le Pape François a choisi de ne pas répondre aux cinq questions à savoir si son Exhortation Amoris laetitia est conforme à la doctrine catholique, une « correction » des déviations de son enseignement par rapport à la foi catholique s’avère « nécessaire, » a déclaré le Cardinal Burke lors d’une nouvelle interview.

Le Cardinal, qui fait partie des quatre qui avaient signé les Dubia il y a environ 1 an, demandant au pape de clarifier son enseignement, a expliqué dans une interview pour The Wanderer comment pourrait se dérouler la procédure en vue d’une « correction formelle. »

« La nature de la correction me semble assez simple, » déclare Burke.

Il dit : « D’un côté, on présente l’enseignement authentique de l’Église ; de l’autre côté, on présente ce que le Souverain Pontife enseigne réellement. S’il y a une contradiction, le Souverain Pontife est appelé à conformer son enseignement dans l’obéissance au Christ et au Magistère de l’Église. »

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Le cardinal Caffarra est mort ce matin

Cardinal_Caffarra_2017_Rome_Life_Forum.jpgLe cardinal Caffarra au Rome Life Forum à Rome

Par Jeanne Smits (LeBlogdeJeanneSmits)

Il avait 79 ans. L'archevêque émérite de Bologne, a expliqué son entourage, était attendu ce matin mais n'est pas venu à son rendez-vous. Il était malade depuis longtemps.

Le cardinal Carlo Caffarra fait partie des quatre signataires des « Dubia » adressés au pape à propos de l'exhortation Amoris laetitia. Après le décès du cardinal Meisner il y a quelques mois, il ne reste plus que le cardinal Burke et le cardinal Brandmüller. Ils portent désormais seuls la lourde charge de la « correction » des propos problématiques du texte post-synodal.

Nommé cardinal par le pape Benoît XVI en 2006, le cardinal Caffarra était un très proche de Saint Jean-Paul II, chargé de la fondation de l'Institut pontifical pour le mariage et la famille. L'orientation actuelle de cet institut a dû lui causer grand-peine puisque son actuel directeur, Mgr Vincenzo Paglia, a maintes fois tenu des positions éloignées de la doctrine catholique sur le mariage.

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Le raz-de-marée LGBT

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Par Paul-André Deschesnes

L’été 2017 nous a abondamment chloroformés et intoxiqués avec ses 250 festivals au Québec. L’heure est aux divertissements de tout acabit. Le bon peuple ne pense qu’à s’amuser et se distraire en oubliant complètement ses fins dernières et son éternité qui arriveront bien un jour.

Dans cette ambiance jouissive, permissive et athée, il y a eu un événement historique qui s’est passé au cours de ce tsunami de festivités. Je veux parler de l’incontournable défilé de la fierté LGBTQ qui s’est déroulé à Montréal le dimanche (Jour du Seigneur ???) 20 août 2017. Il y avait 300,000 spectateurs (un record historique) agglutinés le long du parcours (familles, adultes, enfants, bébés en grand nombre, etc.) pour admirer cette croustillante parade où la nudité règne toujours en maître. Du jamais vu !

En tête du cortège, on a longuement applaudi Justin Trudeau, premier ministre du Canada, Philippe Couillard, premier ministre du Québec, Denis Coderre, maire de Montréal, et cette année, une première, Léo Varadkar, le premier ministre de la très catholique Irlande, invité spécial de Monsieur Trudeau, car il est sorti du placard il y a quelques mois.

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La chaîne de vêtements John Lewis au Royaume-Uni a cessé d’étiqueter ses vêtements selon le « genre »

 chaine-vetements-John-Lewis-Royaume-Uni-cesse-etiqueter-selon-genre.jpg

Provient de Reinformation.tv

Il s’agit du premier grand marchand britannique à avoir décidé d’en finir avec les étiquettes filles ou garçons, tous ces vêtements étant désormais marqués soit « garçons & filles » ou « filles & garçons », et ce quel que soit le vêtement concerné – jupe, haut rose ou robe, dès la taille du nouveau-né et jusqu’au 14 ans.

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L’école catholique de San Domenico à San Anselmo enlève les statues pour être plus « inclusive »

Ecole-catholique-enleve-inclusive-statues-San-Domenico-San-Anselmo-Californie.jpgUne des statues religieuses actuelles, sur le campus de San Domenico School à San Anselmo.

Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)

L’iconoclasme du XXIe siècle a pour motif l’antiracisme et la lutte contre l’exclusion. En Californie, des sœurs dominicaines – les Dominican Sisters of San Rafael – se sont mises d’accord avec la directrice de leur école San Domenico à San Anselmo pour déboulonner des statues religieuses et enlever autres tableaux et icônes afin de rendre l’école plus « inclusive ». De nombreux parents se sont émus de la démarche, qui altère l’identité de cette école fondée en 1850 en tant qu’école indépendante par des religieuses dominicaines. La direction veut aujourd’hui insister sur son identité d’école indépendante.

De fait, 80 % des familles de cette petite ville cossue près de San Francisco qui confient leurs enfants à San Domenico aujourd’hui ne s’identifient pas comme catholiques. Alors que l’école pratique des tarifs prohibitifs – il faut compter 29.850 dollars pour la scolarité d’une année en maternelle, soit plus de 24.000 euros, et 42.825 dollars pour la demi-pension au lycée – les motifs de la remise à la cave de nombre de statues de la Vierge Marie et des saints sont peut-être aussi mercantiles. Même si cela n’empêche pas le syncrétisme religieux, comme nous allons le voir.

San Domenico à San Anselmo sans ses saints

C’est à la suite d’une enquête réalisée par l’institution dans le cadre de la communauté environnante que la directrice de l’école, Cecily Stock, a constaté que San Domenico était « perçue comme une école catholique et pas nécessairement comme une école indépendante ». « Nous voulons nous assurer que les futures familles intéressées sachent que nous sommes une école indépendante », a-t-elle déclaré. Histoire d’attirer le chaland.

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Un tribunal juge illégale l’inclusion de l’idéologie du genre dans les programmes scolaires

Perou-tribunal-juge-illegale-inclusion-ideologie-genre-programmes-scolaires.jpgLe Pérou proteste contre l’idéologie du genre dans les écoles.

Par Reinformation.tv

C’est la première chambre civile de la cour supérieure de justice de Lima qui a déclaré nulle la partie de résolution ministérielle approuvant le programme national d’éducation qui aborde la question de l’égalité de genre.

Les mots biffés sont les suivants : « De telle sorte que ce que nous considérons comme féminin ou masculin se fonde sur une différence sexuelle biologique, ce sont des notions que nous construisons de jour en jour à travers nos interactions. » Le juge Ana Valcárcel a invoqué la loi générale d’éducation du Pérou qui affirme « le droit et le devoir de la société de contribuer à la qualité et à l’équité de l’éducation ».

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Âgée de 19 ans et enceinte, elle choisit la vie pour son bébé, en dépit des conseils de Planned Parenthood

Alexa.jpgAlexa et sa fille.

Provient de SaveTheStork — traduit par Campagne Québec-Vie

Cette histoire vraie a été proposée à SaveTheStork par Alexa.

Un mois après mon 19e anniversaire, j'ai appris que j'étais enceinte. Je n'étais pas prête à avoir un bébé. Je n'étais prête ni émotionnellement ni financièrement.

J'étais prise dans une relation brutale et dominante, et je me sentais déjà comme une ratée. J'étais en situation d'échec à cause de mes mauvaises notes et je me demandais comment je pourrais compléter mon diplôme de soins infirmiers avec un bébé.

Mon copain a tout de suite dit que je devais me faire avorter.

Jusqu'alors, j'étais pro-choix, donc j'ai décidé d'évaluer les options que j'avais. À ce moment-là, je n'avais pas d'assurances, alors je me suis tournée vers l'endroit où je pouvais examiner mes options sans avoir besoin d'assurances. Le site internet promettait des soins, et promettait de m'offrir des choix, alors j'ai pris un rendez-vous. Même si j'étais pro-choix, je pensais que ce choix comprenait l'option de la vie pour mon bébé.

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