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Pesant 1,6 livre (700 grammes) à sa naissance, Christian est la joie de ses parents

Jordan-Cheyenne.jpgJordan Cheyenne et son fils Christian.

Par Danny David (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Dans une vidéo à plus de 227 000 vues, la vidéoblogueuse et mannequin Jordan Cheyenne montre l’histoire extraordinaire de son «bébé miracle», Christian, né à 24 semaines.

En découvrant qu’elle était enceinte, Jordan et son ami étaient tous les deux fous de joie. Mais ce bonheur est devenu crainte et émotions négatives alors que des complications s’annonçaient pour la grossesse.

À cinq mois, une échographie révèle que Jordan est en travail avant terme. Dans une situation critique, elle est transportée immédiatement par ambulance vers un hôpital à San Diego où le personnel médical s’emploie à garder le bébé dans son ventre afin d’augmenter ses chances de survie. Les médecins disent qu’il est possible que Christian ne survive pas s’il naît trop tôt, et que s’il survivait, il pourrait avoir de graves problèmes de santé.

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Des centaines de médecins contre la dépénalisation absolue de l’avortement

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Par Reinformation.tv

Pas moins de 650 médecins ont protesté avec véhémence contre le Pr Lesley Regan qui veut voir l’avortement libéré pour toutes les femmes jusqu’au terme de la grossesse pour en faire une procédure médicale quelconque, pour laquelle l’approbation d’un seul médecin suffirait.

Mme Regan se trouve être la présidente du collège royal des obstétriciens et des gynécologues, et sa proposition a déjà reçu le soutien de la British Medical Association et du collège royal des sages-femmes.

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Les parents de ces trois beaux enfants ont rejeté l’avortement qui leur était recommandé… et regardez-les maintenant

Oliver-Hinckley.jpgOlivier Hinckley

Par Danny David (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

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Catherine Harper et son fils Jackson

En janvier, Live Action News a produit un article, se penchant sur Catherine Harper, une Néo-Zélandaise qui était allée en Australie afin de recevoir une chirurgie pour son fils prématuré, ayant été diagnostiqué avec le spina bifida. Le bébé avait supposément « une forme sévère de spina bifida – myéloméningocèle – de même qu’une malformation de Chiari au cervelet, cette partie du cerveau contrôlant l’équilibre. »

Catherine et son mari, Paul, se firent dire que leur enfant ne marcherait probablement jamais, et pourrait naître avec une tête considérablement grande. Catherine et Paul décidèrent de rejeter les conseils qui les dirigeaient vers l'avortement, optant plutôt pour une chirurgie, leur bébé devenant alors le premier Néo-Zélandais à subir cette chirurgie alors qu’il était encore dans l’utérus.

Depuis ce temps, les rapports indiquent que la chirurgie fut un succès. D’après MercatorNet, « Le premier scan [de Catherine] à Auckland épata les docteurs puisqu’il montrait que la formation de Chiari s’était inversée. La fermeture de l’ouverture sur la colonne vertébrale du bébé avait également empêché que les dommages des nerfs spinaux ne continuent, et les docteurs furent impressionnés par la netteté de la réparation, puisque cela avait été effectué à l’intérieur de l’utérus. »

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Malgré la pression des médecins, cette actrice a refusé l'avortement : « C’était mon fils et il avait besoin de moi »

Lynn_Ferguson.jpgLynn Ferguson

Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

À l'âge de 37 ans, l'actrice Lynn Ferguson (qui était la voix de Mac dans Chicken Run) a découvert qu'elle était enceinte. Sa grossesse a été qualifiée de « gériatrique », étant une grossesse après l'âge de 35 ans. De ce fait, les médecins lui ont demandé de faire une amniocentèse pour vérifier si l’enfant avait la trisomie 21. Lorsque Ferguson a refusé, cela aurait dû s’arrêter là à ce sujet. Mais ce fut juste le début de la pression qu’elle subira en tant que mère plus âgée. Plus tard, elle a également refusé l'avortement et a changé d'hôpital.

« [...] ce n'est pas techniquement la faute du bébé que je sois vieille, vous savez, » a-t-elle déclaré sur The Moth. « Alors je ne vais pas prendre le risque. Non, à moins qu'il n'y ait une bonne raison. »

Malgré son désir de ne pas passer l'examen et de risquer une fausse-couche, les médecins ont continué de lui demander de passer l'amniocentèse. Ferguson a déclaré qu’elle a continué de refuser et de mettre ça de côté, essayant de s'en sortir sans plus de conflit. « Regardez, votre test peut-il me dire que cet enfant ne sera pas un sale type ? » plaisanta-t-elle. « Votre examen peut-il me rassurer que ce bébé ne sera pas l'un de ces horribles personnages qui crient en dérangeant les gens dans les restaurants et les avions? Est-ce que votre test peut m'assurer que ce petit bébé, cet humain en croissance ne va pas devenir un adulte ayant une horrible affinité pour la musique de flûte de pan péruvienne ? »

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“Amoris laetitia” : la correction filiale adressée au pape François par des laïcs et des théologiens catholiques

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Par Jeanne Smits (leblogdejeannesmits)

En « première » pour les blogs francophones, voici la lettre remise au pape François le 11 août dernier par des universitaires laïques et des théologiens ainsi que par des prêtres ayant charge d'âmes qui ont voulu ainsi mettre en évidence les dangers que font courir l'exhortation apostolique “Amoris laetitia” ainsi que certains actes, déclarations et omissions du souverain pontife lui-même. Il lui est demandé, avec beaucoup de respect filial mais aussi d'insistance, de rejeter publiquement sept propositions « hérétiques » dont la propagation est facilitée par “Amoris laetitia”, étant posé que les signataires se gardent de toute mise en cause personnelle du pape : il ne s'agit pas de dénoncer un « péché d'hérésie » mais de souligner en quoi la propagation de certaines hérésies est favorisée.

Faute de réponse du Saint-Père, cette lettre a été rendue publique ce 24 septembre 2017, en la fête de Notre-Dame de la Merci et de Notre-Dame de Walsingham. La « correctio » vient d'être publiée en plusieurs langues sur un site dédié : correctiofilialis.org. Le texte est long, et par conséquent exhaustif ; il est assorti d'une partie explicative qui vise à faire comprendre les origines idéologiques de ces propositions qui se trouvent dans le modernisme et chez Luther.

La liste complète des noms des 62 signataires est ici. On remarque la présence, parmi les signataires français ou francophones, de Mgr Bernard Fellay, supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X, ainsi que le supérieur de district au Royaume-Uni, l'abbé Robert Brucciani. Et aussi : l'abbé Claude Barthe, le frère Jehan de Belleville, l'abbé Guy Pagès. Plusieurs autres noms ne figurent pas parmi les signataires ci-dessous et seront ajoutés dès que possible.

La présentation résumée de la « Correction filiale » sur le site correctiofilialis.org précise que les 62 signataires de 20 pays « représentent également d'autres personnes qui n'ont pas la liberté d'expression nécessaire pour signer ».

La traduction française des propositions hérétiques, rédigées en latin dans la « correctio » et dont les signataires demandent au pape de les rejeter explicitement se trouve ici sur le site de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X.

– J.S.

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Une application a sauvé la vie d’un enfant à naître de 33 semaines

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Par Jay Hobbs (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

(Pregnancy Help News) — Des nouvelles palpitantes de l’Iowa, où Jeremy et Emily Eekoff (photo avec leurs enfants Liam et Ruby) organisent leur vie avec leur deuxième enfant.

Il y a juste un mois, Ruby le nouveau-né de la famille, a été sauvé, d’après les dires des médecins, de ce qui aurait dû se terminer en mort à la naissance in utero à 33 semaines. Ce qui a permis le sauvetage est une application gratuite appelée, Count the Kicks (Compter les coups de pied).

Les Eekoff ont déjà publié leur histoire cette semaine [la semaine du début de juillet] sur ABC Good Morning America. Emily avait téléchargé l’application — qui surveille l’activité du bébé à naître — à 28 semaines et elle a remarqué une diminution importante des mouvements de Ruby à 33 semaines et cinq jours.

Suivant les mouvements de Ruby depuis les cinq dernières semaines, Emily savait qu’elle devait obtenir de l’aide tout de suite, et d’avoir les données sous la main lui a permis de donner aux médecins de l’hôpital local suffisamment d’informations pour agir à temps pour faire naître Ruby en avance par une césarienne.

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Fuyant le Barnevernet, les services sociaux de son pays avec son bébé, une Norvégienne demande l’asile en Pologne !

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Par Olivier Bault (Reinformation.tv)

Non, il ne s’agit pas d’une maman alcoolique ou violente : la Norvégienne qui demande l’asile en Pologne pour fuir les services sociaux est une maman normale à qui on veut arracher son bébé. Le Barnevernet, c’est-à-dire l’Office de protection des droits des enfants, ce sont les services sociaux d’un Etat qui souffre d’une vraie dérive totalitaire : la Norvège. Fait exceptionnel, 9 plaintes contre ce pays sont aujourd’hui examinées par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) à propos des pratiques du Barnevernet en violation de l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme qui a trait au respect de la vie privée et familiale.

De tous les services sociaux européens, le Barnevernet est celui qui a la main la plus lourde et qui arrache les enfants à leur famille pour les raisons les plus futiles et les plus arbitraires. Silje Garmo en sait quelque chose, elle à qui l’État norvégien a déjà pris sa première fille, aujourd’hui âgée de 12 ans, à la suite d’une simple dénonciation. On l’a accusée d’abuser des médicaments contre la douleur, d’avoir « un style de vie chaotique » et de souffrir de surmenage. Lorsqu’elle est tombée enceinte de son deuxième enfant, le Barnevernet s’est donc à nouveau intéressé à Silje Garmo, examinant systématiquement les résultats de ses prises de sang pour y déceler les traces d’une consommation excessive de médicaments. N’ayant rien trouvé, l’institution a malgré tout adressé un ultimatum à la pauvre maman : soit elle acceptait de séjourner dans un centre spécial, soit on lui enlèverait son enfant à la naissance pour le placer dans une famille d’accueil.

 

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Il y a 22 ans, ma fille survécut à mon rendez-vous à une clinique d’avortement

Claudia_sign_header.jpgL'auteure avec sa fille.

Par Live Action News — traduit par Campagne Québec-Vie

(Secular Pro-Life) — Je regardais, incrédule, le signe positif sur le test de grossesse... Je n’en croyais pas mes yeux. Il y a juste un mois, un gynécologue m’avait dit que j’aurais besoin de traitements de fertilité si jamais je voulais avoir des enfants. Je m’amusais beaucoup à cette époque là. J’étais étudiante à un collège de formation professionnelle avec très peu de responsabilités. Je sortais avec un gars qui faisait battre mon cœur très fort et me donnait des papillons à l’estomac. Ni l’un ni l’autre ne nous préoccupions de quoi que ce soit, sinon du prochain party, du paquet de cigarettes ou de la boite de 12 bières. La vie était facile et amusante… Jusqu’à ce moment.

J’avais toujours été pro-vie, en théorie. Mais maintenant, il s’agissait de MOI, de MA vie. J’ai décidé que je voulais avoir un avortement. Je n’étais vraiment pas prête à avoir un enfant. J’étais très paresseuse. Mon seul intérêt était de m’amuser. Mon copain m’a dit qu’il avait besoin d’y réfléchir. Après un ou deux jours, il est revenu me dire qu’il était d’accord, que c’était la meilleure solution.

Je suis allée à la clinique de l’université et pris un autre test pour confirmer la grossesse. Ils m’ont donné deux dépliants, un sur les possibilités d’adoption et l’autre sur comment et où on pouvait se procurer un avortement. J’ai appelé au numéro qui était sur le deuxième dépliant et pris rendez-vous pour plus tard dans la semaine.

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Un conservateur affronte l’intimidation transgenre et en sort vainqueur

Jordan_Peterson_at_Linfield_College.jpgJordan Peterson donne une conférence sur la liberté d’expression aux étudients du Linfield College, dans un hôtel, après qu’on lui ait interdit de parler sur le campus.

Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie

2 août 2017, (LifeSiteNews) — Depuis la publication en 2016 de mon livre intitulé The Culture War (La culture de guerre), j’ai été amené à donner des conférences au sujet de plusieurs insanités qui sont devenues des dogmes culturels au cours des dernières décennies. De l’extrémisme de l’avortement de la Gauche progressiste à la destruction systématique de la famille ; de la consommation pandémique de la pornographie en ligne à la fureur du transgendérisme, on a souvent l’impression que la Civilisation Occidentale – ou ce qu’il en reste – devient hors contrôle. Voilà pourquoi j’ai dû m’arrêter un instant lorsqu’on m’a demandé si je pouvais donner une bonne raison d’être optimiste.

Il y en a bien sûr : Des organisations pro-vie continuent à grandir et elles amènent les femmes à renoncer à l’avortement. Les récents développements dans le domaine de la politique démontrent qu’on est encore à l’écoute des voix des conservateurs sociaux. Les chercheurs et les représentants du gouvernement commencent à se rendre compte que la pornographie dure a des effets horriblement pervers sur les enfants. Mais une réponse m’a sauté à l’esprit : Dr Jordan B. Peterson.

Beaucoup de mes lecteurs connaissent l’histoire du Dr Peterson. Il s’agit d’un professeur de psychologie de l’Université de Toronto qui est devenu célèbre du jour au lendemain, après avoir publié sur son compte YouTube plusieurs vidéos dans lesquelles il expliquait pourquoi il s’opposait au projet de loi C-16 ; le projet qui prétendait enchâsser la protection légale des personnes transgenres dans la législation canadienne. En effet, Peterson faisait remarquer que ces lois pourraient être utilisées pour restreindre la liberté d’expression – pire encore, elles pourraient obliger les gens à employer les « pronoms transgenres », récemment inventés tels que "ze" ou "zir", pour des personnes qui refusent de s’identifier en tant qu'homme ou femme. Peterson estime que des violations pareilles pour un droit aussi essentiel [la liberté d'expression] sont déraisonnables et il n’utiliserait pas ces pronoms, quelles que soient les exigences du gouvernement envers lui.

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Mary Wagner condamnée mais libre

mary_wagner-2.jpgLa militante catholique pro-vie Mary Wagner.

Par Olivier Bault (Présent)

CONDAMNÉE, mais libre, en tout cas pour le moment. La militante catholique pro-vie Mary Wagner a été condamnée le 12 septembre par un juge de Toronto à neuf mois de prison (le procureur en demandait dix-huit). Mary Wagner a néanmoins recouvré la liberté à la sortie du tribunal en raison du temps qu’elle avait déjà passé en détension provisoire. Une quarantaine de personnes étaient présentes à l’audience où a été lue la lettre d’une maman qui, désespérée par sa situation, allait avorter à la septième semaine de sa grossesse. Sa rencontre avec Mary Wagner dans la clinique-avortoir où elle se trouvait (et que la militante pro-vie avait interdiction d’approcher sous peine de retourner en prison) l’a convaincue de renoncer à son morbide projet. Elle a donné naissance à un garçon il y a neuf semaines de cela, et elle s’en félicite. « Si j’avais obéi à la loi, cet enfant ne serait pas là aujourd’hui », s’est défendue Mary Wagner devant le juge.

Mary Wagner a aussi été condamnée à verser trois cents dollars à trois employées de la clinique d’avortement au titre de leur préjudice moral, car elles ont mal supportées psychologiquement la venue de cette chrétienne quadragénaire distribuant des roses à leurs « patientes » et leur parlant avec douceur de leur enfant, de l’amour de Jésus et de l'aide qu’elles pourraient obtenir si elles renonçaient à avorter. Au Canada, il n’y a même pas de délai légal pour l’avortement sur simple demande, qui reste possible jusqu’au dernier jour de la grossesse. Une pétition sur la plateforme CitizenGo a recueilli plus de 52 000 signatures en faveur de Mary Wagner. Son dernier procès, qui a débouché sur sa condamnation le 12 septembre, avait débuté le 13 juin dernier. Elle avait été à nouveau arrêtée le 12 décembre (Présent du 4 janvier 2017).

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