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Les parents de ces trois beaux enfants ont rejeté l’avortement qui leur était recommandé… et regardez-les maintenant

Oliver-Hinckley.jpgOlivier Hinckley

Par Danny David (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

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Catherine Harper et son fils Jackson

En janvier, Live Action News a produit un article, se penchant sur Catherine Harper, une Néo-Zélandaise qui était allée en Australie afin de recevoir une chirurgie pour son fils prématuré, ayant été diagnostiqué avec le spina bifida. Le bébé avait supposément « une forme sévère de spina bifida – myéloméningocèle – de même qu’une malformation de Chiari au cervelet, cette partie du cerveau contrôlant l’équilibre. »

Catherine et son mari, Paul, se firent dire que leur enfant ne marcherait probablement jamais, et pourrait naître avec une tête considérablement grande. Catherine et Paul décidèrent de rejeter les conseils qui les dirigeaient vers l'avortement, optant plutôt pour une chirurgie, leur bébé devenant alors le premier Néo-Zélandais à subir cette chirurgie alors qu’il était encore dans l’utérus.

Depuis ce temps, les rapports indiquent que la chirurgie fut un succès. D’après MercatorNet, « Le premier scan [de Catherine] à Auckland épata les docteurs puisqu’il montrait que la formation de Chiari s’était inversée. La fermeture de l’ouverture sur la colonne vertébrale du bébé avait également empêché que les dommages des nerfs spinaux ne continuent, et les docteurs furent impressionnés par la netteté de la réparation, puisque cela avait été effectué à l’intérieur de l’utérus. »

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Bébé Benjamin est né le 1er mars par césarienne. Il a subi plusieurs chirurgies depuis et pourrait avoir besoin d’autres opérations, mais les résultats ont été encourageants jusqu’à maintenant. Malgré les difficultés, Benjamin semble aimer sourire et rire, et sa fonction cognitive est apparemment élevée.

« Nous sommes si bénis de l’avoir », affirme Catherine, qui espère aider les parents étant confrontés à des diagnostics similaires pour leurs enfants. Son choix de ne pas avorter bébé Benjamin pourrait contribuer à sauver la vie de plusieurs bébés. Bien que les procédures médicales, comme celles menées sur Benjamin slient relativement nouvelles et isolées, Carolyn Moynihan de MercatorNet fait remarquer que « plus il y aura de parents pour accueillir un bébé étant diagnostiqué avec le spina bifida, plus forte sera l’incitation à faire avancer la technologie ».

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Oliver Hinkley, fils de Brittney Baumgartner

Alors que le côté chirurgical de l’histoire de Harper est unique, il existe d’innombrables exemples où les parents ont choisi la vie pour leur enfant malgré des circonstances difficiles, un choix qui s’avère toujours enrichissant. Brittney Baumgartner était dans une situation similaire, lorsqu’à 20 semaines son fils à naître fut diagnostiqué avec le spina bifida, spécifiquement une myéloméningocèle. En dépit d’avoir « peu ou pas d’espoir » compte tenu des chances, elle choisit la vie pour son bébé, Olivier (photo de gauche).

Maintenant, Baumgartner dit, « Mon fils a brisé toutes les limites placées devant lui. Il a appris à ramper, alors que les docteurs nous ont confié qu’il ne serait pas capable de s’asseoir par lui-même. Il a prononcé ses premiers mots et commence à apprendre le langage des signes. Bien qu’il soit plus petit que la plupart des enfants de son âge, il a une excellente qualité de vie. »

Sarah Sweatt Orsborn, mère de deux jumelles de trois ans – dont une diagnostiquée avec un spina bifida – a exprimé la joie que sa fille apporte dans sa vie et celles de son entourage :

« J’aimerais pouvoir montrer… une photo de ma ravissante Claire, avec ses cheveux blonds bouclés et son rire profond. Le spina bifida fait partie d’elle, l’a toujours été, et le sera toujours, mais n’est pas tout ce qu’elle est.

Plus que tout, je désire que Claire – et vous – sachiez que les handicaps comme le Spina Bifida ne sont qu’une autre façon d’être une personne dans le monde. »

Ce ne sont que quelques unes des nombreuses histoires prouvant que, malgré les maladies, malgré les déficiences qui existent, la vie humaine en vaut toujours la peine.



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