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À mesure que vous grandissez, ainsi vos robes le devraient-elles également

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Par Melanie Pritchard (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Il y a peu, alors que j’étais en vacances dans le Missouri, ma fille Ella, qui venait d’avoir 4 ans, m’a accompagnée au centre commercial voisin pour y faire du magasinage. Une vitrine d’un magasin de mode vestimentaire pour adolescentes et jeunes adultes a attiré mon attention ; on pouvait y lire « Tout à $5 ».

J’y suis entrée pour voir s’il y avait vraiment quelque chose de sympa à acheter vu le bas prix. Ella s’est engouffrée dans un autre rayon présentant ce qu’elle pensait être des robes de princesse. Ella connaît très bien les couleurs, les textures et les tissus attirants des robes de princesse car elle en porte 80 % du temps. Certains jours, elle est Cendrillon, d’autres, elle devient Raiponce, et ainsi de suite. Elle aime chacune des 8 petites robes enchanteresses, dont la plus grande partie a été généreusement offerte par l’une de ses grand-mères. Comme nous visitions le Missouri et que je n’avais pas emporté ses robes de princesse de tous les jours, il est probable que cela devait lui manquer.

Alors que je parcourais les cintres des vêtements à 5 $, Ella n’arrêtait pas d’attirer mon attention pour me dire quelles robes elle avait trouvées. Elle était ravie et toute excitée de voir toutes ces robes attirantes à sa taille, pendues au même endroit. Elle m’appela en criant : « Maman, je veux en essayer une, celle-là. ». Je souris, et lui répondis : « Chérie, ces robes sont faites pour les grands » et retournai à mon rayon, sachant qu’il n’y avait rien dans le magasin pour une petite fille de 4 ans.

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Reculade du lobby LGBT : le National Trust n’exigera plus que ses bénévoles portent des badges arc-en-ciel

National-Trust-LGBT-Royaume-Uni-badges-arc-ciel.jpgPar Jeanne Smits (Reinformation.tv)

Il reste des capacités de résistance chez les braves gens. Pour preuve, voici une bonne nouvelle de résistance à l’oppression LGBT : c’est au Royaume-Uni qu’une controverse suscitée par les folles exigences des pro-gay a abouti à une reculade de ces derniers. Le « National Trust », association de droit privée a statut quasi public qui s’occupe de conservation du patrimoine architectural et paysager de la Grande-Bretagne, voulait obliger ses bénévoles dans un château du Norfolk à porter des badges arc-en-ciel pour marquer les 50 ans de la dépénalisation partielle de l’homosexualité. Devant le tollé national, le National Trust a fait marche arrière.

Tout est parti de la décision du National Trust d’obliger les bénévoles qui refusaient de porter le symbole du militantisme LGBT à disparaître de la vue des visiteurs à Felbrigg Hall. Le NT voulait faire les choses en grande pompe : c’était toute une saison qui, sous le nom de « Prejudice and Pride » – « Orgueil et préjugés », détournement scandaleux du titre du beau roman de Jane Austen – entendait célébrer ce fameux 50e anniversaire.

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Charlie Gard a ouvert les yeux et regardé ses parents au moment de mourir

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Charlie Gard

Provient du Blog de Jeanne Smits

Mais son affaire va déboucher sur un nouvel eugénisme

Charlie Gard a ouvert les yeux et regardé ses parents au moment de mourir : c’est la confidence déchirante faite par Chris Gard et Connie Yates dans une interview publiée par le Daily Mail de Londres. Et l’on apprend aussi que le bébé – courageux petit soldat jusqu’au bout – a mis 12 minutes à mourir depuis l’instant où sa ventilation a été stoppée. Douze longues minutes où son cœur a continué de battre, alors qu’il mourait techniquement, de suffocation. Il n’a pas bénéficié d’une mort naturelle au terme de sa vie, entouré des soins palliatifs dont il pouvait avoir besoin pour éviter de souffrir. On a décidé pour lui de l’heure de sa mort.

Dans cette affaire en effet, je n’ai pas souvenir qu’on ait parlé de son espérance de vie naturelle. Atteint d’une grave maladie génétique orpheline, un syndrome de déplétion de l’ADN mitochondrial, son état n’a cessé de se dégrader depuis le premier diagnostic posé lorsqu’il avait 3 mois. Si – contrairement à ce qu’avait affirmé le corps médical – Charlie ne souffrait pas de lésions cérébrales graves et irréversibles, l’état de ses muscles était, lui, en régression, de telle sorte qu’il n’était même plus possible de lui appliquer le traitement expérimental que désiraient pour lui ses parents. Ce qui semble indiquer que, ses muscles se dégradant progressivement, il serait mort naturellement dans un avenir prévisible. On a pu lire ici ou là que sa résistance – Charlie avait près d’un an lorsqu’il a été… tué – était exceptionnelle. On n’a pas d’exemple de nouveau-né survivant aussi longtemps avec ce syndrome.

 

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Un médecin aide une femme à accoucher, puis accouche elle-même quelques heures plus tard

Dr._Amanda_Hess.jpgDr. Amanda Hess et sa fille — image tirée d'une vidéo de Kentucky's WKYT news

Par Dorothy Cummings McLean (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Une obstétricienne du Kentucky était en train d'attendre pour accoucher de son bébé, quand elle est venue en aide à une autre femme dans le secteur.

Dr. Amanda Hess, 38 ans, enceinte de son deuxième enfant, s'était présentée au Centre médical régional de Frankfort pour un accouchement déclenché, quand elle a entendu une femme crier de douleur. Hess a découvert que la mère enceinte et son bébé à naître étaient tous deux en détresse, et que l'obstétricien de service avait quitté l'hôpital pour sa pause avant qu'ils ne fussent arrivés. Hess, ne portant qu'une jaquette d'hôpital ouverte à l'arrière, a enfilé une autre jaquette pour « se couvrir le dos » et est venue à la rescousse de la mère.

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Après avoir pris une pilule abortive, elle change d’avis, prend un traitement pour la contrer et sauve ses bébés

jumeaux-4.jpgPar Micaiah Bilger (LifeNews.com) — traduit par Campagne Québec-Vie

Il y a environ deux ans, Samantha a failli mettre fin à la vie de ses jumeaux à naître lors d’un avortement [par pilule abortive].

Samantha (nom d’emprunt), collégienne à cette époque, raconte avoir pris la pilule abortive RU-486 et l’avoir immédiatement regretté. Cette femme de Pennsylvanie a récemment raconté son histoire à ABC 27 News.

Grâce aux médecins qui l’ont traitée avec une nouvelle procédure, permettant d’annuler les effets de la pilule abortive, Samantha a aujourd’hui deux jumeaux en bonne santé.

« Je suis très heureuse d’avoir choisi de continuer la grossesse », dit Samantha.

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Une mère montre les photos de son minuscule bébé, né d'une fausse couche à 14 semaines : « De toute évidence, il est humain »

Japeth_Peace_Cash_1.JPGLes pieds de Japeth

Par Kelli (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie

«De toute évidence, il est humain, il n’est pas une grappe de cellules, ni un amas de tissus, ni une boule de chair».

Felicia Cash et son mari ont lutté contre la stérilité pendant 13 ans avant de décider de devenir les parents adoptifs de trois petites filles, toutes des sœurs, qu'ils adopteront deux ans plus tard. Mais à leur plus grande surprise, Felicia a déclaré à Live Action News, « Le matin, après avoir signé les documents d'adoption en Cour, nous avons constaté que nous attendions un bébé. Huit mois plus tard, notre fils aîné est né. Puis quelques années après, nous avons été bénis de l'arrivée d'un autre».

Felicia a toujours eu une passion pour le message pro-vie. Au cours de sa dernière année de lycée, alors que les avortements par naissance partielle avaient été rendus illégaux, elle a participé à des débats sur le sujet de l'avortement. Atteignant l'âge adulte, elle a transposé sa passion sur les média sociaux, diffusant les messages pro-vie sur Facebook.

Mais elle n’avait jamais pensé que les questions entourant le caractère sacré de la vie, la toucheraient d’une telle façon.

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Mgr Paprocki, évêque d’Illinois, dénonce le lobby LGBT dans l’Eglise

Mgr-Paprocki-Illinois-denonce-lobby-LGBT-Eglise.jpgMgr Thomas Paprocki, diocèse de Springfield, Illinois.

Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)

Auteur d’un décret très clair sur l’impossibilité pour l’Eglise de permettre aux homosexuels non repentis d’accéder à la communion ou de recevoir des funérailles catholiques, Mgr Paprocki est depuis lors en proie à de violentes critiques. L’évêque de Springfield, Illinois, est revenu publiquement à la charge en soulignant que les protestations qui lui sont adressées depuis l’intérieur de l’Eglise prouvent qu’un « puissant lobby LGBT » s’y est infiltré.

Et quitte à dire ce qu’il a sur le cœur, Mgr Paprocki a désigné nommément le père jésuite James Martin, récemment nommé consulteur de la Salle de presse du Vatican, qui fait partie de ceux qui ont dénoncé la mise au point doctrinale et pastorale de l’évêque américain. Le P. James Martin, S.J. est notamment l’auteur du livre au titre équivoque, Building a Bridge (« Construire un pont ») où il invite les catholiques « gays » à entamer des « conversations » avec leurs évêques afin que l’Eglise s’oriente doucement vers l’acceptation de l’homosexualité comme faisant partie de la Création, rappelle Pete Baklinski de LifeSiteNews.

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Une nouvelle affaire Charlie Gard? Le cas d’Alfie Evans

Alfie-Evans-nouvelle-affaire-Charlie-Gard-Angleterre.jpgLe petit Alfie Evens (photos de gauche et de droite, en haut, Charlie Gard et sa famille)

Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)

La vie du petit Alfie Evans, 14 mois, est entre les mains des médecins, comme on a coutume de le dire. Mais vraiment, pour le coup. Tout à fait comme Charlie Gard – va-t-on vers une nouvelle affaire à retentissement mondial ? – ce bébé hospitalisé à Liverpool en Angleterre est l’otage du corps médical qui refuse son transfert aux Etats-Unis pour un traitement expérimental.

Le petit garçon est victime d’une maladie mystérieuse qui l’a laissé dans le coma en décembre dernier, date à laquelle il est entré à l’unité des soins intensifs à Alder Hey Children’s Hospital. Il souffre de convulsions. Ventilé comme Charlie Gard, le bébé est sous le coup d’un arrêt de mort de la part des médecins qui veulent stopper tous les moyens de maintien en vie.

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Incroyable! Les bébés à naître commencent l'apprentissage de la langue dans l'utérus

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Provient de (SPUC.org.uk) traduit par Campagne Québec-Vie

Une étude a démontré que les bébés à naître peuvent faire la différence entre quelqu'un qui leur parle en anglais et quelqu'un qui leur parle en japonais.

En utilisant une technologie non invasive de détection afin de mesurer les variations de la fréquence cardiaque fœtale, des chercheurs du Centre médical de l'Université du Kansas ont constaté que les bébés dans le ventre de leur mère peuvent faire la distinction entre deux langues différentes rythmiquement. Une intervenante bilingue a effectué deux enregistrements, d'un extrait, l'un en anglais et l'autre en japonais, que l'on a faits entendre aux bébés à naître.

Les chercheurs ont observé que la fréquence cardiaque changeait quand les bébés entendaient la langue non familière, distincte rythmiquement (le japonais), après avoir entendu un extrait en langue anglaise. Cependant, leur fréquence cardiaque ne changeait pas quand on leur présentait un deuxième extrait en anglais à la place d'un extrait en japonais.

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Une maman d’ici a résisté vaillamment à la pression sociale et a gardé son enfant trisomique à naître

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Par Augustin Hamilton

Stéphanie Cloutier, avocate de son métier, n’avait pas imaginé, avant de devenir enceinte, tout ce que comportait le fait de porter en elle, un enfant à naître atteint de trisomie 21.

Elle rapporte avec ironie, dans une lettre écrite au journal La Presse, combien elle reçut de commentaires négatifs : « Le “ouache” a grandi dans mon ventre. Pire. J’ai choisi en toute connaissance de cause de le laisser vivre… Je suis une égoïste qui a sacrifié sa vie, son couple et sa carrière ». Elle ne comptait plus le nombre de fois où on lui a dit : « À ta place je me serais fait avorter »¹, opinion brutale qui lui fut assenée par ce qu’elle appelle si bien « Le tribunal populaire », qui semble-t-il, croyait que la seule solution pour elle était l’avortement.

Stéphanie Cloutier poursuis sa lettre en expliquant qu’à une époque, elle croyait elle aussi que l’avortement était « la seule option rationnelle », un geste de bonté envers l’enfant à naître atteint de trisomie 21… et pour les autres. Malheureusement elle considère l’avortement comme étant une option.

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