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56 législateurs exigent une enquête sur Planned Parenthood pour non-signalisation d’abus sexuels sur mineurs


Lila Rose, de Live Action, avec des législateurs à une conférence de presse à Washington le 7 juin 2018

Par Doug Mainwaring — traduit par Campagne Québec-Vie

Washington, 7 juin 2018 (LifeSiteNews) — Des membres du Congrès des États-Unis se sont réunis à l’extérieur du Capitole aujourd’hui pour attirer l’attention sur un rapport d’enquête et une série de vidéos importants révélant que Planned Parenthood a omis de faire connaître aux forces de l’ordre des cas suspects de trafic humain et d’exploitation de femmes et de filles. Dissimulation de crimes contre mineurs qui remonte à plusieurs décennies et qui, jusqu’à maintenant, est largement reléguée dans l’oubli. C’est pour cette raison que Live Action a produit un rapport et une série de vidéos, afin d’étaler au grand jour les actions criminelles, effrénées et continues de Planned Parenthood contre les jeunes filles déjà victimes d’agression sexuelle.

« La dissimulation des abus est un fait généralisé dans l’industrie de l’avortement, disait Lila Rose, fondatrice de Live Action. Ce que font ces agresseurs, continuait Rose — ce que font les trafiquants sexuels — c’est amener leurs victimes ou menacer de les envoyer de force à un centre d’avortement. Ces lieux peuvent devenir un point central pour étouffer toute trace d’abus. Et Planned Parenthood, au lieu de rendre compte de l’abus tel que la loi le leur exige dans presque tous les cinquante États — au lieu de rapporter l’abus, au lieu d’être ce pont essentiel entre une personne en extrême détresse et l’intervention dont elle a besoin — avorte en secret, emploie une politique du “ni vu, ni entendu” et renvoie cette jeune fille vulnérable dans les bras de prédateurs sexuels ».

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Un activiste chrétien accusé de « crime haineux »


Bill Whatcott avec un de ses dépliant.

Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie

TORONTO, 4 juillet 2018 (LifeSiteNews) — L’activiste catholique Bill Whatcott est en liberté sous caution et sans emploi depuis qu’il s’est rendu aux autorités de Calgary le 22 juin, pour faire face à une accusation criminelle, provenant de Toronto, de promouvoir la haine envers « la communauté gaie ».

En mai, le Toronto Police Service a lancé un mandat d’arrêt pancanadien contre Bill Whatcott pour crime haineux, suite à une enquête qui eut lieu pendant deux ans, laquelle était motivée par des plaintes reçues contre lui en 2016.

Whatcott, ainsi que plusieurs autres personnes ont paradé lors du défilé de la fierté 2016 à Toronto. En tant que membres de la « Gay Zombies Cannabis Consumers Association », ils portaient des justaucorps verts et des masques.

Ils ont distribué 3000 pamphlets sur le « Zombie Safe Sex » (Sexe zombie sécuritaire) comportant un message d’avertissement sur les dangers physiques et spirituels de l’activité homosexuelle.

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Bonne nouvelle : Le festival rock n’aura pas lieu dans le cimetière


Nos défunts pourront reposer en paix.

Par Paul-André Deschesnes

Au milieu de juillet 2018, un festival rock, rap, punk et métal avait été annoncé dans les médias et devait se tenir dans le cimetière de la paroisse d’une petite ville du Centre-du-Québec un mois plus tard.

Tout avait été soigneusement préparé : les groupes d’artistes, l’installation des tentes de camping pour les spectateurs, la programmation, etc. Le 17 juillet 2018, j’avais écrit une chronique sur ce sujet intitulée : « Profanation des cimetières ».

Bonne nouvelle ! Ce festival organisé dans un cimetière catholique a provoqué un tollé général dans la population. Les autorités et les organisateurs ont été bombardés de pétitions et de commentaires sur les réseaux sociaux pour dénoncer l’utilisation profane du cimetière à des fins commerciales. Les familles des défunts se sont mobilisées et elles ont monté aux barricades.

Face à la pression populaire, les autorités municipale, diocésaine et paroissiale, ainsi que les responsables de ce festival, se sont mis d’accord pour annuler l’événement à cet endroit. Un autre lieu plus approprié sera donc choisi dans les jours qui viennent.

Au Québec, d’après le Journal de Montréal du 21 juillet 2018, il y a d’autres cimetières catholiques au Québec qui auraient accueilli des événements profanes de tout acabit sur leur territoire. C’est honteux et inacceptable.

La conclusion de cette saga n’est pas très compliquée. Quand les catholiques décident de se tenir debout, de faire respecter leurs principes religieux et d’affronter l’Adversaire, au lieu de se montrer « cool » comme c’est la mode actuellement, on gagne la bataille.

Une grosse défaite pour les forces du Mal !

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La DPJ retire deux filles à leurs parents sur fond d’instruction à la maison


Les deux petites filles sur la présente photo ne sont pas celles dont parle cet article.

Par Pour une école libre

Un couple lance un cri du cœur contre la DPJ, qui lui a retiré ses deux filles il y a plus de trois ans. Au centre du désaccord, la scolarisation et un diagnostic d’autisme.

Lorsque Sylvie et François (prénoms modifiés) vont voir leurs deux filles, âgées de 10 et 11 ans, ils ne peuvent même pas les toucher. Ni les consoler. Ils ont le droit de les voir une heure et demie par semaine, sous supervision, dans un endroit déterminé par la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ). Sylvie et François se sont vu retirer leurs droits parentaux et tous les autres droits. Aussi bien dire qu’ils se sont fait retirer leurs enfants, point. Depuis plus de trois ans. L’histoire commence en région, leur première fille a huit mois, Sylvie et François font le choix de s’acheter une maison sur le bord d’un lac privé, dans les pays d’en haut, avec plein d’animaux, des poules, des canards, des lapins, des chèvres miniatures.

Ils ont un élevage de chiens de race.

Presque un an plus tard, ils ont eu une autre fille. « On est resté là pendant sept ans, les filles étaient libres, raconte Sylvie. C’est ce qu’on voulait, qu’elles grandissent dans la nature. Elles allaient se baigner dans le lac, avec une veste de sauvetage bien sûr, elles ont appris à faire du vélo, du quatre roues... »

Lisez le reste de l'article sur le journal Le Soleil.

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Un film sur la vraie histoire de l’avortement, « Roe v. Wade », voit des acteurs et des techniciens quitter le projet…

Par Clémentine Jallais (Réinformation.TV)

Après avoir été l’arrêté célèbre qui ouvrit la porte à la légalisation de l’avortement aux États-Unis, « Roe v. Wade » est aujourd’hui un film, réalisé par le producteur Nick Loeb et Cathy Allyn. Tourné jusque-là en secret, parfois sous un faux titre pour éviter les bâtons dans les roues, le film essuie à présent les pires ennuis et fait face à une opposition de plus en plus intense, depuis que la perspective pro-vie en a été révélée. Certains de ses acteurs ou de ses techniciens ont claqué la porte, surpris et furieux par la perspective qu’ils découvraient.

Et pourtant, Nick Loeb a choisi de montrer les choses telles qu’elles se sont vraiment déroulées. « C’est un film de guerre sociale où nous prenons les deux côtés de l’argument et nous espérons laisser le public décider. » Il sera sur les écrans en 2019.

« Roe v. Wade » : enfin un récit équilibré sur l’affaire américaine de l’avortement

Ce film de 6,5 millions de dollars, financé indépendamment, veut offrir une histoire équilibrée sur l’affaire de l’avortement, telle qu’elle a été menée aux États-Unis, loin de l’officielle qui a pignon sur rue depuis 45 ans. Nick Loeb et Cathy Allyn ont travaillé sur les sources originelles, transcriptions d’audiences, entrevues, lettres, et discours, qui fournissent environ 50 % du dialogue.

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Des gens voient une « messe intégriste » là où Mgr Cattenoz rappelle quelques simples points élémentaires de doctrine catholique


Mgr Jean-Pierre Cattenoz, archêque d'Avignon.

Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)

Le magazine d’extrême gauche Marianne vient de publier un article qualifiant une messe de Mgr Cattenoz de « messe catholique intégriste ».

Lisez quelques extraits :

France Culture : quand le service public diffuse une messe catholique intégriste sur les LGBT et contre Simone Veil

« Ce dimanche 15 juillet, la radio de service public a livré son antenne pendant près d’une heure à Mgr Jean-Pierre Cattenoz, qui multiplie de longue date des positions réactionnaires sur les sujets de société. Pendant son homélie, l’archevêque d’Avignon s’en est pris au mariage pour tous mais également à l’avortement, de façon très violente.

La tradition peut sembler incongrue dans une République laïque : tous les dimanches, de 10 h 5 à 11 h, la radio publique France Culture diffuse en direct une messe chrétienne. (…)

Difficile, à première vue, de déceler en quoi la messe retransmise ce dimanche 15 juillet “fait la culture” : pendant une heure, la station publique a laissé la parole à Mgr Jean-Pierre Cattenoz, l’archevêque d’Avignon. Depuis sa cathédrale Notre-Dame des Doms, celui-ci a développé un discours intégriste, hostile au mariage pour tous mais également à l’avortement et ce, de façon très virulente. La séquence a été repérée et relayée par un auditeur vigilant de la radio, qui a adopté le pseudonyme “L’incroyant” sur les réseaux sociaux.

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Les drag-queens dans les bibliothèques : endoctrinement des enfants

Par Clémentine Jallais (Réinformation.TV)

Il y a moins d’un an, RiTV avait évoqué [l'affaire du] démon drag-queen qui avait fait son heure de lecture enfantine à la bibliothèque publique de Michelle Obama à Long Beach. Aujourd’hui, le phénomène s’est encore amplifié en Amérique du Nord. Pire, il se démocratise outre-Manche mais aussi en France. Et dans des édifices publics, des bibliothèques aux crèches. C’est « culturel », nous dit-on. Ce serait même humaniste, dans le sens où cette initiation maçonnique ouvre l’éventail des possibilités d’être de tout un chacun, et la tolérance pour tous, pour parler leur langage…

Ni plus ni moins, c’est le programme transgenre qui se met en marche à destination des petits. Car il faut que l’idéologie LGBT atteigne les jeunes esprits avant l’âge de trois ans, comme l’expliquait la directrice d’une bibliothèque américaine — après, ils sont déjà trop genrés… !

La communauté LGBTQ2+ pose les principes du transgénérisme

Évidemment que l’entreprise est idéologique. La première histoire racontée aux enfants par une drag-queen avait eu lieu à la bibliothèque Harvey Milk (activiste gay) de San Francisco et c’est l’auteur « queer » Michelle Tea qui en avait eu l’idée. Depuis, c’est une traînée de poudre. Les promoteurs de ces événements se défendent en disant vouloir créer « un endroit safe qui prépare un monde plus safe », comprenez inclusif, ouvert, sécurisant pour tous…

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Les échecs de M. Soros


George Soros.

Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The New York Times / Voici la source de la photo : Niccolò Caranti, Wikimedia, CC BY-SA 3.0

Bien qu’il soit riche, George Soros, sur le plan politique, avoue qu’il est en train de perdre son pari.

La nouvelle pourrait en réjouir plus d’un : le milliardaire George Soros croit qu’il est en train de perdre son pari, celui de créer un monde libéral, dépourvu de frontières. « Je défends des principes, que je gagne ou que je perde. Mais malheureusement, je perds à de trop nombreux endroits en ce moment », a-t-il récemment déclaré au journaliste Michael Steinberger du New York Times.

Cet aveu peut surprendre, mais il décrit une certaine réalité : de nombreux chefs politiques de par le monde acceptent de moins en moins les contraintes exigées par les préceptes du mondialisme et du multiculturalisme, si chers aux yeux de M. Soros.

Oui, George Soros a fait beaucoup d’argent : un milliard et demi en une seule journée lorsqu’il avait spéculé sur la livre anglaise en 1992. Mais ses objectifs sont, désormais, plus politiques que financiers. Et c’est à titre de financier des grandes causes libérales qu’il voit le tapis lui glisser sous les pieds.

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Elle se serait fait avorter si un message d'espoir ne l’avait arrêtée


Alina Dulgheriu et sa fille.

Par K.V. Turley — traduit par Campagne Québec-Vie

Londres, 5 juillet, 2018 (LifeSiteNews) — Une journée d’hiver en 2009, une jeune femme roumaine marchait le long d’une rue de Londres en direction d’une clinique d’avortement.

Elle était enceinte de 8 semaines.

Les semaines précédant sa décision d’aller là avaient été traumatisantes.

Le 3 octobre, elle avait découvert qu’elle était enceinte. Elle avait téléphoné au père de son enfant, la réponse de celui qui était son « copain » à l’époque avait été immédiate : « “Tu dois avoir un avortement.” ». Mais elle n’en voulait pas. Instinctivement, elle savait que c’était mal et elle souhaitait poursuivre sa grossesse.

Elle insista davantage : « Est-ce que tu vas être un père pour cet enfant ? ». Elle était troublée. Il lui a alors dit quelque chose qu’elle ignorait : « Je ne peux pas avoir un autre enfant. ». Avec cette nouvelle information, la femme enceinte comprit qu’elle était toute seule, et de plus d’une façon. Lorsqu’il réalisa qu’elle allait continuer sa grossesse, il commença à se moquer de sa situation au téléphone.

Quelques semaines plus tard, le même « copain » réapparut dans la vie de cette femme, cette fois-là avec son cousin. Ensemble, ils essayèrent de la convaincre de se faire avorter.

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« Fake news » : l’arme de destruction massive de l’élite libérale

Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Eurolibertés/Voici la source de la photo : CC0

Par la censure des « fake news », médias traditionnels et réseaux sociaux ont trouvé le moyen de museler leurs opposants.

Depuis plusieurs années, on assiste à une reconfiguration de l’espace médiatique, les médias traditionnels n’étant plus les seuls diffuseurs d’information. Certains d’entre eux sont même en déroute, surclassés par des sites en ligne qui jouissent d’une popularité croissante.

Pris de panique par crainte de perdre le contrôle de l’information, ces médias ont dû chercher un moyen de museler cet ennemi redoutable. C’est ainsi que la censure des « fake news » est devenue l’outil de premier plan qui leur permet de discréditer leurs compétiteurs du Web. C’est la thèse développée par l’auteur québécois Rémi Tremblay dans un texte publié sur le site Eurolibertés.

L’élite médiatique avait bien essayé de « couper l’herbe sous le pied » des nouveaux médias en ligne, soutient M. Tremblay, mais la stratégie s’était révélée infructueuse. D’où la tactique qui consiste à les accuser de propager des « fake news ». Et comment risque-t-on d’être accusé de propager des « fake news » ? Simple : « Si un dissident émet une vérité, elle relève automatiquement de la “fausse nouvelle” », nous dit M. Tremblay, « alors que si un média du système émet une contre-vérité, il s’agit tout au mieux d’une erreur de bonne foi ».

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