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« Fake news » : l’arme de destruction massive de l’élite libérale

Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Eurolibertés/Voici la source de la photo : CC0

Par la censure des « fake news », médias traditionnels et réseaux sociaux ont trouvé le moyen de museler leurs opposants.

Depuis plusieurs années, on assiste à une reconfiguration de l’espace médiatique, les médias traditionnels n’étant plus les seuls diffuseurs d’information. Certains d’entre eux sont même en déroute, surclassés par des sites en ligne qui jouissent d’une popularité croissante.

Pris de panique par crainte de perdre le contrôle de l’information, ces médias ont dû chercher un moyen de museler cet ennemi redoutable. C’est ainsi que la censure des « fake news » est devenue l’outil de premier plan qui leur permet de discréditer leurs compétiteurs du Web. C’est la thèse développée par l’auteur québécois Rémi Tremblay dans un texte publié sur le site Eurolibertés.

L’élite médiatique avait bien essayé de « couper l’herbe sous le pied » des nouveaux médias en ligne, soutient M. Tremblay, mais la stratégie s’était révélée infructueuse. D’où la tactique qui consiste à les accuser de propager des « fake news ». Et comment risque-t-on d’être accusé de propager des « fake news » ? Simple : « Si un dissident émet une vérité, elle relève automatiquement de la “fausse nouvelle” », nous dit M. Tremblay, « alors que si un média du système émet une contre-vérité, il s’agit tout au mieux d’une erreur de bonne foi ».

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On ajoutera que la dissidence, ici, se manifeste par le refus de jurer obéissance aux préceptes de la gauche libérale, préceptes qui, chez les médias traditionnels, font office de vérité universelle.

Mais l’arme des « fake news » n’est pas le seul apanage des médias traditionnels. Les réseaux sociaux, qui forment désormais la cinquième colonne de l’élite libérale, ont aussi emboîté le pas. Facebook, entre autres, qui dit vouloir protéger le Canada des fausses nouvelles. Ce n’est pas pour rien que Kevin Chan, directeur des politiques publiques au sein de cette entreprise, a déjà rencontré des ministres du cabinet Trudeau dans le courant de l’année 2017.

Le géant du Web n’a d’ailleurs pas le choix d’agir, car le premier ministre l’a averti en février : s’il ne parvient pas à corriger ses problèmes de fausses nouvelles, il se heurtera à une réglementation plus sévère. On attend avec impatience les élections de 2019.



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