Censure — Twitter et Facebook chutent en bourse, les réseaux alternatifs décollent
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
Une nouvelle qui en réjouira plus d’un : après le bannissement de Trump, et la fermeture arbitraire de centaines de milliers d’autres comptes Twitter et Facebook, l’action de ces géants du net s’effondre !
L’action Twitter cotée à la Bourse de Francfort était en forte baisse hier lundi après l’annonce de la fermeture par le réseau social du compte du président américain sortant, Donald Trump.
Le groupe américain a annoncé avoir décidé de suspendre ce compte @realDonaldTrump, suivi par plus de 88 millions de personnes, en arguant d’un « risque d’une nouvelle incitation à la violence » suite à l’assaut sur le Capitole à Washington. Donald Trump, qui avait fait de Twitter son principal canal de communication ces quatre dernières années, est le premier chef d’Etat à se voir ainsi banni du réseau social.
L’action Twitter cotée à New York cédait autour de 8 % dans les tout premiers échanges en préouverture, mais dans de faibles volumes.
Sur la page économique de RT, on peut lire que « Le 11 janvier à la fermeture des marchés, les actions des deux réseaux sociaux Facebook et Twitter affichaient respectivement un repli de 4 % et 6,4 %. Une baisse qui touche aussi dans une moindre mesure les autres géants du numérique Apple, Google et Amazon, et qui fait suite aux actions intentées contre le président américain Donald Trump et certains de ses soutiens. »
Lire la suiteTwitter ferme le compte de Trump — Google, Amazon et Apple font pression sur Parler — CNN veut faire éliminer Fox News du câble
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Depositphotos
Vae Victis ?
L’étau se resserre sur Donald Trump, évincé des réseaux sociaux les uns après les autres : Twitter, sa plateforme de prédilection, a suspendu son compte de façon permanente vendredi. Cette suspension permanente intervient deux jours après que des émeutiers ont franchi le cordon de sécurité du Capitole en marge d’une manifestation monstre par ailleurs pacifique tenue plus tôt sur l’Esplanade nationale.
Dans sa justification pour la suppression du compte de Donald Trump, Twitter explique que son tweet indiquant « Je ne me rendrai pas à l’inauguration le 20 janvier » est une accusation implicite de fraude et incitation à commettre des violences lors de cet événement… Voir ci-dessous.
Twitter avait précédemment supprimé une vidéo du président appelant ses partisans à se disperser pacifiquement et à respecter l’ordre public, que le président a postée moins d’une heure après que les médias aient annoncé que des émeutiers avaient pénétré dans le Capitole de Washington. Le président a réitéré sa condamnation de la violence le lendemain. Ce bannissement vient après que Facebook et Instagram, ainsi que d’autres platesformes technologiques importantes, aient suspendu indéfiniment l’accès du président, coupant une ligne de communication clé entre le président et les citoyens du pays.
Lire la suite« Tsunami de preuves » : synthèse des procédures pour fraude électorale en cours aux États-Unis
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Piqsels
Voici la traduction intégrale de l’article de Steve Mosher publié vendredi par LifeSiteNews, où vous trouverez la synthèse des procédures en cours pour fraude électorale. L’auteur, bien connu des lecteurs de ce blog, est le président du Population Research Institute, premier sociologue américain à visiter la Chine communiste où il découvrit l’horreur des avortements forcés. L’avocate Sidney Powell, de son côté, estime que Joe Biden a bénéficié de 10 millions de votes illégaux. — J.S.
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Après un lent démarrage, l’équipe juridique de Trump est maintenant bel et bien lancée, et elle entend démontrer que l’élection du 3 novembre a vraiment été remportée par son homme.
En Pennsylvanie, une juge courageuse a stoppé la certification des résultats tant qu’elle examinera les preuves de la fraude. Elle voudra peut-être poser cette question au secrétaire d’État démocrate : si seulement 1,8 million de bulletins de vote par voie postale ont été demandés, comment est-il possible que vous en ayez reçu 2,5 millions par la poste ?
Dans le Wisconsin, un juge examine une requête visant à rejeter 150 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux. Cet effort est mené par Phil Kline du projet Amistad. Les pro-vie se souviendront des efforts déployés depuis des années par le procureur général du Kansas, Phil Kline, pour dénoncer les avortements tardifs et poursuivre le Planning familial dans cet État il y a quelques années.
En Géorgie et au Michigan, le procureur préféré des Américains, Sidney Powell, a lâché le Kraken. Ses deux poursuites sont remplies d’exemples choquants de fraude électorale sur plus de cent pages chacune, et elles s’accompagnent d’une pléthore de déclarations sous serment.
Lire la suiteJoe Biden corrompu par la Chine communiste ?
Joe Biden.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Phil Roeder/Flickr
Vous avez sans doute entendu parler du scandale causé par les révélations tirées (d’une manière assez curieuse il est vrai…) du propre portable de Hunter Biden, fils du candidat démocrate aux présidentielles américaines, Joe Biden.
Facebook et Twitter bondirent comme de beaux diables sur l’article du New York Post qui répandait des rumeurs de corruption, de fraudes et de conflits d’intérêts sur la famille Biden, piochés dans les courriels de Biden junior : censure, sec et net !
L’ancien maire de New York, Rudy Giuliani, ancien procureur fédéral, maintenant conseiller en sécurité informatique du président Donald Trump, se fit remettre une copie du disque dur du portable de Biden junior et en documente soigneusement le contenue — tout en relâchant quelques bribes, selon LifeSiteNews :
Lire la suiteGiuliani a publié bombe sur bombe dans une vidéo publiée mercredi soir après que les médias eussent fait de leur mieux pour censurer l’article du N.Y. Post - rendant l’évidence de la censure des médias sociaux encore plus accablante pour ceux qui essayent de la cacher au public. Depuis qu’il a reçu la copie du disque dur, Giuliani s’est mis à la parcourir, documentant et préparant soigneusement sa poursuite. Ce qu’il dit avoir trouvé, c’est la preuve réelle des paiements, du système de blanchiment d’argent qu’ils [la famille Biden] ont utilisé, « l’argent illégal pour les pots-de-vin », et comment « une partie de cet argent d’Ukraine... est allé à Joe Biden ».
Comme un procureur qui expose l’affaire, Giuliani commence sa vidéo avec ceci : « Dans les jours à venir, vous verrez des textes, des courriels et des photos qui montrent les crimes commis par la famille criminelle Biden — en Chine (probablement pour la plus grande part), en Russie et dans plusieurs autres pays ».
France : Facebook censure un commentaire pro-vie sur la loi bioéthique
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : memyselfaneye/Pixabay
C’est par le biais de CheckNews, instrument de « vérification » du journal Libération, que Facebook a estampillé « fausse nouvelle » le commentaire de Jean-Pierre Denis directeur de la revue La Vie. Pour lui qui se dit n’être pas de droite à défaut de se classer politiquement c’est une brusque révélation, la censure n’est pas réservée aux journaux ou aux hommes de droite, et pour les informations réellement fausses ! Non, après 25 ans passés dans le métier, il apprend que même la vérité est passible de censure, peu importe à peu près qui la répand. Son crime ? Avoir dénoncé l’amendement voté sans débat qui permet d’avorter jusqu’à la naissance sous prétexte de détresse « psychosociale ». Selon Présent :
« Fake news ! » a hurlé Libération, expliquant en substance que ce n’est pas l’IVG qui peut se pratiquer jusqu’au dernier jour grâce à cet amendement mais l’IMG, non pas l’interruption volontaire de grossesse, mais l’interruption médicale de grossesse, nuance ! Le problème, comme l’avait très bien relevé Denis, mais qu’il lui est donc interdit d’expliquer sur les réseaux sociaux, c’est que cet amendement a pour but de permettre l’avortement aux femmes qui voulaient avorter et qui n’ont pu le faire pendant la période du confinement. Nous sommes donc en plein dans l’IVG. Le confinement est fini, mais l’amendement restera. C’est même pire que cela : car sans attendre que l’amendement soit voté, le ministre de la Santé Véran avait diffusé un courrier permettant de recourir à l’avortement en dehors des délais légaux. Il a donc anticipé la loi. A partir du moment où des arguments psychosociaux permettent l’avortement jusqu’au dernier jour, cela signifie, dans la pratique, que l’avortement devient possible, optionnel, jusqu’au dernier jour. Il y a donc bien une nouveauté inscrite dans la loi.
Les moindres faits sont rejetés par Libération, révèle Présent :
Libération soutient également que le journaliste de La Vie ment quand il écrit que la loi a été votée en catimini. Pourtant cela fait trois ans que dure le processus de révision de la loi bioéthique, et jamais un tel amendement n’avait été discuté. Il a été voté de nuit, en présence de 50 députés, peut-être.
Facebook et Instagram censurent toute promotion de la thérapie réparative
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Facebook et Instagram, ainsi que d’autres entreprises, censurent la promotion de la thérapie réparative, aussi appelée « thérapie de conversion » avec une intention péjorative. Pourtant, celles dont il est question ne sont pas violentes, n’emploient pas d’électrochocs ou autres moyens brutaux, mais bien un secours verbal afin d’aider les personnes désirant rejeter l’attirance pour les gens de même sexe. Selon LifeSiteNews :
Facebook et sa plateforme de photos Instagram interdisent tout contenu promouvant un traitement visant à surmonter les attirances non désirées envers les personnes de même sexe, annonce le géant de l’internet.
L’interdiction s’inscrit dans le cadre de sa politique de lutte contre les « discours de haine », rapporte CNN, et fait suite à une controverse entourant l’organisme chrétien britannique Core Issues Trust, qui « travaille avec des personnes cherchant volontairement à passer d’un mode de vie “gay” à un mode de vie confirmant dans le genre ».
« L’Église du Christ a la responsabilité de soutenir, avec patience, compréhension, sensibilité et respect, les personnes qui ont choisi de travailler sur les questions qui les ont conduits à la pulsion homosexuelle », affirme le groupe. « Le processus de changement est souvent extrêmement douloureux et nécessite le soutien de guides compétents et d’une communauté aimante promouvant l’intégralité et la restauration ».
Cette position est haineuse, selon Instagram.
« Nous ne permettons pas les attaques contre les personnes basées sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre et nous mettons à jour nos politiques pour interdire la promotion des services de thérapie de conversion », tranche Tara Hopkins, directrice des politiques publiques d’Instagram pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique. « Nous avons retiré les contenus violents de @coreissuestrusttv. Nous sommes toujours en train de revoir nos politiques et nous continuerons à consulter des experts et des personnes ayant de l’expérience personnelle pour éclairer notre approche ».
Facebook et Instagram ne sont pas seuls à jouer aux censeurs :
« Nous avons déjà subi ce traitement de la part de Mailchimp, de PayPal et de Facebook. Et dans chaque cas, la réponse aux plaintes a été instantanée et unilatérale », déclare Mike Davidson, fondateur du Core Issues Trust, au Christianity Today. « Je pense aussi que cette censure met en évidence la nature totalitaire du mouvement de gauche LGBT [...] »
« Nous assistons effectivement à l’épanouissement du marxisme culturel », prévient-il. « C’est une révolution marxiste sous nos yeux [...] »
En effet, on peut bien trouver que l’idéologie LGBT est d’inspiration marxiste, comme le soulignait Mgr Marek Jędraszewski l’archevêque de Cracovie : « La peste rouge ne parcourt plus notre terre, heureusement, mais cela ne signifie pas qu’une nouvelle peste ne veuille contrôler nos âmes, nos cœurs et nos esprits. Non pas marxiste, bolchevique, mais née du même esprit. Pas rouge, mais arc-en-ciel ». Au fond je dirais que c’est la continuation du marxisme plutôt que son rejeton.
Comment ne pas souligner le parti pris évident pour l’anormalité, le contre nature et l’immoral dans cette censure. Les homosexuels, si on tient absolument à désigner des gens selon le fait qu’ils sont attirés par les personnes de même sexe, n’auraient-ils pas autant le droit, aux yeux de la société libérale, que les femmes à « disposer » de leur corps, ou bien plus, de leur esprit ? Les unes ne peuvent être obligées à « garder une grossesse non voulue »* et les uns devraient être obligés de garder une attirance non voulue ? Ça sent l’« homophobie » à plein nez… Sans compter que la même société va accepter les « transitions » homme-femme, femme-homme comme si mutiler et empoisonner son corps n’était rien.
Et c’est là que l’on voit la dictature, l’on ne veut pas seulement qu’il puisse y avoir un « droit » à l’homosexualité, on veut que ceux qui tombent dedans y restent obligatoirement.
*Une grossesse, en fait, se garde elle-même, d’où l’absurdité de l’expression. — A. H.
Zuckerberg admet qu'il y avait «clairement un parti pris» dans la «vérification» par Facebook d’un groupe pro-vie
Mark Zuckerberg.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
On se doutait déjà d’un certain parti pris dans l’attitude de Facebook par rapport aux groupes pro-vie, bien avant que M. Zuckerberg ne nous l’avoue. Extrait de LifeSiteNews :
Le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, a admis qu'un parti pris a joué un rôle dans la récente suppression de contenu de Live Action sur Facebook, basée sur la parole d'une paire de militants de l'avortement, a déclaré le sénateur républicain Josh Hawley du Missouri après une réunion au Capitole avec Zuckerberg, mais celui-ci refuse de soumettre cette question à un contrôle véritablement indépendant.
Plus tôt ce mois-ci, Facebook a avisé le groupe pro-vie qu'il serait assujetti à « une distribution réduite et à d'autres restrictions en raison de propagation répété de fausses nouvelles », une décision prise parce qu'une paire d'avorteurs affiliés aux groupes pro-avortement Advancing New Standards in Reproductive Health (ANSIRH) et Physicians for Reproductive Health ont contesté deux des vidéos du groupe pro-vie. Live Action a répondu en expliquant en détail comment les deux avorteurs ont déformé les vidéos en question dans leurs propos.
La semaine dernière, Hawley et trois autres sénateurs républicains ont envoyé une lettre au fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, faisant remarquer que l'incident viole la politique du réseau social qui stipule de faire certifier l'impartialité des vérificateurs par le biais du International Fact-Checking Network (IFCN) (Réseau international de vérification des faits), et demandant une vérification externe. Le mois dernier, Facebook a publié le premier rapport d'une équipe de vérification qu'elle a engagée, que les sénateurs ont qualifié de « simple résumé des plaintes contre Facebook et ses réponses ».
Jeudi, Zuckerberg a rencontré Hawley pour discuter de la question, après quoi ce dernier a tweeté que le fondateur de Facebook a reconnu qu'il y avait « clairement un parti pris » dans l'affaire, ce qui est : « un problème avec lequel nous avons lutté depuis longtemps ». Cependant, Zuckerberg a refusé d'ouvrir Facebook à un « vérificateur tiers parti indépendant sur la question de la censure ».
Facebook censure une citation de saint Augustin comme «discours haineux»
Saint Augustin.
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie
Californie, 15 juillet 2019 (LifeSiteNews) — La décision de Facebook d’interdire une citation pacifique de saint Augustin d’Hippone, théologien et philosophe catholique du Ve siècle, n’a pas manqué de surprendre un auteur catholique.
Constatant que deux amis prêtres avaient été censurés par le géant des médias sociaux pour avoir affiché des conseils pastoraux du saint, Dominic Bettinelli, pro-vie du Massachusetts, a publié les mêmes mots sur sa page Facebook vendredi dernier. Puis, lui aussi a été averti que le message allait à l’encontre des « Normes communautaires sur le discours haineux » de Facebook.
La citation jugée si offensante par Facebook est la suivante :
Ne prétendons aucunement que notre vie est vertueuse et que nous sommes sans péché. Pour que notre vie mérite l’éloge, demandons pardon. Les hommes sans espérance, moins ils font attention à leurs propres péchés, plus ils sont curieux des péchés d’autrui. Ils ne cherchent pas ce qu’ils vont corriger, mais ce qu’ils vont critiquer. Et puisqu’ils ne peuvent pas s’excuser, ils sont prêts à accuser les autres.
La citation, expliqua Bettinelli dans un billet de blogue spirituel sur l’accusation de « discours haineux », provient d’une homélie du saint inclus dans la Liturgie des heures catholique romaine, aussi connue sous le nom d’Office divin.
« Discours de haine ? » s’interrogeait Bettinelli. « C’est le contraire d’un discours de haine. Cela demande aux gens de cesser de se concentrer sur les péchés des autres et de se concentrer sur leurs propres péchés. Augustin est en train de reformuler les paroles évangéliques de Jésus : “Pourquoi vois-tu la paille dans l’œil de ton frère et ne vois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? (Matthieu 7:3).” »
Lire la suiteUn informateur révèle que Google fausse les résultats de recherche, démonétise et relègue les contenus pro-vie
Par pour une école libre au Québec ― Photo : Mike MacKenzie/www.vpnsrus.com
Des documents internes à Google révèlent que les employés du géant des médias sociaux Google ont qualifié de « nazis » des personnalités politiquement conservatrices telles que Jordan Peterson et Ben Shapiro. Ils ont, en outre, indiqué comment des algorithmes permettent de réduire la portée de ces personnalités. Une vidéo en caméra cachée montre également une cadre de Google responsable de l’« innovation responsable » qui reconnaît que l’entreprise tente d’empêcher qu’un autre « incident Trump » ne se reproduise lors des élections de 2020.
Vidéo de Projet véritas sous-titrée en français.
Prager et Shapiro, qualifiés de nazis, sont tous deux des Juifs pratiquants. Le courrier électronique divulgué avait été envoyé aux membres du groupe « transparence et éthique » de Google. Il demandait de supprimer le contenu des personnes susmentionnées de la « fonctionnalité de suggestion » de Google lorsque les utilisateurs effectuaient des recherches sur Internet à l’aide de Google.
Le projet Véritas a indiqué que le document divulgué semblait contredire l’affirmation d’un employé selon laquelle Google, selon ses termes, n’applique « aucun biais idéologique ou politique dans son classement de recherche ».
Shapiro a répondu à cette affirmation sur Twitter en mentionnant la PDG de YouTube, Susan Wojcicki : « Hé, Susan Wojcicki, nous aimerions en discuter avec vous. Pensez-vous que vos employés devraient cavalièrement étiqueter ceux qui s’opposent avec véhémence au suprématisme blanc de “nazis”, puis de créer des algorithmes qui utilisent de tels mensonges ? » Shapiro est un militant pro-vie et un critique fréquent de ce qu’on nomme l’alt-right et de certains groupes nationalistes.
Dans un courriel obtenu par le Projet Véritas, Liam Hopkins, employé de Google, écrivait : « Aujourd’hui, il suffit souvent d’une ou deux étapes pour tomber sur des nazis, si nous comprenons que PragerU, Jordan Peterson, Ben Shapiro et autres sont des nazis qui utilisent les mots codés à l’étape 1. Je peux recevoir ces recommandations, quel que soit le contenu de ce que je regarde et j’ai enregistré des milliers d’internautes partageant la même expérience. »
Lire la suiteRichard Martineau censuré sur Facebook
Richard Martineau.
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Facebook/Voici la source de la photo : Facebook
Richard Martineau s’est fait bannir pour une semaine de Facebook, et ce pour avoir dit qu’un homme ne pouvait pas accoucher. Ce qu’il a dit est vrai, si au moins Facebook le bannissait plutôt quand il dit des bêtises…
Je rajouterais à ce que M. Martineau affirme : le transgenrisme est mauvais, aussi bien pour les personnes qui s’en réclament que pour la société. — A. H.
La rectitude politique a frappé à nouveau, et ce, sous le couvert de la lutte aux messages « haineux ».
Le compte personnel du chroniqueur Richard Martineau a été banni pour une semaine du réseau social Facebook. Il s’est exprimé à ce sujet par le biais d’une vidéo qui a été diffusée sur le compte Facebook de QUB radio. La voici ci-dessous. Qu’en pensez-vous ?