Les employés de Meta protestent contre le retrait des tampons des toilettes pour hommes
Par Sarah Holliday (republié par LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pkanchana/Adobe Stock
4 février 2025 (The Washington Stand) — Meta, la société mère de Facebook, est récemment devenue l’une des nombreuses organisations qui mettent au rebut leurs politiques de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI).
Selon Breitbart, la décision du PDG Mark Zuckerberg de retirer les tampons des toilettes pour hommes dans les bureaux de Silicon Valley, du Texas et de New York fait partie de ce mouvement de « retour sur la voie de la raison ». Le média ajoute que ces tampons étaient « auparavant fournis [...] aux employés non binaires et transgenres qui (utilisaient) les toilettes pour hommes, mais (avaient) besoin de serviettes hygiéniques parce qu’ils étaient des femmes ».
Selon certaines informations, des employées trans ont décidé de protester en apportant leurs propres produits d’hygiène féminine dans les toilettes pour hommes. Le New York Times écrit : « Pour protester contre les actions de M. Zuckerberg, certaines employées de Meta ont bien vite apporté leurs propres tampons et serviettes hygiéniques dans les toilettes pour hommes, ont déclaré cinq personnes au fait de cette initiative. Un groupe d’employés a également fait circuler une pétition pour sauver les tampons ».
Apparemment, cela fait partie d’une série plus large de « rébellions discrètes que les travailleurs de la Silicon Valley ont mises en place alors qu’ils sont aux prises avec le virage à droite de leurs patrons ». Mais comme le souligne le Times, outre Zuckerberg, plusieurs autres figures de la Big Tech, comme le PDG de X « Elon Musk, le fondateur d’Amazon Jeff Bezos, le directeur général de Google Sundar Pichai, le directeur d’Apple Tim Cook et le cofondateur de Google Sergey Brin ont accueilli » le président Donald Trump et adopté son éloignement des agendas de gauche.
Lire la suiteNombre de grandes entreprises soutiennent depuis longtemps l’avortement et le contrôle de la population
Par Sam Dorman — Traduit par Campagne Québec-Vie
24 mars 2022 (LifeSiteNews) — Les récents projets de loi pro-vie se sont tacitement appuyés sur les tracas que rencontrent les femmes lorsqu’elles traversent les frontières d’un État pour obtenir un avortement. Les délais, les coûts et d’autres facteurs peuvent les empêcher d’obtenir la procédure, car elles ne peuvent plus avoir recours à l’avortement dans leur propre État.
C’est ce qui s’est produit au Texas, où la loi controversée sur le battement de cœur a apparemment provoqué un exode de femmes cherchant à se faire avorter dans l’Oklahoma, le Colorado et la Louisiane. Bien que le Texas ait publié des données sur la chute vertigineuse du nombre d’avortements depuis l’entrée en vigueur de la loi, on ne sait pas exactement combien de femmes ont accouché alors qu’autrement elles ne l’auraient pas fait. Heureusement pour la gauche, ses alliés du monde des affaires parviennent à garantir un accès [à l’avortement] là où le mouvement pro-choix ne parvient pas à le faire.
L’une des plus grandes banques d’investissement du monde, Citigroup, a annoncé cette semaine qu’elle financerait les déplacements (billets d’avion, etc.) des employées souhaitant avorter.
Dans un document public, la banque a déclaré que « les changements dans les lois sur les soins de santé génésique dans certains États » l’avaient incitée à « fournir des prestations de voyage pour faciliter l’accès à des ressources adéquates ». Citigroup compterait plus de 8 500 employés au Texas, où un tribunal a effectivement laissé en vigueur la loi [limitant] l’avortement.
On pourrait penser que le financement des voyages liés à l’avortement permet avant tout aux entreprises de diffuser une image de justice sociale dans la presse et d’éviter le boycottage de « wokistes ». Mais la fin de la vie d’un autre être humain offre bien plus de gains potentiels pour les entreprises. C’est du moins ce qu’indique le RHIA Group, une société d’investissement pro-choix qui a fait « l’analyse de rentabilité » de l’avortement et d’autres formes de « santé reproductive » en 2020.
Lire la suiteQui possède presque tous les grandes entreprises pharmaceutiques et les grands médias? Vous ne devinerez jamais
Par le Dr Joseph Mercola (republié par LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Note de LifeSite : Les opinions et informations fournies dans cet article et la vidéo incluse ne représentent pas nécessairement les opinions de LifeSite. Il s’agit d’une présentation très complexe que nous ne sommes pas en mesure de vérifier totalement et il se peut que nous soyons en désaccord ou que nous remettions en question certains éléments présentés. Cependant, nous suggérons qu’elle vaut la peine d’être analysée, en particulier compte tenu de tout ce que LifeSite a appris et rapporté sur les efforts visant à imposer un Nouvel Ordre Mondial, la Grande Réinitialisation et l’exploitation du COVID-19 et de ses vaccins.
La principale affirmation douteuse est que les deux sociétés d’investissement massif « possèdent » ou ont la « propriété » de toutes les sociétés dans lesquelles elles ont des investissements. LifeSite n’est pas en mesure de répondre de manière adéquate à cette affirmation, étant donné l’ampleur époustouflante de cette toile très enchevêtrée de relations entre grandes entités financières. Nous supposons que l’auteur estime que leurs énormes investissements et leur réseau de relations avec de nombreux partenaires parmi les plus riches du monde donnent à ceux qui contrôlent les sociétés d’investissement géantes Vanguard et Blackrock un degré plus dangereux de contrôle pratique ou de « gestion » d’un grand pourcentage des principales entités corporatives du monde, plutôt qu’une « propriété » de facto de celles-ci.
Malheureusement, Joseph Mercola n’a pas voulu clarifier auprès de LifeSite son affirmation selon laquelle les deux sociétés d’investissement géantes « possèdent » Big Pharma et Big Media, bien que nous comprenions qu’elles « possèdent » des pourcentages importants, voire souvent faibles, mais toujours pratiquement significatifs du total des actions de nombreuses sociétés parmi les plus influentes du monde. Il s’agit bien d’un degré de « propriété », ou d’un pied utile dans la porte des entreprises dans lesquelles ils investissent. Cela peut à son tour conduire à un contrôle pratique des 20 000 milliards de dollars de valeur des actifs de toutes ces sociétés par ceux qui ont des décennies, et dans certains cas comme les Rothschild, même plus de 300 ans d’expérience continue dans l’exploitation d’une telle « propriété » vaguement définie pour assurer la réalisation de leurs plans de changement financier, politique et social à long terme.
Ainsi, le mot « propriété » semble avoir une signification nuancée dans l’article de Mercola, qui reste très important.
Malgré le manque de clarté de la terminologie utilisée, nous pensons que l’article mérite d’être pris en considération, notamment au vu de tout ce que LifeSite a rapporté sur le Nouvel Ordre Mondial, le Great Reset et l’exploitation internationale en cours du COVID-19. L’influent Forum économique mondial, qui compte parmi ses membres plus de 300 des personnes les plus riches et les plus puissantes du monde, est le principal moteur de la révolution mondiale dite Global Reset qui utilise explicitement et ouvertement la pandémie du covid pour accélérer sa révolution du monde vers une « nouvelle normalité » de vie que certains ont décrite comme un esclavage mondial des masses par l’élite.
Le COVID-19 : The Great Reset du fondateur du FEM, Klaus Schwab, et son complémentaire Shaping the Fourth Industrial Revolution pourraient un jour être considérés comme l’équivalent du Manifeste communiste de Karl Marx et Friedrich Engels et de Mein Kampf d’Hitler en tant que cause de la révolution mondiale.
L’exposition imparfaite par Mercola des relations incestueuses entre les nombreuses entités financières mondiales prétendument « concurrentes », les multimilliardaires et les politiciens fantoches comprend suffisamment d’informations cruciales et valables pour aider les lecteurs à mieux comprendre le degré effrayant de coopération et d’organisation entre ces entités puissantes alors qu’elles se hâtent de mettre en œuvre de façon apparemment imminente leur démoniaque Grande Réinitialisation du Nouvel Ordre Mondial.
Steve Jalsevac
LifeSite
Qui possède presque tous les grandes entreprises pharmaceutiques et les grands médias ? Vous ne le devinerez jamais
L’histoire en un coup d’œil :
- Big Pharma et les médias grand public sont en grande partie détenus par deux sociétés de gestion d’actifs : BlackRock et Vanguard.
- Les entreprises pharmaceutiques sont à l’origine des réponses au COVID-19 — qui toutes, jusqu’à présent, ont mis en danger plutôt qu’optimisé la santé publique ─ et les médias grand public ont été des complices consentants dans la diffusion de leur propagande, un faux récit officiel qui égare le public et alimente la peur sur la base de mensonges.
- Vanguard et BlackRock sont les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.
- BlackRock et Vanguard forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce qui vous vient à l’esprit. Au total, ils détiennent des participations dans 1 600 entreprises américaines, dont les revenus combinés s’élevaient à 9 100 milliards de dollars en 2015. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les entreprises du Standard & Poor’s 500.
- Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock. Vanguard lui-même, d’autre part, a une structure unique qui rend sa propriété plus difficile à discerner, mais beaucoup des familles les plus anciennes et les plus riches du monde peuvent être liées aux fonds Vanguard.
Entrevue avec le Dr Zelenko médecin à l’origine du traitement par HCQ et zinc contre le COVID-19 aux États-Unis
Entrevue de Claire Chrétien (à gauche) de LifeSiteNews avec le Dr Vladimir Zelenko (à droite).
Par David McLoane — Traduit par Campagne Québec-Vie
Correction importante : Cet article indiquait à l’origine, à tort, que le Dr Zelenko recommandait « corcidin, vitamine C, vitamine D et zinc » comme protocole de traitement du COVID. Nous corrigeons : le premier élément est en fait la quercétine et NON la corcidine. Nous nous excusons pour l’erreur résultant de la transcription de l’audio.
De plus : Dans l’entrevue vidéo, le Dr Zelenko mentionne que Michael Yeadon a déclaré que la plupart des personnes vaccinées avec les vaccins Covid-19 mourront dans les 2 ans suivant la vaccination. C’est plutôt le professeur Dolores Cahill qui a fait cette déclaration, à propos de laquelle le Dr Yeadon a été enregistré déclarant qu’il « n’irait pas aussi loin ».
9 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Le Dr Vladimir Zelenko, ce médecin de Monsey, dans l’état de New York, qui a été le premier à utiliser l’hydroxychloroquine (HCQ) et le zinc comme traitement du COVID-19, a accordé une longue entrevue à LifeSiteNews pour expliquer pourquoi ce protocole a donné de si bons résultats. S’adressant à Claire Chrétien de LifeSite, Zelenko a parlé des vaccins contre le coronavirus et du « groupe de sociopathes » qui veut administrer ces injections au monde entier, ainsi que de la censure généralisée des informations sur le traitement du virus.
Dr Zelenko est médecin de famille depuis deux décennies dans le nord de l’État de New York. Le COVID-19 a balayé cette région lors de l’apparition de l’épidémie de coronavirus en mars 2020. À l’époque, les patients les plus gravement atteints du coronavirus de Wuhan étaient mis sous respirateur, mais « 80 à 90 % des personnes sous respirateur mouraient, ce n’était donc pas un très bon protocole de traitement », a noté Dr Zelenko.
Sur les 3 000 patients positifs au COVID dont il s’occupait, Dr Zelenko en a identifié 1 000 comme étant « à haut risque », mais son intervention médicale à base d’HCQ et de zinc a « réduit [leur] taux de mortalité de 7,5 % à moins de 0,5 % ».
« Cela représente une réduction de 84 % des hospitalisations et des décès. »
« Sur les 600 000 Américains décédés, nous aurions pu en empêcher 510 000 d’aller à l’hôpital et de mourir. »
Pourtant, ce protocole n’a pas été largement adopté par la communauté médicale. De nombreux Américains qui ont attrapé le coronavirus ont constaté que leurs médecins ne voulaient pas leur prescrire d’hydroxychloroquine ou que les pharmaciens ne voulaient pas en exécuter les ordonnances.
« L’HCQ a été adoptée par des médecins de renommée mondiale qui sont honnêtes et capables de raisonnement déductif et qui ne sont pas endoctrinés », a déclaré Zelenko à LifeSite, mais « malheureusement, 90 % des médecins de ce pays sont incapables d’une pensée indépendante ».
« Le résultat net est qu’ils suivent aveuglément les recommandations de leurs employeurs ou des agences gouvernementales sans faire appel au bon sens. Ils ne font que suivre les ordres, comme le faisaient les nazis. »
Lire la suiteTrump va poursuivre Google, Facebook et Twitter pour l’avoir banni de leur plateforme, lui et d’autres Américains
Donald Trump.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Shealah Craighead/White House/Flickr
Bedminster, New Jersey, 7 juillet 2021 (LifeSiteNews) — L’ancien président Donald Trump a annoncé mercredi qu’il intentait un recours collectif contre le PDG de Google Sundar Pichai, le PDG de Facebook Mark Zuckerberg et le PDG de Twitter Jack Dorsey pour l’avoir banni de leurs plateformes de médias sociaux.
M. Trump a annoncé qu’il serait le principal — mais non le seul — plaignant dans une action en justice visant à annuler son retrait forcé « et celui d’autres courageux patriotes » des plus grandes plateformes de communication du monde, ainsi qu’à obtenir des dommages-intérêts punitifs. Le procès sera soutenu par l’America First Policy Institute, une organisation relativement nouvelle dirigée par d’anciens collaborateurs de Trump, Linda McMahon et Brooke Rollins.
Trump a fait valoir que si les entreprises Big Tech sont techniquement des entités privées, cela ne rend plus compte de toute la réalité de la situation à la lumière de la « collusion » avec et de la « coercition » du gouvernement pour faire taire les ennemis politiques des démocrates, entre la règle fédérale Article 230, qui les exonère de toute responsabilité juridique pour le contenu des utilisateurs qu’ils autorisent, et la pression des politiciens démocrates. Le mois dernier, des fuites de courriels ont révélé que la campagne 2020 du président Joe Biden avait exhorté Facebook à supprimer une vidéo du fils de leur opposant de l’époque, Donald Trump junior.
Facebook et Twitter ont tous deux utilisé la [soi-disant]* émeute du 6 janvier au Capitole américain, dont les démocrates et leurs alliés ont tenté de faire valoir qu’elle avait été « incitée » par Trump, comme prétexte pour bannir ce dernier de la plateforme, prétendant craindre de nouvelles violences qui seraient soi-disant inspirées par les propos de Trump. En juin, à la suite des appels du soi-disant « conseil de surveillance » de l’entreprise à élaborer de nouvelles règles en la matière, le vice-président des affaires mondiales de Facebook, Nick Clegg, a annoncé « de nouveaux protocoles d’application à appliquer dans des cas exceptionnels » comme celui de Trump, et que l’interdiction de l’ex-président restera en vigueur jusqu’au 7 janvier 2023, deux ans après le début de sa suspension au début de cette année.
*Commentaire d'A. H.
Lire la suiteDans une riposte cinglante aux censeurs de Facebook, Trump laisse entrevoir son retour
Donald Trump.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr
4 juin 2021 (LifeSiteNews) — L’ancien président Donald Trump a réprimandé Facebook et son PDG Mark Zuckerberg d’avoir annoncé qu’il resterait banni de la plateforme pendant deux ans, qualifiant cela d’« insulte » à ses partisans. Il a également fait allusion à une nouvelle course à la Maison-Blanche.
Plus tôt dans la journée de vendredi, le vice-président de Facebook chargé des affaires mondiales, Nick Clegg, a annoncé « de nouveaux protocoles d’application qui seront appliqués dans des cas exceptionnels » comme celui de Trump, à commencer par la suspension de ce dernier de la plateforme, bannissement qui restera en vigueur jusqu’au 7 janvier 2023, soit deux ans après le début de sa suspension au début de cette année.
Facebook a utilisé l’émeute du 6 janvier au Capitole américain, dont les démocrates et leurs alliés ont tenté de faire valoir qu’elle avait été « incitée » par Trump, comme prétexte pour bannir ce dernier de la plateforme. Le mois dernier, le « Conseil de surveillance » de l’entreprise a annoncé qu’il confirmait la décision de Facebook, tout en qualifiant son caractère indéfini d’« arbitraire » et en appelant l’entreprise à « réexaminer cette question afin de déterminer et de justifier une réponse proportionnée qui soit conforme aux règles appliquées aux autres utilisateurs de sa plateforme » dans un délai de six mois.
Citant l’Oversight Board (un organe « indépendant » créé par Facebook lui-même l’année dernière), qui a confirmé que la suspension initiale de Trump par Facebook était « juste et nécessaire » et affirmant que le discours de Trump constitue un « risque pour la sécurité publique », M. Clegg a ajouté qu’à l’issue de cette période, Facebook pourrait prolonger la suspension de Trump en attendant une évaluation des « risques ». Si sa suspension est un jour levée, il sera alors soumis à un « ensemble strict de sanctions rapidement croissantes qui seront déclenchées si M. Trump commet d’autres violations à l’avenir, pouvant aller jusqu’à la suppression définitive de ses pages et de ses comptes ».
Lire la suiteFacebook exclut LifeSiteNews sous la pression de groupes de pression pro-avortement, pro-covid et pro-LGBT
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : tirachard/Freepik
Le plus gros site pro-vie anglophone, LifeSiteNews (50 millions de lecteurs) a été définitivement exclu de Facebook mardi dernier [4 mai], sans avertissement et sans appel, pour violation des « règles de la communauté ». Il est reproché à LifeSite d’avoir publié « de fausses informations sur le COVID-19 qui pourraient entraîner des dommages physiques », ainsi que des messages « décourageant » de recevoir le « vaccin » anti-COVID.
L’article incriminé était une tribune portant sur une analyse des données de pharmacovigilance des Etats-Unis relatives à des décès à la suite d’une vaccination et consistait pour l’essentiel en un copié-collé des cas présentés par le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System).
Il décrivait également les hypothèses sur le lien entre la gravité et le nombre des effets secondaires et le fait pour les personnes vaccinées d’avoir déjà été infectés par le SARS-CoV-2, consciemment ou à leur insu, citant une étude de King’s College présentée par le Daily Telegraph de Londres, soit une source « mainstream », et des anecdotes du même ordre rapportées par des médias locaux.
Des articles antérieurs publiés par LifeSite sur Facebook avaient déjà fait l’objet de signalements, en particulier ceux dénonçant le lien entre de nombreux vaccins (anti-COVID ou non) et l’avortement à travers l’utilisation de lignées de cellules fœtales obtenues à partir d’avortements pour leur développement ou leur production.
Vendredi, quatre puissants lobbies militant pour l’avortement, le « mariage » gay et les droits « LGBT » ont revendiqué la paternité de cette censure.
Un communiqué conjoint publié par Media Matters for America, les lobbies pro-LGBT Human Rights Campaign et GLAAD ainsi que NARAL Pro-Choice America affirme ainsi :
Lire la suite« Il a fallu faire pression pour que Facebook retire la page de LifeSiteNews, notamment en attirant l’attention sur la désinformation flagrante concernant le COVID-19 et les vaccins sur la page de LifeSiteNews, en compilant plus de 100 publications prouvant la violation répétée par LifeSiteNews des politiques connexes de Facebook, et en faisant appel à GLAAD, Human Rights Campaign, NARAL et Media Matters pour que Facebook agisse enfin. »
La piste hydroxy
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Les séquences révèlent le plan
Ayant fait une analyse exhaustive de la documentation liée au « Great Reset », pendant l’automne 2020, j’ai compris qu’un putsch planétaire se déroulait derrière la pandémie du COVID. Cette agression avait été mise en branle par le Forum Économique Mondial et était explicitement soutenue par nos gouvernants. Plusieurs événements individuels soulignent l’étendue de l’agression en cours. Mais ce sont les séquences d’événements qui révèlent son niveau d’organisation. En effet, ce ne sont pas des événements individuels qui indiquent qu’une action est concertée mais leur agencement. Celui-ci sert, en quelque sorte, de fil conducteur.
Je décrirai ici un de ces fils conducteurs qui nous font percevoir l’étendue et aussi le degré d’organisation du putsch mondialiste en cours. Parmi ces fils, j’aurais pu choisir la destruction systématique du processus électoral américain et de la présidence de Donald Trump ou encore, l’utilisation planétaire coordonnée de slogans mondialistes. Cependant, la trame que j’ai plutôt choisie est l’une des plus simples des plus révélatrices. Il s’agit des événements entourant l’utilisation de l’Hydroxy Chloroquine (HCL), comme traitement, en phase initiale, de la COVID.
Avant la pandémie, le HCL était une drogue peu coûteuse, connue depuis 60 ans, utilisée par des millions de personnes comme remède contre la malaria, considérée comme sécuritaire et vendue sans prescription (comme l’aspirine) dans de nombreux pays. À la fin de mars 2020, au tout début de la pandémie, certains résultats préliminaires publiés par des chercheurs renommés semblaient indiquer que le HCL serait peut-être efficace comme traitement contre la COVID. Toute une série d’événements et de décisions a suivi. Voici une chronologie sommaire des événements principaux.
Lire la suiteDe retraité à complotiste
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Un an de bouleversements
Au début de mars 2020, j’étais un retraité normal vivant dans une société paisible, démocratique et bienveillante. Je croyais que les médias étaient généralement crédibles, que nos élus servaient leurs citoyens et que nos partis d’opposition étaient des partis d’opposition. Je voyais les GAFAM (Google, Facebook et compagnie) comme de simples pourvoyeurs de contenu. Je pensais que les milliardaires du Forum Économique Mondial s’amusaient à « refaire le monde », à Davos les automnes, parce qu’il faisait trop froid pour le yacht et trop chaud pour le ski. À cette époque, je pensais que Qanon était une faute d’orthographe et que les « complotistes » étaient des gens qui ne savaient pas faire la différence entre les nouvelles et le cinéma. Globalement, je percevais un monde où il y avait suffisamment de diversité d’opinions, de compétition commerciale et de rigueur académique pour assurer la liberté de tous. Enfin et surtout, j’étais convaincu que ça prenait une guerre, une famine ou une crise économique pour pousser un peuple vers la catastrophe totalitaire. J’étais donc certain qu’un pays aussi paisible et prospère que le Canada était à l’abri, pour toujours, de tels bouleversements.
Aujourd’hui, quatorze mois plus tard, je pense que nos politiciens collaborent intentionnellement à un putsch mondialiste au service d’un agenda totalitaire fasciste, qu’ils ont décidé d’asservir leurs populations, de détruire nos droits et de pervertir nos enfants. Je considère que les médias sont des pourvoyeurs de propagande produisant un narratif de contrôle digne de la Pravda de Staline. Pour moi, maintenant, les « autorités » n’ont plus aucune crédibilité et les publications scientifiques les plus prestigieuses sont aussi les plus suspectes. Dans ma nouvelle réalité, le grand capital exerce une influence occulte et insidieuse qui pourrit toutes les sphères de l’activité humaine en influençant sans cesse la sélection des dirigeants. C’est un monde où les élites sont des collabos au service du Forum Économique Mondial. Autrement dit, plus ça vient de haut plus c’est faux.
Ouf ! L’an dernier j’étais un retraité qui pêchait l’éperlan dans un pays paisible ; me voici devenu un complotiste marginalisé en lutte contre un empire planétaire.
Lire la suiteLifeSiteNews banni de Facebook !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le média pro-vie LifeSiteNews s’est fait définitivement bannir de Facebook pour avoir publié sur cette plateforme de la réinformation au sujet du covid-19, allant à l’encontre des doctrines facebookiennes au sujet du virus couronné. Selon LifeSiteNews :
Facebook vient de bannir définitivement la page de LifeSiteNews. Sur sa plateforme. Il ne s’agit apparemment pas d’une mesure temporaire : elle est partie pour de bon.
Dans une série rapide d’avis et de courriels adressés au service de publicisation de LifeSiteNews, Facebook a annoncé la nouvelle choquante, accusant LifeSite de publier « de fausses informations sur le covid-19 qui pourraient contribuer à des préjudices physiques ».
Facebook a également déclaré qu’il retirait ses services aux pages qui publient « des informations décourageant la vaccination sur la plateforme. »
Facebook a cité un article publié le 10 avril 2021, intitulé COVID vaccines can be deadly for some (Les vaccins covid-19 peuvent être mortels pour certains).
LifeSiteNews s’était fait supprimer son compte YouTube dernièrement. Maintenant, ce média de réinformation est rendu sur les plateformes de Telegram, Gab (sur lesquelles nous sommes également), MeWe, Rumble et Brigheon (on peut aussi tout bêtement se rendre directement sur le site de LifeSiteNews, comme je le fais habituellement).
La censure se précise de plus en plus…