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Un pathologiste traumatisé après avoir vu un bébé avorté de trois livres dont le visage exprimait l’horreur

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Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Dans un article daté du 10 mars 2017, j’ai cité Abby Johnson, une ancienne directrice d’une clinique d’avortement Planned Parenthood, qui avait décrit comment elle et plusieurs de ses anciens collègues continuaient d’avoir des cauchemars après avoir quitté le domaine de l’avortement. De nombreux employés avaient des souvenirs traumatisants des tâches qu’ils exécutaient, comme, par exemple, la reconstitution des bébés avortés. Ceci devait être fait pour s’assurer qu’aucun morceau du bébé (bras, jambes, morceaux de crâne, etc.) ne restait dans le corps de la mère. Les morceaux qu’on oublierait peuvent causer une infection grave.

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Jordan Peterson et les jeunes « trans ». Et Debra Soh sur l'augmentation de ceux-ci

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Jordan Peterson, professeur et psychologue clinicien.

Par pouruneécolelibre

Extraits d’un entretien du professeur et psychologue clinicien Jordan Peterson (Université de Toronto) paru dans le National Post le 19 janvier 2018 :

— Une autre question de psychologie : Qu’en est-il de tous ces gens qui se disent transsexuels ou sans genre ?

Jordan Peterson. — Nous sommes en pleine épidémie psychologique. Cela se produit régulièrement. L’hystérie freudienne était une épidémie psychologique ; aujourd’hui on ne rencontre plus que très rarement des hystériques freudiens. Le trouble de la personnalité multiple est un bon exemple ; vous n’en voyez plus aujourd’hui.

— A-t-on déjà entendu parler, par le passé, de cette histoire de « genre » ?

Jordan Peterson. — Pas de mémoire d’homme.

— Je ne me souviens pas de gens comme ça de toute ma vie. Je connais des homosexuels bien sûr, et des travestis, mais ils semblent remarquablement bien ajustés.

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Quelque 500 prêtres et diacres s’engagent à enseigner la vérité sur le « genre » : au service de la doctrine catholique

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Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)

Notant que les avancées de l’idéologie du genre sont devenues « impossibles à ignorer », un groupe de plus de 500 prêtres et diacres catholiques du Royaume-Uni s’est solennellement engagé à « proclamer la doctrine catholique » dans ce domaine, et à « proposer un ministère pastoral dans la charité à ceux qui sont les plus touchés ». Cherchant à offrir une bonne orientation aussi bien au clergé qu’aux laïques face à ces avancées, ils veulent notamment faire comprendre comment y répondre alors que la confusion s’installe de plus en plus visiblement. Si bien que l’enseignement de la vérité devient un acte courageux.

La British Confraternity of Catholic Clergy a publié jeudi un communiqué annonçant cette initiative. La nouvelle confraternité observe que ses membres rencontrent « de plus en plus » d’individus dans leur paroisse qui se disent « incapables d’accepter leur sexe de naissance ». Souvent, ceux-ci croient « devoir changer de sexe afin de trouver le bonheur », constate le communiqué.

Enseigner la vérité sur le genre : la doctrine catholique contre l’idéologie du genre

Ceux qui osent leur rétorquer qu’ils ne peuvent pas changer de sexe sont « aussitôt taxés de haine et de sectarisme », ce qui conduit de nombreux catholiques et autres personnes de bonne volonté à entrer eux-mêmes dans un état de « confusion ou d’incertitude » par rapport à ce qu’ils doivent dire ou penser.

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Elle riait en allant a son 9e avortement. Mais quand on lui montra son bébé...

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Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Le livre d’Abby Johnson, The Walls Are Talking : Former Abortion Clinic Workers Tell Their Stories (Les murs nous parlent : Histoires d’anciennes employées de cliniques d’avortement), contient des témoignages d’anciennes employées ayant travaillé pour l’industrie de l’avortement. Ces histoires ont des thèmes différents, et chacune d’entre elles présente un évènement ayant marqué une employée. L’une de ces histoires, nommée « Frequent Flyers » (voyageuses fréquentes), concerne une jeune femme qui a eu neuf avortements.

L’auteur de ce chapitre, gardant l’anonymat, explique que les femmes venant se faire avorter à répétition à son lieu de travail se faisaient appeler « frequent flyers » par le personnel. Même si les employés étaient dévoués à promouvoir et à fournir des avortements, plusieurs d’entre eux avaient des sentiments de réprobation à l’égard de ces « frequent flyers ». L’ancienne employée raconte :

« Lorsqu’Angie est arrivée pour sa neuvième procédure, même ceux d’entre nous dont le salaire reposait sur ces avortements ont secoué la tête et ont dit “Vraiment? Tu es sérieuse?”

Bien que cela allât à l’encontre de ma propre idéologie, je voulais qu’Angie démontre un peu de remords. Je ne voulais pas éprouver ce sentiment envers les nombreuses femmes qui venaient pour deux, trois ou même quatre avortements, mais neuf? Cela, je le sentais, méritait au moins une minime expression de regret ou de honte. »

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M. Trudeau préparerait un plan contre les « fausses nouvelles »

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Justin Trudeau, premier ministre du Canada

Par Le Peuple — Source : The Toronto Sun / Photo : 2017 Canada Summer Games, Wikimedia, CC BY 2.0

C’est ce qu’a appris le Toronto Sun. Le travail incomberait à la ministre des Institutions démocratiques, Karina Gould.

Le Toronto Sun a appris que le gouvernement Trudeau était sérieux dans son désir de réguler les compagnies comme Facebook afin de contrer les « fausses nouvelles ». Il serait même aux premiers stades d’un plan d’action à cet égard. Le travail incomberait à la ministre des Institutions démocratiques, Karina Gould.

Rappelons qu’une rumeur court comme quoi M. Trudeau aurait averti le géant Facebook. Sans correction de ses problèmes de « fausses nouvelles », il se heurterait à une réglementation plus sévère de la part d’Ottawa.

Dans un courriel au Toronto Sun, une porte-parole pour Mme Gould, Nicky Cayer, a indiqué que malgré les efforts des réseaux sociaux, beaucoup de travail restait à faire afin de combattre les « campagnes étrangères de désinformation ». En ce sens, a-t-elle indiqué, le gouvernement Trudeau étudie les mesures adoptées ailleurs dans le monde pour déterminer ce qui fonctionne ou non et ce qui serait acceptable dans « un contexte canadien ».

Les intentions exactes du gouvernement Trudeau sont encore inconnues. Toutefois, des experts disent déjà craindre une dérive autoritaire de sa part. C’est que des informations pourraient être censurées non pas parce qu’elles seraient fausses, mais parce qu’elles seraient contraires à un certain point de vue, désormais placé au rang de Vérité.

En décembre 2017, on avait appris que Kevin Chan, le directeur des politiques publiques de Facebook, a eu au moins quatre rencontres et a participé à deux panels avec les ministres des Institutions démocratiques, des Petites Entreprises, de l’Environnement, des Finances et de la Condition féminine.

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Une 68e ambulance arrive à la clinique RHS Planned Parenthood… mais la ville donne la priorité à interdire le discours pro-vie

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Le 24 février 2018 : une ambulance vient pour répondre à une urgence médicale à la clinique RHS Planned Parenthood.

Par LifeSiteNews — traduit par Campagne Québec-Vie

26 février 2018, Saint-Louis, Missouri (Operation Rescue) — Les samedis sont généralement des jours très occupés dans les centres d’avortement comme dans celui du Reproductive Health Services Planned Parenthood (Services de Santé Reproductive Planned Parenthood) à Saint-Louis au Missouri, et le samedi 24 février 2018, n’a été pas différent des autres en cette mesure.

Ce qui l’a différencié des autres jours est que cette journée-là, alors que des jeunes militants pro-vie faisant partie du groupe de Students for Life priaient sur le trottoir à l’extérieur du centre d’avortements, une ambulance est arrivée et a emporté un patient de Planned Parenthood à l’hôpital.

Ce qui est si important à propos de cette ambulance est qu’elle est la soixante-huitième qui ait emporté une patiente de cette clinique depuis la mi-2009. Cela met le RHS Planned Parenthood au rang des pires cliniques du pays pour la sécurité des patientes demandant l’avortement.

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Le printemps fleurit tôt avec Campagne Québec-Vie !

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La photo n'est pas celle de la mère ou de l'enfant dont il est question dans le présent article.

Par Jeunesse Québec-Vie

Nous avons récemment contacté Joanie, la mère d’Isabelle (les noms ont été modifiés par respect à l’anonymat). Il y a un an, Isabelle était enceinte et envisageait un avortement. Étant encore étudiante, elle pensait qu’une grossesse surprise serait la fin de ses projets pour une vie heureuse.

Cependant, avec le soutien de Campagne Québec Vie, Isabelle a pris la décision courageuse de donner une chance à sa vie et de sauver son bébé Emilien. Ce 6 février, nous avons célébré une année de la vie de ce petit garçon, une année de nouvelles opportunités, de nouvelles joies et de nouvelles façons d’aimer!

Nous n’avons pas pu parler à Isabelle elle-même, car elle était à son université. Vous voyez, avec notre soutien et celui de sa mère, Isabelle a pu poursuivre ses études. Joanie nous a raconté comment le travail de CQV a donné à sa fille l’occasion de faire le meilleur choix et de donner à elle-même et à son bébé une chance dans la vie. En fait, ce soutien a fourni les nécessités de base pour élever un bébé. Cela a également permis à Isabelle d’embaucher une nounou pour qu’elle puisse étudier et travailler.

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Au moindre soupçon, des écoles considèrent les élèves comme transgenres

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Par pouruneécolelibre

Une psychologue à la seule clinique du genre pour enfants en Angleterre affirme que certains pourraient regretter leurs décisions par la suite.

Des enfants à peine âgés de 11 ans se voient offrir des traitements médicaux qui pourraient les rendre stériles, de déclarer une psychologue de la seule clinique en Angleterre et au Pays de Galles qui se spécialise dans le traitement des enfants qui veulent changer de genre.

Bernadette Wren, psychologue clinicienne consultante à la clinique du Gender Development Service (GIDS) à Londres, a déclaré que certaines écoles allaient trop vite pour permettre aux jeunes filles d’être traitées comme écoliers masculins et vice versa — à la simple demande de l’enfant. [Mme Wren n’est en rien opposée à ce genre de thérapie dans l’absolu, voir comment elle qualifie la clinique où elle travaille à la fin de l’article.]

Elle a déclaré que des écoles s’empressaient de permettre aux élèves de changer de nom, d’uniforme et de pronoms sexués dès qu’on « murmurait qu’un enfant pourrait s’interroger sur son identité » et que ce n’était pas dans l’intérêt de chaque enfant.

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Justin Trudeau est à la veille de légaliser le pot pour les enfants de 12 ans

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Justin Trudeau, premier ministre du Canada.

Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie

Ottawa, 13 février 2018 (LifeSiteNews) – Un groupe profamille a qualifié le projet de loi du premier ministre Justin Trudeau visant à légaliser le cannabis récréatif de « monstrueux » et d’« attaque dévastatrice » contre la société et les familles, et exhorte les Canadiens à faire pression sur le Sénat pour rejeter la loi proposée.

Encore plus flagrant, le projet de loi C-45, ou le projet de loi cannabis, présente des risques importants pour les enfants, a affirmé la vice-présidente de REAL Women of Canada, Gwen Landolt, dans une critique publiée sur le site internet du groupe.

Le projet de loi des libéraux permettrait aux enfants de plus de 11 ans de « librement posséder, utiliser, et même partager jusqu’à 5 grammes (10 joints) de marihuana à la fois, » a-t-elle souligné.

« Il n’y a absolument aucun recours si un mineur est aperçu ayant en sa possession, utilisant ou partageant de la marihuana » a écrit Landolt. « Un enfant peut littéralement prendre 10 joints de la cachette de ses parents, en distribuer à ses amis, retourner à la maison, en reprendre 10 autres, les distribuer et ainsi de suite. Cela affectera sévèrement les environnements scolaires et nos voisinages. »

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Métaétude — Différences entre les sexes dans les préférences des enfants en matière de jouets

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Par pouruneécolelibre

Selon une enquête publiée dans la revue Infant and Child Developement, dès leur plus jeune âge, la plupart des enfants choisissent de jouer avec des jouets typiquement associés à leur sexe.

Afin d’isoler les variables qui prédisent la préférence des jouets, les auteurs ont réalisé une méta-analyse des études d’observation de la sélection libre des jouets par les garçons et les filles âgés de 1 à 8 ans. D’un fonds initial de 1788 articles potentiels, 16 études (portant 787 garçons et 813 filles) répondaient aux critères d’inclusion des chercheurs.

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Ils ont constaté que les garçons jouaient plus avec des jouets de garçons que les filles (Cohen d = 1,03, p < 0,0001) et que les filles jouaient plus avec les jouets de filles que les garçons (Cohen : d = -0,91, p < 0,0001). La métarégression n’a montré aucun effet significatif de la présence d’un adulte, du contexte de l’étude, de la localisation géographique de l’étude, de la date de publication, de l’âge de l’enfant ou de l’inclusion de jouets neutres. Cependant, une analyse plus poussée des données sur les garçons et les filles a révélé que les garçons plus âgés jouaient plus avec les jouets de type masculin qu’avec les jouets de type féminin (β = 0,68, p < 0,0001).

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