Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wheeler Cowperthwaite/Flickr
Au Canada, jusqu’à récemment, la prescription de la pilule abortive RU-486 (limité à 7 semaines de grossesse auparavant et maintenant à 9 semaines, pour le malheur des femmes et de leur enfant à naître) requérait une échographie pour dater l’âge de l’enfant à naître si celui-ci était inconnu, et pour repérer les grossesses extra-utérines auquel cas la prescription est interdite. Mais le gouvernement canadien, désireux de rendre ce pesticide antihumain plus accessible, largue ce qui lui reste de prudence face à ce produit dangereux. Un plus grand nombre d’enfants à naître mourra par ce moyen, et un plus grand nombre de femmes aussi… Car, d'après Gènéthique :
Cependant, afin de faciliter l’accès à cette pilule, en particulier dans les régions où les délais pour une échographie sont plus longs, le ministère de la santé canadien vient de revenir sur cette obligation dans un communiqué. Les prescripteurs devront se fier à leur seul diagnostic pour déterminer l’âge gestationnel et exclure une grossesse extra-utérine.
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