Au Canada, l’accès à la pilule abortive est facilité
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wheeler Cowperthwaite/Flickr
Au Canada, jusqu’à récemment, la prescription de la pilule abortive RU-486 (limité à 7 semaines de grossesse auparavant et maintenant à 9 semaines, pour le malheur des femmes et de leur enfant à naître) requérait une échographie pour dater l’âge de l’enfant à naître si celui-ci était inconnu, et pour repérer les grossesses extra-utérines auquel cas la prescription est interdite. Mais le gouvernement canadien, désireux de rendre ce pesticide antihumain plus accessible, largue ce qui lui reste de prudence face à ce produit dangereux. Un plus grand nombre d’enfants à naître mourra par ce moyen, et un plus grand nombre de femmes aussi… Car, d'après Gènéthique :
Cependant, afin de faciliter l’accès à cette pilule, en particulier dans les régions où les délais pour une échographie sont plus longs, le ministère de la santé canadien vient de revenir sur cette obligation dans un communiqué. Les prescripteurs devront se fier à leur seul diagnostic pour déterminer l’âge gestationnel et exclure une grossesse extra-utérine.
Des jumeaux survivent miraculeusement à une grossesse extra-utérine
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
5 janvier 2016 – En janvier 2013, Natalie Whitefox se faisait dire qu’elle souffrait d’une troisième grossesse extra-utérine et qu’elle devait avoir recours à une chirurgie qui lui enlèverait sa dernière trompe de Fallope de même que l’embryon qu’elle portait. Pourtant, contre toute attente, son bébé miracle se déplaça jusqu’à son utérus, juste avant la chirurgie, puis les médecins apprirent que ce n’était non pas un seul bébé, mais bien deux.
“J’étais stupéfaite,” rapporta-t-elle au Mirror. “Ce fut la meilleure des nouvelles. Nous étions partis du fait où nous pensions avoir perdu notre enfant pour découvrir que nous allions avoir des jumeaux. On ne sait comment, mais nos enfants avaient survécu. Je ne faisais que pleurer, mais cette fois, c’était des larmes de joie.”
Lire la suiteLe traitement d'une grossesse extra-utérine n'est pas un avortement
Par Rebecca Downs de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Le mouvement pro-avortement a tendance à interpeller les gens sur les «cas difficiles». C'est-à-dire avec des exceptions comme le viol, l'inceste et spécialement dans les cas de «la vie de la mère». Cependant, comme le montre l'analyse des sondages, même avec plus d'Américains se considérant pro-choix, plusieurs sont plus pro-vie qu'ils ne pensent.
Mais qu'en est-il des cas qui impliquent la vie de la mère? Il y a des Américains qui sont pro-vie sans exception, moi inclus. Et c'est certainement possible de l'être. Est-ce que cela signifie que nous laissons les femmes mourir quand leur grossesse, tragiquement et dans de rares cas, menace leur vie? Bien sûr que non. Nous leur offrons un traitement d'urgence pour sauver leur vie. Il est cependant crucial de distinguer que cela n'est pas un avortement.
Un avortement direct a un but en tête : terminer la grossesse en tuant l'enfant à naître. La raison de la femme pour avoir la procédure n'a pas d'importance : un avortement réussi signifie simplement que son enfant est mort.
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