1,85 million d’avortements en moins en Inde - Campagne Québec-Vie
M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×
×

Venez à la Marche pour la vie à Quebec - le samedi 31 mai, 2025

marche

Georges BuscemiChers amis de la Vie,

En ce 50e anniversaire de la Charte des droits et libertés de la personne du Québec, je vous invite à assister à la Marche pour la vie ce samedi, 31 mai. Un événement incontournable pour les pro-vie du Québec.

Georges_Signature-transparent.png
Georges Buscemi, Président

Toute l'info sur la Marche

1,85 million d’avortements en moins en Inde

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikrepo

Le confinement, imposé quasi unanimement dans le monde entier aux populations sidérées, serait un facteur d’augmentation des avortements, en ce qu’il a provoqué un large appauvrissement, en Grande-Bretagne ou aux États-Unis par exemple. On peut aussi attribuer cette augmentation à la libéralisation de la pilule abortive, en Grande-Bretagne du moins, amenant plus facilement de nombreuses femmes à se faire avorter elles-mêmes.

Paradoxalement, en Inde le résultat a été l’inverse, grâce à l’indisponibilité de la pilule abortive qui ne pouvait donc suppléer à l’absence d’accès aux établissements en avortement. Cela signifie également qu’on n’aura peut-être pas fait de ces établissements une priorité, contrairement au Québec où les avortoirs sont restés ouverts

Selon une étude établie en mai 2020 par la Fondation Ipas Development, 1,85 million d’Indiennes n’auraient pas avorté leur enfant à naître non voulu, en raison du confinement. L’étude affirme, rapporte Gènéthique :

« Au cours des trois premiers mois du blocage de Covid-19, du 25 mars au 24 juin, 47 % des 3,9 millions d’avortements qui auraient probablement pu être pratiqués en Inde dans cette période, dans des circonstances normales », n’ont pas eu lieu. Et sur ces avortements évités, 80 % sont imputables à l’indisponibilité des pilules abortives dans les pharmacies et 20 % en raison d’un accès moindre aux établissements réalisant les IVG.

D’après une étude du Lancet publiée en 2015, 15, 6 millions d’avortements sont pratiqués chaque année en Inde…

Cela dit, je ne vais louer ni recommander le confinement ou le coronavirus comme moyen d’empêcher l’avortement ; s’il a peut-être contribué à réduire le nombre d’avortements en Inde, il aura concouru à l’augmenter ailleurs dans le monde ; le confinement a servi de prétexte pour euthanasier des personnes âgées ou handicapées, il a aussi été le spectacle de l'abandon de personnes âgées ; il a servi de subterfuge pour fermer les églises ; enfin, il a détruit l’économie de nombreux pays, et ses victimes sont encore à compter. Le confinement n’est pas la solution.

Publicité

Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne YouTube !



Laissez un commentaire