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Les chiffres tragiques de l’avortement pendant la crise du confinement

Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) ― Photo : Charnikarn Thongsupa/Rawpixel

Alors que les restrictions liées au coronavirus commencent à s’assouplir dans de nombreux pays, les pro-vie américains alertent sur un nouvel état d’urgence : la forte augmentation du taux d’avortement provoquée par le désastre économique actuel.

Les chiffres tragiques au Royaume-Uni et aux États-Unis de ce mois de juin sont source de grande préoccupation.

Selon The Guardian, les avortements en Angleterre et au Pays de Galles avaient déjà augmenté depuis l’année dernière, avec des chiffres officiels atteignant 207 384 avortements — le plus grand nombre depuis la légalisation de l’avortement au Royaume-Uni en 1967.

Selon les statistiques, cela est particulièrement dû à une combinaison de difficultés financières et à une « tendance à la maternité plus âgée ». Que dire alors de la crise financière actuelle ?

Et de fait, depuis des mois, les pressions financières causées par le confinement ont fait grimper les taux d’avortement partout, occasionnant un pic inédit.

Alors que la majorité des entreprises ont été fermées, presque tous les centres d’avortement sont restés ouverts, et selon le Dr Michael New, chercheur en avortement et expert en statistiques, cela a entraîné une augmentation du taux d’avortement aux États-Unis.

Antonia Tully, directrice de campagnes à la Société pour la protection des enfants à naître (SPUC), a déclaré au Guardian : « Nous voyons ici une tragédie nationale. Ce chiffre épouvantable nous montre que l’avortement est de plus en plus normalisé. La propagande affirmant aux femmes que l’avortement est “simple et sûr”, associée à un accès plus facile aux pilules abortives, fait augmenter le nombre d’avortements. »

Dans les mois à venir, les mouvements pro-vie seront confrontés à un nouveau défi : défendre le fait que l’avortement n’est pas un « service essentiel », mais un acte de violence qui met fin à la vie d’un être humain.

Pendant la crise du coronavirus, notre société a exigé que les gens fassent d’énormes sacrifices pour protéger les faibles et les vulnérables parce que leur vie a de la valeur.

Or, cela s’applique à tous les êtres humains — même ceux dans l’utérus. Tout le monde ne l’a pas compris. [Ou ne veut pas le comprendre... — A. H.]

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