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« Une idéologie insidieuse » : Maxime Bernier dénonce les spectacles de drag-queens ciblant les enfants


Maxime Bernier, chef du Parti populaire du Canada.

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Parti populaire du Canada/YouTube

22 mars 2023 (LifeSiteNews) — Le chef du Parti populaire du Canada (PPC), Maxime Bernier, n’a pas hésité à dénoncer les spectacles d’heure du conte des drag-queens ciblant les enfants, affirmant qu’il s’agit d’une forme d’« idéologie » du genre « incroyablement irresponsable » qui « doit cesser ».

« Nos enfants doivent être protégés de cette idéologie insidieuse », a déclaré M. Bernier dans une vidéo publiée sur ses réseaux sociaux vendredi dernier.

« Nous devons mettre un terme à cette tentative explicite de normaliser l’idéologie du genre, en particulier chez les enfants. C’est incroyablement irresponsable et cela nuit à toute une génération de jeunes Canadiens ».

Bernier a noté comment les « activistes trans » et leurs « partisans “woke” » s’emploient à endoctriner « activement » les enfants et à les « embrouiller ».

« Vous avez sûrement entendu parler de l’étrange phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur dans nos écoles, à savoir l’heure des histoires de drag-queens. C’est l’une des tendances les plus inquiétantes auxquelles notre pays est confronté aujourd’hui », a déclaré M. Bernier.

« Ils poussent [les enfants] vers un mode de vie malsain, un mode de vie rempli de traitements hormonaux nocifs et de chirurgies invasives. Ce n’est pas un mode de vie qui devrait être normalisé ou encouragé ».

M. Bernier a ajouté qu’en raison de « ces activités radicales », de plus en plus d’enfants sont « désorientés quant à leur identité sexuelle, et l’on observe un taux de suicide inquiétant chez les personnes “trans” ».

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Il a également déclaré que l’idéologie radicale du genre est comme une « nouvelle contre-culture », qui voit les adolescents se rebeller contre leurs parents en s’identifiant à un genre non standard ou à l’autre sexe.

« La rébellion des adolescents est naturelle, mais le fait de s’identifier comme des hippies ou des punks il y a quelques années ne conduisait pas les enfants à suivre des traitements hormonaux susceptibles d’endommager leur corps de manière permanente, voire de les rendre stériles », a-t-il déclaré.

« Nos enfants doivent être protégés de cette idéologie insidieuse. Justin Trudeau est totalement d’accord avec [cette idéologie] et Pierre Poilievre n’a rien à dire. Lui et le reste de son soi-disant Parti conservateur ont tous voté en faveur du projet de loi C-4, un projet de loi qui criminalise les parents et les professionnels qui tentent d’aider les enfants confus, qui souffrent de dysphorie de genre. »

Bernier a noté que le PPC « dénoncera » l’« idéologie folle et dérangeante pour ce qu’elle est et protégera les enfants de notre pays ».

Au cours des dernières semaines, les manifestations contre les histoires de drag queens se sont multipliées au Canada, notamment dans la ville de Calgary.

Après que le pasteur chrétien Derek Reimer, basé à Calgary, qui a été arrêté deux fois au cours du mois dernier pour avoir protesté contre des spectacles de travestis ciblant les enfants, ait commencé à faire les gros titres pour son opposition à cette tendance, le conseil municipal de Calgary, sous la direction de sa mairesse de gauche Jyoti Gondek, a adopté un règlement interdisant de protester contre les spectacles de travestis et d’autres événements dits LGBT ayant lieu dans des bâtiments publics de la ville.

Plus précisément, le règlement stipule que toute personne manifestant contre de tels événements doit rester à au moins 100 mètres du lieu.

Les personnes reconnues coupables d’avoir enfreint ces nouvelles règles s’exposent à des amendes pouvant aller jusqu’à 10 000 dollars et à un an d’emprisonnement.

En réponse à ce règlement largement critiqué, la Fondation constitutionnelle canadienne (CCF) a promis de lancer un recours en justice, qualifiant la mesure d’« inconstitutionnelle ».



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