Colombie-Britannique : une paroisse catholique jugée pour avoir refusé un événement LGBT !
Par Antoine Béllion (Avenir de la Culture)
Cette affaire scandaleuse s’est passée au Canada et perdure depuis le printemps de l’année dernière. En mars 2019, la paroisse catholique Star of the Sea située à White Rock en Colombie-Britannique avait refusé une demande de la White Rock Pride Society d’organiser une collecte de fonds nommée « Love Is Love »/« Pride Week » à la salle paroissiale de l’église.
Le groupe pro-gay accuse la paroisse d’avoir « catalogué » le groupe comme non bienvenu pour utiliser les locaux de l’église en vue de promouvoir l’homosexualité. La White Rock Pride Society a alors porté plainte auprès du Tribunal des droits de l’homme en juin 2019, affirmant que la paroisse avait « désigné » le groupe comme n’étant pas le bienvenu, alors que d’autres groupes sont autorisés à l’utiliser.
« Ce faisant… la paroisse a porté atteinte à la dignité, aux sentiments et au respect des membres de la Pride Society, qui s’identifient comme faisant partie de la communauté LGBTQ + et la soutiennent », a déclaré le président de la société, Ernie Klassen.
Lire la suiteWilson Gavin, fervent défenseur du mariage, décédé en Australie
Wilson Gavin était un catholique fervent qui a écrit de façon poignante sur l’enseignement de l’Église, a défendu le mariage sur la place publique et s’est fait bénévole avec les Missionnaires de la Charité.
Par Paul Smeaton — Traduit par Campagne Québec-Vie
Brisbane, Australie, 15 janvier 2020 (LifeSiteNews) — Les amis et la famille de Wilson Gavin continuent de pleurer la perte de cet étudiant de 21 ans qui a été retrouvé mort moins de 24 heures après avoir dirigé une manifestation contre une lecture de drag queen à la bibliothèque de Brisbane Square dimanche après-midi [12 janvier].
La police ne considère pas la mort de Wilson comme suspecte. Pour autant que LifeSiteNews pût le vérifier, au moment où nous écrivons ces lignes, les seuls détails concernant la mort de Wilson qui sont actuellement disponibles auprès des autorités publiques ou dans les médias grand public sont les suivants, tels que rapportés par le Daily Mail Australia :
La police et les services d’ambulance du Queensland ont été appelés pour un incident à Chelmer vers 7 h 7.
Un porte-parole des ambulances de l’État a déclaré que le patient avait été retrouvé avec des blessures graves. M. Gavin avait 21 ans.
Caroline Overington du The Australian a affirmé que Wilson « s’est jeté devant un train ». Elle ne dit pas d’où elle tire cela. LifeSite a contacté Caroline Overington pour lui demander où elle avait obtenu cette information, mais n’a pas eu de réponse au moment de mettre cela sous presse.
Le lundi soir [13 janvier], une messe a été offerte pour le repos de l’âme de Wilson à l’église Mary Immaculate à Annerly. Wilson y assistait régulièrement à la messe.
On peut lire sur un post de la page Facebook de la paroisse :
Lire la suiteBeaucoup de gens ont été profondément choqués et attristés par la mort tragique et inattendue de Wilson Gavin. Nous offrons tout d’abord nos sincères condoléances et notre soutien dans la prière à la famille de Wilson et à tous ceux qui l’ont connu et aimé.
Il est si important de se rappeler que chaque fois que nous sommes profondément affligés et blessés, nous allons au-delà de nous-mêmes, dans la prière, vers Jésus-Christ et à sa sainte mère Marie. En même temps, il est vital que nous fassions aussi tout notre possible pour tendre la main à un membre de la famille ou à un ami, ou pour chercher une aide professionnelle. Par exemple, vous pouvez toujours contacter Lifeline au 13 11 14.
La messe de 19 h à l’église Mary Immaculate d’Annerley ce soir sera offerte pour le repos éternel de l’âme de Wilson. Ensuite, il y aura possibilité, pour ceux qui le souhaitent, de se rassembler devant de l’église pour aller prendre le thé ou le café, etc.
Bienvenue à tous.
La Hongrie se retire du concours Eurovision, car celui-ci est trop LGBT
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Framing the World/Flickr
La télévision publique hongroise s’est officiellement retirée d'Eurovision, concours de chansons télévisé, et ce, sans en avoir donné la raison. Le Journal The Guardian, qui s’est penché sur la question, pense avoir trouvé la réponse : ce serait parce que le gouvernement hongrois trouverait le concours trop LGBT… ce qui est une excellente raison.
CNEWS rapporte donc, avec un large penchant en faveur des homosexuels, des travestis et des transgenres, et un vocabulaire bien à la mode, que la raison du retrait est la suivante :
Elle est résumée dans les mots d’un commentateur proche du Premier ministre d’extrême-droite Viktor Orbán, un certain Andras Bencsik, qui après le retrait de la Hongrie du concours, a dépeint l’Eurovision comme un « repaire » de la communauté homosexuelle.
Admirez au passage l’emploi du mot « extrême-droite ». CNEWS continue :
Toujours selon le Guardian, l’homme aurait même très exactement comparé le concours à « une flottille homosexuelle ».
Un vocabulaire issu de l’armée — et plus exactement de la marine — faisant dire à Andras Bencsik, que l’Eurovision met à mal « la santé mentale de la Hongrie », qui « serait meilleure si le pays ne participait pas au concours. »
« Beaucoup de jeunes pensent que c’est une émission tout public mais durant ce show, le goût du public est détruit à coups de travestis hurlants et de femmes à barbe », a-t-il ajouté.
Bref, encore un geste sensé de la Hongrie.
Les drag queens, qui veulent accéder à vos enfants, liés au satanisme et aux pratiques occultes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Il n’est vraiment pas sain d’emmener ses enfants à des « séances de lecture » tenues par des « drag-queens ». Extrait de LifeSiteNews :
(...)
Les drag queens sont une présence effrayante pour les petits enfants. Ces jeunes visages fascinés entendent les leçons prétendument « inclusives » et regardent les girations [dances] sexuelles raconter la vraie histoire. Il y a quelque chose d'étrange dans ce voisinage, et les jeunes l'ont compris, même si leurs parents naïfs ricanent et hochent la tête aux côtés des bibliothécaires corrompus.
La vérité, c'est que ces lectures publiques et ces performances sexualisées sont souvent influencées par un royaume hors du naturel. Il s'avère que beaucoup de ceux qui s'identifient comme « drags » suivent le paganisme, la sorcellerie ou le satanisme. Ils n'essaient même pas de cacher ce lien étroit.
Par exemple, dans un récent tweet, l'Église de Satan disait : « Nous pouvons confirmer qu'il y a beaucoup de drag queens satanistes. Et ils sont fabuleux. »
Et le temple satanique de San-Francisco est composé principalement de personnes s'identifiant comme « LGBTQ », tenant même une « Messe rose » de temps à autres. Un film réalisé au sujet du groupe s'appelle Hail Satan, où les dirigeants disent qu'ils vont combattre les conservateurs chrétiens « jusqu'à la mort ».
Sont-ils sérieux quant à suivre Satan ? Qui sait, et qui s'en soucie ? Quiconque adopte son nom est, tragiquement, une proie idéale. Satan exploitera et manipulera ces sots selon le désir de son cœur, et ils ne le sauront peut-être jamais.
Un partenariat drag-démon se développe partout. Il y a des comptes rendus d'Austin au Texas, où des adeptes « drag » se livrent à des rituels occultes (dont des messes noires) dans des parcs publics pour « jeter des sorts » à deux membres du conseil municipal, des gens courageux qui se sont publiquement opposés à ces « heures de contes » perverties dans les bibliothèques publiques locales.
Etc.
New York : sainte Françoise Xavier Cabrini écartée d’un projet de monument au profit personnages douteux
Sainte Françoise Xavier Cabrini.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Wikimedia Commons
Sainte Françoise Xavier Cabrini, fondatrice d’un ordre aux États-Unis, d’écoles et d’orphelinats, bienfaitrice donc de New York à la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle, a été écartée d’un projet de statues féminines pour la ville, bien qu’elle ait reçu bien plus de votes (219) que quiconque dans le cadre d’un programme qui soumettait à la volonté populaire le choix des personnages féminins qui seraient représentés dans ce projet de monuments. Pendant ce temps-là, deux « transgenres », des hommes, qui ne comptaient à eux deux que quatre-vingt-six votes, et une promotrice de l’avortement qui n’avait que sept votes, auront droit à leur statue dans la ville de New York, selon Catholic News Agency :
She Built NYC a été fondée en juin 2018 sous le patronage de Chirlane McCray, épouse du maire de New York, Bill De Blasio, afin d’augmenter le nombre de statues de femmes dans la ville de New York. Le public a été invité à proposer des femmes à la candidature d’une potentielle statue. La campagne a reçu plus de 2 000 votes pour plus de 300 femmes.
Les résultats de la période de nomination ont été publiés en décembre, avec Mère Cabrini ayant reçu 219 votes, plus du double que ce que Jane Jacobs, la seconde en place, s’est vue attribuer.
Malgré le vote du public, comme rapporte le New York Post du 10 août, le comité de sélection, dirigé par McCray et l’ancienne mairesse adjointe de New York Alicia Glen, avait exclu le premier saint américain des statues prévues, choisissant plutôt d’honorer Shirley Chisolm, Katherine Walker, Marsha P. Johnson, Sylvia Rivera, Elizabeth Jennings Graham, Billie Holiday et Dr Helen Rodriguez-Trias. Ils s’étaient respectivement retrouvés en troisième, cinquième, septième, dix-neuvième, vingt-deuxième, vingt-quatrième et quarante-deuxième place.
Les militants des droits des LGBT Johnson et Rivera étaient des hommes biologiques* et seront représentés ensemble sur le même monument. Tous deux s’identifiaient comme des « drag queens » et étaient cofondateurs des Street Transvestite Action Revolutionaries. La paire a reçu un total de 86 votes.
Rodriguez-Trias, la première Latine à être élue à l’American Public Health Association, a été l’un des membres fondateurs du Comité pour le droit à l’avortement et contre la stérilisation abusive, et n’a reçu seulement que sept votes contre les 219 de Mme Cabrini.
Sainte Françoise Xavier Cabrini, bienfaitrice de New York, rapporte le Catholic News Agency :
Mme Cabrini, immigrante italienne, est arrivée à New York à la fin du XIXe siècle. Elle a fondé l’Institut des Sœurs missionnaires du Sacré-Cœur de Jésus et a ouvert de nombreuses écoles et orphelinats à New York. Elle fut canonisée par le Pape Pie XII en 1946, qui la nomma patronne des immigrants en 1950.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». ― A. H.
Un drag queen apprendrait aux enfants, lors d’une activité, à se comporter comme des prostitués
Le père disant sa façon de penser au travesti.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image : Capture d'écran — Mise à jour : 22 août 2019
D’après un père assistant à une activité destinée aux enfants, le travesti apprenait à ceux-ci la prostitution. Le père en question en fit le reproche au travesti, et le différend fut filmé par Radio-Canada et publié sur internet, donnant ainsi lieu aux appréciations du public le point de vue du père, que plusieurs ont soutenu (voyez la vidéo ici, malheureusement celle-ci ne permet pas de se faire une idée sur l'affaire). Extrait du site Le Peuple :
Une activité pour enfants animée par une drag queen à Ottawa ne s’est pas déroulée comme prévu. Dans une vidéo filmée par Radio-Canada, on peut apercevoir un père furieux se lever de sa chaise et lancer au travesti : « Vous leur apprenez à être des prostitués ». Une altercation entre l’homme et la drag s’ensuit, au cours de laquelle certaines personnes s’interposent entre eux pour tenter de calmer le jeu.
La CBC fait la promotion de drag queens... de 12 ans et moins
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Twitter/Voici la source de la photo : Capture d’écran
Plusieurs enfants se déguisant en « drag queens » ont des problèmes d’identité sexuelle ou d’homosexualité. La façon dont ils se déguisent est souvent choquante. — A. H.
« Je livre dorénavant des performances devant des foules qui m’acclament, alors je sais que je fais ce qu’il faut faire ».
Ceux qui estiment que les drag queens ont la cote n’ont visiblement encore rien vu : le réseau CBC fait actuellement la promotion d’un documentaire sur des enfants qui pratiquent cet « art de la scène ». Dans une bande-annonce diffusée sur la page Twitter de CBC Kid News, on peut apercevoir une fille et trois garçons respectivement âgés de 12, 11, 10 et 9 ans décrire pourquoi ils se travestissent.
Appelé à expliquer le rôle d’une drag queen, un jeune garçon ayant choisi le nom de scène de « Lady Gaga » a répondu qu’il s’agissait de se déguiser de manière à se « transformer » en personne de sexe opposé à des fins de divertissement. Un peu plus loin dans le clip vidéo, on peut entendre l’enfant dire que cette expérience l’a aidé à exprimer sa personnalité.
« Je livre dorénavant des performances devant des foules qui m’acclament, alors je sais que je fais ce qu’il faut faire », a lancé un autre garçon se donnant en spectacle sous le nom de « Lactatia ». Certains d’entre eux croient d’ailleurs que le reportage peut permettre aux téléspectateurs de réaliser qu’ils peuvent eux aussi devenir des drags s’ils le désirent.
Rappelons que l’année dernière, le réseau CBC avait fait l’objet de critiques pour avoir diffusé un clip audiovisuel montrant une célébrité anglo-canadienne, Jessi Cruickshank, parler à de jeunes enfants de l’importance d’accepter les homosexuels, les transgenres, les lesbiennes et les bisexuels — bref, ce qu’elle appelle les membres de la « diversité sexuelle ».
Un drag queen qui fait la lecture aux enfants dans les bibliothèques est un agresseur d’enfants reconnu
Albert Alfonso Garza, se faisant appeler quand il est en Drag Queen Tatiana Mala-Niña.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Les parents devraient être plus méfiants et ne pas emmener leurs enfants à des événements animés par des hommes habillés en femmes, bizarrement en plus, qui tiennent des propos déconcertants pour les enfants à propos de la sexualité, parlant de la théorie du genre. Franchement, avec des personnes aussi étranges, je me méfierais un peu plus avant d’emmener mes enfants les voir. Extrait d’un article de Jonathon Van Maren de LifeSiteNews :
... la bibliothèque publique de Houston vient d’être forcée de s’excuser publiquement et d’interdire un drag queen qu’elle avait invité pour faire la lecture aux enfants pendant l’événement Drag Queen Storytime, ayant été révélé qu’il avait déjà été inculpé pour l’agression sexuelle d’un enfant.
Albert Alfonso Garza, un homme de 32 ans qui a été vu pour la dernière fois en train de lire à des enfants à la bibliothèque de Montrose en septembre 2018, se fait appeler Tatiana Mala-Niña, la drag queen. La bibliothèque n’a pas vérifié les antécédents de Garza ni ceux des autres travestis qu’elle a invités à interagir avec les enfants des autres personnes. Je suis prêt à parier que les autres bibliothèques qui parrainent ce programme n’ont pas non plus procédé à des vérifications des antécédents. C’est un groupe d’activistes, MassResistance, qui a fait la recherche tout seul, et c’est alors qu’on a découvert que Garza avait été reconnu coupable d’agression sexuelle sur un garçon de 8 ans en 2008.
La nouvelle frontière transgressée par le lobby Lgbt, les « drag kids »
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Pour le lobby Lgbt, les « drag-queens », ces hommes travestis en femmes qui s’exhibent dans des spectacles vulgaires, et même dans des églises tel le travesti-transsexuel-transgenre Thomas Nuewirth, de son nom de scène Conchita Wurst dans la cathédrale de Vienne du cardinal Schönborn, n’étaient pas suffisants. La nouvelle frontière transgressée est les « drag kids », ces enfants transformés en phénomène de cirque, exhibés travestis en femmes dans des bars gay et dans des contextes hallucinants.
Une vraie violence psychologique infligée à des enfants par des parents consentants. Le plus fameux d’entre ces « drags kids » est un certain Desmond Naples, sur scène Desmond is Amazing : un enfant de 10 ans qui depuis l’âge de 7 ans est exhibé dans des bars gays, « le futur de l’Amérique » selon le chanteur drag queen RuPaul !
Dès 9 ans, il déclara son homosexualité à ses parents, et son désir de s’habiller en femme. Pour comprendre la sexualisation précoce de cet enfant, il faut savoir qu’en décembre de l’an dernier, travesti en femme de manière explicitement sexuelle, il a dansé dans un local gay de Brooklyn pendant que des hommes adultes lui jetaient des dollars. Un des présents commenta par la suite :
Lire la suiteJe suis parti après avoir vu un enfant dansé sur la scène pendant qu’on lui jetait de l’argent. C’était samedi soir et cela m’a profondément dérangé.
Drag queens à l'honneur à la Polytechnique
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Polytechnique Montréal et Facebook n°1 et n°2/ Voici la source de la photo : Jennifer Ricard, Wikimedia, CC BY-SA 4.0
L'école d'ingénierie a mis sur pied la Semaine de la diversité, qui se tient cette année du 11 au 15 février prochains.
Du 11 au 15 février aura lieu la Semaine de la diversité en ingénierie à la Polytechnique Montréal. La démarche est « une des actions contenues dans un plan d'action de lutte contre l'homophobie et la transphobie », nous apprend-on sur la page Facebook de l'institution.
Au menu de cette semaine haute en couleur, la « Matinée avec des drag queens », qui doit avoir lieu le lundi 11 février. L'une [il vaudrait mieux écrire un des invités, car les drag-queens sont des hommes] des invitées sera Barbada, une drag aux cheveux roses qui anime à l'occasion l'heure du conte dans une garderie de l'arrondissement Notre-Dame-De-Grâce, à Montréal. Pour le moment, seulement huit personnes se sont montrées intéressées par l'événement, si l'on se fie à la page Facebook qui y est consacrée.
La Semaine de la diversité a été instiguée par la communauté étudiante de Polytechnique. Elle « vise à souligner et à encourager les démarches et les actions prônant l'égalité, la diversité et l'inclusion (ÉDI) à Polytechnique, mais aussi dans le domaine de l'ingénierie et dans la société en général ».