Rencontre avec les jeunes chrétiens punis pour avoir prêché contre l’heure du conte des drag-queens au Canada
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
4 mai 2023 (LifeSiteNews) — Deux jeunes hommes chrétiens du Canada s’expriment après que la police les ait verbalisés pour avoir prêché « trop près » d’une heure du conte de drag-queens à Calgary.
Aujourd’hui, pendant le John-Henry Westen Show, j’ai parlé avec Nathaniel Pawlowski, fils du pasteur canadien persécuté Artur, et Deklan Friesen, leur demandant de raconter leur histoire et de partager leurs réflexions sur la façon de défendre avec succès la vérité chrétienne alors que notre époque y est de plus en plus hostile.
Pawlowski et Friesen, fondateurs du groupe de défense True Dominion Canada, ont été arrêtés par la police de Calgary et ont fait l’objet d’un procès-verbal en avril parce qu’ils prêchaient des versets bibliques à l’extérieur d’une bibliothèque publique où se déroulait une heure de conte des drag-queens.
La police a expliqué aux jeunes hommes qu’ils violaient un règlement municipal relativement récent qui interdit « les comportements insultants ou dégradants, y compris les avances sexuelles non désirées, ou le harcèlement de quiconque sur la base de l’âge, de la race, de l’orientation sexuelle, du handicap, du sexe, de l’identité sexuelle ou de l’expression sexuelle, entre autres ». Le règlement interdit que ces « manifestations spécifiques » se déroulent à moins de 100 mètres des centres de loisirs ou des bibliothèques de la ville.
Bien que M. Pawlowski ait déclaré qu’il pourrait encore être inculpé, aucune charge n’a encore été retenue contre lui. Il m’a dit que la manifestation s’était en fait mieux déroulée que prévu, car ils s’attendaient à être arrêtés. Néanmoins, la police les a traités selon un standard différent de celui utilisé envers les contre-manifestants pro-LGBT et Antifa.
Lire la suite« Une idéologie insidieuse » : Maxime Bernier dénonce les spectacles de drag-queens ciblant les enfants
Maxime Bernier, chef du Parti populaire du Canada.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Parti populaire du Canada/YouTube
22 mars 2023 (LifeSiteNews) — Le chef du Parti populaire du Canada (PPC), Maxime Bernier, n’a pas hésité à dénoncer les spectacles d’heure du conte des drag-queens ciblant les enfants, affirmant qu’il s’agit d’une forme d’« idéologie » du genre « incroyablement irresponsable » qui « doit cesser ».
« Nos enfants doivent être protégés de cette idéologie insidieuse », a déclaré M. Bernier dans une vidéo publiée sur ses réseaux sociaux vendredi dernier.
« Nous devons mettre un terme à cette tentative explicite de normaliser l’idéologie du genre, en particulier chez les enfants. C’est incroyablement irresponsable et cela nuit à toute une génération de jeunes Canadiens ».
Bernier a noté comment les « activistes trans » et leurs « partisans “woke” » s’emploient à endoctriner « activement » les enfants et à les « embrouiller ».
« Vous avez sûrement entendu parler de l’étrange phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur dans nos écoles, à savoir l’heure des histoires de drag-queens. C’est l’une des tendances les plus inquiétantes auxquelles notre pays est confronté aujourd’hui », a déclaré M. Bernier.
« Ils poussent [les enfants] vers un mode de vie malsain, un mode de vie rempli de traitements hormonaux nocifs et de chirurgies invasives. Ce n’est pas un mode de vie qui devrait être normalisé ou encouragé ».
M. Bernier a ajouté qu’en raison de « ces activités radicales », de plus en plus d’enfants sont « désorientés quant à leur identité sexuelle, et l’on observe un taux de suicide inquiétant chez les personnes “trans” ».
Lire la suiteLe Tennessee interdit les spectacles de travestis et les « transitions de genre » pour les enfants
Le gouverneur du Tennessee, Bill Lee.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WBIR Channel 10/YouTube
6 mars 2023, Nashville (LifeSiteNews) — Le gouverneur républicain du Tennessee, Bill Lee, a signé la semaine dernière une loi interdisant les spectacles de drag queens sexuellement explicites pour les mineurs et une loi interdisant les opérations chirurgicales et les médicaments transgenres destinés aux mineurs.
Les deux projets de loi, SB 1 et SB 3, ont été signés jeudi 2 mars, alors que les parents de l’« État des Volontaires » (devise du Tennessee) s’inquiètent de plus en plus de la sexualisation des enfants par les obscénités des spectacles de drag-queens qui ciblent des mineurs innocents dans les écoles et les bibliothèques publiques, ainsi que de la mutilation irréversible de certaines parties du corps et de la castration chimique qu’impliquent les opérations « trans » et les bloqueurs de puberté. Ces lois entreront en vigueur le 1er juillet.
La loi contre les spectacles de travestis pour mineurs, SB 3, interdit l’exposition des mineurs à tous les « spectacles de cabaret pour adultes », tels que « les danseuses sans haut, les danseurs et danseuses érotiques (go-go) ou exotiques, les strip-teaseurs et strip-teaseuses, les imitateurs masculins ou féminins qui offrent un divertissement qui incite à la luxure ». La loi ajoute des termes supplémentaires à une loi existante créant une zone tampon de 300 mètres entre tous ces spectacles et les biens publics, les écoles, les parcs publics et les lieux de culte d’où des mineurs pourraient potentiellement les regarder. La première infraction sera considérée comme un délit, tandis que les infractions suivantes seront considérées comme des crimes.
La mesure interdisant les spectacles de travestis pour mineurs avait été adoptée à une écrasante majorité par la Chambre du Tennessee lors d’un vote de 74 voix contre 19 à la fin du mois de février. En signant la loi, le gouverneur conservateur a déclaré qu’elle visait à empêcher les enfants d’être « potentiellement exposés à des divertissements sexualisés, à l’obscénité ».
Lire la suiteCe n’est pas une théorie du complot : des séducteurs veulent vraiment sexualiser nos enfants
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : davit85/Adobe Stock
13 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Lorsque les gens vous disent qui ils sont, croyez-les. Quand les gens vous disent ce qu’ils font et ce qu’ils veulent, croyez-les aussi.
Comme indiqué dans un essai pour The European Conservative l’année dernière, le terme « séducteur » (« groomer »), lorsqu’il est appliqué aux révolutionnaires sexuels qui souhaitent inculquer leur idéologie aux enfants, n’est pas une injure. La sexualisation des enfants était l’objectif explicitement déclaré des premiers révolutionnaires sexuels — seul le contrecoup social conservateur des années 1980 les a temporairement arrêtés. Aujourd’hui, ils ont repris là où ils en étaient, depuis l’éducation sexuelle explicite jusqu’aux événements drag queens pour enfants.
L’activiste conservateur Christopher Rufo a récemment exposé un autre exemple de ce phénomène :
Le théoricien queer C.A. Conrad, affilié à Columbia, a mené une expérience de rue dans laquelle il a attiré des enfants avec des bulles colorées, puis a dit à leurs parents : « Ce sont des bulles queer et elles vont rendre vos enfants queer. »
Détails choquants ici
Le type aux cheveux longs avec des ongles peints en bleu et brillants est le théoricien queer affilié à Columbia, C.A. Conrad, qui utilise les pronoms « ils/eux » [au neutre en anglais] et qui, comme le note Rufo, a été « encensé par des universités prestigieuses, avec des postes d’enseignement, des bourses et des conférences à Columbia, Brown, UMass, Wheaton, Bates, Evergreen State et d’autres institutions prestigieuses ». « Corruption intellectuelle sur toute la ligne ». Rufo a expliqué le contexte de la « théorie queer ».
Lire la suite«Il faut sortir les enfants du système scolaire» - Dr Ann E. Gillies, PhD avertit les parents sur l'endoctrinement du genre
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Montage Photo : Joanne D’Arc
Le genre et le sexe sont des termes qui sont utilisés de manière interchangeable dans la société d’aujourd’hui, mais avant 1950 le genre ne s’appliquait qu’à la grammaire et non aux personnes.
Présentement, on entend souvent les gens parler de changement de genre, alors qu’ils se réfèrent au changement de sexe.
La définition scientifique du sexe biologique serait, pour la quasi-totalité des humains, claire, binaire et stable, reflétant une réalité biologique sous-jacente qui n’est pas contredite par les exceptions de comportement sexuel et ne peut pas être modifiée par la chirurgie ou le conditionnement social.
La définition du genre, soit la conscience et le sentiment d’être un homme ou une femme, est un concept sociologique et psychologique, et non un concept biologique.
Personne ne naît avec un genre, mais chacun naît avec un sexe biologique.
La science nous permet de conclure que le sexe humain est une dichotomie; il est binaire — homme et femme — et non un continuum. Plus de 99,98 % des humains naissent soit mâles, soit femelles.
Malheureusement, le système d’éducation présent, les médias de masse, les réseaux sociaux ainsi que les politiciens utiliseraient un langage qui porterait à confusion à ces propos non seulement la majorité des adultes, mais les plus petits membres de notre société : nos enfants.
Suite à l’annonce récente du financement impressionnant de 100 $ millions par le premier ministre Justin Trudeau pour les groupes 2ELGBTQI+ nous avons discuté avec Dr Ann E. Gillies qui est thérapeute et conférencière d’Ottawa, spécialisée entre autres en Genre et Sexualité.
Dr Ann E. Gillies nous permet de mettre les choses au clair. Elle a passé plus de 25 ans dans un cabinet privé, travaillant intensivement avec des survivants de traumatismes, voyant des vies restaurées et transformées. Ann s’est retirée de la pratique en 2019 pour se concentrer sur la défense des droits et la réforme politique, pour les personnes traumatisées, surtout celles qui luttent contre les attirances sexuelles non désirées et pour les plus vulnérables — les enfants.
Lire la suiteLe gouvernement canadien étend le mois de la « fierté » à tout l'été parce qu’un seul mois « n’est pas suffisant »...
Drapeau LGBT devant le Parlement du Canada à Ottawa.
Par Clare Mary Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews
Ottawa, Ontario, 10 juin 2021 (LifeSiteNews) — Le gouvernement canadien a déclaré les mois allant de juin à septembre « saison de la fierté », affirmant qu’un mois de célébration de l’homosexualité et du transgenrisme « n’est pas suffisant ».
Depuis une dizaine d’années, les militants homosexuels et désormais les gouvernements du monde entier ont déclaré que le mois de juin était le mois de la « fierté », consacré au mouvement LGBT, avec parades et célébrations. Selon Free to be me, un compte du gouvernement canadien chargé des « questions d’orientation sexuelle et d’identité et d’expression de genre », juin marque désormais le début de la « Saison de la fierté », qui est prévue pour durer jusqu’en septembre.
Le ministère canadien de la Défense nationale a annoncé qu’il hisserait le drapeau de la « fierté » à la mi-juin pour lancer la « Saison de la fierté ». Il a également encouragé les Canadiens à envoyer des vidéos pour souhaiter au pays une « Bonne saison de la fierté ».
Selon Mister B&B, un site de réseautage social LGBTQ, des villes canadiennes comme Toronto, Vancouver, Montréal et Calgary prévoient d’organiser des événements.
Le mois de juin a commencé par une augmentation de contenus sur le thème LGBT destinés aux jeunes enfants. Un réseau populaire pour enfants, Nickelodeon, a publié une émission mettant en scène un travesti expliquant la signification du drapeau de la « fierté ». Nickelodeon a également diffusé un épisode de l’émission pour enfants Blue’s Clues dans lequel un travesti organisait une parade pour les créatures animales gays, transgenres et non binaires.
En réaction, Derek Utley, un commentateur politique conservateur, a lancé un appel aux parents sur Twitter pour faire « annuler Nickelodeon maintenant ! » Et, continuant, d’affirmer : « C’est ce qu’ils sont en train d’inculquer à vos enfants, les amis. »
Après avoir écrit un tweet pour annoncer le lancement de la « Saison de la fierté », Free to be me a publié un tweet en réponse, avertissant, dit-il, de « retirer ou supprimer les commentaires et contributions homophobes, diffamatoires et haineux, et de bloquer les usagers qui ne respectent pas nos conditions d’utilisation. »
Récemment, au Canada, le mouvement LGBT s’est développé et a étendu sa propagande. Par exemple, en Ontario, une école catholique a décidé d’arborer le drapeau arc-en-ciel des activistes de l’homosexualité, entraînant la démission de deux conseillés.
Entre-temps, le 6 juin, date anniversaire du Jour J, le compte officiel du gouvernement canadien a omis de mentionner les courageux soldats canadiens qui combattirent sur les plages de Normandie.
Quelques jours plus tard, le gouvernement écrivait un tweet « pour célébrer et soutenir les communautés LGBTQ2 au Canada et dans le monde. »
L’activiste Milo Yiannopoulos se déclare maintenant « ex-gai » et consacre sa vie à saint Joseph
Milo Yiannopoulos.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : 124NEWS English/YouTube
Le 9 mars 2021 (LifeSiteNews) — Milo Yiannopoulos, l’homosexuel dont les messages conservateurs et la franchise ont provoqué des émeutes sur les campus, pourrait bien susciter encore plus d’indignation maintenant qu'il se dit « ex-gai » et « libre de la sodomie » et mène une consécration quotidienne en ligne dédiée à saint Joseph.
Il y a deux ans, lorsque Michael Voris de Church Militant a défié publiquement Yiannopoulos à mener une vie chaste, celui-ci ne s’est pas mis sur la défensive. Au contraire, il a admis humblement ses faiblesses humaines.
« Je suis au courant de tout ce que vous dites, mais je ne suis pas encore rendu-là et je ne sais pas si je m’y rendrai un jour », avait-il répondu à ce moment.
Il semblerait qu’aujourd’hui, il soit rendu « là ».
LifeSite : J’imagine que plusieurs de ceux qui te suivent doivent trouver que tu as réalisé un virage de 180 degrés en déclarant publiquement ta décision de t’identifier comme « Milo, ex-gai ». Es-tu, toi aussi, également surpris que ta vie ait pris ce tournant ou se pourrait-il que cela n’ait rien de surprenant, car il s’agit tout simplement d’un cheminement naturel et probablement inévitable de ta vie ?
Milo : Lorsque je plaisantais en disant que j’étais devenu gai pour tourmenter ma mère, je ne blaguais pas complètement. Bien sûr, je ne me suis jamais senti tout à fait à l’aise dans le mode de vie gai — qui l’est ? Qui pourrait l’être ? — Je ne l’ai adopté en public que parce que cela rendait les libéraux fous quand ils voyaient un homosexuel, beau, charismatique et intelligent, célébrer avec éclat les principes conservateurs.
Je ne dis pas que je ne me suis pas livré avec enthousiasme dans toute sorte de décadence dans ma vie privée. Je suppose que j’ai cru que c’était tout ce que je méritais. J’aimerais pouvoir dire que tout n’était qu’une mise en scène et que j’ai toujours été hétéro, mais même moi, je n’ai pas un tel engagement envers l’art du spectacle. Tu parles d’une méthode d’acteur¹…
LifeSite : Y a-t-il eu un événement, ou une série d’événements, qui aurait déclenché ta décision d’être « libre de la sodomie » et de la rendre publique ? Est-ce que Dieu t’a fait tomber soudainement du cheval comme Il l’a fait avec Saul ; ou est-Il entré dans ta vie d’une autre façon ? Je t’en prie, explique-le-nous.
Milo : Il y a quatre ans, j’ai donné une entrevue à la revue America magazine, elle a refusé de la faire imprimer. Il m’a fallu beaucoup de temps pour que j’atteigne les expectatives fixées lors de cette entrevue, mais j’y suis enfin arrivé.
Quiconque m’a lu attentivement durant la dernière décennie se doutait que cela arriverait bientôt. Je ne me suis pas gêné pour laisser des indices. Dans mon livre Dangerous (Dangereux), meilleur vendeur selon le New York Times, j’ai laissé vigoureusement entendre que j’allais peut-être « sortir du placard » telle une personne qui marche sur le droit chemin. Dans mon récent courant de conscience² écrit sur Telegram, je l’ai explicité davantage — au point d’en être écœurant, si l’on se fie aux commentaires paraissant sous mes publications de « X jours sans sodomie ».
Je me suis toujours considéré comme un personnage tel que Jack Bauer — le type qui exécute des choses hideuses et inexcusables que personne d’autre ne peut tolérer, et sans lequel la République succomberait. Je sais que cela signifie que mon nom sera à jamais maudit et que je serais toujours un marginal méprisé. Donc, la tentation de rejeter toute idée de bien vivre ou de vivre honnêtement demeure grande. Cependant, même Jack Bauer doit affronter tôt ou tard son créateur.
Lire la suiteColombie-Britannique : une paroisse catholique jugée pour avoir refusé un événement LGBT !
Par Antoine Béllion (Avenir de la Culture)
Cette affaire scandaleuse s’est passée au Canada et perdure depuis le printemps de l’année dernière. En mars 2019, la paroisse catholique Star of the Sea située à White Rock en Colombie-Britannique avait refusé une demande de la White Rock Pride Society d’organiser une collecte de fonds nommée « Love Is Love »/« Pride Week » à la salle paroissiale de l’église.
Le groupe pro-gay accuse la paroisse d’avoir « catalogué » le groupe comme non bienvenu pour utiliser les locaux de l’église en vue de promouvoir l’homosexualité. La White Rock Pride Society a alors porté plainte auprès du Tribunal des droits de l’homme en juin 2019, affirmant que la paroisse avait « désigné » le groupe comme n’étant pas le bienvenu, alors que d’autres groupes sont autorisés à l’utiliser.
« Ce faisant… la paroisse a porté atteinte à la dignité, aux sentiments et au respect des membres de la Pride Society, qui s’identifient comme faisant partie de la communauté LGBTQ + et la soutiennent », a déclaré le président de la société, Ernie Klassen.
Lire la suiteWilson Gavin, fervent défenseur du mariage, décédé en Australie
Wilson Gavin était un catholique fervent qui a écrit de façon poignante sur l’enseignement de l’Église, a défendu le mariage sur la place publique et s’est fait bénévole avec les Missionnaires de la Charité.
Par Paul Smeaton — Traduit par Campagne Québec-Vie
Brisbane, Australie, 15 janvier 2020 (LifeSiteNews) — Les amis et la famille de Wilson Gavin continuent de pleurer la perte de cet étudiant de 21 ans qui a été retrouvé mort moins de 24 heures après avoir dirigé une manifestation contre une lecture de drag queen à la bibliothèque de Brisbane Square dimanche après-midi [12 janvier].
La police ne considère pas la mort de Wilson comme suspecte. Pour autant que LifeSiteNews pût le vérifier, au moment où nous écrivons ces lignes, les seuls détails concernant la mort de Wilson qui sont actuellement disponibles auprès des autorités publiques ou dans les médias grand public sont les suivants, tels que rapportés par le Daily Mail Australia :
La police et les services d’ambulance du Queensland ont été appelés pour un incident à Chelmer vers 7 h 7.
Un porte-parole des ambulances de l’État a déclaré que le patient avait été retrouvé avec des blessures graves. M. Gavin avait 21 ans.
Caroline Overington du The Australian a affirmé que Wilson « s’est jeté devant un train ». Elle ne dit pas d’où elle tire cela. LifeSite a contacté Caroline Overington pour lui demander où elle avait obtenu cette information, mais n’a pas eu de réponse au moment de mettre cela sous presse.
Le lundi soir [13 janvier], une messe a été offerte pour le repos de l’âme de Wilson à l’église Mary Immaculate à Annerly. Wilson y assistait régulièrement à la messe.
On peut lire sur un post de la page Facebook de la paroisse :
Lire la suiteBeaucoup de gens ont été profondément choqués et attristés par la mort tragique et inattendue de Wilson Gavin. Nous offrons tout d’abord nos sincères condoléances et notre soutien dans la prière à la famille de Wilson et à tous ceux qui l’ont connu et aimé.
Il est si important de se rappeler que chaque fois que nous sommes profondément affligés et blessés, nous allons au-delà de nous-mêmes, dans la prière, vers Jésus-Christ et à sa sainte mère Marie. En même temps, il est vital que nous fassions aussi tout notre possible pour tendre la main à un membre de la famille ou à un ami, ou pour chercher une aide professionnelle. Par exemple, vous pouvez toujours contacter Lifeline au 13 11 14.
La messe de 19 h à l’église Mary Immaculate d’Annerley ce soir sera offerte pour le repos éternel de l’âme de Wilson. Ensuite, il y aura possibilité, pour ceux qui le souhaitent, de se rassembler devant de l’église pour aller prendre le thé ou le café, etc.
Bienvenue à tous.
La Hongrie se retire du concours Eurovision, car celui-ci est trop LGBT
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Framing the World/Flickr
La télévision publique hongroise s’est officiellement retirée d'Eurovision, concours de chansons télévisé, et ce, sans en avoir donné la raison. Le Journal The Guardian, qui s’est penché sur la question, pense avoir trouvé la réponse : ce serait parce que le gouvernement hongrois trouverait le concours trop LGBT… ce qui est une excellente raison.
CNEWS rapporte donc, avec un large penchant en faveur des homosexuels, des travestis et des transgenres, et un vocabulaire bien à la mode, que la raison du retrait est la suivante :
Elle est résumée dans les mots d’un commentateur proche du Premier ministre d’extrême-droite Viktor Orbán, un certain Andras Bencsik, qui après le retrait de la Hongrie du concours, a dépeint l’Eurovision comme un « repaire » de la communauté homosexuelle.
Admirez au passage l’emploi du mot « extrême-droite ». CNEWS continue :
Toujours selon le Guardian, l’homme aurait même très exactement comparé le concours à « une flottille homosexuelle ».
Un vocabulaire issu de l’armée — et plus exactement de la marine — faisant dire à Andras Bencsik, que l’Eurovision met à mal « la santé mentale de la Hongrie », qui « serait meilleure si le pays ne participait pas au concours. »
« Beaucoup de jeunes pensent que c’est une émission tout public mais durant ce show, le goût du public est détruit à coups de travestis hurlants et de femmes à barbe », a-t-il ajouté.
Bref, encore un geste sensé de la Hongrie.