Pourquoi donc la BBC est-elle obsédée par les drag queens

Par Jonathon Van Maren — Campagne Québec-Vie — Photo : Panhard/Wikimedia Commons
Lundi 31 mars 2025 (LifeSiteNews) — Malgré une impopularité généralisée auprès des téléspectateurs, qui sont passés de 41 000 à 30 000 au cours des deux premiers épisodes, la série Smoggie Queens, primée (bien sûr !) a été renouvelée pour une deuxième série, selon BBC Three et BBC iPlayer.
La série, qui raconte l’histoire d’une « famille choisie » d’amis LGBT, se moque sans relâche des valeurs traditionnelles qui ont permis à la BBC de voir le jour.
Le principe de l’émission est celui d’un groupe de personnes qui ont rejeté leur famille réelle au profit d’autres personnes LGBT. Un personnage a quitté sa famille pour se travestir et est dépeint avec beaucoup de sympathie. Dans un épisode, un parent âgé est moqué pour avoir mal identifié une célébrité. Dans un épisode a « famille à paillettes » est mise en devanture, se terminant par un poème célébrant la façon dont les « queers » peuvent remplacer les structures familiales traditionnelles.
Les gentils sont les « queers » ; les méchants sont les parents qui ne veulent pas que leur fils porte des robes, ou la personne plus âgée qui identifie correctement le sexe d’une personne qui insiste pour qu’il en soit autrement.
Même les critiques ont noté la lourdeur du message, mais la BBC soutient la série. Smoggie Queens est révolutionnaire — non pas dans le sens où il s’agit de grand art, ou même de bon art, mais dans le sens où il s’agit d’une tentative délibérée de subvertir ce qui reste des normes de la famille naturelle, des valeurs sexuelles traditionnelles et de toute autre norme à laquelle vous pouvez penser. Il convient de rappeler qu’il s’agit d’une révolution financée par le contribuable : la BBC finance ses projets grâce à une redevance obligatoire prélevée sur les ménages britanniques.
Lire la suiteLes avocats du gouvernement canadien demandent une peine de prison pour le pasteur qui a protesté contre les heures du conte des drag-queens à la bibliothèque

Derek Reimer jeté hors d'un événement de drag-queen dans une bibliothèque de Calgary.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
2 décembre 2024, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Les avocats du gouvernement cherchent à obtenir une éventuelle sentence d’un an de prison et une période de probation pour un pasteur de Calgary, accusé de harcèlement criminel et de violation des conditions de sa libération sous caution pour avoir protesté contre les « heures du conte des drag-queens » destinées aux enfants dans une bibliothèque publique l’année dernière.
Le pasteur Derek Reimer, de Mission 7 Ministries, se trouvait jeudi devant la Cour du Banc du Roi de l’Alberta pour la détermination de la peine suite à un verdict de culpabilité rendu en octobre.
Reimer a déclaré à LifeSiteNews qu’en dépit de « l’énorme proposition de peine de la Couronne », il se sent « encouragé par le fait qu’il y a une bonne chance que je rentre à la maison avec ma famille après le verdict de la peine ».
« Même si ce n’est pas le cas, je sais que le Seigneur arrangera les choses pour le bien et je me réjouirai d’avoir été jugé digne de souffrir la honte pour le nom de Jésus », a-t-il ajouté.
En octobre, M. Reimer a été condamné à une peine criminelle et à une amende de 500 dollars après qu’un juge l’ait reconnu coupable d’avoir enfreint les conditions de sa libération sous caution parce qu’il s’était élevé contre une activité « heure du conte de drag queens » destinée aux enfants dans une autre bibliothèque publique.
Lire la suiteDes parents canadiens retirent leurs enfants de l’école après la présentation obligatoire d’un travesti « non binaire »

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studios/Adobe Stock
25 octobre 2024, Jeddore Oyster Ponds, Nouvelle-Écosse (LifeSiteNews) — Des parents de la province de Nouvelle-Écosse, dans l’est du Canada, ont retiré leurs enfants de classe après qu’un travesti masculin « non binaire » ait donné une présentation obligatoire sur « l’identité de genre » à des enfants âgés de 12 ans.
Le 18 octobre, un certain nombre de parents de l’Académie Oyster Pond ont gardé leurs enfants à la maison après avoir appris qu’un travesti « non-binaire » appelé Teo Ferguson avait donné à leurs enfants une présentation sur « l’identité de genre » à laquelle les élèves n’avaient pas le droit de se soustraire.
« Cela allait bien au-delà de ce qui devrait être enseigné en classe », a déclaré Hollie Riggs, un parent dont les enfants fréquentent l’école, à CTV News.
La présentation a porté sur l’identité sexuelle, la « diversité des genres » et les relations. Ferguson a révélé au Daily Mail qu’il avait également enseigné aux enfants comment les personnes « queer » peuvent exprimer leur genre.
Mme Riggs a révélé qu’elle a appris l’existence de cette présentation sur les médias sociaux, ce qui l’a incitée à retirer ses enfants de la classe.
Lire la suiteRéactions internationales au blasphème de l'ouverture des Jeux olympiques

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Ibex73/Wikimedia Commons
Les Jeux olympiques de Paris battent leur plein pour la joie ou le désarroi de ses adeptes. Peut-être davantage à la consternation de nombreuses personnes de voir des hommes « intersexués » (ils ont XY dans leurs gènes, mais le caractère apparent de leur sexe était incertain à la naissance) concourir dans les catégories féminines comme la celles de boxe...
Si ce n’était que ça !
La cérémonie d’ouvertures des jeux, qui a eu lieu le 26 juillet, a donné lieu à un blasphème répugnant contre le christianisme. La Cène, ou l’institution de l’Eucharistie, la première messe, le sacrifice anticipé du Christ, le dernier repas de Jésus avec ses apôtres, a été parodié dans un tableau vivant composé de lesbiennes, de drag-queens et autres personnages au sexe incertain qui a servi de décor à l’irruption d’une sorte de Bacchus bleu pratiquement à poil (précisons qu’au milieu de toutes ces horreurs il y avait un enfant...). Selon les premières communications des participants mêmes de la mise en scène, il s’agissait d’une parodie de la Cène de Vinci.
Qu’est-ce qu’une parodie de la Cène pouvait bien faire au milieu de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques ? Cela n’a assurément rien à voir avec l’esprit de l’événement sportif qui, rappelons-le n’est pas censé avoir d’éléments religieux selon la règle 50.2 de la charte olympique (à part, bien sûr la cérémonie du flambeau olympique qui met, du moins symboliquement, les jeux sous la protection d’Apollon...).
Cette attaque gratuite contre le christianisme, ce blasphème hideux et obscène dont ont été témoins des millions de téléspectateurs a suscité une vive indignation à travers le monde.
La réaction a été telle que le metteur en scène Thomas Jolly a prétendu que son spectacle n’avait rien à voir avec la Cène... un peu tard sans doute, France TV n’avait-il pas écrit sur X dès le départ « Une mise en Cène LE-GEN-DAIRE » ? Des vidéos de la cérémonie d’ouverture publiées pas les médias ont été depuis retirées.
Lire la suiteLes « drag-queens », le symptôme de la transgression
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Un nouveau phénomène se répand à une vitesse fulgurante dans nos sociétés, c’est le transgenrisme, dont la manifestation la plus colorée est celle des « drag queens » (ou reines de la drague), ces hommes travestis au maquillage clownesque qui se pavanent désormais sur les plateaux de télé, dans les festivals d’été et dans les écoles (un conseil scolaire a payé une « reine » du nom de Barbada 1 400 $ pour une seule prestation dans une école).
Ces drags queens se prolifèrent à un tel point qu’on les invite jusqu’aux plus profonds recoins du Québec, comme à la paroisse Sacré-Cœur, de la municipalité du même nom sur la Côte-Nord, dans le cadre d’un festival d’été. Heureusement que cette fois-ci, la possibilité qu’un tel spectacle puisse profaner un temple de Dieu avait soulevé un tel tollé (une campagne de pétition de Campagne Québec-Vie comptant près de 1500 signatures en deux jours aidant), que les marguilliers de la paroisse ont décidé de ne plus rendre disponible leur église pour la prestation des drag queens.
Pourquoi cet empressement de la part des écoles, des médias et des festivals d’inviter de telles personnes ? La réponse c’est que les drag queens, représentants colorés de la mouvance transgenre, mouvance qui nie que le corps humain détermine l’identité sexuelle d’une personne (affirmant donc qu’une personne puisse être « biologiquement » mâle mais « psychiquement » femelle), ne sont que la dernière manifestation d’une mouvance séculaire de révolte contre l’ordre naturel voulu par Dieu. Cette révolte, dont la continuation et l’approfondissement est nécessaires pour la préservation des acquis de la nouvelle caste au pouvoir (pouvoir financier, élites politique et culturelle), doit donc être revigorée et explicitée continuellement, par une propagande médiatique tapageuse et envahissante. Les drag queens sont donc aujourd’hui à la fine pointe d’une Révolution contre Dieu et sa Loi qui finira par les écarter au profit de nouveaux représentants, encore plus subversifs.
Lire la suiteL’église Sacré-Cœur n’ouvrira pas ses portes pour accueillir un spectacle de « drag-queens »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Khayman/Wikimedia Commons/Répertoire du patrimoine culturel du Québec — Mise à jour 26 juillet 2023
Bonne nouvelle, le spectacle de drag-queens qui devait se tenir dans l’église Sacré-Cœur du village Sacré-Cœur-sur-Le-Fjord-Du-Saguenay, dans le cadre du Festival du Fjord, n’aura finalement pas lieu dans l’édifice sacré ! L’église de la Côte-Nord n’accueillera pas un spectacle de drag, contrairement à ce que titrait (triomphalement ?) TVA Nouvelles le 14 juillet.
La pression populaire aura fait reculer les marguilliers de la fabrique ou les organisateurs du festival, sans doute peu désireux d’attirer une telle attention sur leur localité.
Nous avons d’abord appris, par un sympathisant de Campagne Québec-Vie, que le festival avait été déplacé. Un membre de sa famille ayant contacté la municipalité de Sacré-Cœur au sujet du spectacle de drag-queens, il s’est fait répondre qu’il devait avoir lieu dans le Centre récréatif.
Nous avons vu ensuite sur la page Facebook « Les Drags du Fjord | Festival du Fjord » que l’événement aurai lieu dans le « Centre récréatif (aréna) » du village Sacré-Cœur, le 1er septembre.
Victoire ! Bonne nouvelle ! Il est certes dommageable que l’événement de « drag » ait tout de même lieu, mais au moins il ne se tiendra pas dans l’église du Sacré-Cœur.
Nous avons fait quelques efforts pour dénoncer la tenue de ce spectacle dans une église, notamment en écrivant en un article, en rédigeant une pétition et en envoyant un courriel à nos lecteurs. À quel point notre action a-t-elle influencé la décision des organisateurs de l’événement ? Nous avons en tout cas la joie de voir que le sacrilège n’aura pas lieu.
Dieu merci !
Le Centre de services scolaires de Québec a dépensé 1 600 $ pour la conférence d’un drag-queen
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
17 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Un Centre de services scolaires du Québec a payé le tristement célèbre drag-queen Barbada de Barbades plus de 1 000 $ avec l’argent des contribuables pour une conférence scolaire.
Récemment, le Centre de services scolaires de la Capitale a versé 1 400 $ à Sébastien Potvin, enseignant au primaire et drag-queen, connu sous le nom de scène de Barbada de Barbades, pour une conférence de drag-queen d’une heure et 35 minutes.
Le Centre de services scolaires de la Capitale, qui est responsable des écoles de la ville de Québec, a versé à M. Potvin 1 400 $ et 209,65 $ en taxes de vente provinciale et fédérale, ce qui fait un total de 1 609,65 $, selon les dossiers obtenus par Rebel News.
Le nom de l’école où la conférence a eu lieu n’a pas été révélé par Rebel News pour des raisons journalistiques.
Ce n’est pas la première fois que le gouvernement québécois finance des événements LGBT pour promouvoir le mode de vie LGBT auprès des Canadiens.
Des documents récemment divulgués montrent que le gouvernement fédéral du premier ministre Justin Trudeau a donné 12 millions de dollars de l’argent des contribuables pour financer des organisations et des événements de « fierté » entre 2020 et 2022.
De même, en juin, le gouvernement Trudeau s’est engagé à verser 1,5 million de dollars pour ce qu’il prétend être un « financement d’urgence » pour le mois de la « fierté » aux organisations qui organisent des défilés afin de renforcer la sécurité lors de ces événements.
Lire la suiteUn militant pro-famille raconte comment la prière et la manifestation ont fait annuler un événement de drag-queen pour adolescents

Manifestation contre un événement de drag-queens à Rockton en Illinois.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : proliferockford.com
17 juillet 2023, Rockton, Illinois (LifeSiteNews) — Un père de famille, activiste catholique pro-famille, a récemment partagé avec LifeSiteNews combien la prière a été puissante pour repousser un événement de drag-queen dans une bibliothèque.
Danniel Pribble sait comment rester fort face à l’adversité — il a été attaqué à la fois pour son plaidoyer en faveur de la Messe latine traditionnelle (TLM) et pour son travail pro-vie en l’espace de seulement deux mois.
Pribble a déclaré à LifeSiteNews que la prière a aidé un groupe avec lequel il est impliqué, Rockford Family Initiative, à forcer [l’annulation] d’un événement de drag-queen pour adolescents.
« La bibliothèque a été inondée de centaines, voire de milliers d’appels et de courriels de personnes mécontentes de l’événement, qui demandaient son annulation », a déclaré M. Pribble par texto.
Plus de 250 personnes se sont présentées à l’extérieur de la réunion du conseil d’administration avec des banderoles et des pancartes, ce qui a eu un impact important dans la petite ville de Rockton.
« Nous avions un mégaphone et nous avons prié six chapelets, chanté des hymnes et même eu recours à un joueur de cornemuse et à un batteur [pendant] plus de deux heures », a déclaré M. Pribble dans ce message. Il a ajouté qu’un prêtre d’une église locale célébrant la messe en latin était présent avec environ 75 paroissiens.
Lire la suiteDrag-queen dans une église au Québec

Église Sacré-Cœur de Jésus.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : LostRen/Wikimedia
Pétition : Non aux drag-queens à l’église Sacré-Cœur-de-Jésus
Ceci n’est pas le titre d’une émission douteuse, c’est un simple fait, c’est un événement à venir. Un événement de drag-queen aura lieu dans l’église Sacré-Cœur-de-Jésus dans la municipalité de Sacré-Cœur-sur-Le-Fjord-Du-Saguenay. La fabrique de cette paroisse du diocèse de Baie-Comeau a accepté la tenue du Festival du Fjord dans l’église du 31 août au 3 septembre, chose déjà scandaleuse en soi, dont un spectacle de « drag-queen ».
Un spectacle familial, garantit l’un des membres organisateurs, selon Le Journal de Québec :
« C’est un spectacle pour toute la famille, assure le président du comité, Billy Hovington. On veut montrer c’est quoi l’art de la drag et dans le fond, l’art de la drag, c’est du transformisme. »
Mais qu’est-ce qu’un « drag-queen » ou « reine de la drague » ? Si l’on se fie au nom, il s’agit d’une entreprise de séduction à des fins très intéressées. D’ailleurs, ce genre de personnage et de spectacle correspondant se trouvaient dans les cabarets et autres lieux interdits aux mineurs. Ce n’est qu’assez récemment que les drag-queens sont sortis de leurs tavernes pour lire des histoires aux enfants dans les bibliothèques et les écoles, ou pour se trémousser devant eux de façon obscène... Tout cela dans le but avoué de changer leur vision du monde et de leur identité propre. Maintenant, apparemment, ils s’en viennent dans les églises, ce qui est doublement scandaleux.
Lire la suiteRencontre avec les jeunes chrétiens punis pour avoir prêché contre l’heure du conte des drag-queens au Canada
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
4 mai 2023 (LifeSiteNews) — Deux jeunes hommes chrétiens du Canada s’expriment après que la police les ait verbalisés pour avoir prêché « trop près » d’une heure du conte de drag-queens à Calgary.
Aujourd’hui, pendant le John-Henry Westen Show, j’ai parlé avec Nathaniel Pawlowski, fils du pasteur canadien persécuté Artur, et Deklan Friesen, leur demandant de raconter leur histoire et de partager leurs réflexions sur la façon de défendre avec succès la vérité chrétienne alors que notre époque y est de plus en plus hostile.
Pawlowski et Friesen, fondateurs du groupe de défense True Dominion Canada, ont été arrêtés par la police de Calgary et ont fait l’objet d’un procès-verbal en avril parce qu’ils prêchaient des versets bibliques à l’extérieur d’une bibliothèque publique où se déroulait une heure de conte des drag-queens.
La police a expliqué aux jeunes hommes qu’ils violaient un règlement municipal relativement récent qui interdit « les comportements insultants ou dégradants, y compris les avances sexuelles non désirées, ou le harcèlement de quiconque sur la base de l’âge, de la race, de l’orientation sexuelle, du handicap, du sexe, de l’identité sexuelle ou de l’expression sexuelle, entre autres ». Le règlement interdit que ces « manifestations spécifiques » se déroulent à moins de 100 mètres des centres de loisirs ou des bibliothèques de la ville.
Bien que M. Pawlowski ait déclaré qu’il pourrait encore être inculpé, aucune charge n’a encore été retenue contre lui. Il m’a dit que la manifestation s’était en fait mieux déroulée que prévu, car ils s’attendaient à être arrêtés. Néanmoins, la police les a traités selon un standard différent de celui utilisé envers les contre-manifestants pro-LGBT et Antifa.
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