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Une femme arrêtée pour avoir prié silencieusement près d’un avortoir au Royaume-Uni est victorieuse devant le tribunal

Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube

Plus tôt ce mois-ci, les autorités auraient abandonné les poursuites contre Isabel Vaughan-Spruce, une femme qui a été arrêtée pour avoir prié en silence près d’un centre d’avortement. Alors qu’il semblait que sa bataille était enfin terminée, elle devait encore faire face à une bataille judiciaire qui pouvait lui laisser un casier judiciaire. Le tribunal a finalement statué en faveur de Vaughan-Spruce.

Christian Today a rapporté que, malgré le fait que les charges avaient été abandonnées, Vaughan-Spruce devait encore se présenter à une audience au Birmingham Magistrates' Court. Si le tribunal l’avait déclarée coupable, elle aurait eu un casier judiciaire. Les chefs d’inculpations auraient également pu être rétablis si le tribunal ne l’avait pas déclarée innocente.

Dans un communiqué de presse, Alliance Defending Freedom (ADF) UK a annoncé le verdict. « Je suis heureuse d’avoir été acquittée de tout acte répréhensible. Mais je n’aurais jamais dû être arrêtée pour mes pensées et traitée comme une criminelle simplement pour avoir prié en silence dans une rue publique », a déclaré Vaughan-Spruce devant le Palais de Justice.

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« En ce qui concerne les zones de censure, la prière pacifique et les tentatives d’offrir de l’aide aux femmes enceintes en situation de crise sont désormais qualifiées de “criminelles” ou d’“antisociales”. Mais ce qui est profondément antisocial, ce sont les mesures actuellement prises pour censurer la liberté d’expression, la liberté d’offrir de l’aide, la liberté de prier et même la liberté de penser. Nous devons nous opposer fermement à cela et veiller à ce que ces libertés les plus fondamentales soient protégées et que toutes nos lois en tiennent compte. »

Vaughan-Spruce a été arrêtée alors qu’elle se tenait près de la clinique BPAS Robert à Kings Norton, Birmingham, où des avortements sont pratiqués. Il y a une zone tampon en place, qui interdit aux gens de « se livrer à tout acte d’approbation ou de désapprobation ou tentative d’acte d’approbation ou de désapprobation » en rapport avec l’avortement, y compris par « des moyens verbaux ou écrits, la prière ou des conseils ». Lorsque la police a vu Vaughan-Spruce se tenir là silencieusement, ils lui ont demandé si elle priait ; elle a répondu « peut-être, » et a été arrêtée.

« Le procès d’aujourd’hui est d’une grande importance culturelle. Ce n’est pas 1984, mais 2023 — personne ne devrait être criminalisé pour ses pensées, pour ses prières, pour s’est exprimer pacifiquement sur la voie publique », a déclaré Jeremiah Igunnubole, le conseiller juridique d’ADF UK représentant de Vaughan-Spruce, ajoutant : « C’est formidable qu’ils aient trouvé justice, bien qu’avec des batailles juridiques aussi exténuantes, le processus soit souvent la punition. Leur dossier est peut-être clos aujourd’hui, mais celui-ci devrait être pris ici comme une mise en garde. Au Royaume-Uni, la liberté de pensée, la prière, l’offre d’aide et les conversations pacifiques ne sont pas illégales et nous appelons le Parlement à rejeter ces nouvelles zones de censure créées par voie d’une législation d’ordre public formulée de manière vague.



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