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Une ancienne directrice de Planned Parenthood qualifie désormais l’avortement de «peine de mort» pour les enfants à naître


Mayra Rodriguez.

Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Une ancienne directrice de Planned Parenthood et lanceuse d’alerte a déclaré qu’elle connaît maintenant la vérité, à savoir que l’avortement est la « peine de mort » pour les bébés à naître.

Mayra Rodriguez, qui a gagné un procès contre Planned Parenthood en 2019 en vertu de la loi sur la protection des dénonciateurs, a partagé son histoire récemment lors de la conférence Democrats for Life dans l’Ohio, selon Breitbart.

Rodriguez a travaillé à Planned Parenthood pendant 16 ans, et elle était même devenue directrice du plus grand centre d’avortement de PP en Arizona ; elle a aussi été élue meilleure employée de l’année. Mais elle est aujourd’hui une militante pro-vie qui s’efforce de révéler au monde entier les pratiques horribles de Planned Parenthood.

« Il faut environ 15 à 26 minutes pour un avortement », a témoigné Rodriguez, selon l’article. « Ils étouffent [les bébés à naître] et ils injectent également une solution saline dans leur cœur jusqu’à ce que leur cœur s’arrête, 24 heures avant de les retirer morceau par morceau [du ventre de leur mère]. »

« Donc, c’est une peine de mort pour les enfants à naître », a-t-elle poursuivi.

Planned Parenthood est la plus grande chaîne de cliniques d’avortements en Amérique. Elle réalise environ 40 % de tous les avortements aux États-Unis, dont environ 354 000 l’année dernière.

Mme Rodriguez a révélé aux défenseurs de la vie que la chaîne d’avortements manipule les femmes et les jeunes filles pour qu’elles avortent leur bébé à naître. Elle l’a vu lorsque son travail consistait à « attirer la communauté des immigrés sans papiers », rapporte le Christian Post.

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Elle a expliqué que Planned Parenthood dit aux immigrantes illégales qu’elles sont les bienvenues : « Nous ne vous expulserons pas, nous n’appellerons pas l’ICE [Immigration and Customs Enforcement] contre vous ». Mais si vous portez votre bébé (en poursuivant votre grossesse), que vous allez à l’hôpital et que vous vivez, par exemple, en Arizona ou en Ohio ou dans d’autres États où les lois contre les sans-papiers sont très strictes, vous pouvez être expulsée.

« Alors quand vous dites cela, que pensent les femmes ? Oh, je ne peux pas avoir d’enfant parce que je pourrais être expulsée, et je pourrais être séparée de mes trois autres enfants », a déclaré Rodriguez.

Ce n’est qu’une des nombreuses choses inquiétantes qu’elle a remarquées. Après avoir été témoin de pratiques médicales dangereuses et d’autres problèmes, Rodriguez a dit qu’elle s’était plainte auprès des dirigeants de Planned Parenthood. C’était en 2017.

Voici d’autres extraits de l’article :

« J’ai remarqué toutes les atrocités. J’ai remarqué les irrégularités. J’ai remarqué les mauvaises pratiques », a témoigné Rodriguez. « J’ai remarqué toutes les choses que les avorteurs de Planned Parenthood cachent aux gens. Et je m’en suis plainte. »

« Cela m’a valu de me faire piéger et renvoyer », a-t-elle ajouté. « Oui, j’ai été accusée à tort d’avoir des stupéfiants dans mon bureau alors que je n’y étais pas. »

Rodriguez a finalement eu gain de cause. En 2019, un tribunal lui a accordé 3 millions de dollars dans un procès pour licenciement abusif.

Après avoir quitté la chaîne d’avortement, Rodriguez a contacté And Then There Were None [Et ensuite il n’y en eut plus], une organisation qu’Abby Johnson, ancienne directrice de Planned Parenthood, a lancée pour aider les travailleurs de l’avortement à démissionner. Rodriguez a également été impliquée dans les 40 jours pour la vie.

« Nous devons mettre fin aux activités de Planned Parenthood », a-t-elle insisté lors de la conférence Democrats for Life. « Nous devons mettre un terme aux activités des autres avorteurs qui attaquent nos jeunes femmes, s’en prennent à nos communautés d’immigrants et à nos communautés minoritaires. »



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