Le budget 2022 de Trudeau favorise des maux qui minent la famille
Justin Trudeau.
Par Campaign Life Coalition — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lovers Lounge/Flickr
Le budget 2022 de Justin Trudeau consacre des millions de dollars à la promotion de nombreux maux qui sont anti-vie et anti-famille.
Voici quelques éléments que Campaign Life Coalition a trouvés particulièrement inquiétants.
« Aide pour les Canadiens qui veulent devenir parents »
Un élément troublant du budget est le projet des libéraux d’offrir un crédit d’impôt pour la maternité de substitution et la fécondation in vitro afin que les homosexuels et d’autres personnes puissent « bâtir la famille dont ils rêvent ».
« Partout au Canada, il y a ceux qui font face à des défis dans leur parcours pour devenir parents. Qu’ils soient confrontés à des problèmes de fertilité, qu’ils fassent partie d’un couple de même sexe ou qu’ils veuillent simplement pouvoir être une mère ou un père à leurs propres conditions, certains Canadiens ont recours à la maternité de substitution et à des procédures coûteuses afin de construire la famille dont ils rêvent. Mais actuellement, le crédit d’impôt pour frais médicaux n’est pas disponible pour ceux qui doivent payer les frais médicaux d’autres personnes afin de devenir un parent », indique le budget.
« Le budget 2022 propose de permettre de réclamer les frais médicaux liés à une mère porteuse ou à un donneur de sperme, d’ovules ou d’embryons qui sont engagés au Canada pour les années d’imposition 2022 et les suivantes. Cela comprendrait les coûts qui ont été remboursés à une mère porteuse pour les frais de fécondation in vitro. »
« Le budget 2022 propose également de permettre que les frais payés aux cliniques de fertilité et aux banques de donneurs au Canada afin d’obtenir du sperme et des ovules de donneurs soient admissibles au crédit d’impôt pour frais médicaux pour 2022 et les années d’imposition suivantes », ajoute le document.
Les traitements de fertilité qui impliquent de séparer l’étreinte conjugale de la procréation sont gravement immoraux. Les enfants ont le droit d’être conçus par l’union amoureuse d’un homme et d’une femme engagés l’un envers l’autre dans un mariage stable. Le bon sens, appuyé par les sciences sociales, montre clairement que les enfants s’épanouissent mieux dans le contexte d’une relation stable et aimante entre une mère et un père. Un tel traitement de la fertilité transforme la vie humaine en marchandise, la dégradant en un « objet » qui peut être acheté et vendu. Il s’agit d’une attaque contre la vie humaine, et en particulier contre les enfants qui sont mis au monde de cette manière.
Lire la suiteNombre de grandes entreprises soutiennent depuis longtemps l’avortement et le contrôle de la population
Par Sam Dorman — Traduit par Campagne Québec-Vie
24 mars 2022 (LifeSiteNews) — Les récents projets de loi pro-vie se sont tacitement appuyés sur les tracas que rencontrent les femmes lorsqu’elles traversent les frontières d’un État pour obtenir un avortement. Les délais, les coûts et d’autres facteurs peuvent les empêcher d’obtenir la procédure, car elles ne peuvent plus avoir recours à l’avortement dans leur propre État.
C’est ce qui s’est produit au Texas, où la loi controversée sur le battement de cœur a apparemment provoqué un exode de femmes cherchant à se faire avorter dans l’Oklahoma, le Colorado et la Louisiane. Bien que le Texas ait publié des données sur la chute vertigineuse du nombre d’avortements depuis l’entrée en vigueur de la loi, on ne sait pas exactement combien de femmes ont accouché alors qu’autrement elles ne l’auraient pas fait. Heureusement pour la gauche, ses alliés du monde des affaires parviennent à garantir un accès [à l’avortement] là où le mouvement pro-choix ne parvient pas à le faire.
L’une des plus grandes banques d’investissement du monde, Citigroup, a annoncé cette semaine qu’elle financerait les déplacements (billets d’avion, etc.) des employées souhaitant avorter.
Dans un document public, la banque a déclaré que « les changements dans les lois sur les soins de santé génésique dans certains États » l’avaient incitée à « fournir des prestations de voyage pour faciliter l’accès à des ressources adéquates ». Citigroup compterait plus de 8 500 employés au Texas, où un tribunal a effectivement laissé en vigueur la loi [limitant] l’avortement.
On pourrait penser que le financement des voyages liés à l’avortement permet avant tout aux entreprises de diffuser une image de justice sociale dans la presse et d’éviter le boycottage de « wokistes ». Mais la fin de la vie d’un autre être humain offre bien plus de gains potentiels pour les entreprises. C’est du moins ce qu’indique le RHIA Group, une société d’investissement pro-choix qui a fait « l’analyse de rentabilité » de l’avortement et d’autres formes de « santé reproductive » en 2020.
Lire la suiteCe bébé a été sauvé de l’avortement lorsque des pro-vie ont aidé sa mère devant l’avortoir
Kairo.
Par Shawn Carney (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 18 mars, 2022 — Anniyah était déchirée lorsqu’elle s’est présentée à son rendez-vous pour un avortement à Cherry Hill, dans le New Jersey, en octobre dernier.
« Une partie d’elle ne voulait pas être là », a déclaré Claire, la responsable locale des 40 jours pour la Vie. « Mais elle n’avait pas de travail... et les gens lui disaient qu’elle ne devrait pas avoir [un bébé] ».
Anniyah est sortie du centre d’avortement lors d’un appel avec sa mère, qui encourageait Anniyah à parler avec une personne extérieure — quelqu’un qui n’était pas proche de la situation d’Anniyah et qui pourrait lui offrir une opinion impartiale.
C’est alors que Marie a fait signe à Anniyah de venir et lui a dit : « Tu n’es pas obligée de faire ça aujourd’hui ».
Marie lui a expliqué l’abondance des ressources qui pourraient permettre à Anniyah de choisir la vie et de s’épanouir... et elle a décidé de garder son bébé !
L’équipe de Cherry Hill l’a mise en contact avec toutes sortes d’aides : transport vers les rendez-vous chez le médecin, fournitures pour bébé, repas — et même nettoyage de tapis !
Récemment, Anniyah a donné naissance à un magnifique petit garçon de 2,72 kg appelé Kairo, grâce aux prières de Marie, Claire, de toute l’équipe de Cherry Hill et de vous !
Lire la suiteMarche pour la Vie à Washington DC — plus de 150 000 manifestants
Marche pour la Vie à Washington, 21 janvier 2022.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gualberto Garcia Jones/LifeSiteNews
Plus de 150 000 participants ont marché lors de la 49e marche pour la Vie à Washington DC vendredi 21 janvier.
Twitter a complètement ignoré ce succès évident, préférant souligner l’anniversaire de Roe.
Les deux ONG, MSI Reproductive Choices et International Planned Parenthood Federation, ont manifesté leur inquiétude devant le possible renversement de Roe vs Wade. Ils craignent « une onde de choc capable de “se répercuter dans le monde entier, enhardissant davantage les activistes anti-genre et anti-avortement” » rapporte FSSPX.News « MSI alerte l’opinion sur le risque de ce qui serait le “recul le plus important du droit à l’avortement dans l’histoire des États-Unis” ».
Quant à la présidente de la Marche pour la Vie, elle a affirmé lors du ralliement avant la marche, « Nous espérons et nous prions que cette année 2022 amènera un changement historique pour la vie. »
Une obstétricienne refuse de pratiquer des avortements : Je ne peux pas mettre au monde des bébés dans une pièce et en tuer dans l’autre
Le Dr Regina Frost.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
La liberté religieuse est attaquée dans la communauté médicale, les militants de l’avortement essayant de forcer les travailleurs de la santé à collaborer à des avortements.
Mais beaucoup ripostent pour défendre leur foi, leur serment, leur gagne-pain et la vie de leurs patients les plus vulnérables.
Le Dr Regina Frost, une gynécologue-obstétricienne de New York, a récemment écrit une colonne pour The Federalist décrivant comment les dirigeants de son État, la chaîne d’avortement Planned Parenthood et d’autres luttent contre sa liberté religieuse via un procès contestant une nouvelle règle de l’administration Trump qui protège les droits de conscience des professionnels de la santé.
« Si New York et Planned Parenthood parviennent à bloquer les protections de conscience pour les professionnels de la santé, je pourrais être obligée soit de violer ma conscience, soit de quitter la profession médicale », a écrit Mme Frost.
Mme Frost a déclaré qu’elle était devenue gynécologue-obstétricienne parce que sa foi l’appelle à « traiter les femmes avec dignité et compassion ».
Elle a écrit :
Lire la suiteEn tant que gynécologue-obstétricienne, je suis présente lors des moments les plus intimes de la vie d’une mère, d’un père et d’un enfant. J’ai le privilège de placer des enfants dans les bras de leur mère pour la toute première fois. Je dois également annoncer la nouvelle bouleversante de l’infertilité et guider les mères et les pères dans la tragédie d’une grossesse perdue.
Ce travail ne peut être accompli de manière impersonnelle. Je ne peux pas laisser mon humanité à la porte. Je donne à tous mes patients le même degré d’attention que je donnerais à un ami proche ou à un être cher.
Des lycéens pro-vie prient chaque semaine devant Planned Parenthood pour sauver des bébés de l’avortement
Étudiant de la Chesterton Academy à Hopkins priant devant un avortoir de Planned Parenthood à St. Paul, le 5 janvier 2022.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Dave Hrbacek/The Catholic Spirit
Chaque semaine, des lycéens du Minnesota bravent le froid glacial et les remarques désagréables des militants de l’avortement pour prier devant un centre d’avortement Planned Parenthood à St. Paul.
Malgré des conditions peu propices, les élèves de la Chesterton Academy, une école catholique de Hopkins, prient avec enthousiasme pour les mères et leurs bébés, rapporte The Catholic Spirit.
Ils sont tellement impatients d’avoir un impact sur la vie que de nombreux élèves arrivent à l’école plus tôt que prévu afin de pouvoir s’inscrire pour obtenir l’une des rares places disponibles, selon l'article.
« Les adolescents ont souvent l’impression qu’il n’y a rien qu’ils puissent faire réellement, tangiblement, pour changer le monde », a déclaré Kalley Yanta, conseillère de trottoir pro-vie et parent d’élève de la Chesterton Academy. « Mais ceci est très tangible, surtout parmi des gens comme eux qui comprennent le pouvoir de la prière ».
Leur enthousiasme illustre la passion de la génération pro-vie, des jeunes qui réalisent la valeur de chaque vie humaine et la dévastation causée par l’avortement. En Amérique, des dizaines de millions de lycéens manquent à l’appel parce qu’ils ont été avortés. Depuis 1973, plus de 63 millions de bébés à naître ont été avortés aux États-Unis, et ce total augmente de près d’un million chaque année.
Lire la suiteUn démocrate pro-vie défie courageusement son parti et demande à la Cour suprême d’annuler Roe v. Wade
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Il faut beaucoup de courage et d’intégrité pour s’opposer au Parti démocrate et à l’un de ses plus puissants soutiens, les groupes de pression de l’avortement.
Mais Dan Lipinski, membre du Congrès de l’Illinois, l’a toujours fait. Cible du lobby de l’avortement, Lipinski est l’un des derniers démocrates fidèlement pro-vie au Congrès.
Jeudi, lui et son collègue démocrate Collin Peterson, du Minnesota, se sont joints à plus de 200 législateurs républicains pour demander à la Cour suprême des États-Unis d’envisager de renverser l’arrêt Roe v. Wade. Ils ont demandé à la haute cour de maintenir une Loi de la Louisiane concernant les cliniques d’avortement et qui protège les femmes souffrant de complications d’urgence. L’affaire est June Medical Services v. Gee.
Bien que la plupart des leaders démocrates soient de plus en plus favorables à l’avortement, Lipinski défend fidèlement les droits des bébés dans l’utérus. Sa signature sur le dossier d’amicus curiae a rapidement suscité des critiques de la part des militants de l’avortement, y compris de son adversaire politique Marie Newman, rapporte Newsweek.
Le militant et cinéaste Adam Best a critiqué la décision de Lipinski et de Peterson de soutenir les droits des bébés à naître, la qualifiant de « complètement inacceptable », selon l’article. Il a exhorté le parti démocrate à rejeter les pro-vie.
« Il ne devrait pas y avoir de place pour les radicaux anti-droits des femmes au sein du parti démocrate », a écrit M. Best sur Twitter.
La branche de l’Illinois de Planned Parenthood, la plus grande chaîne d’avortement du pays, a également dénoncé le démocrate pro-vie jeudi, selon CBS Chicago. Plus tôt cette année, la chaîne d’avortement, qui vaut des milliards de dollars, avait soutenu son adversaire.
Lire la suitePourquoi Bill Gates s’intéresse-t-il autant à l’avortement et à la contraception ? Cela a commencé avec son père
Bill Gates.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sebastian Vital/Flickr
22 décembre 2021 (LifeSiteNews) — En 2003, le journaliste américain Bill Moyers a posé une question à Bill Gates. Pourquoi, voulait savoir Moyers, êtes-vous si passionné par les questions de reproduction ? Gates a réfléchi. « Mais êtes-vous venu aux questions de reproduction comme une recherche intellectuelle, philosophique ? », a insisté Moyers. « Ou est-ce que quelque chose s’est produit ? Y a-t-il eu une révélation ? »
« Quand je grandissais, mes parents étaient toujours impliqués dans diverses activités bénévoles », a répondu Gates. « Mon père était à la tête de Planned Parenthood. Et c’était très controversé d’être impliqué dans ce domaine. Et donc c’était fascinant ».
Fascinant, en effet. Au cas où vous auriez vécu dans une grotte au cours des dernières décennies, Planned Parenthood est le plus grand fournisseur d’avortements au monde. La Fondation Bill et Melinda Gates a perpétué l’héritage de Bill Gates père, en finançant des organisations qui distribuent la pilule abortive comme l’International Planned Parenthood. Comme l’a fait remarquer Obianuju Ekeocha, militante nigériane des droits de l’homme, la Fondation Gates répond aux demandes de soins de santé par la contraception ─ et pire encore.
Nombreux sont ceux qui ne comprennent pas pourquoi les pro-vie ne font pas confiance aux « philanthropes » tels que Bill Gates, George Soros et autres. Comment peut-on s’opposer à des hommes qui utilisent leurs fortunes durement gagnées pour rendre le monde meilleur ? C’est là, bien sûr, que réside la réponse : nous ne pensons pas que l’avortement, les pilules contraceptives et l’éducation sexuelle de Planned Parenthood rendent le monde meilleur. Ces hommes sont plus riches que certains petits pays et ont des ambitions de colonisateurs idéologiques.
Lire la suiteLe Guatemala deviendra la capitale pro-vie de l’Amérique latine
Alejandro Giammattei, président du Guatemala.
Par Francesca de Villasmundo (Medias Presse Info) — Photo : Gobierno de Guatemala/Flickr
Comme lors des grandes invasions et de la nuit barbare qui s’abattit sur l’Empire romain finissant, dans les ténèbres covidiennes, autre facette de la culture de mort et de la révolution arc-en-ciel, certains, pour reprendre les mots du père Calmel, « ont gardé leur lampe allumée — la lampe de l’oraison et des bonnes œuvres, spirituelles et temporelles ». Ils « ont maintenu contre la barbarie des bastions de prière, d’honneur, de culture… »
Le président du Guatemala, Alejandro Giammattei, a déclaré que son pays deviendrait la capitale pro-vie de l’Amérique latine à partir du début de l’année prochaine 2022, tandis que Biden nomme des avorteurs à des postes clés dans son administration et à l’Unicef. Les deux se disent hommes politiques catholiques, l’un l’est réellement, l’autre n’est qu’une illusion.
La nouvelle a fait le tour du monde : le président Alejandro Giammattei a annoncé son intention de faire du Guatemala la capitale de la vie en Amérique latine lors d’un discours prononcé à l’hôtel Willard à Washington DC, le 6 décembre dernier. Giammattei a prononcé son discours en tant qu’invité d’honneur lors d’une conférence organisée par l’Institute for Women’s Heath, une organisation pro-vie fondée par une ancienne cadre du ministère de la Santé et des Services sociaux de l’administration Trump, Valerie Huber, et par l’International Human Rights Group (un autre institut américain). Comme indiqué dans une déclaration de l’Institute for Women’s Health, Giammattei n’a pas été invité au Sommet de la démocratie organisé par le président Joe Biden, où plusieurs dirigeants des démocraties du monde, dont des petits tyrans en herbe, se sont réunis.
Le Guatemala n’a pas été invité à assister au sommet, peut-être que les différences dans le droit à la vie étaient la raison fondamentale de l’omission du pays. Dans son discours lors de la conférence, Giammattei a largement présenté son soutien convaincu pour les initiatives et les défis auxquels les défenseurs de la vie sont confrontés et a annoncé que le Guatemala deviendra la capitale de la vie de l’Amérique latine le 9 mars 2022 :
Lire la suite« Chaque personne mérite que sa vie soit protégée, de la conception à la mort naturelle […] Il est totalement faux que l’avortement soit un droit humain. Tout effort pour tenter d’imposer l’avortement dans un pays est une ingérence indue dans les affaires internationales. »
Planned Parenthood l’a poussée à avorter, mais elle a choisi la vie
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
Dans une tribune récente publiée dans Newsweek, Jessica Riojas, une Californienne, a raconté une histoire beaucoup trop courante : s’étant retrouvée enceinte de façon inattendue pendant ses études, elle a consulté un centre de Planned Parenthood (PP) pour discuter des options qui s’offraient à elle. Mais au lieu de lui donner des conseils, les responsables du centre lui ont dit que sa seule « option » était l’avortement.
Riojas explique :
... J’ai découvert que j’étais enceinte. Comme la plupart des autres étudiantes dans ma situation, je me suis sentie seule, effrayée, incertaine de mon avenir et incroyablement mal préparée. Je me suis rendue au centre local de Planned Parenthood, où un conseiller a essayé de me convaincre que j’étais irresponsable, que je n’étais pas prête à être mère et que l’avortement était ma seule option.
Heureusement, quelque chose en elle lui disait que l’avortement n’était pas vraiment le seul choix qu’elle avait. Riojas a expliqué que, bien que ne se considérant ni pro-vie ni pro-choix à l’époque, elle avait pris dans un stand d’information de Students for Life l’image en relief d’un enfant à naître à 12 semaines de grossesse. Cette figurine lui plaisait et elle la gardait dans sa voiture. Après avoir parlé avec les conseillers de PP, elle a de nouveau contemplé la représentation grandeur nature d’un enfant à naître et elle a su qu’elle garderait son enfant.
Mme Riojas affirme qu’elle était la cible parfaite pour l’industrie de l’avortement : elle n’avait pas beaucoup d’argent et elle espérait terminer ses études. Les défenseurs de l’avortement affirment que les femmes dans cette situation sont incapables d’élever un enfant, mais Mme Riojas était mieux placée pour le savoir et elle leur a prouvé le contraire. Elle a déclaré qu’au cours du semestre où elle a donné naissance à sa fille, elle a obtenu une moyenne de 4,0 GPA. Elle a terminé son diplôme de premier cycle à l’université et a enchaîné avec une maîtrise en orthophonie. Elle travaille maintenant à plein temps comme orthophoniste, tout en étant mère.
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