Une femme accuse Planned Parenthood de lui avoir prescrit la pilule abortive, provoquant l’accouchement dans les toilettes d’un bébé de 30 semaines « complètement formé »
Par Carole Novielli (LiveActionNews) 24 octobre 2022 — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une poursuite intentée contre Planned Parenthood accuse l’organisation d’avoir mal calculé la grossesse d’une femme au point qu’elle a douloureusement accouché dans les toilettes d’un petit garçon de 30 à 36 semaines « entièrement formé ».
La poursuite affirme que l’avorteur a calculé la grossesse de la femme à seulement six (6) semaines, puis lui a prescrit des pilules abortives. Les « accusés » nommés sont Meera Shah, médecin avorteur de Planned Parenthood, ainsi que l’infirmière praticienne Abigail Mensah, qui travaillaient pour Planned Parenthood Hudson Peconic (PPHP) et ont participé aux soins et au traitement de la cliente avortée aux centres de Planned Parenthood de White Plains et de Spring Valley.
Les documents judiciaires obtenus par Live Action News révèlent que la femme a demandé à rester anonyme, se désignant elle-même comme « Jane Doe ». Dans son dossier, elle accuse Planned Parenthood et les autres accusés d’avoir pratiqué un « avortement illégal » sur elle alors qu’elle était une « étudiante adolescente » âgée de 18 ans. Elle a qualifié cette épreuve d’« extrêmement bouleversante ».
L’action en justice, initialement déposée le 20 janvier 2021 devant la Cour suprême du comté de Kings de l’État de New York, ne fait l’objet d’aucune autre décision et semble (selon Trellis) avoir été mise sous scellés.
Pilules abortives prescrites pour une grossesse de six semaines
Selon le document du tribunal, le 4 mai 2020, Jane Doe « a obtenu des informations sur l’avortement de la part des défendeurs par le biais d’une conférence de télésanté de quinze minutes et deux secondes » sans aucun examen physique. En conséquence, lorsque Jane Doe a informé Planned Parenthood que ses dernières règles remontaient au 23 mars 2020, ils ont déterminé qu’elle était enceinte de six semaines, avant de lui indiquer qu’elle pouvait obtenir des pilules abortives au Spring Valley Center de PP, et, selon le procès, Jane Doe « ne s’est pas vu poser d’autres questions sur la grossesse, et n’a pas signé de formulaire de consentement ».
La poursuite affirme également que Planned Parenthood « n’a effectué aucun type d’échographie ni d’autre examen de la plaignante pendant qu’elle se trouvait au Spring Valley Center afin de confirmer avec précision l’âge gestationnel du fœtus ». L’action en justice affirme également qu’après que le Dr Shah ait prescrit la pilule abortive à Jane Doe, elle « a commencé à prendre le médicament le 4 mai 2020 pour procéder à l’avortement de ce qu’elle croyait être un fœtus de six semaines ».
Lire la suiteSelon un directeur de Planned Parenthood la moitié des clientes de l’avortement ne se présentent pas lorsque les pro-vie prient
Par Shawn Carney (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
La meilleure confirmation de l’efficacité de la campagne des 40 Jours pour la Vie dans la réduction des activités d’un centre d’avortement local ne vient pas de nous...
... mais des dirigeants de Planned Parenthood.
Récemment, nous avons reçu cette confirmation de l’État américain le plus favorable à l’avortement, la Californie.
Le centre d’avortement de Napa, en Californie, a récemment déménagé, invoquant la présence quotidienne des pro-vie à l’extérieur.
Le directeur des opérations de Planned Parenthood Northern California s’est plaint aux médias que le taux de non-présentation aux rendez-vous fait plus que doubler lorsque les campagnes des 40 Jours pour la Vie ont lieu !
« Cela confirme beaucoup de choses importantes », a expliqué Dominic, le responsable de la campagne à Napa. « Même ici, à Napa, le taux d’absence augmente de 40 à 50 % ! ».
D’anciens employés de Planned Parenthood affirment que le taux de non-présentation aux rendez-vous pour un avortement atteint 75 % lorsque les pro-vie sont en train de prier.
Pour ce qui est de Napa, Dominic et son équipe déménagent au nouvel emplacement de Planned Parenthood, où ils continueront à sauver des vies de l’avortement.
Lire la suiteMark Houck prie devant l’avortoir de Philadelphie avec toute sa famille après son acquittement
Mark Houck et sa famille.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Thomas Gilmartin
9 février 2023, Philadelphie (LifeSiteNews) — Dix jours seulement après avoir été acquitté de deux accusations fédérales à la suite d’une altercation mineure avec un membre d’« escorte » de Planned Parenthood près d’un centre d’avortement de Philadelphie, le conseiller de trottoir, catholique et pro-vie, Mark Houck, ainsi que toute sa famille, est retourné au même centre d’avortement pour prier.
Les photos partagées avec LifeSiteNews montrent Houck à l’extérieur du Centre de santé Elizabeth Blackwell de Planned Parenthood sur Locust Street à Philadelphie avec sa famille et une foule d’autres défenseurs de la vie.
Houck a déclaré au Daily Signal que lui et sa famille se sont rendus à la clinique « parce que c’est ce que nous faisons ».
« C’est notre mission de défendre les femmes, les hommes et l’enfant à naître », a-t-il déclaré, ajoutant : « Je serai là chaque semaine, si Dieu le veut. »
Le Centre de santé Elizabeth Blackwell est le même centre d’avortement devant lequel Houck et le membre d’« escorte » Bruce Love s'affrontèrent en 2021 dans ce que l’avocat de la Société Thomas More, Peter Breen, qui a représenté Houck lors de son procès pénal, a appelé « une querelle de trottoir qui s’est transformée en une affaire fédérale ».
LifeSiteNews avait précédemment rapporté que Houck et sa famille avaient été soumis l’année dernière à un raid à l’aube par le FBI du président Joe Biden, après que le ministère de la Justice (DOJ) eût pris l’affaire en main, avec des dizaines d’agents lourdement armés qui avaient envahi la propriété des Houck en Pennsylvanie.
Lire la suiteLe plan de dépopulation des pays en développement
Photo : Zach Vessels/Unsplash
Les puissances occidentales et de nombreuses entités internationales promeuvent depuis des années la réduction de la population mondiale, ou du moins les moyens qui y mènent, comme l’avortement et la contraception. Divers prétextes sont donnés : le climat, la pauvreté, le chômage, le « droit » de la femme (à tuer son bébé). Mais ces raisons susmentionnées sont-elles les vraies ? Un document produit par le Conseil de la sécurité nationale des États-Unis le 10 décembre 1974, et approuvé le 20 novembre 1975 par le président Ford, le NSSM 200, soulignait la concurrence émergente que représentaient pour les États-Unis les pays en développement à croissance démographique rapide. Le NSSM 200 proposait également les solutions pour contenir ces concurrents autrement inéluctables : réduire la croissance de leur population…
Depuis lors, les États-Unis ont appliqué pendant des décennies le programme du NSSM 200, donnant lieu à d’autres rapports tels que le First Progress Report - 1976, faisant état des progrès des efforts des États-Unis et des subtilités à apporter aux méthodes employées.
L’une des recommandations du NSSM 200 était de recourir à des instances internationales pour promouvoir la réduction de la population, d’où, semble-t-il, les incessants efforts des organismes onusiens à promouvoir l’avortement et la contraception auprès des pays en développement.
Un exemple récent nous rappelle l’actualité de ces manœuvres politiques et de leurs « fruits », la Conférence internationale sur la planification familiale (ICFP) qui a été tenue en Thaïlande du 14 au 17 novembre, et dont l’un des commanditaires était l’OMS, suggérait des méthodes de propagandes auprès des populations africaines afin de leur faire accepter la contraception et l’avortement. Lors de cette conférence, le ministre de la Santé publique de Thaïlande, le Dr Sathit Pitutecha, s’est vanté des « réalisations » de son pays, où la réduction de l’indice de fertilité est tombée de 6,1 en 1970 à 1,5 en 2019…
Encore récemment, les Philippines refusaient de légaliser l’avortement, face aux pressions de l’ONU en sens.
Gilles Grondin, fondateur de Campagne Québec et ancien diplomate canadien, a écrit en 1999 un résumé du document NSSM 200, de sa philosophie, de ses implications et de ses quelques applications concrètes, notamment au sein de l’ONU et de ses diverses branches.
Notez que lorsque M. Grondin emploie des guillemets, ce n’est pas forcément pour faire une citation exacte, cela peut être pour paraphraser ou résumer la pensée d’un individu ou d’un organisme. — A.H.
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Montréal, le 4 mars 1999
LE « BIRTH-CONTROL » DANS LES PAYS DU TIERS MONDE — NSSM 200
En 1991, certains amis ont porté à mon attention un document très étonnant.
On appelle ce document NSSM 200 (c’est-à-dire « National Security Study Memorandum 200 » qui pourrait être traduit en français par « Mémoire du Ministère de la sécurité nationale 200 »). Il fut élaboré par le Conseil de la sécurité nationale des États-Unis d’Amérique il y a plus de vingt-cinq ans alors que monsieur Henry Kissinger était président de cet organisme, sous l’autorité du Président Nixon.
Lire la suite« Des millions de vies sont en jeu » — l’archevêque de Détroit appelle à la pénitence à cause d’une loi en faveur de l’avortement
Mgr Allen Vigneron, archevêque de Détroit.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons/Flickr
30 novembre 2022, Détroit (LifeSiteNews) — Mgr Allen Vigneron, archevêque de Détroit, a appelé les catholiques du Michigan à se joindre à lui pour faire réparation d’une manière spéciale pendant les deux premières semaines de l’Avent, en réponse aux électeurs de l’État qui ont récemment approuvé un amendement constitutionnel légalisant l’avortement jusqu’à la naissance.
Dans une lettre adressée à tous les catholiques de l’archidiocèse de Détroit, Mgr Vigneron a déploré que des millions de vies à naître soient désormais menacées par le nouvel amendement du Michigan, la Proposition 3. Il a appelé les fidèles à implorer la miséricorde de Dieu pour « le grand péché de l’avortement ».
« L’avortement est maintenant légal dans l’État du Michigan à un niveau sans précédent », a écrit l’archevêque, « et des millions de vies sont en jeu. Nous devons prier et demander à Dieu de répandre sa miséricorde sur nous, car nous avons permis à ce mal de se produire dans notre État. »
« C’est pourquoi je veux inviter tous les fidèles à se joindre à moi au cours des deux premières semaines de l’Avent, du 27 novembre au 9 décembre, pour faire pénitence, prier, jeûner et faire l’aumône. Nous devons utiliser ces pratiques spirituelles pour réparer le grand péché qu’est l’avortement chez nous. »
L’amendement a été adopté le jour de l’élection après que Planned Parenthood et le milliardaire George Soros aient versé des millions de dollars dans la campagne en faveur de l’amendement sur l’avortement.
Comme LifeSiteNews l’a rapporté précédemment, Mgr Vigneron avait envoyé une lettre pastorale à tous les catholiques de l’archidiocèse, exhortant les fidèles à voter contre l’amendement, car celui-ci « autoriserait l’avortement non réglementé à la demande pendant les neuf mois de la grossesse ». En septembre, l’évêque de Lansing, Mgr Earl Boyea, a appelé son diocèse à se joindre à lui pour une neuvaine de 54 jours, se terminant la veille des élections, dans le but de faire échouer la proposition 3.
Lire la suiteLa réalité choquante de l'ICFP 2022 : du contrôle de la population au spectacle démoniaque.
Les jeunes Africains influents sur les réseaux sociaux seraient encouragés à réduire leur propre population lors de la Conférence internationale sur la planification familiale. — Photo : Pexels.com
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie)
La Conférence internationale sur la planification familiale (ICFP) est un événement de 4 jours qui s’est déroulé en Thaïlande cette année.
L’ICFP a eu lieu cette année du 14 au 17 novembre à Pattaya City, en Thaïlande, au Pathaway Exhibition & Convention Hall (PEACH). Il s’agit de la « plus grande conférence scientifique sur la planification familiale » au monde. Elle est organisée par « l’Université de Johns Hopkins (JHU) au nom de l’Institut Bill & Melinda Gates pour la Population et la Santé de la Reproduction (“Institut”) de l’École de Santé Publique Bloomberg. »
Bien que les mineurs ne puissent pas y assister en personne, tous ceux qui le souhaitent peuvent y participer virtuellement, car il n’y a pas de restriction d’âge pour la participation en ligne si un parent ou un tuteur signe une décharge. Sur leur site web, l’événement est présenté comme étant plus qu’une conférence, mais une « plateforme, un mouvement et une communauté ». Selon leur site, plus de 125 pays ont participé et leur communauté compte plus de 40 000 membres actifs.
Parmi les principaux commanditaires de l’ICFP, on peut trouver la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’IPPF, Pathfinder, Women Deliver, les Nations Unies et le gouvernement du Canada.
La cérémonie d’ouverture a débuté par un spectacle de danse mettant en scène des démons, au sens propre du terme. L’hôte de la session d’ouverture de l’ICFP 2022 était Dr Tlaleng Mofokeng, Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à la santé. Elle a expliqué que cette « performance incroyable » était « un épisode de la pièce de théâtre sur l’épopée de Ramekin. Il dépeint la bataille royale entre Rama et Laksman d’une part et la Tosca et le démon du roi Lanka d’autre part ». Elle a expliqué une courte histoire sur la bataille et a conclu « Tosca se retire à Lanka avec son armée de démons » et a proposé une salve d’applaudissements pour cette pièce.
Cette représentation a été suivie d’une vidéo promotionnelle qui vantait l’avènement d’un « autre monde » où « les femmes et les hommes peuvent choisir d’avoir ou non des enfants », « les adolescents et les jeunes ont accès aux contraceptifs », « l’accouchement est plus sûr pour les femmes et les bébés » et « tout le monde mérite d’avoir accès aux services et produits de planification familiale », autrement dit à l’avortement et à la contraception. L’idée sur laquelle ils ont insisté tout au long de leur vidéo promotionnelle de la cérémonie d’ouverture et de l’ensemble de la conférence soutenait que « sans planification familiale, il n’y a pas de soins de santé universels ». Car leur thème pour cette année est la réunion de la planification familiale et de la couverture sanitaire universelle en tant que « droits de l’homme ».
Lire la suiteLe Conseil de médecine de Floride vote l'interdiction des opérations et produits de « transition » aux mineurs
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Minerva Studio/Adobe Stock
28 octobre 2022, Orlando, Floride (LifeSiteNews) — Le comité législatif du Conseil de médecine de Floride a voté aujourd’hui pour interdire les médicaments et les opérations transgenres pour les mineurs. La mesure sera soumise à l’ensemble du Conseil la semaine prochaine pour décider de sa date d’entrée en vigueur.
« La règle interdirait aux professionnels de la santé de prescrire aux mineurs des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles et de les orienter pour fin d'opérations d’affirmation du genre », rapporte le Daily Wire.
[Malheureusement]*« Toutefois, les adolescents qui suivent actuellement un traitement à base de bloqueurs de puberté et d’hormones transsexuelles seraient autorisés à le poursuivre s’ils acceptent de prendre part à un essai clinique approuvé par un comité d’examen institutionnel (IRB) dans un centre affilié à une université, selon les membres du conseil présents à la réunion. »
Chloe Cole, qui regrette aujourd’hui d’avoir subi des procédures d’« affirmation de genre » à un jeune âge, a publié une vidéo de son témoignage déchirant devant le comité.
« À seize ans, après des années de transition médicale, je me suis rendu compte que je regrettais profondément ma transition », cite Cole de son audition devant le comité.
« Pourquoi une épidémie de santé mentale n’est-elle pas abordée avec un traitement de santé mentale pour s’attaquer aux causes profondes pour lesquelles des adolescentes comme moi veulent rejeter leur corps ? », a demandé Cole.
Lire la suiteUne avalanche de règlements municipaux vise les centres de grossesse pro-vie
Par Carole Novielli (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
Les ordonnances des conseils municipaux de plusieurs États ciblent les centres de ressources de grossesse (CRG) pro-vie, prétendant à tort que les CRG sont « trompeurs » et n’offrent que des « services limités » simplement parce qu’ils ne pratiquent pas d’avortements. En réalité, de nombreux établissements pratiquant l’avortement offrent uniquement ou principalement le « service limité » de l’avortement, mais ces ordonnances municipales exemptent commodément les établissements pratiquant l’avortement et Planned Parenthood du même examen minutieux qu’elles appliquent aux CRG.
En fait, certains membres du conseil municipal ont admis qu’ils avaient proposé ces mesures à l’instigation de groupes pro-avortement (Reproductive Equity Now et Planned Parenthood) et qu’ils travaillaient avec Planned Parenthood pour tenter d’écraser les CRG que l’industrie considère comme ses « concurrents ».
Ordonnances d’État déjà adoptées
Amhurst, MA : « Pratiques publicitaires trompeuses des centres de grossesse à services limités », un arrêté présenté par le conseiller Devlin Gauthier en avril, assorti d’une amende de 300 dollars, a été envoyé pour examen complémentaire. Mais en mai, la conseillère municipale Ana Devlin Gauthier a proposé un règlement pour « empêcher la publicité trompeuse à Amherst par les Crisis Pregnancy Centers (CPC) » affirmant faussement que « les femmes sont poussées à poursuivre la grossesse et que les services médicaux ne sont pas offerts ». Le Conseil a ensuite voté à 4-0 en faveur de la rédaction d’une lettre de soutien à la proposition.
Pendant la période de commentaires, le Conseil a entendu Carrie N. Baker, une prétendue experte qui s’est présentée comme étant simplement professeur au Smith College de Northampton, MA. Ce que Baker a omis de dire, c’est que, selon son site Internet, elle est également « ancienne présidente de l’Abortion Rights Fund of Western Massachusetts et membre actuel du conseil consultatif ». En outre, le site Internet indique que Mme Baker « travaille également à l’expansion du droit à l’avortement dans le Massachusetts en tant que membre du conseil d’administration de Planned Parenthood Advocacy Fund of Massachusetts ». Et selon Commonwealth Magazine, Baker est une « résidente de Northampton et journaliste de magazine qui a contribué à l’élaboration d’ordonnances à Northampton et Easthampton ».
Cambridge, MA : En juin, Quinton Zondervan, conseiller municipal de Cambridge, qui a déjà écrit sur Twitter qu’il était « le champion NARAL de sa ville » du Massachusetts, ainsi que la vice-maire Alanna Mallon ont parrainé une ordonnance qui interdirait au directeur municipal de Cambridge de délivrer des permis ou des licences pour les « Limited Services Pregnancy Centers », selon NBCBoston.com.
Le 27 juin 2022, le conseil municipal a reconnu qu’« il ne semble pas y avoir de centres de grossesse à services limités en activité à Cambridge », mais il a ordonné que le directeur municipal soit prié de demander au conseiller juridique de la ville d’examiner la proposition anti centre de grossesse et d’en rendre compte au conseil. La proposition a été transférée à un comité le 2 août.
Lire la suiteUne université admet implicitement avoir prélevé des reins sur des bébés à naître dont le cœur battait encore
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lenets tan/Adobe Stock
Selon le Center for Medical Progress, l’Université de Pittsburgh a peut-être fourni cette semaine, par inadvertance, de nouvelles preuves que des bébés avortés naissent vivants et sont laissés à mourir afin que leurs organes puissent être utilisés pour la recherche scientifique.
Comme LifeNews.com l’a largement rapporté, Judicial Watch et le Center for Medical Progress ont révélé en début de semaine des preuves que des bébés sont potentiellement nés vivants lors d’avortements et d’autres pratiques inquiétantes dans des documents qu’ils ont obtenus suite à une demande en vertu de la loi sur la liberté d’information auprès du ministère américain de la Santé et des Services sociaux.
Les documents montrent que le gouvernement fédéral a versé à l’Université de Pittsburgh au moins 2,7 millions de dollars de l’argent des contribuables fédéraux au cours des cinq dernières années afin qu’elle devienne une « plaque tournante de tissus » de parties du corps de bébés avortés destinés à la recherche scientifique.
Mercredi, un porte-parole de l’université de Pittsburgh a défendu ses pratiques dans une interview accordée à Fox News. Cependant, le Center for Medical Progress a déclaré que les déclarations de l’université confirment que le cœur des bébés avortés bat toujours alors que leurs reins sont prélevés pour la recherche scientifique.
« Pitt admet maintenant aux médias que les bébés avortés sont encore en vie au moment où leurs reins sont prélevés pour obtenir des subventions [du National Institutes of Health] », a déclaré David Daleiden, fondateur et président du Center for Medical Progress.
Daleiden poursuit : « La demande de subvention de Pitt pour le GUDMAP annonçait au gouvernement fédéral et indiquait que des avortements par induction, où le bébé est expulsé entier de la mère, seraient “utilisés pour obtenir les tissus”. Le sens évident de la demande de subvention GUDMAP, et de la déclaration de l’Université de Pittsburgh l’expliquant, est que Pitt et les prestataires d’avortement de Planned Parenthood, responsables de ces avortements de “recherche”, font en sorte que les bébés, dont certains ont atteint l’âge de la viabilité, soient mis au monde vivants, puis ils les tuent ensuite en leur sectionnant les reins. »
La base de cette interprétation provient d’une déclaration du porte-parole de l’université, David Seldin, à Fox News, concernant le « temps d’ischémie », qui, selon lui, « fait référence au temps qui suit la procédure de collecte des tissus ».
Lire la suiteL’avortement, c’est comme l’esclavage : les gens sont traités comme biens mobiliers et non comme personnes humaines
Par Ryan Bomberger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Joseph Kirsch/Adobe Stock
Depuis que la décision Dobbs a été rendue, corrigeant suprêmement une décision Roe suprêmement erronée, la gauche est devenue encore plus déséquilibrée.
Malheureusement, pas désarçonnée.
La quantité de contorsions mentales et rhétoriques par lesquelles il faut passer pour justifier le massacre commercial de millions d’êtres humains est stupéfiante. Et Planned Parenthood mène la charge. Sans surprise, la branche militante du parti démocrate lance toutes les accusations absurdes de racisme qu’elle peut contre le mouvement pro-vie. Vous savez, le même mouvement qui se bat pour sauver chaque vie humaine quelle que soit sa couleur ? Le simple fait que Planned Parenthood s’appelle désormais une organisation antiraciste alors qu’il est le principal tueur de vies noires serait drôle s’il n’était pas si fatal.
Pendant des années, la principale plantation — je veux dire, fédération — d’avortements du pays a prétendu que l’abolition de l’avortement était de l’esclavage. Non. L’avortement est de l’esclavage.
Si l’Amérique a été « construite sur le dos des esclaves », alors Planned Parenthood a été construit sur le dos, les poumons, les cerveaux, les foies et les parties de corps découpées des enfants à naître. Il a été construit sur l’exploitation incessante des femmes... attendez, des femmes enceintes... attendez, des femmes qui ont leurs règles... attendez, des femmes qui accouchent. Ahhh, des gens qui n’ont pas de prostate ? Quoi qu’il en soit, la mère et l’enfant avorté ont fait du mastodonte de l’avortement une entreprise de 2,3 milliards de dollars, que Planned Parenthood veuille bien le reconnaître ou non.
Heureusement, la décision Dobbs a remis les pendules à l’heure avec le 14e amendement, lequel avait enfin reconnu que les personnes de mon teint étaient des citoyens et ne pouvaient être privées de « vie, liberté ou propriété ». Cette semaine, nous célébrons la ratification de l’amendement le plus maltraité de l’histoire.
Les esprits troublés font les mêmes raisonnements
L’affaire Planned Parenthood versus Casey a fait appel à un autre droit : la dépendance. L’opinion majoritaire a estimé qu’au cours des décennies qui ont suivi l’arrêt Roe, les femmes ont acquis une « dépendance à l’égard de la disponibilité de l’avortement en cas d’échec de la contraception ». Les trois juges dissidents dans Dobbs (Breyer, Kagan et Sotomayor) se sont exclamés : « Lorsque Roe et Casey disparaîtront, la perte de pouvoir, de contrôle et de dignité sera immense ». La secrétaire au Trésor Janet Yellen a prétendu, sans preuve, que mettre fin à Roe « aurait des effets très dommageables sur l’économie et ramènerait les femmes des décennies en arrière ».
Les politiciens pro-esclavagistes pensaient exactement la même chose, craignant la fin de l’esclavage. John C. Calhoun, un sénateur démocrate de Caroline du Sud, avait déclaré : « Qu’il soit bon ou mauvais, [l’esclavage] a grandi avec notre société, nos institutions et y est tellement imbriqué que le détruire reviendrait à nous détruire en tant que peuple. »
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