L'impact pro-vie mondial du démantèlement de l'USAID et du NED
Par Campagne Québec-Vie — Photo : boyloso/Adobe Stock
La discussion dans la vidéo ci-dessus (vous pouvez aussi cliquer ici pour la regarder) porte sur le démantèlement ou la restructuration potentielle de l’USAID (United States Agency for International Development) et du National Endowment for Democracy (NED) sous l’administration Trump, avec un fort soutien d’Elon Musk. Les points clés abordés incluent :
- L’USAID et le NED comme outils de changement de régime : Bien que l’USAID soit présenté comme une organisation d’aide humanitaire, il a historiquement été utilisé pour promouvoir le changement de régime et influencer idéologiquement des nations étrangères.
- Le plan de Trump et Musk : L’objectif est soit de fermer l’USAID, soit de l’intégrer au Département d’État, limitant ainsi son autonomie.
- Répercussions internationales et nationales : Des pays comme la Russie, la Hongrie et certains gouvernements conservateurs d’Amérique latine accueilleraient probablement favorablement ce changement.
- Une révolution conservatrice plus large : L’attaque contre l’USAID et le NED fait partie d’un effort plus vaste visant à restructurer la politique étrangère des États-Unis et à nettoyer la bureaucratie corrompue.
David Daleiden a été pris pour cible parce qu’il en savait trop sur les horreurs de l’industrie de l’avortement
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
29 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Cet été, cela fera 10 ans que le Center for Medical Progress (CMP) a publié ses vidéos d’infiltration qui ont fait l’effet d’une bombe et qui exposent le trafic de parties du corps de bébés par l’industrie de l’avortement.
David Daleiden, Sandra Merrit et d’autres membres anonymes de leur équipe d’enquêteurs sont devenus célèbres du jour au lendemain, alors que l’Amérique était saisie par l’horreur qu’ils avaient révélée dans leurs reportages : des avorteurs discutant nonchalamment de la vente de parties du corps de bébés autour d’un verre de vin et d’une salade, marchandant le prix de minuscules organes humains, décrivant comment ils écraseraient le bébé « au-dessus » et « au-dessous » des organes qu’ils souhaitaient vendre.
Daleiden est devenu la cible numéro un de l’industrie de l’avortement : l’homme qui en sait trop. Ils ont fait appel à leurs amis, et Kamala Harris, alors procureur général de Californie et future vice-présidente, a rencontré des responsables de Planned Parenthood en 2016. Planned Parenthood avait été un donateur de Harris, et elle a rapidement ordonné des enquêtes criminelles sur Daleiden et Merrit. Le domicile de Daleiden a été perquisitionné et ses effets personnels saisis.
Le successeur de Mme Harris, Xavier Becerra — le futur secrétaire du ministère de la Santé et des services sociaux de Joe Biden — a décidé d’engager des poursuites pénales contre les deux journalistes pour avoir prétendument violé les lois sur l’enregistrement de l’État de Californie en filmant sans autorisation les personnes sur lesquelles ils enquêtaient. Il s’agissait d’accusations sans précédent, mais l’objectif de ces poursuites était de les faire taire, de les faire comparaître devant un tribunal et de les empêcher de diffuser d’autres images qu’ils pourraient avoir — et ils en avaient beaucoup.
Lire la suitePlanned Parenthood a fourni des bébés avortés de 23 semaines à l’Université de Californie à San Diego
Par Kurt Mahlburg (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hourick/Wikimedia Commons
Autre jour, autre scandale de trafic d’êtres humains à Planned Parenthood.
Si vous vous sentez courageux, lisez cet article du New York Post :
Des courriels qui donnent la chair de poule montrent que Planned Parenthood négocie les conditions du don de fœtus avortés pour la recherche médicale.
Les courriels traitent des tissus fœtaux comme de n’importe quelle autre marchandise telle que le sucre ou le riz, négociant nonchalamment pour des fœtus dont l’âge gestationnel sera de 23 semaines maximum et issus d’avortements volontaires.
Un soi-disant « plan de recherche » lourdement expurgé, soumis au Conseil d’examen institutionnel de l’Université de Californie à San Diego (UCSD) et approuvé en 2018, indique que les scientifiques voulaient, à des fins d’expérimentation, 2 500 fœtus de presque six mois d’âge gestationnel.
Les courriels ont été révélés par David Daleiden, du Center for Medical Progress, qui se débat encore aujourd’hui dans les méandres de la législation des années 2010, lancée par l’ancien procureur général de Californie, Kamala Harris.
Lire la suiteLe nouveau département de Trump, confié à Musk et Ramaswamy, envisage de cesser le financement de Planned Parenthood
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hourick/Wikimedia Commons
21 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Dans l’Amérique post révolution sexuelle, il y a toujours des héros et des méchants — ils ont juste échangé leurs places. Ainsi, l’héroïne pro-vie et « chérie de la majorité silencieuse » Phyllis Schlafly est jouée par Cate Blanchett dans une minisérie à succès comme une raciste sournoise et méchante qui ne mérite que le mépris. Cecile Richards, l’une des plus grandes militantes américaines de l’avortement et ancienne présidente de Planned Parenthood, reçoit la plus haute distinction civile du pays. Le 20 novembre, le président Joe Biden lui a remis la Médaille de la Liberté du Congrès.
Biden a félicité Richards, qui a présidé à la destruction brutale de près de quatre millions d’enfants à naître dans des cliniques d’avortement à but lucratif pendant plus de douze ans, en prononçant l’éloge suivant :
Lire la suitePortant le flambeau de ses parents pour la justice, elle a mené certaines des causes les plus importantes de notre nation en matière de droits civils — pour élever la dignité des travailleurs, défendre et faire progresser les droits et l’égalité des femmes en matière de procréation, et mobiliser les Américains pour qu’ils exercent leur droit de vote. Dirigeante au caractère exceptionnel, elle a laissé un héritage inspirant qui perdure dans son incroyable famille, dans les innombrables vies qu’elle a améliorées et dans une nation qui recherche la lumière de l’égalité, de la justice et de la liberté.
Une autre femme transportée d’urgence à l’hôpital pour « saignement excessif » après un avortement dans un avortoir de Planned Parenthood
Par Ricardo Pinedo (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rawpixel.com/Adobe Stock
10 octobre 2024, Flossmoor, Illinois (Operation Rescue) — Une fois de plus, le mythe de « l’avortement sans risque » s’est avéré n’être qu’un mythe. Le 20 août, une autre femme a été transportée aux urgences après une procédure d’avortement — un événement qui n’est pas surprenant dans l’Illinois, un État qui est devenu une destination pour l’avortement. La mère a subi un avortement au Planned Parenthood de Flossmoor et a malheureusement rejoint la liste des nombreuses femmes victimes de la cupidité du cartel de l’avortement.
Un employé de Planned Parenthood a appelé le 911 pour demander le « transfert » d’une patiente qui présentait des saignements excessifs. L’hémorragie est l’une des complications les plus courantes dont souffrent les femmes pendant et après un avortement chirurgical. Elle est souvent causée par une perforation utérine extrêmement dangereuse, due au fait que les instruments d’avortement ont perforé la paroi de l’utérus.
Elle est parfois causée par des lacérations du col de l’utérus, et parfois par d’autres causes. Bien que nous sachions que cette femme a été transportée aux urgences en raison de saignements excessifs, nous n’en connaissons pas la cause exacte et nous ne savons pas si elle a survécu. Même si elle survit, ce type de blessure peut entraîner une incapacité permanente à porter un enfant, une cicatrice au niveau du col de l’utérus, des abcès pelviens ou d’autres affections qui dureront toute la vie.
Lire la suiteTrudeau promet 200 millions de dollars pour promouvoir l’avortement et l’éducation sexuelle en Afrique
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel
1er octobre 2024 (LifeSiteNews) — Le gouvernement libéral du premier ministre Justin Trudeau dépense 200 millions de dollars pour promouvoir l’« éducation » sexuelle et le meurtre d’enfants à naître en Afrique.
Selon un communiqué de presse du 24 septembre, le gouvernement Trudeau dépense 200 millions de dollars de fonds publics pour promouvoir la « santé sexuelle et reproductive globale » en Afrique, dont 48 millions de dollars iront directement au pro-avortement International Planned Parenthood Federation (IPPF).
« Le premier ministre Trudeau a annoncé l’octroi de plus de 200 millions de dollars à des projets qui feront progresser la santé et les droits sexuels et génésiques des femmes et des jeunes filles, renforceront l’action en faveur de l’égalité des sexes et de l’équité salariale, lutteront contre le changement climatique, soutiendront les efforts d’intervention humanitaire et rétabliront la sécurité et la stabilité en Haïti, apporteront un soutien institutionnel aux Nations unies et favoriseront la paix, la sécurité et les droits de l’homme à l’échelle mondiale », indique le communiqué de presse.
L’IPPF a promis d’utiliser les fonds pour fournir « une éducation sexuelle complète aux jeunes, [et] donner accès à des soins d’avortement sûrs et légaux centrés sur la personne, y compris des soins post-avortement » au cours des prochaines années.
Lire la suiteUne ex-trans poursuit Planned Parenthood pour lui avoir administré de la testostérone après une consultation de 30 minutes
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
12 août 2024, Hudson, New York (LifeSiteNews) — Bien qu’il soit surtout connu pour ses avortements, Planned Parenthood est également très impliqué dans le secteur de la « transition » de genre, ce qui lui a récemment valu un procès de la part d’une jeune femme autiste à qui PP a donné de la testostérone après seulement une demi-heure de consultation.
Le 7 août, The Free Press a publié l’histoire de Cristina Hineman, qui, à l’âge de 18 ans en novembre 2021, s’est rendue dans un centre de Planned Parenthood à New York pour obtenir la thérapie à la testostérone qu’elle recherchait sans le consentement de ses parents.
Elle était confrontée à divers problèmes, notamment l’automutilation, la dépression, l’anxiété et l’autisme, dont beaucoup avaient été exacerbés par l’isolement social dû aux confinements du COVID-19. Et elle se souvient avoir été attirée par la possibilité que le genre en soit la source par des vidéos YouTube qui l’ont amenée à conclure : « le terme “trans” inclut toutes les choses que j’ai ressenties : mon inconfort avec ma poitrine, mon inconfort d’être appelée “jeune femme”, le fait de ne pas être sûre de qui je suis ou de ce que je voudrais être ».
Après avoir rempli un formulaire de consentement, répondu à quelques questions et passé en revue les « changements attendus » de l’hormone — un processus prenant moins de 30 minutes — Hineman a reçu une prescription de gel de testostérone. Mais après un an de traitement hormonal ainsi que l’ablation de ses seins sains à l’âge de 19 ans, Hineman regrette sa transition.
« J’ai subi un lavage de cerveau », a-t-elle déclaré. « Beaucoup de gens disent que les adultes devraient pouvoir faire ce qu’ils veulent. Mais si vous souffrez d’une maladie mentale qui obscurcit votre vision, ou si vous êtes mal informé sur ce que signifie la dysphorie de genre, alors vous ne pouvez pas consentir à des traitements aussi invasifs. »
Lire la suite« Arracher une jambe ou deux » : une vidéo d’infiltration révèle comment Planned Parenthood prélève les organes des bébés
Un centre de Planned Parenthood à Houston au Texas.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hourick/Wikimedia Commons
8 août 2024 (LifeSiteNews) — Les enquêteurs pro-vie du Center for Medical Progress (CMP) ont publié des séquences inédites de leur enquête initiale de 2015 dans lesquelles les responsables de Planned Parenthood révèlent comment ils mutilent les corps des bébés avortés pour dissimuler les méthodes d’avortement illégales employées pour les tuer.
Mardi, CMP a publié une vidéo — que Planned Parenthood s’était efforcée de bloquer au cours des huit dernières années — de deux conversations lors du salon commercial 2015 de la National Abortion Federation (NAF) entre le Dr Ann Schutt-Aine, médecin en chef de Planned Parenthood Gulf Coast (Texas), le vice-président de l’accès à l’avortement Tram Nguyen, RN, et des journalistes infiltrés de CMP que les initiés de l’avortement pensaient être des grossistes de laboratoire.
La séquence contient d’autres exemples de fonctionnaires qui se moquent de la nature barbare de leur activité, comme Nguyen qui dit à un moment donné : « Je suis comme, “Ouais, j’ai comme une jambe pour vous ! ” Je me suis dit, oh m****, si d’autres personnes m’entendaient, elles diraient “vous êtes vraiment diabolique” ».
Mais la révélation la plus importante est la discussion de Schutt-Aine sur le fait qu’elle doive parfois faire plusieurs « essais » pour démembrer un bébé dans l’utérus « pour éviter l’avortement par naissance partielle », qui est illégal en vertu de la loi fédérale depuis 2003.
« Si je fais une intervention et que je crains que [la sortie du] bébé n’atteigne l’ombilic, je peux demander un deuxième jeu de pinces pour maintenir le corps au niveau du col de l’utérus et arracher une jambe ou deux, afin d’éviter l’avortement par naissance partielle », explique-t-elle.
Lire la suiteMelinda Gates dote les militants de l’avortement et les féministes d’un milliard de dollars
Melinda Gates.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Medill DC/Wikimedia Commons
3 juin 2024 (LifeSiteNews) — Bill et Melinda Gates sont depuis longtemps des défenseurs passionnés de l’industrie de l’avortement, versant des dizaines de millions dans des initiatives conçues pour s’assurer que moins d’enfants viennent au monde. Bill a fait des dons considérables à l’International Planned Parenthood, a financé des journalistes pour qu’ils écrivent des articles en faveur de l’avortement, a condamné les politiques en faveur de la vie et a célébré une fois, lors d’une entrevue avec Bill Moyers, la façon dont les initiatives de « santé mondiale » amènent les gens à décider qu’ils « n’ont pas besoin d’avoir autant d’enfants ».
Pour Bill, le problème est intergénérationnel ; lorsque Moyers lui a demandé d’où venait sa passion, Gates a répondu : « Mon père était à la tête de Planned Parenthood ».
La Fondation Bill et Melinda Gates subit actuellement une série de secousses sismiques après que le célèbre couple s’est séparé en raison des adultères en série de Bill ; Melinda démissionne à présent de son poste de coprésidente de l’organisation, qui changera de nom pour devenir la Fondation Gates. Melinda, qui est une catholique nominale, va se lancer seule dans la vie active et investir son argent dans des causes qui lui tiennent à cœur.
Le 13 mai, elle a annoncé sur X que sa priorité serait de se concentrer sur « les femmes et les filles aux États-Unis et dans le monde » — Hillary Clinton a réagi : « Melinda, c’est très excitant ».
Quand Hillary Clinton trouve quelque chose d’excitant, on peut être sûr que c’est une mauvaise nouvelle pour les personnes vulnérables. Le PDG Mark Suzman a écrit une lettre aux employés de la Fondation Gates pour leur signaler que Melinda voulait se concentrer sur les questions relatives aux femmes : « Après avoir passé quelques années difficiles à voir les droits des femmes [à l’avortement] reculer aux États-Unis et dans le monde entier, elle souhaite mettre à profit ce nouveau chapitre pour s’efforcer de modifier cette trajectoire. » En bref, une fortune considérable est sur le point d’être jetée dans les guerres de l’avortement — la dotation de la Fondation Gates s’élevait à plus de 75 milliards de dollars l’année dernière.
Lire la suiteLe gouverneur du Tennessee signe une loi visant à mettre fin au trafic d’adolescentes pour avortement
Bill Lee.
Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Spc. Kalina Hyche/Wikimedia Commons
Le Tennessee fait partie de la douzaine d’États qui protègent actuellement les enfants à naître contre les avortements. Mais cela n’empêche pas des individus d’emmener des adolescentes de cet État dans d’autres États pour qu’elles se fassent avorter en secret, à l’insu de leurs parents.
Une nouvelle mesure approuvée par le corps législatif du Tennessee mettrait un terme à cette pratique inquiétante et doit maintenant être signée par le gouverneur pro-vie de l’État. Un projet de loi amendé (Senate Bill 1971) a été adopté par le Sénat par 25 voix contre 4, après avoir été voté par la Chambre des représentants par 74 voix contre 24.
Cette loi considère comme un délit le fait pour un adulte qui n’est pas le parent ou le tuteur d’un enfant mineur d’aider ce dernier à dissimuler ou à obtenir un avortement.
Aujourd’hui, le gouverneur Bill Lee a promulgué la loi sur la protection de la vie.
Un groupe pro-vie de premier plan a immédiatement remercié le gouverneur.
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