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"Ce serait plus utile d'aider les femmes enceintes que de manifester"

"Ce serait plus utile d'aider les femmes enceintes que de manifester"

"Demander l'abolition est déraisonnable, il faut d'abord convaincre le gens"

En France se prépare une grande marche pour la vie pour le 22 janvier. Plusieurs ont en tête bien des arguments pour discréditer ces actions, dont les deux présentés ci-dessus. Les réponses que l'on retrouve sur le site du salon Beige ici et ici sont des plus pertinentes.

Voici un extrait des réponses : 

 

Les personnes qui ont œuvré dans une association d'aide ont bien plus de chances de participer à la Marche pour la Vie que les personnes qui n'y œuvrent pas. Et une personne qui participe à la manifestation a plus de chances, de fil en aiguille et si elle y est appelée, de s'engager dans une association d'aide qu'une personne qui n'y participerait pas.

Mais tout le monde n'est pas appelé à s'engager dans une association d'aide. Pour la grande majorité, le choix n'est pas entre "manifester" et "aider les femmes enceintes", mais entre "manifester" et "rester chez soi." Non que ces manifestants soient oisifs par ailleurs : beaucoup ont des engagements associatifs légitimes et nécessaires (scoutisme, écoles hors contrat etc.), qu'ils ne doivent pas abandonner au profit d'un militantisme pro-vie exclusif. Mais tous peuvent consacrer une demi-journée par an à la cause pro-vie, et ont raison de le faire.

 

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Les congés de maternité et paternité comme cause de congédiement.

Bien que la loi interdit de congédier une personne prenant son congé de paternité ou maternité, ces congés ne sont certainement pas appréciés de certains patrons. L'armée canadienne a congédié une de ses membres une journée après qu'elle ait demandée de prendre son congé de maternité. Le journal 24h du 5 janvier 2011 publie cette nouvelle sur son site internet: 

"Une femme de 34 ans de Gatineau, anciennement employée des Forces canadiennes, affirme vivre un véritable cauchemar depuis un an.

Danielle (nom fictif) prétend que les Forces canadiennes l'ont congédiée en 2010 après une demande de congé de maternité et l'obligent maintenant à rembourser toutes les sommes reçues du ministère de la Défense durant son congé.

« J'ai soumis ma demande de congé et le lendemain, ils m'ont annoncé que c'était refusé », a confié la femme en entrevue.

La jeune femme s'est jointe aux Forces canadiennes en 2008 à titre de réserviste. La caporale est titulaire de deux baccalauréats, dont un de l'Université d'Ottawa en droit.

Après deux ans au service de la Défense nationale, elle a appris qu'elle était enceinte de son premier enfant.

C'est à ce moment que ses problèmes ont commencé. Danielle, qui a vécu une grossesse difficile, a officiellement fait sa demande de congé de maternité à son employeur au septième mois de sa grossesse, le 14 décembre, selon divers documents obtenus. On lui a ensuite annoncé que son contrat prenait fin. Un congédiement basé sur la discrimination, croit-elle.

« C'est difficile pour les Forces armées de prétendre le contraire alors que moins de 24 heures après ma demande de congé de maternité, ils m'ont dit merci, bonsoir, on renonce à ton contrat », a-t-elle raconté."

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L'Association britannique médicale refuse de participer aux débats sur l'euthanasie

Le journal Métro du 5 janvier 2012 rapporte cette nouvelle. En Angleterre, des groupes de pressions dont "Mourir dans la dignité" soutiennent un "groupe d'expert" demandant la légalisation de l'euthanasie. Fort heureusement, les médecins britanniques refusent le débat et ne font pas partie de ce lobby.

"Mourir dans la dignité", n'est-ce pas le nom d'une commission québécoise sur l'euthanasie?

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Une information à ne pas transmettre en Chine et en Inde...

Il est maintenant possible de connaître le sexe du bébé dès le début de la grossesse. C'est ce que révèle un article du journal La Presse du 5 janvier 2011:

 

"Les parents impatients pourraient bientôt pouvoir connaître le sexe de leur enfant, dès sa conception. Une nouvelle étude publiée dans l'édition de janvier de la revue Federation of American Societies for Experimental Biology démontre qu'un simple test sanguin pourrait déterminer si l'enfant à naître sera une fille, ou un garçon.

Les recherches ont été effectuées par une équipe de scientifiques sud-coréens de l'Université KwanDong à Séoul. Selon le professeur Hyun Mee Ryu, l'analyse du ratio des enzymes DYS14 et GAPDH, présentes dans le sang de la mère, pourrait permettre d'identifier le sexe du foetus"

 

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Les cellules souches de la progéniture pour régénérer les plus âgées

Le Devoir du 5 janvier 2011 nous apporte la nouvelle d'une découverte à propos des cellules "progénitrices":

"Une équipe de chercheurs de l'École de médecine de l'Université de Pittsburgh a pu éclaircir cette énigme en injectant à des souris atteintes de progéria — une maladie génétique humaine se caractérisant par un vieillissement accéléré — des «cellules souches dites progénitrices», prélevées dans des muscles murins. Les cellules progénitrices sont multipotentes, c'est-à-dire qu'elles sont dotées d'un pouvoir prolongé de prolifération et de renouvellement, elles peuvent se différencier en une multitude de cellules spécialisées différentes et peuvent induire la formation de nouveaux vaisseaux sanguins, ainsi que la régénération des os, et des muscles squelettiques et cardiaque, expliquent les auteurs dans l'article paru le 3 janvier dernier.



Les chercheurs ont observé que la greffe de cellules progénitrices qui avaient été extraites de souris jeunes et saines gardait plus longtemps en santé les rongeurs atteints de progéria et prolongeait même substantiellement leur vie. Par contre, aucun de ces effets bénéfiques ne se manifestait si les cellules progénitrices avaient été prélevées sur des animaux âgés, ou souffrant de progéria, car les cellules sou-ches de ces animaux avaient vraisemblablement perdu une bonne part de leur pouvoir de prolifération et de différenciation."

Transposer cette expérience sur des humains est le but. Qu'arrive-t-il aux "souris jeunes et saines" sur lesquelles les cellules furent extraites? L'article ne le dit pas...

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L'île du Prince Edouard, modèle du combat contre l'avortement au Canada

Le droit des enfants à naître est reconnu sur l'Île du Prince-Edouard. L'avortement y est interdit et le gouvernement provincial n'a pas l'intention de modifier cette juste règlementation.

"Un groupe antiavortement lance une campagne à l'Île-du-Prince-Édouard pour contrer ce qu'il qualifie de désinformation de la part de militants pro-choix.

Selon Anne-Marie Tomlins, membre de ce mouvement nommé Prince Edward Island Right to Life, il n'existe pas d'enfant non désiré. Elle en a elle-même adopté deux, et elle dit que des milliers de Canadiens aimeraient faire de même. C'est le genre de message que son groupe a l'intention de répéter publiquement au cours de la prochaine année."

Dans cet extrait de Radio-Canada, on peut remarquer les termes "antiavortement", "pro-choix", "ce qu'il qualifie", "C'est le genre de message"...

Radio-Canada transmet ensuite l'information selon laquelle le mouvement pro-choix prend de l'ampleur sur l'île sans étayer cette affirmation. Ce n'est pas la première fois que la société d'état manifeste son parti pris pour le massacre des enfants à naître et l'euthanasie des personnes âgées. Mais l'article est tout de même des plus réjouissants.

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La communauté évangélique canadienne demande l'ouverture du débat sur l'avortement

Les leaders évangéliques canadiens soutiennent les récents appels de membres du parlement canadien pour ouvrir le débat sur le statut légal de l’enfant à naître.
 
Ils soutiennent les efforts du député conservateur Stephen Woodworth (Kitchener Centre) et Jeff Watson (Essex) demandant au parlement de réexaminer la définition canadienne du commencement de la vie humaine.
 
La question n’est pas « Qu’est-ce qui est humain », mais « quand y a-t-il un être humain? » affirme Faye Sonier, la conseillère juridique de la communauté EFC.
 
La médecine reconnaît à un certain stade la viabilité de l’enfant à naître, mais le Code criminel canadien statue que l’enfant à naître n’est pas humain explique Faye Sonier.

(source: Lifesitenews)

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À force de tuer, la sensibilité s'émousse chez certains médecins...

En Angleterre, certains médecins s’étaient prononcés pour le droit d’éliminer les enfants jusqu’à l’âge de deux ans. Ils affirmaient, avec raison, qu’ils ne voyaient pas de différences avec l’avortement d’enfants à naître. C’est également le cas pour les enfants à naître français. Le site gènéthique.org apporte cette information :
 
« … des divergences éthiques sont apparues pour les cas d'enfants rendus viables et autonomes, chez qui des lésions neurologiques sévères persistaient. En effet, certains praticiens ont alors défendu que pour ces derniers, l’“euthanasie néonatale d'exception par injection létale” doive pouvoir être choisie par les médecins souhaitant “transgresser l'interdit de donner la mort”, lorsque celle-ci se présenterait comme “une issue préférable à la survie” pour l'enfant et ses proches.
 
Plus tard en 2000, une étude européenne révélait des chiffres inquiétants, montrant qu'une importante majorité des néonatalogistes français disaient estimer que “des gestes dont le but avéré est de mettre un terme à la vie du nouveau-né [...] sont acceptables du point de vue de leur éthique professionnelle”. Selon Pierre-Olivier Arduin, la pratique de l'avortement ou “euthanasie prénatale” du fœtus handicapé, couramment tolérée en France, aura conduit à un “climat idéologique incitatif dans la période qui suit la naissance”. Si l'on peut supprimer légalement un enfant jusqu'à la veille de l'accouchement, pour quelles raisons ne pourrait-on pas le faire juste après la naissance? Au fond, certains bébés prématurés sont d'ailleurs plus jeunes que des fœtus que l'on peut légalement avorter.
 
À travers ces évolutions d'opinion, un réel changement de mentalité s'est opéré chez les spécialistes. De nos jours, le principe du “droit à la vie”, attribut essentiel de tout enfant né vivant et dont la violation est punie en droit pénal, se voit supplanté par une appréciation subjective de la valeur de son existence à venir. Le critère utilitariste de la qualité de la vie détrône le droit à la vie. “Autrement dit, la vie d'un enfant viable pourrait être stoppée si on la juge non vivable”.
 
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Facebook publie un article expliquant les procédures d'auto-avortement

Un article sur le site Riposte Catholique révèle que Facebook publie un procédé d'auto-avortement! Bien qu'il ait d'abord censuré cette information, le désaveu du groupe "Women on Waves" qui procure des avortements malgré les lois l'interdisant dans certains pays européens, l'a fait plier.

Une plainte, un appel, une prise de parole produit un effet certain.

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Les artisans de paix ne sont pas doucereux...

Au Québec, nous avons souvent travaillé à limiter les dégâts, à nous opposer à des tentatives gouvernementales d'imposer l'euthanasie par exemple, avec succès jusqu'à maintenant. Mais pour vraiment mettre un frein aux dérives mortifères, il ne suffit pas de restreindre la culture de la mort, il faut aussi la remplacer par la civilisation de l’amour.
 
Les partisans d'une culture de mort au Québec ont marché d'étape en étape, de la contraception à l'avortement, de l'avortement à l'euthanasie, de l'euthanasie au suicide assisté, du suicide assisté au devoir de mourir pour les personnes à charge...
 
Si l'euthanasie est toujours illégale et que plusieurs mènent heureusement le combat pour faire connaître et développer le réseau de soins palliatifs, il nous faut aussi travailler à la prochaine étape : changer l'opinion publique au sujet de l'avortement. Et la première étape est d'ouvrir le débat et de faire connaître que beaucoup de Québécois s'opposent à la mise à mort des enfants à naître. Les manifestations publiques comme les 40 jours, où comme la marche pour la vie à Ottawa, que les médias boycottent justement parce qu'ils ne veulent pas véhiculer ce message d'une grande contestation du vide juridique actuel, doivent non seulement se poursuivre, mais grandir pour les obliger à tenir compte de cette présence pour la défense de la vie humaine. Le site le Salon Beige nous offre une excellente réflexion à ce sujet.
 
L'une des techniques d'intimidation est de fabriquer l'illusion que nous sommes très peu nombreux, voire seuls dans l'univers médiatique à refuser le droit de tuer les enfants par avortement. C'est par notre témoignage que nous redonnerons courage à tous ceux qui se croient seuls et désespèrent de changer les choses. Aux États-Unis, une majorité de la population demande des restrictions au « droit » d'avorter. Les défenseurs de la Vie ont accepté de témoigner, de prendre les coups sans répliquer ce qui a causé de forts débats, une véritable bataille de paroles et d'actions judiciaires, une bataille à tous les niveaux. On dit parfois que c'est différent pour le Québec...
 
On peut se poser la question, est-ce notre sensibilité pacifique qui fait qu’il n’y ait pas de conflits au Québec sur le sujet, ou bien plutôt que l’une des parties a baissé les bras et concédé le terrain?
 
Pense-t-on vraiment que si les Québécois s’opposaient en masse aux avortements, comme on l’a fait aux États-Unis, que cette question ne serait pas à la une des journaux comme elle devrait l’être quotidiennement, comme l’exige l’urgence de la situation?
 
« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive… » Ça aussi, c’est dans l’Évangile.
 
Il y a des guerres nécessaires, des causes justes. 30 000 enfants torturés et tués annuellement au Québec, cela demande d’utiliser tous les moyens moraux pour empêcher ce massacre. Cela demande de parler, de témoigner, de manifester, de servir dans les maisons d’aide aux femmes enceintes en difficultés, dans les maisons de soins palliatifs, et surtout de beaucoup prier et jeûner si possible…
 
« Seul le respect de la vie peut fonder et garantir les biens les plus précieux et les plus nécessaires de la société, comme la démocratie et la paix. En effet, il ne peut y avoir de vraie démocratie si l’on ne reconnaît pas la dignité de toute personne et si l’on n’en respecte pas les droits. Il ne peut y avoir non plus une vraie paix si l’on ne défend pas et si l’on ne soutient pas la vie,... » (Jean-Paul II, Evangelium Vitae, no 101)
 
Pour l’année 2012, souhaitons-nous d’avoir le courage et l’obéissance d’être de véritables artisans de paix.

Bonne Année 2012

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