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Des bordels dans les CHSLD? Après tout, c'est vendredi !


Janette Bertrand

L'animatrice vedette de la télévision québécoise, Anne-Marie Dussault, anime maintenant une toute nouvelle émission de la Société Radio-Canada le vendredi soir à 21 heures.

Pour la première émission «Après tout, c'est vendredi» du 11 octobre 2013, Mme Dussault a choisi un sujet «hot» et explosif, les aidants sexuels.

Dans un premier temps nous avons eu droit à des spécialistes européens où, paraît-il, la CHOSE se pratique avec succès et satisfaction depuis quelques années. Dans un deuxième temps, c'était la grande spécialiste et prêtresse de la sexualité québécoise, Janette Bertrand, 88 ans, qui a parlé avec enthousiasme de ce sujet controversé.

Aidants sexuels, assistants sexuels, mais c'est quoi au juste cette nouvelle profession ?

Il paraît, d'après les gourous de la sexualité interviewés lors de cette émission, que le droit à l'orgasme sexuel est un droit fondamental qu'il faut respecter dans notre société postmoderne et très avancée. Il n'y a pas d'âge limite pour être sexuellement actif. Ce serait même un moyen très approprié pour garder sa bonne forme physique et psychologique.

Malheureusement, à un certain âge on a besoin d'aide. Alors, l'aide sexuelle devient un soin de santé normal et acceptable qu'il faut offrir aux personnes malades, handicapées et âgées. Dans ce contexte, les assistants sexuels prennent toute leur importance.

Avec le vieillissement de la population, cette nouvelle profession va, paraît-il, prendre beaucoup d'importance, et c'est déjà en vigueur dans certains pays européens. C'est maintenant socialement accepté. Très souvent, nous ont dit nos spécialistes, les personnes handicapées et les personnes âgées dans les centres d'accueil (CHSLD) ne peuvent vivre une sexualité active pleine et entière faute de partenaires. Les aidants sexuels seront alors sur place pour répondre à leurs besoins sexuels. Voilà la grande conclusion qui s'est dégagée lors de cette première émission de «Après tout, c'est vendredi». Notre société occidentale en pleine décadence morale est rendue là !

Après avoir enseigné aux jeunes à l'école primaire et secondaire tous les supposés «bienfaits» de la mécanique sexuelle (30000 avortements par année au Québec), nous voilà rendus en fin de vie où le party doit continuer pour nos jovialistes personnes âgées et malades, mais toujours très épicuriennes.

Il semble que dans notre monde moderne et hyper sexualisé, le sexe doit avoir la première place de la naissance jusque dans la tombe !

Soyons sérieux. Nous sommes ici en face d'une nouvelle et populaire forme de prostitution socialement acceptée, parce que le bon peuple de plus en plus païen a perdu tous ses repères.

En Occident, la sexualité n'est plus l'expression de l'amour humain entre un homme et une femme ; c'est plutôt devenu un divertissement où la jouissance physiologique est présentée comme un droit fondamental. Quant au véritable AMOUR tel qu'enseigné par le Christ et son Église, cela n'a plus aucun rapport avec la sexualité débridée pratiquée par une très grande partie de la population.

Les baby-boomers du Québec arrivent à la retraite. Les maladies et les handicapes pointent à l'horizon. Débarrassés de la supposée grande noirceur imposée de force par la méchante religion catholique, ils ont vécu dans le concubinage une sexualité égoïste et extrême sans aucune retenue avec un nombre incalculable de partenaires différents utilisant abondamment la pornographie, le cinéma, la télévision et l'internet pour rendre leurs ébats, déviations et perversions sexuels toujours plus piquants et performants. Alors, il faut maintenant que tout cela continue, même si on est seul, vieux, malade ou handicapé, car c'est un droit fondamental.

Ne soyons ni surpris, ni scandalisés de voir bientôt arriver au Québec dans les résidences de personnes âgées, malades et handicapées les aidants sexuels avec leur diplôme universitaire sous le bras et toute la quincaillerie nécessaire pour faire jouir les clients. Voilà une société sans Dieu, "neutre", laïciste et athée.

Avec notre Charte québécoise des valeurs athées, le gouvernement va probablement interdire dans les hôpitaux et les Centres d'accueil pour personnes âgées (CHSLD) les lieux de prières, les aumôniers, les messes, les activités spirituelles, etc. D'un autre côté, ce même gouvernement "neutre" et athée pourrait bien autoriser la prostitution gratuite avec la carte soleil sous prétexte que c'est un droit fondamental.

La chapelle deviendra alors le bordel dans nos établissements de santé. Si les morts ne ressuscitent pas, mangeons et buvons, car demain nous mourrons. APRÈS TOUT, C'EST VENDREDI !

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Euthanasie en Belgique : La porte grande ouverte

Le journal La Presse du 2 octobre 2013 nous informait que la Belgique va bientôt abattre ses balises face à l'euthanasie. Cette «belle mort» (près de 3000 en 2012) sera bientôt accessible aux mineurs (moins de 18 ans), aux bébés et aux personnes atteintes de démence (Alzheimer). Le gouvernement répond, paraît-il, à la demande populaire, car selon les derniers sondages, 75 % du bon peuple belge appuie les amendements à la loi sur l'euthanasie.

Les médias belges nous annoncent que cette ouverture sur une plus grande accessibilité à l'euthanasie serait le prélude à l'euthanasie sur demande pour n'importe quelle raison (détresse psychologique, mal de vivre, etc.)

La culture de la mort fait son œuvre de destruction massive en occident. Au Québec, société très distincte, un faux débat fait rage actuellement sur cette question, alors qu'une supposée unanimité populaire et médicale appuie le gouvernement dans son intention de légaliser l'euthanasie.

Toutes les balises annoncées avec tambours et trompettes par le gouvernement Marois me font bien rire. D'ici quelques années, on suivra l'exemple de la Belgique et on ira se faire euthanasier gratuitement avec sa carte soleil sous prétexte que notre corps nous appartient.

Le Québec sera alors le champion de l'euthanasie après avoir été le champion de l'avortement.

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Procréer à tout prix

L'INDUSTRIE de la procréation roule à plein régime au Québec : fécondation in vitro et in vivo, ovules et sperme en vente libre, mères porteuses, bébés éprouvettes, embryons congelés, manipulations génétiques de plus en plus sophistiquées où on parviendra à fabriquer des bébés sur commande aux goûts délirants de parents inconscients, etc.

En 2010, le gouvernement du Parti Libéral du Québec avec l'appui du Parti Québécois a posé un geste spectaculaire : sous la très forte pression du milieu artistique ( au Québec, les artistes mènent le gouvernement par le bout du nez ) et de la grande vedette de la télévision, Julie Snyder, Jean Charest et le ministre de la Santé de l'époque Yves Bolduc avaient annoncé au bon peuple, lors d'une spectaculaire conférence de presse où Julie pleurait à chaudes larmes devant les caméras, que la procréation assistée serait maintenant totalement gratuite et ouverte à tout le monde sans aucune balise et sans aucune exception.

En 2013, nous récoltons ce que nous avons semé. Le Québec nage en pleine dérive absolument délirante sur cette question de la vie manipulée artificiellement.

Après une enquête très sérieuse, le Journal de Montréal du 31 juillet 2013, nous informait que la politique « bar ouvert » pour la procréation assistée est un véritable fiasco ; ce ridicule programme gratuit avec la carte soleil coûte annuellement au trésor public 63 millions de dollars et ça n'arrête pas d'augmenter ; TOUTES les femmes en âge de procréer sont admissibles ; les questions déontologiques et éthiques n'existent pas, car le droit sacré de la femme de procréer à n'importe quel prix ne se discute même plus au Québec : femmes en dépression, couples de lesbiennes, femmes immigrantes sans emploi et au statut précaire, femmes qui ont été forcées de placer leurs enfants en foyers d'accueil, femmes mariées à un conjoint qui vit en Afrique, femmes célibataires qui exigent un enfant, femmes de prisonniers incarcérés pour encore 20 ou 25 ans, femmes âgées de 50 et 60 ans en mal de procréer, femmes handicapées et vivant seules, femmes qui purgent des sentences de prison, femmes dépendantes de l'alcool, du jeu et de la drogue, prostituées actives, jeunes étudiantes sous le seuil de la pauvreté, etc.

La course à l'enfantement de style Frankenstein sombre dans le chaos le plus complet au Québec. On se fout éperdument du bien-être de ces pauvres bébés à naître. C'est l'anarchie la plus complète.

Cette situation décadente fait bien l'affaire des cliniques de procréation assistée qui font maintenant fortune grâce à notre gouvernement irresponsable.

Procréer à tout prix n'est pas un droit fondamental. Notre système de santé au Québec tombe en ruines pendant qu'on accepte de dépenser des dizaines de millions pour toutes ces pirouettes et ces diaboliques manipulations de la vie pour faire plaisir à des femmes qui n'ont aucun souci de la morale et de l'éthique.

Cette folie collective sans aucune balise dépasse l'entendement. Cela ressemble beaucoup à tous les épouvantables dérapages de l'avortement où, là aussi, c'est la politique du « bar ouvert » avec la carte soleil.

L'infertilité n'est pas une maladie qui met la santé de la femme en danger. Avoir un enfant n'est pas un droit fondamental. Les sornettes de Julie Snyder et de Céline Dion sur cette question sont ridicules et irrecevables même si notre gouvernement a croulé encore une fois sous la pression de groupes ou de vedettes qui médiatisent gratuitement leur cause et leur lubie sur la place publique.

Les âmes sensibles du bon peuple s'émeuvent très facilement, le gouvernement s'écrase ridiculement et le contribuable doit maintenant payer pour les pots cassés.

Quand on voit ce fiasco humain et cette décadence abyssale, on ne peut que constater la très grande sagesse de l'Église catholique dans le dossier de la transmission de la vie.

Pendant que la société athée, neutre et laïque massacre la vie de façon ignoble et dégradante tout en s'autoproclamant civilisation moderne et très avancée, l'enseignement de l'Église de son côté proclame haut et fort le respect de la vie et la dignité de l'acte de procréer uniquement entre un homme et une femme dans le cadre sacré du mariage chrétien tel que voulu par notre Créateur.

Voilà pourquoi toutes ces folies de procréation assistée sont dénoncées et strictement interdites par l'Église catholique au nom de la DIGNITÉ HUMAINE.

Nous vivons dans un monde où les apprentis sorciers, qu'on qualifie de très grands savants, sont rois et maîtres. Dans nos sociétés où la science se croit tout permis, on a totalement exclu Dieu et la loi naturelle. Les savants se prennent de plus en plus pour des dieux avec leurs spectaculaires réalisations contre nature étalées sur la place publique et applaudies par le bon peuple qui refuse de réfléchir.

Quand on se moque des lois de Dieu, on accouche de terribles débordements où le laxisme et le relativisme font leur œuvre de destruction massive.

La populaire procréation à tout prix nous montre très clairement qu'au Québec, en matière de respect de la vie, nous venons de faire de très grands pas EN ARRIÈRE.

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Suite au suicide de l'Occident, la victoire de l'Islamisme ?

Le 27 juin 2013, j'ai assisté sur la rive sud de Montréal à une conférence du père Henri Boulad, jésuite, à l'Église Notre-Dame-du-Bon-Conseil d'Otterburn Park (Québec-Canada).

Le Père Boulad est un grand spécialiste de l'Islam. Né à Alexandrie en Égypte en 1931, il a étudié au Liban, en France et aux États-Unis. Il a été supérieur des Jésuites d'Alexandrie, provincial des Jésuites du Proche-Orient, professeur de théologie et recteur du Collège des Jésuites au Caire (Égypte). Après avoir publié 30 livres qui furent traduits en 14 langues, il parcourt l'Occident comme conférencier toujours très apprécié.

L'église était remplie à craquer. Un lourd silence s'est installé pour toute la durée de cette conférence, car dès le début, le Père Boulad nous a dit haut et fort : " L'heure est grave, réveillez-vous ". Le Père Boulad parcourt le monde pour informer les populations chrétiennes d'un très grave danger qui les menace. Actuellement, l'Occident et le Québec sont profondément endormis et chloroformés aux vapeurs nocives des accommodements raisonnables. Notre conférencier s'est donné pour mission de renverser la vapeur.

Dans un premier temps, le Père Boulad nous a brossé un tableau statistique en rapport avec l'Islam. " Pendant que nous dormons, a-t-il dit, le monde est en train de changer ". Le taux de natalité est en chute libre partout en Occident : France 1.8, Angleterre 1.6, Grèce et Allemagne 1.3, Italie 1.2, Espagne 1.1, Québec 1.2, Europe 1.38, etc. Quand le taux de natalité tombe en dessous de 2.11 enfants par famille, c'est le déclin assuré de cette civilisation et de ce pays et la disparition pointe à l'horizon. Malgré des taux de natalité aussi bas, la population de tous ces pays ne diminue pas grâce en partie à une immigration musulmane massive qui a une natalité de 8, 9, et 10 enfants par famille. 

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Bruxelles par exemple est actuellement à 40 % musulmane et on rêve d'y implanter graduellement, mais sûrement la loi de la Charia. Le Père Boulad en a profité pour féliciter la population de la province de l'Ontario au Canada qui n'a pas eu peur de se soulever, il n'y a pas si longtemps, pour protester énergiquement contre le gouvernement provincial qui voulait modifier le droit familial selon la Charia afin d'accommoder les musulmans. Le projet de loi a été retiré.

Le Père Boulad a lu et étudié le Coran en arabe et en français. Ce livre sacré contient deux parties diamétralement opposées. Dans la première partie, nous lisons un message d'amour, de fraternité et de tolérance. Dans la deuxième partie, Mahomet est à Médine et là, il change son fusil d'épaule. La nouvelle doctrine supposément inspirée d'Allah est devenue violente, intolérante, haineuse, fondamentaliste et intégriste. Aujourd'hui, c'est malheureusement ce message diabolique qui résonne un peu partout grâce à un mouvement très dangereux appelé «Les Frères musulmans» qui ont pris le pouvoir en Égypte, en Lybie, en Tunisie, en Turquie, et bientôt en Algérie et en Syrie. Ils sont partout ; ils sont très écoutés grâce à de nombreux Imans prédicateurs ; ils visent la conquête du monde. Pendant ce temps, les musulmans modérés se taisent, car les terribles menaces de tortures et de mort les font trembler de peur.

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Actuellement, nous dit le Père Boulad, les chrétiens dans les pays musulmans sont en voie de disparaître. Les non-musulmans sont considérés comme des renégats, des mécréants et des traîtres voués à l'enfer. Au nom d'Allah, ils méritent rien de moins que la mort.

Mais, comment dialoguer avec les musulmans dans un contexte aussi explosif quand les purs et durs mènent le bal et quand c'est ce type d'Islam qui est officiel et présent partout ? Actuellement, c'est l'Islam de Médine qui règne en maître, un Islam qui refuse obstinément de se réformer. Et le Père Boulad pose la terrible question : " D'ici 10, 20 ou 30 ans, le monde sera-t-il islamique ? "

L'Europe, le Canada et les États-Unis, nous dit le conférencier en colère, sont inconscients et aveugles face aux dangers qui les guettent. La rectitude politique de gauche a complètement endormi nos politiciens et nos politiciennes. " Quand je parle de cette problématique sur la place publique, je me fais aussitôt traité de raciste et d'intolérant ", nous dit le Père Boulad.

Pendant que les Frères musulmans font une guerre à finir contre les mécréants, peut-on en arriver à un commencement de dialogue ? Mais pour dialoguer, il faut de la franchise dans la recherche de la vérité. Malheureusement, actuellement c'est un dialogue de sourds, car les valeurs islamiques de Médine sont à des années-lumière de nos valeurs évangéliques. Est-ce bien chrétien que d'égorger ceux et celles qui refusent de se convertir à l'Islam ? Est-ce bien chrétien que de couper des doigts, des mains, des bras, des jambes, de fouetter les femmes, d'appliquer la loi de la Charia une loi d'une violence inouïe ? "Rappelons-nous du génocide et du massacre arméniens en1915 au nom d'Allah par une Turquie déchaînée ", ajouta en colère le bon Père Boulad qui nous a informés qu'en quelques décennies, le nombre de chrétiens en Turquie est passé de 30 % à 0.3 %.

Devant un tableau aussi sombre, comment devons-nous réagir face au grand chef des Imans européens qui, il y a quelques semaines, a demandé au Pape François de proclamer haut et fort que l'Islam est une religion de paix et d'amour ?Très sagement, le Pape n'a donné aucune réponse à ce ridicule ultimatum.

En 2013, faut-il se laisser endormir par l'Islam dit modéré ?Le Père Boulad nous invite à un très grand discernement et à une très grande prudence. Partout dans le monde, les écoles coraniques enseignent trop souvent des valeurs inacceptables. Même chez les modérés, la Charia est enseignée comme parole d'évangile et la femme est toujours considérée comme un être inférieur qui n'a aucun droit.

Le Père Boulad nous a informés que depuis deux ans, il est retourné dans certaines villes françaises où la religion islamique s'est répandue à la vitesse TGV. Là, il a rencontré des dirigeants politiques et communautaires qui lui ont fait cette confidence : " Père Boulad, vous aviez bien raison, il y a 10 ans, de nous avoir mis en garde contre l'islamisation de la France. Malheureusement, on ne vous a pas écouté ".

L'Islam, c'est actuellement la religion la plus rapide à se développer au niveau mondial. En Europe, il y a 50 millions de musulmans. Aux États-Unis, en 1970, il y avait 100 000 musulmans ; en 2012, ils étaient 9 millions et dans 25 ans, ils seront 50 millions. Dans 10 ans, l'Islam sera la religion dominante du monde. En 2027, 1 Français sur 5 sera musulman et dans 40 ans la France sera une République islamique au rythme où vont les choses. En 30 ans, la population musulmane de l'Angleterre est passée de 82 000 à 2 .1 millions. Aux Pays-Bas, d'ici 15 ans 50 % de la population sera musulmane et en 2050, l'Allemagne sera un état musulman avec 104 millions de disciples d'Allah.

Toute population qui ne fait plus d'enfants se condamne à la servitude d'abord et à la mort ensuite. Avons-nous les pieds dans la tombe ?

Les mosquées poussent partout comme des champignons pendant que nous démolissons ou vendons nos églises. Et le Père Boulad frappant très fort de sa main le bout de l'autel, s'écria avec le trémolo dans la gorge : " Il faut se réveiller ; il ne faut plus avoir peur de critiquer l'Islam ".

" La Conquête islamique est en cours. Arrêtons de faire preuve de déni ", a-t-il répété à plusieurs reprises. Cette conquête se fait insidieusement, lentement et calmement dans nos pays occidentaux. Les islamistes ambitionnent de prendre le contrôle de la société à tous les niveaux en grugeant ici et là des droits, des pouvoirs, des faveurs particulières et des accommodements raisonnables. Ils se montrent tellement gentils que de nombreux Français, Belges, Anglais, Canadiens et Québécois de souche se convertissent à l'Islam ! C'est devenu «cool» d'être islamiste ! Nos populations occidentales ne font plus d'enfants ; elles ont les plus hauts taux d'avortements au monde, mais elles acceptent de se convertir à l'Islam.

Où allons-nous, demande le Père Boulad ? Dialogue ou confrontation ? Comme le dialogue semble de plus en plus impossible et que la confrontation est inacceptable, il faut se retourner vers autre chose. D'abord, il faut se tenir debout face à l'Islam. Même si les musulmans refusent de s'intégrer à la communauté d'accueil et qu'ils font tout pour se marginaliser, il faut refuser de leur dérouler le tapis rouge des accommodements raisonnables. Et le Père Boulad insiste : "C'est un appel à la lucidité et au réalisme que je vous lance ici ce soir ".

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Mais, attention, il n'est surtout pas question de partir en guerre. Notre meilleure stratégie, c'est d'afficher ouvertement notre foi et de revenir aux valeurs fondamentales du christianisme. Il faut que nos pays païens se convertissent. Il faut annoncer haut et fort le message du Christ et être prêt à souffrir et même à mourir pour défendre notre foi.

Le Père Boulad a alors fait un vibrant appel pour une nouvelle évangélisation. Il faut présenter notre foi dans un nouveau langage sans se laisser bouffer par les valeurs décadentes du monde moderne qui a perdu son âme. L'Occident est en train de se faire manger tout rond par les soldats d'Allah parce qu'elle a perdu son âme dans les méandres du relativisme, de l'athéisme, de l'hédonisme et de l'ésotérisme.

Kadhafi, l'ex-dictateur de la Lybie, avait souvent répété avant sa mort violente : " Allah va accorder une immense victoire à l'Islam en Europe, sans épée, sans fusils, sans conquête, sans terroristes et sans Kamikazes ".

Pendant que l'occident chrétien, de plus en plus athée et inconscient, s'amuse, se divertit, fornique, avorte, se suicide, euthanasie, apostasie, etc., les musulmans prient 5 fois par jour et préparent leur conquête.

L'invasion pacifique au niveau européen se fait actuellement, ainsi qu'en Amérique du Nord. Comme nous faisons de plus en plus de place aux musulmans, il serait stupide de leur part de ne pas en profiter. Ils seront notre cheval de Troie. L'Occident qui a capitulé est devenu l'otage des Droits de l'homme. Les musulmans se préparent et quand le temps sera venu, ils imposeront au bon peuple le Coran et la Charia. Les dirigeants seront alors musulmans et la minorité chrétienne sera prise en otage. Quand la Turquie fera son entrée très bientôt dans l'Union européenne, c'est plus de 80 millions de musulmans qui circuleront librement et qui se chargeront d'islamiser toute l'Europe.

Est-ce trop tard ? Le Père Henri Boulad a bien dit en terminant sa conférence qu'il faut garder l'espérance et ne pas de décourager.

Le Père Boulad nous a profondément sensibilisés. Maintenant, il faut se réveiller et enlever nos lunettes roses, car l'heure est très grave.


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Véronique Hivon, ministre de l'euthanasie du Québec ?

Dans le journal La Presse du 19 janvier 2013, nous avons eu droit à une entrevue de la ministre déléguée aux Services sociaux responsable du dossier «Mourir dans la dignité», Mme Véronique Hivon.

Notre savante ministre péquiste nous a donné un message très clair en 10 points :

1- L'aide médicale pour mourir dans la dignité se situe dans un continuum de soins en fin de vie ; c'est le soin ultime !

2- Cette aide médicale à mourir n'est pas de l'euthanasie, car c'est très bien balisé.

3- Il ne faudrait pas que le malade demande une aide médicale à mourir parce qu'il n'a pas accès à de bons soins. Cette aide médicale sera un complément de soins en fin de vie.

4- La nouvelle loi va protéger les médecins qui vont aider les grands malades à mourir dignement.

5- La nouvelle loi va contourner le Code criminel du Canada qui défend de pratiquer l'euthanasie. La santé, c'est de compétence provinciale.

6- Quant aux soins palliatifs, le gouvernement va étudier cette problématique. On verra !

7- Les gens qui ont perdu leur lucidité ne seront pas oubliés. La loi sera amendable. Un comité d'experts va se pencher sur cette question.

8- Face aux enfants, aux bébés et aux adolescents très malades et très souffrants, qui va décider ? " Tous les détails seront connus quand le projet de loi sera déposé " dit la ministre. On verra !

9- Le projet de loi va couvrir les maladies graves et incurables. Donc, la loi n'exclura pas le cancer et les maladies dégénératives.

10- Au Québec, la population a eu la maturité de se prononcer sur cette question. Le consensus est très clair en faveur de ce projet de loi. " Il faut prendre acte et ne pas être en retard sur la société ", dit la ministre.

En terminant, Mme Hivon affirme haut et fort " que chaque personne doit avoir une fin de vie conforme à ses valeurs ".

La ministre Véronique Hivon est très claire : elle ira à l'encontre de la majorité des rapports déposés à la Commission d'enquête mise sur pied par le gouvernement ; ceux-ci refusaient l'euthanasie. Celle-ci sera légalisée au Québec même si Mme Hivon ne veut surtout pas prononcer le mot euthanasie.

Le plus inquiétant en lisant cette interview, c'est de constater que dans un premier temps nous aurons une loi très bien balisée et encadrée, mais que dans un deuxième temps, le gouvernement reste très ouvert pour assouplir et amender cette loi, toujours à la remorque du consensus social.

À moins que nous passions à l'action, la porte de l'euthanasie va très bientôt s'ouvrir. D'ici quelques années, comme dans le cas de l'avortement, nous aurons droit à l'euthanasie sur demande avec notre carte soleil.

Il faut enlever nos lunettes roses et voir en face la triste réalité qui pointe à l'horizon et qui exige que l'on agisse. Pourquoi le gouvernement n'a-t-il pas plutôt présenté un projet de loi sur des soins palliatifs de très grande qualité pour permettre de mourir dans la dignité ? Quand la journaliste de La Presse, Nathalie Collard, a demandé à Mme Hivon si le Québec a les moyens financiers d'offrir à tous les Québécois des soins palliatifs de qualité, pourquoi la ministre s'est-elle empressée de faire du patinage de fantaisie ?

Le gouvernement Marois a fait son lit. L'euthanasie, c'est pour l'État très payant ; mais des soins palliatifs bien organisés et accessibles à toute la population, ça pourrait coûter cher au système de santé, n'est-ce pas ?

Alors, allons-y pour l'euthanasie !

Chère Mme Véronique Hivon, vous avez oublié des choses extrêmement importantes dans votre projet de loi : la valeur incommensurable de la personne humaine de la conception jusqu'à la mort naturelle.

Votre savante Commission aurait dû consulter Jean Vanier, ce grand personnage unique au monde, qui depuis des décennies s'occupe des personnes handicapées tant au niveau physique qu'intellectuel un peu partout sur la planète. Pour lui, chaque personne est un tsunami d'amour peu importe sa condition. Quel que soit son niveau de maladie, de dégénérescence ou d'immobilité, toutes ces personnes humaines ont une valeur unique, même si la société, de plus en plus décadente, les considère comme un fardeau social.

Votre projet de loi ne s'adresse-t-il surtout pas aux bien-portants qui ne supportent plus de regarder en face la maladie, la douleur, la souffrance et la mort ?

Nous voulons une société parfaite ; les grands malades accaparent notre temps (il faut les visiter) et notre argent (ça coûte cher au système). Alors, l'euthanasie devient la solution miracle pour régler tous les problèmes.

Mais cette solution pratique n'est absolument pas humaine.

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Euthanasie : bilan catastrophique

L'émission «Second Regard» à Radio-Canada, le dimanche 20 janvier 2013, nous parlait de l'euthanasie.

Une éminente oncologue, Dre. Catherine Dopché, spécialiste en soins palliatifs en Belgique, nous a brossé un tableau extrêmement sombre de ce qui se passe dans ce pays décadent.

"Le bilan est catastrophique" a-t-elle déclaré à la télévision.

À cet endroit, l'euthanasie a été légalisée il y a 10 ans. Au début, il y a eu 12 demandes d'euthanasie la première année. En 2012, il y a eu 1100 demandes et on prévoit que ce nombre augmentera de 10 % à 15 % par année.

Pour cette grande spécialiste de la vie, ceux et celles qui font la promotion de l'euthanasie et du suicide assisté nous mentent en pleine face pour mieux faire passer leur message sur cette supposée belle mort en inculquant dans la tête du bon peuple toutes sortes de fausses idées biaisées et tordues.

En Belgique, après toutes ces années où la culture de la mort a triomphé, on a réduit la personne humaine à un vulgaire objet qu'on peut jeter à notre convenance.

Avec l'euthanasie, au lieu de servir la personne, on la détruit.

Évidemment, l'animateur vedette de l'émission «Second Regard», un grand partisan de l'euthanasie sur demande, a bien essayé de contredire et de tasser dans le coin notre brave médecin, mais il n'a pas réussi.

Coup de théâtre : à la fin de ce reportage, on nous a annoncé quelque chose de tout simplement tragique, écœurant et dégoûtant. Le docteur Dopché, les larmes aux yeux, nous a informés que la Belgique songe maintenant à amender très bientôt la loi qui encadre l'euthanasie. Le consensus populaire serait prêt pour accepter que l'euthanasie soit rendue accessible pour les bébés, les enfants et les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer...

*****
 

Ici au Québec, société hyper distincte, le gouvernement va bientôt voter sa chère loi pour légaliser l'euthanasie, tout en violant le Code criminel canadien. Les partis politiques de l'Assemblée nationale semble être unanimes sur cette question.

Les grands ténors du gouvernement chantent sur tous les toits que cette loi inique sera très bien entourée de balises et d'un encadrement qui va empêcher les dérapages. Quelle belle illusion ! C'est de la poudre aux yeux !

Nous nous préparons au Québec à ouvrir «La boîte de Pandore» où la mort sera une option socialement acceptable et très valable à envisager pour les personnes souffrantes, les dépressifs et les gens suicidaires.

Quand la Ministre responsable de ce dossier, Mme Véronique Hivon, nous parle de sérénité, de dignité et de médecine moderne sans jamais prononcer le mot euthanasie, elle nous abreuve de dogmatisme, de tromperies et de mensonges. Elle utilise une façon tordue pour susciter l'adhésion à son projet de loi.

Quand la Ministre nous dit que ce «beau» projet de loi est dicté par l'opinion générale et l'évolution des mentalités, cela me fait bien rire. Faut-il s'ajuster continuellement à la décadence sociale et morale d'une société qui a perdu tous ses repères ?

«Aide médicale à mourir», voilà l'expression trompeuse et bonbon pour imposer l'euthanasie au bon peuple. On devrait plutôt parler d'aide médicale pour bien vivre la fin de sa vie : voilà le devoir de la médecine.

Comme en Belgique, cette loi sera vite amendée au gré des pressions populaires. On finira bien par arriver à l'euthanasie sur demande (comme l'avortement). Alors, les bébés et les enfants trop malades seront éliminés ainsi que les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, car ils coûtent très cher au système de santé.

Aurons-nous droit maintenant au Québec, comme en Belgique, aux maisons de la «belle» mort où tout sera fait gratuitement et très proprement selon les règles avec la carte soleil ?

L'euthanasie, j'en suis convaincu, va surtout soulager la souffrance des médecins et celle des familles concernées, car le malade reste pour plusieurs, y incluant le gouvernement, un poids énorme qui dérange.

Avec cette populaire loi, nous aurons «le meilleur des mondes» tel que prédit, il y a plusieurs décennies par le grand romancier Adlous Huxley. J'invite les lecteurs à relire ce fameux roman.

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Obama réélu

Journée historique : le 6 novembre 2012, Barack Obama est réélu pour un deuxième mandat.

Lors de cette élection, une dizaine d'états ont voté par référendum en faveur de la légalisation du mariage gai, de l'insémination artificielle pour les couples lesbiennes et pour l'adoption d'enfants par des couples homosexuels.

De plus, le Parti d'Obama a fait élire plusieurs candidats gais et lesbiennes dans les états étiquetés ouverts aux nouvelles valeurs à la mode. 

Après la victoire d'Obama, les mouvements féministes en faveur de l'avortement et les mouvements qui demandent la légalisation de l'euthanasie crient victoire.

Obama a promis pendant la campagne électorale de légaliser tout cela à la grandeur du pays.

Les Américains sont actuellement acculés à la faillite. Ils ont une dette de 17 000 milliards de dollars et le déficit de l'année 2012 sera de 800 milliards de dollars. Face à cette catastrophe financière, Obama a promis de dépenser encore plus et beaucoup plus !

Avec l'élection d'Obama, les États-Unis entrent dans une ère de décadence morale et économique sans précédent. C'est un devoir pour ce qui reste de personnes de bonne volonté d'oeuvrer à contre-courant pour conserver ce qui reste de la civilisation occidentale aux États-Unis.

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Le tout puissant lobby homosexuel

1- Écoles homosexuelles :

Au bulletin de nouvelles de RDI à la télévision de Radio-Canada, le 27 septembre 2012, un reportage nous informait que les autorités scolaires de Toronto seraient sur le point de donner le feu vert pour une école secondaire expérimentale. Cette institution scolaire n'accepterait uniquement que des élèves qui se disent homosexuels.

Plusieurs psychologues pensent que les étudiants gais et les étudiantes lesbiennes auraient ainsi un milieu beaucoup plus propice pour leur épanouissement personnel.

On peut se questionner sur les supposés bienfaits d'un tel projet. Ne sommes-nous pas en face d'un autre ghetto qui va stigmatiser encore plus cette communauté ?

Les homosexuels insistent continuellement sur l'importance de leur intégration à la société. Alors, ce n'est sûrement pas avec ces théories fumeuses échafaudées par de supposés spécialistes pour justifier ces écoles homosexuelles qu'on incitera les jeunes à atteindre ce but.

Village gai, défilé gai, vêtements gais, festival gai, spectacles gais, cinémas gais, festival du film gai, littérature gaie, magazines gais, jeux olympiques gais et maintenant écoles gaies, mais où s'arrêtera cette tendance complètement ridicule ?

2- Le dieu condom :

Depuis des décennies les personnes atteintes du VIH (le sida) devaient informer leurs partenaires sexuels de leur condition sous peine d'être accusées au criminel. Les lobbys homosexuels ont toujours dénoncé sur toutes les tribunes cette supposée atteinte à leurs droits fondamentaux.

Le 5 octobre 2012, la Cour suprême du Canada a rendu à l'unanimité un jugement historique. Une personne séropositive n'a plus l'obligation de divulguer sa condition à son partenaire avant leurs activités sexuelles à la condition d'utiliser le dieu condom.

Même si la science a prouvé que le condom n'est jamais sûr à 100 %, nos «savants» juges ont décidé sous la pression du lobby gai que les droits des homosexuels doivent primer sur la sécurité sanitaire.

Aussi incroyable qu'on aurait pu l'imaginer cette position de la Cour suprême n'a pas satisfait la communauté gaie et lesbienne. Les groupes de pression et de défense des droits des personnes séropositives semblent bien décider à exiger l'immunité totale, c'est-à-dire le droit au silence complet avec ou sans condom.

C'est effrayant de voir jusqu'à quel point ces groupes de pression sont capables de faire trembler nos gouvernements et même la Cour suprême !

3- Thérapie interdite :

Il y a aux États-Unis un organisme qui fait beaucoup parler de lui depuis une décennie : c'est «L'Association nationale de recherche et de thérapie sur l'homosexualité» qui est implantée un peu partout chez nos voisins du sud. De plus, ses nombreux succès, qu'on refuse de publiciser, lui attirent la foudre, la hargne et le mépris du tout puissant lobby gai.

Pour notre société postmoderne, vendue corps et âme aux idées à la mode, c'est impensable et inacceptable qu'une quelconque thérapie puisse changer un homosexuel en un hétérosexuel même si cela fonctionne souvent très bien. Voilà pourquoi cette association est actuellement dénoncée et clouée au pilori !

La furie et la colère des organisations homosexuelles contre cette thérapie leur ont permis de remporter une très grande victoire en Californie. Le 29 septembre 2012, le gouverneur Jerry Brown a promulgué une nouvelle loi qui interdit maintenant formellement, sous peine d'accusations criminelles, aux parents d'enfants et d'adolescents de moins de 18 ans de faire appel à ce genre de thérapie pour leur progéniture.

Les homosexuels crient victoire. Ils partent maintenant en croisade dans tout le pays pour que cette loi matraque de la Californie soit adoptée dans tous les autres états chez nos voisins du sud.

Depuis l'entrée en vigueur de cette loi, plusieurs parents risquent la prison s'ils font appel à «l'Association nationale de recherche et de thérapie sur l'homosexualité» pour traiter les tendances homosexuelles de leur enfant.

Dans nos pays décadents, les enfants appartiennent de plus en plus à l'État. Les groupes de pression font la pluie et le beau temps. Ils dictent aux autorités politiques la nouvelle morale à suivre et le système judiciaire fait une gentille courbette.

4- Enfin ! La théorie du genre :

Le lobby homosexuel annonce haut et fort cette théorie postmoderne sur toutes les tribunes avec la complicité de nos médias et de nos spécialistes de la chose.

Depuis quelques années la théorie du genre est devenue présente partout dans notre société : publicité, cinéma, partis politiques, écoles primaires et secondaires, cours d'éthique et de culture religieuse, télévision, arts, culture, etc.

Ce nouveau concept fumeux parle pompeusement de liberté, de libération et d'égalité. Mais attention, hypocritement et insidieusement, on nous fait accroire de façon biaisée que l'identité profonde de la personne humaine n'a rien à voir avec la nature sexuelle homme-femme. Alors, on ne naît plus homme ou femme ! À la naissance nous sommes neutres ! Incroyable ! Maintenant, au nom de cette théorie, il faut libérer les générations futures. Alors, le sexe biologique n'aurait aucune influence sur la sexualité. On construit avec le temps notre propre sexualité. Évidemment, dans notre société sans Dieu, nous sommes les nouveaux dieux.

Attention! Dans notre monde hyper malade, il faudra adhérer à cette thèse, sinon on sera étiqueté de conservateur de droite, de retardé et d'homophobe.

Les champions de la théorie du genre enseignent que l'humanité doit désormais faire la promotion de la diversité sexuelle tous azimuts : gais, lesbiennes, transgenres, transsexuels, allosexuels, bisexuels, métrosexuels, altersexuels, multisexuels, polysexuels, etc. La sexualité, c'est un amusement et un divertissement où la jouissance doit atteindre au maximum le paroxysme suprême et où toutes les fantaisies imaginables et inimaginables prennent la première place.

Maintenant que nos populations ont mis Dieu dehors à tous les niveaux de la société dite moderne et très avancée, on peut en toute liberté se complaire dans cette théorie douteuse. On doit même l'enseigner à nos enfants dans nos écoles supposément neutres. Les milieux universitaires, les artistes, les politiciens, les médias et les «-logues» de tout acabit applaudissent à tout rompre cette trouvaille du troisième millénaire.

À bas le moyenâgeux modèle du couple traditionnel homme-femme avec enfants ! Bon peuple tu dois te mettre à date ou tu seras cloué au pilori. À la poubelle le plan de Dieu !

Le message du Christ, de l'Église de l'Écriture sainte et de la raison même est diamétralement opposé aux idées véhiculées dans la théorie du genre, même si certains au Québec la défendent en se foutant royalement de la tradition et de la sagesse anciennes et fiables.

Dieu nous a créés sexués homme ou femme. Il faut avoir le courage de défendre notre foi et la loi naturelle face à tous ces populaires charlatans qui enseignent les pires faussetés et qui entraînent le monde dans l'abîme.

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"Honorable profession"

Le 26 mars 2012, la Cour d'appel de l'Ontario a rendu une décision historique en faveur des prostituées appelées pudiquement et hypocritement " les travailleuses du sexe ".

Le plus haut tribunal de l'Ontario a ordonné au gouvernement fédéral de réécrire l'article 210 du Code criminel qui interdit de tenir des maisons de débauche. Nos " savants " juges nous informent que cette interdiction est inconstitutionnelle, car cela va à l'encontre de la charte des droits et libertés.

Au Québec, les réactions sont partagées. Contrairement aux autres provinces canadiennes, nos Québécois et Québécoises postmodernes sont en majorité pour la légalisation de la prostitution. Du côté des mouvements féministes, certaines femmes pensent que la prostitution est une honorable profession ; d'autres répliquent au contraire que cette activité est malsaine et que ce travail de vendre son corps au plus offrant fait de la femme une vulgaire marchandise de consommation.

Du côté de notre intelligentsia, on a entendu à la télévision et lu dans les journaux de nombreux commentaires de psychologues, sociologues, travailleurs sociaux et professeurs dans nos savantes universités applaudir presque unanimement ce jugement.

Sur la première page du journal La Presse du 27 mars 2012, on nous montrait la photo d'une prostituée dominatrice toute souriante, tenant à la main son fouet, en attendant les clients. Quel " beau " métier !

" Enfin, les portes s'ouvrent pour les maisons closes " titrait en grande pompe le journal La Presse.

Du côté des journalistes, éditorialistes, commentateurs et penseurs québécois, on ne veut surtout pas passer pour des gens de droite. Alors, la rectitude politique les oblige à emboîter le pas, à suivre la parade et à affirmer que ce jugement idiot va dans la bonne direction.

Bravo ! Les bordels seront désormais légaux ! Dans sa chronique de La Presse du 29 mars 2012, Michèle Ouimet résume très bien l'idéologie tordue et biaisée de notre peuple en pleine décadence.

" La société a évolué, dit-elle. La prostitution est le plus vieux métier du monde et rien n'y mettra fin. Il faut se débarrasser du bazar moral qui dit que la prostitution c'est mal et que les clients sont des pervers. Il faut accepter et légaliser cette profession au grand complet sans chipoter sur un aspect ou un autre et sans cracher sur les clients " (sic).

Voilà, nous en sommes rendus là ! La prostitution, c'est beau, c'est moral, c'est bien, c'est cool et c'est un métier honorable qu'il faudrait probablement promouvoir et inscrire sur nos C.V.

Notre société continue de s'enfoncer dans un merdier épouvantable.

En 2005, la Cour Suprême a légalisé l'échangisme, l'exhibitionnisme et le voyeurisme. Il y a plusieurs décennies, on a légalisé l'avortement. Actuellement, on se prépare très activement à rendre légale l'euthanasie au Québec. Il y a quelques mois, la Cour Suprême du Canada a légalisé les piqueries qui vont bientôt faire leur apparition dans les grandes villes canadiennes. Montréal et Québec sont sur la liste. Alors, il ne restera plus qu'à légaliser la drogue, comme le réclament haut et fort de nombreux groupes de pression au Québec.

Tout cela est très " beau " et très " acceptable ", car " la société a tellement évolué " ! Tout va très bien, madame la Marquise ! Le Mal est devenu bien !

C'est incroyable et très excitant de vivre dans cette société " hyper évoluée " où je peux en toute liberté me droguer, me saouler, avorter, échanger (club échangiste), me payer une pute, me piquer à l'héroïne, changer de sexe et enfin, très écœuré de la vie, me faire euthanasier avec ma carte soleil.

Ce style de vie, c'est très bien ! C'est à la mode et c'est tout à fait légal !

Voilà un autre très grand pas en avant pour notre humanité défigurée et pervertie.

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Commission mourir dans la dignité : de la poudre aux yeux

La commission parlementaire sur l'euthanasie a déposé son rapport à l'Assemblée nationale le 22 mars 2012.

Comme les dés étaient pipés d'avance, on recommande au gouvernement québécois d'accepter l'euthanasie et le suicide assisté, ce qu'il fera avec plaisir.

Évidemment, ces recommandations pour une " belle " mort regorgent d'hypocrisie. On appelle cela " l'aide médicale à mourir dans la dignité " pour mieux enrober cette " mort bonbon ".

Un sondage du journal La Presse du 23 mars 2012 révèle que 87% de la population appuie les recommandations du comité mis sur pied il y a deux ans. Le bon peuple exige une mort à son goût !

Les médecins qui ont fait campagne contre l'euthanasie n'ont pas été écoutés. Le docteur Paul Saba de la Coalition des médecins pour la justice sociale est très fâché. Il dénonce vertement " toute ouverture à l'euthanasie ", car dit-il, " cela va à l'encontre du code de déontologie du Collège des médecins qui doivent soigner et non tuer et de la Charte des droits et libertés du Québec ". (La Presse 23 mars 2012)

Du côté de l'Association québécoise pour le droit de mourir dans la dignité (AQDMD), on applaudit ces recommandations décadentes.

Du côté du regroupement " Vivre dans la dignité ", on dénonce cette légalisation du suicide assisté et de l'euthanasie. La directrice, Mme Linda Couture, crie haut et fort : " C'est une insulte envers les gens qui ont déposé des mémoires contre l'euthanasie et qui n'ont pas été écoutés ". (La Presse, 23 mars 2012)

Le peuple québécois, les associations de médecins (omnipraticiens et spécialistes), le Collège des médecins et le Barreau, tous sont d'accord pour l'euthanasie.

L'unanimité pour cette mesure ne veut surtout pas dire qu'on s'en va dans la bonne direction. Quand le comité parle de balises pour encadrer cette " belle mort ", ça me fait bien rire. On a déjà vécu cette tragique comédie avec l'avortement, il y a plusieurs décennies. Quand on a légalisé l'avortement, il y avait de très importantes balises pour encadrer les interruptions de grossesse. Avec les années, on a amendé et assoupli la loi à plusieurs reprises pour en arriver à l'absence complète de loi et de balises, c'est-à-dire, le droit à l'avortement sur demande à n'importe quel moment de la grossesse avec la carte soleil (30 000 avortements par année au Québec) sans aucune restriction.

Nous sommes une société hyper distincte, supposément très moderne et très avancée. Nous serons la seule province au Canada où l'euthanasie sera accessible avec, au départ, d'importantes balises ; mais, pour combien de temps ?

Enlevons nos lunettes roses ; d'ici quelques années, ces fumeuses balises vont tomber les unes après les autres pour satisfaire les nombreuses demandes de mourir au jour et à l'heure que chaque personne aura le droit de choisir. On dira : " Je veux prévoir ma mort ; mon corps et ma mort m'appartiennent ; c'est un droit fondamental, comme l'avortement ". Avec la carte soleil, on fera alors une " vraie belle mort " à son goût.

Que va-t-il arriver aux vieux, aux personnes malades, aux handicapés physiques et mentaux, à ceux et celles qui souffrent de la maladie d'Alzheimer, aux déprimés, aux fatigués de la vie, et à toutes ces personnes qui coûtent très cher au système québécois de santé en faillite ?

Comme nous vivons dans une société où les valeurs morales et religieuses ont été passées à la déchiqueteuse, je ne vois rien de rassurant pour l'avenir avec la légalisation de l'euthanasie. Un jour ce sera ton tour !

Ne soyons pas naïfs. D'ici quelques années, nous aurons droit à l'euthanasie sur demande et ce sera très facilement accessible au Québec. Après les nombreuses et populaires cliniques d'avortements, on aura les cliniques d'euthanasie pour en finir avec la vie.

Notre société ne tolère pas la maladie. Quand on n'est plus capable de suivre la parade, mieux vaut disparaître ! Cela soulage les personnes en bonne santé.

Quant à la question de la légalisation, le Code criminel du Canada est limpide. Il interdit toujours l'euthanasie. Le gouvernement Harper répète qu'il refusera d'amender la loi pour permettre l'euthanasie. Mais le gouvernement du Québec a trouvé, paraît-il, une porte de sortie : il pourrait bientôt annoncer qu'il ne poursuivra pas en justice les médecins qui vont pratiquer l'euthanasie. Ce sera l'impunité légalisée.

Alors, le Québec deviendra le paradis de la " belle mort " et nous aurons sûrement de très nombreux clients qui viendront des autres provinces canadiennes.

Le sort en est jeté ! La porte est ouverte ; bientôt elle sera grande ouverte. La culture de la mort semble être de plus en plus populaire au Québec. Ici tout est gratuit et accessible, même la mort sur demande !

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