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« Les révolutionnaires marxistes américains ont exclu Dieu de la vie publique, nous devons Le ramener »

Par Brian Middleton — Traduit par Campagne Québec-Vie

11 novembre 2022 (LifeSiteNews) — Indépendamment du niveau de fraude électorale et de coercition liées aux bulletins de vote par correspondance, etc., il est devenu clair que la stratégie plus que centenaire de la gauche marxiste progressiste a eu pour résultat que près de la moitié du pays, peut-être même plus, a embrassé la destruction économique de notre société, l’armement politique du système judiciaire, la sexualisation, la mutilation et le meurtre de nos enfants, la prise de contrôle d’un système médical tyrannique par des mandats qui appliquent le génocide, la destruction de la loi et de l’ordre, et l’assaut total de la Constitution.

Cette élection confirme que le pays dans lequel nous avons grandi n’existe plus.

Il n’y a plus de temps ni d’énergie pour les stratégies sous forme de « vœux pieux » qui suggèrent que les mêmes dirigeants qui nous ont amenés à ce point nous en sortiront d’une manière ou d’une autre.

Nous sommes arrivés là parce que c’est l’objectif de la classe dirigeante politique de l’État profond progressiste. Ce n’est pas dû à l’incompétence ou au résultat d’un accident. C’est le résultat d’une vision stratégique et de son exécution. Ils ont exécuté avec succès leur stratégie et n’ont pas l’intention de changer de direction.

Telle est notre réalité.

Que devons-nous faire ?

La première étape consiste à réaliser qu’il s’agit d’une bataille spirituelle. Les questions susmentionnées dans cette missive appartiennent à la catégorie spirituelle du mal. Le corps politique est le terrain sur lequel ce mal se manifeste. Il découle d’une vision du monde qui se définit comme un humanisme relativiste et athée.

Telle est la vision du monde prédominante de toutes nos institutions publiques.

Ce récit nie l’existence d’un Dieu Créateur et désire transformer les traditions et les valeurs de notre nation que nous voulons « Une sous l’autorité de Dieu ». Ce n’est pas une vision du monde qui cherche la coexistence ou le compromis avec d’autres croyances ; elle cherche leur destruction (voir le « Manifeste humaniste I » de 1933).

Ensuite, il faut comprendre que les conséquences du mal institutionnalisé sont inévitables. La morale de notre nation s’est décomposée et un châtiment aura lieu. L’âme collective de notre nation est en train de mourir. C’est la métaphysique en action. Il n’y a rien que nous puissions faire à ce sujet. Alors passez à autre chose. Ne gaspillez pas votre temps et votre énergie à essayer de changer cela. Remettez ça à Dieu.

Notre espoir doit reposer sur Lui.

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Quel est notre rôle ?

On a dit que dans la bataille pour l’âme d’une personne, les forces de composition doivent l’emporter sur les forces de décomposition. Il en va de même pour les institutions, les pays et les cultures.

Nous devons nous concentrer sur la composition du pays et de la culture tels qu’ils devraient être. Notre espoir devrait alimenter le courage d’affronter la réalité telle qu’elle est et de travailler à la rendre telle qu’elle devrait être.

Par où commencer ?

Nous commençons par nous concentrer sur le renversement de la victoire stratégique la plus importante de la gauche marxiste progressiste : le retrait de Dieu de la place publique et de toutes nos institutions publiques.

Lorsque Dieu a été banni, la vérité a été supprimée. La vérité est devenue une sensation ; subjective et relativiste. Dans un monde relativiste, tout le monde devient menteur et tout est un mensonge.

Le relativisme affirme objectivement que la vérité objective n’existe pas, se contredisant ainsi dans sa définition. La vérité ne se contredit jamais. Le relativisme est donc un mensonge.

Une autre conséquence du relativisme est qu’il élimine le potentiel du vrai bonheur, ou de la joie. Cela est dû au fait qu’il élimine la vertu. Les grands philosophes savent et enseignent depuis des milliers d’années (avant l’éducation de base commune) que le bonheur est la conséquence d’une vie vertueuse.

La vertu est définie comme la ferme disposition à l’égard de ce qui est objectivement bon. S’il n’y a pas de bien objectif, il n’y a pas de vertu. S’il n’y a pas de vertu, il n’y a pas de potentiel de bonheur. S’il n’y a pas de potentiel de bonheur, les gens désespèrent.

Le désespoir pousse les gens à se tourner vers des activités qui tentent de calmer l’anxiété et le désespoir du néant de la vision relativiste du monde. Cela ne fait qu’empirer les choses, car ces activités d’évasion momentanée évoluent vers la dépendance et s’accompagnent d’une toute nouvelle série d’effets négatifs. Le chaos, l’anxiété, la rupture et le désespoir règnent.

La solution commence par un engagement personnel à dire la vérité avec amour dans chaque situation, quelle que soit la tension à court terme que cela peut provoquer. Beaucoup d’entre nous se sont tus, au nom de la politesse et d’une paix à bon marché, alors que les membres de notre famille et nos amis embrassaient l’impiété d’une vision du monde relativiste.

La solution ultime consiste à ramener Dieu sur la place publique, en commençant par nos familles, nos églises et nos communautés. Nous devons trouver ou créer des opportunités éducatives pour enseigner les vérités objectives de Dieu. Nous devons également comprendre qu’aucun d’entre nous ne sera capable de réparer ce qui ne va pas par lui-même. Mais nous devons donner tout ce que nous avons, sachant que tout ce que nous avons ne suffira pas à accomplir le travail. Notre temps, notre trésor, notre talent et notre vie doivent devenir une offrande sacrée à Dieu et à sa vérité. Il multipliera alors nos efforts et unira tous ces sacrifices dans la victoire.

Un jeune saint, qui faisait face à une maladie en phase terminale, a dit un jour : « Quelles que soient les circonstances de ma vie, le sens et le but de celle-ci ne changent pas, à savoir connaître, aimer et servir Dieu dans ce monde et vivre le bonheur éternel avec Dieu dans l’autre. Mes émotions vont augmenter et diminuer. Mais la Foi n’est pas une émotion. C’est un engagement. Je ne désespérerai pas ».

Engageons-nous donc à être des ministres de la vérité, de l’espérance et de la joie en connaissant, en aimant et en servant Dieu en nous engageant dans cette guerre spirituelle.

Des batailles seront gagnées et perdues. La victoire finale, cependant, est assurée tant que nous continuons à avoir de l’espoir.

Nous sommes nés en ce lieu, pour ce temps et pour cette mission. Soyons fidèles à cet appel.



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