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Le vaccin Covid-19 à ARNm BNT162b2 de Pfizer affecte-t-il la capacité d'avoir des enfants ?

Par Dorothy Cummings McLean — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere

Westminster, Angleterre, 4 décembre 2020 (LifeSiteNews) — Le mode d’emploi émis par le gouvernement pour le nouveau vaccin contre le coronavirus indique qu’il ne doit pas être administré aux femmes étant enceintes ou allaitant et les enfants. En outre, il indique que l’on ignore l’effet que le vaccin covid-19 à ARNm aura sur la fertilité.

Les dix pages du Reg 174 Information for UK Healthcare Professionals décrivent le vaccin, la manière dont il doit être stocké, dilué et administré, ainsi que les études d’essai réalisées pour le tester. Pour être efficace, le vaccin est censé être administré deux fois. Dans une section intitulée « Fertilité, grossesse et lactation », le guide indique qu’il n’y a « pas ou peu de données » sur le vaccin. Par conséquent, il ne recommande pas son utilisation pour les femmes enceintes.

« Les études de toxicité sur le plan de la reproduction animale n’ont pas été achevées. Le vaccin covid-19 à ARNm BNT162b2 n’est pas recommandé durant la grossesse », indique le guide dans la section 4.6.

« Pour les femmes en âge de procréer, la grossesse doit être exclue avant la vaccination ».

Le guide conseille également aux femmes d’éviter de devenir enceintes pendant les deux premiers mois suivant leur vaccination contre le covid-19.

« En outre, il est conseillé aux femmes en âge de procréer d’éviter toute grossesse pendant au moins 2 mois après leur deuxième dose », indique-t-il

Comme on ignore encore si le vaccin peut être transmis ou non à un nourrisson allaité par sa mère, les instructions précisent qu’« un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu ». Par conséquent, le guide précise que le vaccin « ne doit pas être utilisé pendant l’allaitement ».

Mais, fait alarmant, le guide ne dit qu’une chose sur l’impact du vaccin sur la fertilité : ils ne savent si le vaccin en a ou non.

« On ne sait pas si le vaccin covid-19 à ARNm BNT162b2 a un impact sur la fertilité », affirme-t-il.

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Le guide note que l’innocuité du vaccin a été testée dans le cadre de deux études cliniques. La première étude a été menée auprès de 60 personnes âgées de 16 à 55 ans, et la seconde a porté sur « approximativement » 44 000 personnes âgées de 12 ans et plus. Les effets négatifs les plus fréquents du vaccin chez les personnes de plus de 16 ans ont été : de « douleur au point d’injection » (un muscle), ressentie par plus de 80 %, de la fatigue (plus de 60 %), des maux de tête (plus de 50 %), des douleurs musculaires (plus de 30 %), des frissons (plus de 30 %), des douleurs articulaires (plus de 20 %) et de la fièvre (plus de 10 %). Selon le guide, ces effets secondaires « étaient généralement d’intensité légère ou modérée » et disparaissaient au bout de quelques jours [évidemment, il n’y a pas d’études sur les effets à long terme*].

Craintes liées à la fertilité

Au début de cette semaine, deux éminents médecins ont écrit à l’Agence européenne des médicaments, responsable de la sécurité des vaccins, pour tenter d’arrêter les essais sur l’homme de tous les vaccins covid-19, en particulier le vaccin à ARNm covid-19 de Pfizer et BioNtech BNT162b2 décrit ci-dessus. Le Dr Michael Yeadon, ancien directeur de la recherche respiratoire de Pfizer, et le Dr Wolfgang Wodarg, conseiller en politique de santé, pensent que les essais sur l’homme sont toujours contraires à l’éthique.

Entre autres inquiétudes, Yeadon et Wodarg avertissent que certains des vaccins pourraient empêcher le développement normal du placenta chez les femmes enceintes, ce qui aurait pour conséquence que « les femmes vaccinées deviendraient essentiellement stériles ».

« Plusieurs vaccins candidats devraient induire la formation d’anticorps humoraux contre les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 », écrivent les médecins.

« La syncytine 1 [...] qui est dérivée de rétrovirus endogènes humains (HERV) et qui est impliquée dans le développement du placenta chez les mammifères et les humains, qui est donc une condition préalable et essentielle à une grossesse réussie, se trouve également sous forme homologue dans les protéines de pointe des virus du SRAS », poursuivirent-ils.

« Rien n’indique que les anticorps contre les protéines de pointe des virus du SRAS agiraient également comme des anticorps anti-syncytine 1. Toutefois, si tel était le cas, cela empêcherait également la formation du placenta ce qui aurait pour conséquence que les femmes vaccinées deviendraient essentiellement stériles ».

Les médecins suggèrent — étant donné que le protocole d’essai de Pfizer et BioNTech stipule que « les femmes en âge de procréer » ne peuvent prendre le vaccin que si elles ne sont pas enceintes ou n’allaitent pas, et utilisent une méthode contraceptive — que cela pourrait prendre « un temps relativement long avant qu’un nombre notable de cas d’infertilité post-vaccinale puisse être observé ».

Pfizer ne peut être poursuivie en dommages et intérêts

Selon le journal britannique l’Independent, Pfizer, le propriétaire du vaccin covid-19 à ARNm BNT162b2 s’est vu accorder une clause d’exonération de responsabilité au Royaume-Uni, ce qui signifie que les personnes ayant subi des préjudices à cause du vaccin ne pourront pas poursuivre la compagnie en justice.

« Le personnel du NHS (National Health Service) qui fournit le vaccin ainsi que les fabricants du médicament sont également protégés », rapporte l’Independent.

Le journal a également rapporté que le vaccin de Pfizer et BioNTech a été approuvé par l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé mardi, en vertu de l’Article 174 du Human Medicine Regulations 2012.

Le règlement, qui a été modifié par le gouvernement britannique cet automne, stipule actuellement que les règles de prohibition ordinaires, selon les exigences établies en Grande-Bretagne, « ne s’appliquent pas lorsque la vente ou l’approvisionnement d’un médicament est autorisé par l’autorité de délivrance des licences sur une base temporaire en réponse à la propagation suspectée ou confirmée de : (a) agents pathogènes ; (b) toxines ; (c) agents chimiques ; ou (d) radiations nucléaires, qui peuvent causer des dommages aux êtres humains ».

The Independent a noté que lors d’une conférence de presse tenue mercredi, le directeur général de Pfizer au Royaume-Uni a refusé d’expliquer pourquoi la société avait besoin de cette protection juridique.

« Nous ne divulguons pas les détails de cet accord et plus particulièrement les clauses de responsabilité », a déclaré Ben Osborn de Pfizer.

Curieusement, en octobre, la Medicines & Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) du gouvernement a publié une demande d’offre importante indiquant que « pour des raisons d’extrême urgence », elle recherchait « un outil logiciel d’intelligence artificielle (IA) pour traiter le volume élevé attendu d’effets indésirables du vaccin covid-19 ». L’appel d’offres explique ensuite qu’« il n’est pas possible de mettre à niveau les systèmes existants de la MHRA pour traiter le volume d’effets indésirables générés par un vaccin Covid-19 » et que ce fait « représente une menace directe pour la vie des patients et la santé publique ».


*Commentaire d’A. H.



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