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Le scandale des «avortements sous pression» au Royaume-Uni

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Juan Pablo Arenas/Pexels

Si les femmes se font avorter, c’est en partie parce qu’elles subissent la pression de proches, aussi, bien que ce soit une moindre raison de celles que nous avançons pour nous manifester (aux abords d’un avortoir par exemple), il faut bien contrebalancer cette pression par une influence pacifique (-1 + 1 = 0), ce qu’un pro-choix devrait approuver puisque pour lui, le fait de tuer un enfant à naître ou de ne pas le tuer doit être pour la femme un choix « libre ». Évidemment, en soi ça n’est pas un argument très bon, l’humanité de l’enfant à naître l’est bien plus, mais ce qu’on peut rappeler là, c’est que si des gens exercent des pressions sur les femmes enceintes, ce sont bien les pro-choix. Extrait de Gènéthique :

A l’occasion d’une échographie réalisée à 13 semaines, les médecins assurent à Lauren Webster, une jeune irlandaise de 21 ans, que son enfant souffre d’une « obstruction vésicale » (des voies urinaires) lui offrant une faible chance de survie, et qu’il risque d’« être atteint de troubles génétiques tel qu’une trisomie 18 ». Les médecins insistent pour qu’elle avorte. Lauren Webster, qui avait déjà fait deux fausses couches, raconte que son médecin lui a demandé « chaque semaine » si elle voulait avorter. La jeune maman résiste « à toutes les pressions » ayant « l’intuition que son bébé survivrait ». A la naissance de son fils, Ollie, les médecins sont « stupéfaits » de constater que l’« obstruction vésicale » s’est corrigée d’elle-même et qu’il n’est pas porteur de trisomie 18.

Au Royaume-Uni, la « question de l’avortement sous pression et contraint » est une pratique de plus en plus courante, en particulier de la part du personnel médical. Ainsi au début du mois de juin, à dix reprises, une femme enceinte, Natalie Halson, a subi des pressions pour avorter de sa fille, parce que celle-ci était atteinte d’un spina-bifida […]

Un rapport choquant de la Care Quality Commission (CQC) de 2016 a révélé que l’une des plus grandes chaînes d’avortement du Royaume-Uni, Marie Stopes, exerçait des pressions sur les femmes, les encourageant à avorter leur bébé […]

Une autre étude a révélé que « 75 % des clientes déclarent avoir subi un avortement parce qu’elles avaient ressenti la pression d’un être cher ».

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